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Chronique. MW sur Wii.



J'inaugure une nouvelle catégorie sur mon blog, ce sont les chroniques de l'actualité vidéo ludiques. J'ai déjà eu l'occasion d'en écrire des plus ou moins longues, mais pas sur mon blog. Cette actégorie risque de prendre une place importante dans mon blog, donc attendez vous-y des septembre.

Succès commercial oblige, Call of Duty Modern Warfare se prépare à faire une entrée triomphale sur Wii… ou pas. Alors que la suite de l’épisode le plus abouti de la série sort le même jour sur les consoles Next-gen, Activision se paye notre tête en nous proposant de revivre l’aventure.

Mais cet épisode, il a surtout marché grâce à son ambiance Hollywoodienne (aussi grâce au placement dans le temps, mais peu importe), alors sur Wii, forcément ça marche moins, beaucoup moins. On ne pourra pas, sans aucun doute, retrouver l’immersion, et le réalisme qu’on avait pu avoir sur Next-Gen, alors finalement, ça ne sert à rien de nous sortir une version moins bonne.

La seconde guerre mondiale, c’est maintenant réservé à l’ancienne génération de console, ne nous le cachons pas, et la Wii, niveau puissance fait partie de cette ancienne génération. C’est dommage, mais c’est comme ça, et le portage ne pourra pas être aussi réussi, c’est un fait.

Autre facteur qui fait peur : sa sortie proche au USA. Car oui, en plus de se foutre de notre tête en nous proposant un portage bidon, il ne me semble pas que beaucoup de choses soient ajoutés dans cet opus, puisqu’il est prévu pour dans 3 mois, sans qu’on ait vu aucun screen.

Alors oui, Treyarch, ça a déjà marché, mais nous refoutre un jeu qui ne correspond pas du tout à la Wii, deux ans après sa première sortie, c’est abusé.

La seule chose finalement qui fait briller une lueur d’intérêt dans ma tête, c’est le mode online, ça gonflera un peu les jeux online de la Wii, et c’est gratuit, mais c’est bien tout.

Ensuite, je me trompe peut-être, mais c’est à Activision de me le prouver, faut pas abuser quoi.

Avis/ GTA : Chinatown Wars



Un article court, c'est pour ça que je l'ai écris comme ça. Ca a été fait vite fait. Sur ceci, je retourne au jeu.

[Ciné] Harry Potter & Half-blood Prince

Comme je vous l’ai promis, voilà enfin ma critique d’Harry Potter. Elle va être courte, puisque j’ai pas grand-chose à dire, m’enfin bon, bonne lecture.



Voldemort et ses mangemorts, accompagnés des géants et des détraqueurs, sèment de plus en plus le chaos à travers le pays, tant chez les moldus que chez les sorciers. Rufus Scrimgeour a remplacé Cornelius Fudge au poste de Ministre de la Magie, et tente de montrer qu'il combat efficacement le Seigneur des Ténèbres en cherchant à se procurer l'aide de Harry Potter. Mais Voldemort a d'autres plans en tête, et il confie une mission à Drago Malefoy. Sa mère convainc Rogue de faire le Serment Inviolable afin de le protéger.

2 ans après l’adaptation du 5éme livre des aventures d’Harry Potter et un an après la sortie du 7éme tome en livre, notre héros revient dans une aventure assez intéressante (voir le résumé plus haut). Et j’avais très peur moi. En effet, après 4 premiers films assez convaincants, je me suis rendu compte qu’on s’ennuyait profondément dans le 5éme, qu’il ne se passait rien, et qu’il était peu riche en révélation. Voilà donc avec quel état d’esprit j’ai commencé à regarder le film.

Mais, dès le début, nous voilà transporté dans une ville de Londres spectaculaire, et dès les premières minutes, les effets spéciaux commencent. On ne sait pas très bien pourquoi en fait, mais c’est pas grave, ils commencent, à la manière de Twilight, c’est un début très mystérieux qui est présenté. Un excellent moyen de captiver l’attention d’après moi. D’ailleurs, j’ai parlé d’effets spéciaux, mais il faut les décrire, parce que tout au long du film, ils sont tout à fait grandioses. Rien à voir avec ceux des premiers Harry Potter, c’est un des gros point fort du film, même si ceux-ci étaient tous présents dans les trailers présentés avant la sortie du film…

Après cette entrée fracassante, on retrouve donc un Harry qui a très –trop- grandi depuis ses dernières aventures, il s’intéresse désormais aux femmes (héhéhé). Ca fait bizarre de le voir comme ça, parce que grandir si vite n’arrive normalement pas, mais peu importe, parce que coté âge, même si notre cher héros a la vingtaine depuis peu, il passe bien pour 3 ans de moins, dans le film. Ron et Hermione aussi ont d’ailleurs bien grandi aussi.

Et voilà, le film avance en mettant en scène plusieurs personnages nouveaux, plusieurs révélations, mais rien ne se passe, sauf des histoires… d’amour. Car le film n’est centré qu’autour des histoires d’amour, et c’est bien ça le problème. Là où les effets spéciaux sont géants, l’action ne dure que quelques minutes, et le film a beau durer plus de 2 heures, on peut s’ennuyer, car on n’apprend que très peu de choses sur un personnage clé de l’histoire : le prince de Sang Mêlé (d’ailleurs, c’est le sous-titre de cet épisode).

Fans des premiers épisodes, seules les 20 derniers minutes vont vous en apprendre un peu plus d’ailleurs sur l’histoire (même si celle-ci est plus que prévisible). C’est dommage, et finalement, on se dit : heureusement que le 7 va être divisé en 2 partie. Il faudrait au moins 4 heures de film pour vraiment contenter tout le monde, pourquoi ne pas avoir divisé finalement aussi cet épisode en 2 ? On ne comprend pas tout.

Alors finalement, ce film, il est bon ou pas ? Moi, il m’a ravi car il est assez bluffant niveau effets spéciaux. Pourtant, c’est plus une histoire d’amour qu’autre chose : et c’est là que beaucoup de monde sera déçu : il n’y a presque pas d’action. Les trailers était trompeurs en fait. C’est dommage, car c’aurait pu être un excellent film.

B+

Deux nouveaux clips que j'aime.

Hey à tous. Après avoir donné ma sélection de CD pour cet été, j’voulais aussi vous transmettre deux clips qui viennent tout juste de sortir, bien qu’un des deux ne soit pas officiel. C’est deux chansons que j’apprécie énormément et deux chanteuses que j’aime aussi beaucoup d’ailleurs.



En premier, c’est celui d’un fan de Britney Spears, qui n’est donc pas officiel, mais qui provient bien de l’idée de Britney. En effet, il y a 6 mois, la blonde/brune/chauve avait proposée sur son site officielle un concours à ses fans pour illustrer sa chanson en dessin animé : Kill The Light qui figure sur son dernier album studio en date : Circus. Le résultat est plus que convaincant, et on a du mal à croire que ce soit un amateur qui a fait ça. Je vous laisse avec donc.



Et en second, c’est la très belle Nelly Furtado dont j’ai envie de parler. Elle va enfin sortir un nouvel album entièrement en espagnol à la fin de l’année (Et un album en anglais début 2010), l’occasion pour nous d’en entendre un premier extrait : Manos Al Aire. Le clip est tout de nouveau, tout beau, il est en ligne depuis hier sur Internet (si si et c’était même pas sur le blog de Perez Hilton !!). J’aime le clip, et la chanson.

Voilà, c’est tout pour aujourd’hui, ou peut-être pas si j’ai le courage d’écrire ma critiquer sur Harry Potter dans la journée.

Selection musicale éstivale



Pour upper un peu le blog, et avant ma critique complète sur le film qu’est Harry Potter 6, j’ai décidé de vous faire une petite sélection de CDs que je trouve intéressants d’écouter, cet été. Ce ne sera pas forcément des albums où figurent des tubes de l’été, mais des artistes que je trouve « rafraîchissant » si je peux m’exprimer comme cela.

#1

Première sélection, un groupe ultra connu dont les autres albums ont été particulièrement adulés : les Black Eyed Peas, avec l’album The End. Les deux extraits qui en sont issus sont déjà des tubes, il est vrai, mais le reste n’est pas mauvais non plus. En changeant de style, le groupe a su prendre des risques, et le passage à l’éléctro est vraiment réussi. Ca ne plaira pas à tous, mais je pense quand même a beaucoup, bonne écoute.



#2

Agé de 30 ans, le talentueux Charlie Wintson se fait remarquer pour un Like a Hobo très loin des productions habituelles. Je dois avouer que je n’aimais pas du tout au début, mais plus le temps passe, plus son style si particulier m’attire. Il revient depuis quelques semaines avec son single In Your Hands tout à fait génial, et son album est a écouter si les deux premiers extraits vous attirent.



#3

J’ai déjà eu l’occasion de parler d’elle un peu plus tôt dans ce blog, mais je vous recommande une nouvelle fois son album qui est sûrement l’un des albums de l’année. C’est l’album de la génialissime Béatrice Martin ou Cœur de Pirate. On pouvait douter quand au succès commercial de la belle, mais ça marche apparemment fort pour elle, puisque son album se vend encore très bien depuis le début de l’année.



#4

Après l’énorme succès commercial de How To save a life en 2005, le groupe The Fray, redémarre avec l’album éponyme. Le premier extrait You Found Me est déjà un pur succès, et pour cause, la recette du groupe marche très bien. Avec pour promo une reprise tout à fait excellente de Kanye West, on espère que le succès ne va pas s’arrêter là.



#5

Dans le même registre, je pourrai vous conseiller 21st century Breakdown qui signe le grand retour du groupe désormais culte qu’est Green Day. Si cet album peut paraître décevant, c’est en faite un album assez convaincant. Le deuxième extrait, qui n’est autre que ma chanson préférée de l’album, 21 Guns, est une pure petite merveille d’ailleurs.



#6

Pour se diversifier un peu, je vous conseille cette fois-ci, l‘album de Taylor Swift. Peu connue, sauf pour sa chanson Love Story en France, l’artiste n’en reste pas pour le moins très talentueuse. Toutes ses chansons se ressemblent à première écoute, mais dans le fond, c’est vraiment un album de qualité.



#7

Enfin, dernier album que je vais vous présenter aujourd’hui, c’est It’s Not Me, It’s You de Lily Allen, Fuck You est déjà un tube de l’été, et pour cause, el clip est génial, cependant, l’album tout entier vaut le détour. Je vous invite donc à l’écouter de A à Z pour vous faire votre avis. Pour commencer, je vous laisse avec Not Fair.



Et pour conclure cet article musical en beauté, deux albums que je ne vous recommande surtout pas : le premier est l’album d’Ocean Drive en featuring avec DJ Oriska, et le deuxième est celui d’Ycare, seuls les singles étant bons.

[UP] Tour de France, Go.



Article inutile, j'en suis conscient, mais le tour de France vient de se lancer dans la principauté de Monaco (Et attention, cette année, il passera par pas moins de 5 pays/principautés : France, Andorre, Monaco, Espagne et Italie) ! Au programme de cette première étape? Un contre-la-montre de 15 kilomètres qui passera par la principauté, le Cap D'ail et beausoleil.

Bien que le tracé soit très plat, les coureurs devront grimper 205 mètres, avant de redescendre tranquillement pour Monaco. Rien d'insurmontable. Rappelons, pour la petite histoire, que le tour de France n'as pas touché Monaco depuis 1964!

Le grand favori étant Fabian Cancellara ; qui a, pourtant, bien du soucis à se faire, puisqu'un certain Lance Armstrong, qui renouvelle son expérience du tour cette année, et Alberto Contador sont dans la place.

(Je ne ferai pas d'articles à chaque étape puisque je pars en vacances dès demain, mais peu importe, je voulais annoncer le lancement.)

UP = Et le vainqueur est, sans surprise Fabian Cancellara qui devance de 18 secondes l'español Alberto Contador. Le champion aux 7 victoires du tour de France, quand a lui, fini 10éme, pas si mal, quand on sait qu'il s'est absenté plus de 2 ans.

Carte ici

Paulo...............

[GBA] Wario land 4


Avant que je parte en vacances, petite review du jeu Wario Land 4.

Quand on parle de plate-forme sur GBA, on parle souvent d’un certain Mario. Pourtant ce n’est pas le seul. Défendant sa place aux côtés de Sonic, et de Rayman, Wario, ennemi juré (et ce n’est pas le seul, Mario a beaucoup d’ennemis) de Mario nous prouvait, il y a plus de 15 ans déjà qu’il ne fallait pas s’appeler Mario pour bénéficier d’un bon jeu de plate-forme. Pour le 4éme opus de la saga des Wario Land, ce personnage a-t-il prit une ride ? Réponse tout de suite.

Ayant appris l’existence d’une pyramide renfermant des trésors dans la jungle par le journal, notre héros, qui aime les sous (et c’est ça qui fait son personnage, bien avant Tingle !) se met à l’aventure. Se prenant pour Indiana Jones, même sous son bide énorme, Wario va suivre un animal et arriver dans la pyramide. Un seul problème, il est bloqué à l’intérieur. Comment sortir ? Il ne le sait pas. Si cette histoire ne prend que très peu de place dans le jeu (en même temps, on ne demande pas ça à un jeu de plate-forme, hein), elle est magnifiquement bien racontée dans l’introduction hilarante. Bravo.



Plate-forme à l'usine.

Après avoir appuyé sur start et choisi son mode de difficulté (entre normal et hard, qui est assez dur par moment), nous voilà dans le jeu. Et les choses commencent tout de suite, avec un premier monde très simple, mais qui fait office de tutoriel pour ceux qui ne savent pas jouer au jeu… Au-delà du fait de sauter, et d’attaquer ses ennemis, Wario possède des compétences spéciales, dignes d’un grand aventurier à vrai dire. Première chose, il peut se mettre en boule pour glisser le long d’une pente et passer par des passages étroits. Deuxième chose, il peut utiliser son poing accompagnée de la vitesse pour casser des rochers très solides. C’est un fait, Wario Land 4 n’est pas un jeu comme les autres. Et heureusement.

Passé ce niveau d’apprentissage, on atterrit dans la salle de minis jeux. Si celle-ci peut paraître très anecdotique au début, elle est primordiale à la fin. Chaque partie vous coûtera 2000 points, que vous aurez préalablement récupéré dans les niveaux de plate-forme en allant chercher les pièces, les diamants, etc. Puis 5000, une fois le jeu plus avancé. Petite déception, il n’y a que 3 minis jeux, très répétitifs on doit l’avouer. Le premier est un jeu de baseball. Sur SP, vous devrez tenir votre console à l’horizontale et frapper quand la balle arrive. Le deuxième, sûrement le plus intéressant, est un jeu de saut d’obstacle. Vous devez sauter par-dessus les personnages du jeu, sans les toucher, sinon, vous avez perdu. Et attention, ça va de plus en plus vite. Enfin, le dernier est un jeu de mémoire, vous devez mémoriser le visage de Wario en 3 parties, et le reconstituer quelques secondes après sans modèle. C’est du classique donc.



Attention à ne pas se faire écraser


Mais a quoi servent t’il vous demandez vous là. Et bien, ça va me permettre d’enchaîner. Ils servent à gagner des médailles, que l’on pourra ensuite dépenser dans le magasin contre le boss de fin de monde (Il y a 4 niveaux dans les mondes normaux, et non pas de fin ou d’apprentissage). Celui-ci sera très simple à battre dans le premier monde, en effet, n’ayant que peu de points de vues, et peu de techniques de défense, il ne vous posera pas de problèmes ; Cependant, concernant le reste, ça va être un peu plus dur : en effet, chacun ayant pas mal de points de vues, des techniques d’attaques, de défense différentes, le jeu est très varié, bien que pas très compliqués en normal (Ben oui, ce n'est pas Mario The Lost levels hein).

Nous voilà donc à avoir battu le premier boss et fini le monde d’apprentissage. Que nous reste il maintenant ? TOUT ou presque. Pas très long, le jeu vous demande en effet de réussir les 4 mondes composés de 4 niveaux + un boss pour atteindre le monde final. Si vous savez bien compté, ça fait donc 20 épreuves à surmonter en… moins de 10 heures. Et si la durée est très courte, c’est en partie due à une chose, à une spécificité même pourrais-je dire, qui est la course contre-la-montre de fin de niveau. En effet, une fois un niveau traversé, vous devez faire celui-ci à l’envers, pour revenir au point de départ. Faîtes bien attention à ça : le temps y est chronométré !



Wario brûle !


Autre spécificité d’un niveau, mais elle qui ne force pas à presser : la nécessité d’une clé, pour accéder au niveau suivant lorsque l’on est de retour dans la deuxième partie du niveau. Sans celle-ci n’espérez absolument pas avancer. Et attention, car dans certains niveaux, les personnages essayent de vous la voler… Une autre nécessité pour la route : les quatre fragments de losange, que vous devrez rassembler dans chaque niveau pour accéder au boss. En normal, ils ne sont pas cachés, cependant, en hard, c’est une autre histoire.

Gros point fort du soft, son humour omniprésent : de l’introduction au dénouement. Si Mario peut se transformer en raton laveur, Wario peut se grossir ou se gonfler pour se transformer en abeille. Sa tête, déjà assez drôle, n’en ait que plus marrante ! Les transformations sont même plus nombreuses que dans les Super Mario, ce qui prouve que tout le génie de Nintendo est bien présent dans ce Wario land. On est peut-être loin de Tingle du côté de l’humour, mais ça restera un des jeux les plus drôles de Nintendo pendant longtemps, ça, je peux vous l’assurer.



Un niveau en feu... du moins, à l'allée.


Un deuxième énorme point fort du jeu, est la variété de ces niveaux, et leur génie. Si ceux-ci sont assez peu nombreux, tous où presque révolutionne le genre. Entre la roulette qui vous demande de la chance dans un univers tout coloré, acidulé, et les machines qui vous attaquent dans un univers beaucoup plus sombres, il y a un énorme pas à franchir, et, c’est très bien fait, car en effet, l’erreur était plus que probable dans ce genre de fourre-tout, mais non. Bravo, c’est rare. (Par contre, grosse incohérence : que fait une jungle dans une pyramide ?)

Graphiquement, le jeu est énormément poussé. La 2D est magnifique, sûrement une de plus belle de la console, le tout est varié, coloré, et coloré intelligemment surtout, aucun ralentissement n’est à déplorer, non, franchement, le jeu est techniquement une merveille. On découvre les niveaux comme un nouveau jeu, on découvre les niveaux donc, avec un énorme plaisir. C’est unique, ou presque, car même Mario ne l’égale pas sur ce point.



Effet boule de neige !


Côté son, que dire, que dire ? C’est une réussite, même une grosse réussite, les musiques sont toutes aussi variés que les décors, et elles sont en plus bien choisies. Les bruitages sont excellents, bien donnés au moment où il faut. C’est là aussi l’un des meilleur travail de la console.

Le Gameplay lui, permet aussi d’affirmer que Nintendo maîtrise bien sa console (et c’est bien normal), tout est réglé au millimètre prêt, tout fonctionne sans aucun soucis. Les fondements ont déjà fait leur preuve, mais reste toujours d’actualité, 15 ans après.

Finalement, que pourra ton reprocher à ce Wario Land 4 ? Je dirai bien rien, mais il est un peu court, c’est vrai. Ce n’est pas en français, aussi, c’est vrai, mais même un gosse de 3 ans comprendra. Wario land 4 est finalement l’un des jeux les plus intéressants, les plus techniquement poussés que la console ait connu. Même si la vie de celle-ci est finie, l’intérêt qu’on porte à ce jeu est le même, une pépite, sans vrai défaut.

96 %


Paulo...............

La foire du blog.

Oulà, mon blog fonctionne en ce moment ! C’est rare en effet que je 1 article par jour. Mais bon, je pars bientôt en vacances, alors il faut bien meubler ça. Aujourd’hui, c’est un article bordélique et très court, le deuxième de mon blog, parce que je n’ai pas envie de faire des articles pour chacune des petites choses que je vais dire ici.



Tout d’abord, premier truc, une vidéo. Une vidéo de quoi ? Sur le syndrome FPS. C’est bien évidemment de l’humour, il faut le prendre au 3éme degré donc. A savoir, si vous ne comprenez pas l’anglais, ce n’est pas grave, vous comprendrez quand même la vidéo. J’ai pas mal rit moi. Et vous ? (Si vous ne jouez pas aux FPS, inutile de regarder, vous ne comprendre pas).

Deuxième chose, j’aimerai vous parler d’un site nommé Beezik (Google est votre ami), qui est actuellement en version béta, mais qui vous permet de télécharger gratuitement des centaines de chansons, tout ça légalement. Vous gagnez même des réductions sur certains sites du net ! Comment ça marche ? Et bien à chaque téléchargement de chanson, vous cliquez sur une pub, ce qui rentabilise le site qui propose les chansons (ils achètent en fait les titres pour les mettre à disposition de tous). Ça fonctionne très bien, et vous avez des chansons gratuitement, en faisant seulement deux trois clics. Pas mal ! Prometteur en tout cas !

Et troisième truc, une musique, qui est cette fois Hey You de Pony Pony Run Run. Comme je l’ai expliqué dans l’article précédent, j’en mettrai à chaque fois, mais aujourd’hui, j’ai décidé de récompenser comme il se doit cette chanson en lui écrivant quelques lignes. A noter qu’elle est en single de la semaine sur iTunes, donc gratuite (et pas disponible sur beezik il me semble) !

Paulo...............

[Avis] Red Steel

Comme mon confère clems, sur son blog, je me suis aujourd’hui décidé a donner un avis sur le jeu qu’est Red Steel. Bonne lecture à tous ! Et en bonus, une petite nouveauté que je mettrai dorénavant à chaque article : la musique que j'écoute en écrivant cette article. Aujourd'hui, c'est un petit délire ;)



Pas mal critiqué par la presse et par les joueurs lors de sa sortie fin 2007, en même temps que la Wii, Red Steel, sera resté pour ubisoft un coup d’essai. Bien qu’il soit bien souvent dans la moyenne, les reproches ont fusé, et pour cause, les délais de fabrication ont été minimes. A tel point que le studio responsable du titre a décidé de faire une suite. Pourtant, et je souligne ce pourtant, Red Steel aura plus a pas mal de monde. Si l’on passe outre ces défauts, qui sont, ont doit l’avouer, assez nombreux.

Première chose assez marquante, les bugs, qui nous font rester coincé dans un morceau des décors, alors que la mission est une course contre la montre. Ce n’est pas le seul bug, mais je ne vais pas tous les citer. Deuxième chose que l’on retient, l’intelligence artificielle juste pourrie, et c’est sûrement là que Red Steel flanche. Parfois trop simple, parfois trop dur, le jeu propose des ennemis aux facultés complètement aléatoires. Si quelqu’un n’arrive pas à vous viser à 3 mètres, un autre y arrivera a 20 mètres, et, malheureusement, ça arrive souvent.

Troisième problème, et très simple à dire, les temps de chargements, longs à mourir, et pourtant, les graphismes n’ont rien d’exceptionnelle. D’ailleurs, parlons en de ces graphismes. Moi, perso, je les trouve ni beau, ni moche, on est bien loin des plus beaux et des plus moches softs de la console, et franchement, c’est déjà bien pour un jeu sorti le même jour que la console. Quatrième problème : les voix des ennemis, très chiantes, ils répètent toujours la même chose, tantôt en français, tantôt en japonais.

L’aventure, elle, suit une histoire très ennuyeuse, qui donne envie d’être passée, mais qui n’est pas possible d’être passée. Les voix sont franchement mal faites, et la narration par écran fixe (dépassé d’ailleurs) est d’un ennuie impossible à imaginer. Dur de s’y accrocher.

Le Gameplay, quand a lui, est assez catastrophique : la wiimote, que l’on doit avoir toujours pointé vers l’écran, puisqu’elle dirige la caméra, comme dans tous les FPS, part en… sucette a chacun de vos non mouvements, ce qui vous oblige à la replacer rapidement, c’est assez difficile de pardonner ce défaut, en combat, les premières heures, mais ça devient plus simple après.

Cinquième gros défaut (et dernier, ouf), même si la, j’en ai cité d’autre entre temps, les combats aux katanas. Ils s’annonçaient passionnant, mais là encore, c’est de la pure approximation, ils sont chiant à en mourir, fatigants, longs et inintéressant. Vite, Wii Motion + !

Alors, que reste il a ce jeu, que j’ai critiqué comme un porc durant ces lignes ? Quelque chose d’à vrai dire assez intuitif, même si la caméra se casse la gueule une fois sur deux. C’est du vrai fps, avec des dizaines d’ennemis à shooter, sans réel but, puisque l’histoire n’est pas motivante. C’est juste extrêmement fun de faire ça à la wiimote, pendant les 10 petites heures de l’histoire, et pendant le mode multi. Il est aussi sympa d'apprécier quelques détails assez originaux, tels que les tapis roulants, les contre la montre,etc... Et étant donné que l’on a que ça avant The Conduit (qui s’annonce franchement pas excellent) et Red Steel 2 qui n’est pas prêt de sortir, c’est assez sympa, surtout qu’on peut le trouver actuellement à moins de 10 €. En attendant mon test…


[IGN] Moon DS

Attention, ce test est une traduction de celui du site IGN, ne croyez pas que c’est moi qui l’ai rédigé, je me suis juste occupé de le traduire, et de l’arranger, évidemment, pour coller avec notre langage. Pourquoi ? Pour faire connaître ce jeu assez peu médiatisé en Europe ici. Bonne lecture. Forcément, la traduction n’est pas digne d’une traduction d’expert, mais j’espère que cela suffira.



La première grosse sortie DS en 2009 arrive enfin (ndlr, le test a été écrit en février), comment Renegade Kid’s a-t-il réussi ce coup de maître ?

Bien préparé, après la sortie, en 2007, du très bon Dementium l’asile, les développeurs de chez Renegade Kids se lance une nouvelle fois dans le shoot à la première personne, avec… Moon. Dès la première vidéo, il nous a paru évident que l’équipe allait adopter la même philosophie que pour Dementium, c'est-à-dire, pousser la DS à bout techniquement, mais bien sûr, en développant un nouvel univers, assez loin de l’horreur. Nous avons exploré Moon pas à pas (Ou d’un seul, si vous préférez), et sommes de retour pour vous en faire le rapport (ndlr, merci à Iwant pour cette traduction). Finalement, Moon est il à la hauteur de Dementium ? Moon est il l’un des premier must-have de l’année ? Pour le savoir, lisez la suite !

Pour commencer, on remarque que Moon est très différent de son prédécesseur, Dementium. C’est un jeu d’aventure mêlant différentes phases de tir. Tout de suite, les fans vont penser à Metroid Prime Hunter, mais finalement, Moon en est bien loin. Vous recevrez de nouvelles armes en cours de jeu, certes, mais le plus de Moon, sont indéniablement l’histoire, les cinématiques et les sentiments qui s’en dégagent. Vous entrez donc dans la peau d’un certain Major Kane, qui, suite à l’annonce d’un élément étrange sur la lune est envoyé par le gouvernement pour enquêter. Chose qui semble un peu bizarre : il part tout seul ou presque, avec 2,3 alliés qui lui crieront dans les oreilles tout au long du jeu, un défaut récurent dans les jeux vidéos…

Autre point fort de Moon, que l’on remarque dès le premier coup d’œil, c’est l’indéniable réussite technique du jeu, un chef d’œuvre de technique. Et ça ne surprend pas : en effet, il tourne à 60 images par secondes, ce qui permet de mettre en scène de nombreux niveaux d’architecture, des animations surprenantes, et beaucoup de reliefs. Il fait aussi un grand usage des différentes couleurs, pour permettre une variété de tous les instants. Au cours de vos nombreux passages hors habitations, les étoiles illuminent le ciel, les fusées dansent au loin, le tout éclairé par le soleil, avec la terre, qui observe, au loin. C’est tout simplement du pur spectacle, et très simplement, un des plus beau jeu de la console, on nous l’avait promis, c’est fait.

Et si nous pourrions parler de ça pendant des heures, il y a autre chose de très important à évoquer, tout simplement, la progression dans le jeu. Oui, le jeu se joue bien, les armes sont bien faites, l’histoire est bien racontée, mais vous devez bien sûr en savoir plus sur le genre avant de vous ruer dans un magasin, ou de le rejeter comme un mal-aimé. Tout d’abord, il faut savoir que ce n’est ni halo, ni Doom, ni Quake, c’est un jeu d’aventure, ce qui signifie simplement que l’isolement et l’exploration deviennent des points essentiels du jeu (ndlr, fin de la phrase intraduisible).

Moon ajoute, il est vrai, quelques ennemis, par ci, par là, mais on est loin d’une course au fusil. Souvent, même, vous longerez des vestibules étroits, changerez de section, et arriverez dans une zone où éliminer vos ennemis sera une priorité. Une fois cela fait, vous continuerez, comme si de rien n’était, puisque c’est l’essentiel du jeu. Certes, au niveau des décors, il y a des répétitions (faute de place dans la cartouche !), mais si vous avancez lentement, en essayant de faire du stress votre allié de plaisir, le jeu en sera grandement plus plaisant, et ces répétitions seront moins choquantes, moins ennuyeuses.

Un aspect qui aurait aussi été souhaité meilleur, concerne les ennemis, ils sont parfois les même du début à la fin : vous détruisez un ennemi volant dans le premier chapitre, vous devrez détruire le même dans le dernier… De toute évidence, ce n’est pas au même niveau d’IA, puisque les derniers sont plus intelligents, ce n’est pas non plus le seul ennemi, mais quand même ! Les armes, elles, ne sont récupérables qu’en tuant des ennemis, faîtes donc bien attention, car celles-ci sont en quantité limités. L’équipe a par contre été très aimable sur ce point, en nous proposant des points de pauses, où vies, munitions et sauvegardes sont à disposition, cool.(ndlr, le passage suivant n’est pas traduisible).

Autre élément de la réalisation assez sympathique, la vie gagnée en tuant des ennemis, elle reste en place, même si vous partez combattre d’autres ennemis entre temps. Pratique si vous aviez, avant, votre vie au plus haut niveau. Et bien rare, malheureusement. ?

En dehors de ces choses, le jeu propose une petite partie puzzle. Curiosité très sympathique : le Kane's RAD (Remote Access Droid), qui vous permet de vous transformer en un petit robot passe partout. Il vous permettra le passage dans des petits conduits, pour débloquer votre humain. Cet objet est cependant assez fragile, et il inflige trop peu de dégât. Sachant que les deux personnages peuvent être tués pendant ce temps, c’est une faiblesse de l’utiliser trop souvent. Et quand on y est forcé, il vaut mieux cacher son personnage ! Pour les puristes, vous pouvez aussi élaborer des techniques pour affaiblir vos ennemis, mais cela nécessite vraiment beaucoup d’entraînement (ndlr, voilà pourquoi je n’en parlerai pas ici).

Après le RAD, vous pouvez aussi utiliser le LOLA, une sorte de 4x4 équipé d’un laser monter sur tourelle. Si en réalité, ce gros jouet s’avère moins utilisé que le RAD, il est important d’en parler, il est utilisé lors de certains passages de l’aventure, mais surtout lors des courses contre le temps. Le tout est un vrai plaisir à diriger d’ailleurs.

[…] Note de la rédaction : tout cette partie contient un avertissement au bug, mais il est bien entendu évident que ce bug ne figurera pas sur la version européenne, je me permet donc de sauter ce paragraphe […]

Le dernier aspect du jeu dont j’aimerai parler est la présentation de l’histoire : vous serez constamment en communication avec des alliés, et en recherche des minis journaux, qui vous feront évoluer dans l’intrigue de l’histoire, sachant qu’ils ont souvent été rédigés par des ennemis ou des alliés. C’est une chose de découvrir les faits en regardant par soi-même les décors, mais c’en est une autre de els connaître en détail dans ces journaux ! Ce n’est pas original, mais ça brise la monotonie des soft du genre,

Enfin, il y a beaucoup d’autres petits aspects du jeu comme le système d’artefact, de mode jeu libre, etc… que je n’ai pas expliqué, Mais ce ne sont que des petits aspects, pas forcément indispensables…



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IL s’agit ici de conseiller un achat ou pas. Aujourd’hui, j’encourage les amateurs de FPS à prendre Moon, pour son style, pour l’incroyable maîtrise des puissances de la DS, pour l’histoire. Le jeu peut paraître assez répétitif du fait du manque de place sur la cartouche, mais Moon propose une expérience unique, et fraîche. Les armes sont variées, le jeu tourne tout le temps à 60 images par secondes, il y a de bonnes idées, et une belle histoire, ce qui permet de tenir en haleine les joueurs. Ce jeu n’est peut-être pas fait pour y jouer des heures de suites, mais il vous force à y revenir par sa qualité indéniable. Petit anecdote : l’équipe de développement n’est composé que de six personnes en dehors de la musique, c’est une petite équipe, mais un jeu hallucinant !

Graphismes : 9,5 Beau travail, animation hallucinante. Les niveaux sont trop similaires, mais à part ça, tout est parfait.

Sounds : 8,0 La musique éléctro est sympathique, mais ne plaira pas à tout le monde, les bruitages sont très bien faits, et la voix off est excellente.

Gameplay : 8,5 Le contrôle des armes et le moteur physique sont bons. Les puzzles sont bien travaillés.

Finalement : 8,0 Moon s'avère sans surprise un bon jeu, bravo à l'équipe.

Mon avis :
Que dire de plus après ce test IGN ? Vous connaissez maintenant le jeu, même si ce test est un peu fouillis, moi, j’ai aimé, je n’ai pas vu de réels défauts. Si vous cherchez les mêmes sensations que dans Dementium, par contre, ce n’est pas ici, le jeu n’étant franchement pas stressant, et un peu trop vide même par moment. Je vous le conseillerai, je le prendrai à sa sortie en France moi. Quand à vous, il est à essayer, sans aucune hésitation, et pas à télécharger.
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