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Nouvelle rubrique / Les ventes des Rune Factory

Hello les gens ;p

Après une longue pause "estivale" et divers petits ennuis, nous voici de retour pour reprendre en main notre blog qui sombrait depuis pas mal de temps. Et pour commencer nous mettons pour l'instant entre parenthèses nos rubriques pour vous faire désormais quelques analyses de ventes de jeux : nous reviendrons assez souvent donc(hebdomadairement?)sur des jeux récemment sortis dans un des 3 grands marchés mondiaux (Japon, Amérique du Nord, PAL).

Le but de ces articles sera alors de comparer les ventes d'un/de jeux avec son/ses prédécesseurs ou avec d'autres dont il(s) se rapproche(nt) afin de tenter de remettre dans leur contexte les chiffres de ventes (enfin, on essayera de faire de notre mieux mais il se peut que des éléments nous échappent ^^).

D'ailleurs nous nous devons de préciser que tous nos chiffres seront issus du site vgchartz.com et non pas des divers organismes officiels tels que Media Create, NPD... (voire Enterbrain)tout simplement car une fois les jeux sortis du top 20 (voire même 10), il s'avère difficile de trouver des chiffres officiels. Ce choix a également été fait car Vgchartz nous donne également les ventes totales de chaque jeux (avec plus ou moins de précision certes).

Nous espérons que cette rubrique vous plaira et vous invitons à faire part de vos remarques afin d'améliorer nos futures articles.

On commence donc avec les Rune Factory, ces dérivés d'Harvest Moon à la sauce RPG, dont le 3ème épisode (si l'on met de coté l'épisode Frontier sur Wii) vient de sortir le 22 octobre dernier. Les premiers chiffres sont disponibles depuis vendredi dernier (pour ceux de VGchartz) et nous permettent d'évaluer ce départ pour Rune Factory 3:


(c'est par ici pour un rappel des ventes japonaises du 19 au 25 octobre 2009)


On se trouve donc avec un départ moyen : moins élevé que celui de Rune Factory 2 d'un tiers quasiment, pour se retrouver finalement avec un score équivalent à celui du premier opus. Difficile de savoir comment cela va se passer sur le long terme je pense, même si c'est mal parti pour atteindre les 160 000 du second opus même si ce n'est pas catastrophique.



En même temps, c'est pas comme si les Harvest Moon brillaient par leur score en première semaine... On verra bien s'il tient sur la longueur ou non (phrase bateau mais tellement vrai!).

Le prochain article sera consacré aux ventes de Bayonnetta (PS3/360) et GTA : Chinatown Wars (DS)(ce dernier étant sorti la semaine dernière) au Japon. N'hésitez pas à faire part de vos commentaires(au niveau de l'écriture, du ton, des graphiques, de la rubrique, de la présentation...).

Mile avec la participation de Noir
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Un jeu gamer, c'est ça ?



Cela fait un peu plus d'un mois que ni Mile ni Noir n'avaient posté d'articles. La faute aux vacances, aux emplois du temps chargé et aux épreuves qui s'annoncent. Néanmoins, ils sont de retour avec pleins d'idées d'articles. Il ne leur reste plus qu'à ... les rédiger (soit dit en passant, le plus dur est de commencer).
Mile et Noir vous proposent aujourd'hui un article à prendre au second degré concernant les jeux "hardcore gamer". Il leur a paru intéressant de vous faire partager leur découverte (l'article original est en anglais, disponible sur old-wizard.com). Veuillez les excusez par avance si le résultat français ne vous sied point, mais Mile et Noir ont fait de leur mieux.
Voici donc un top recensant les meilleurs façons de déterminer si un jeu est hardcore ou non :-) .

10. Être soit un FPS, soit un jeu de tir à la 3ème personne.

C’est évidemment ce qui caractérise le plus les jeux hardcore. Si vous ne pouvez pas faire quelque chose dans la réalité, pourquoi ne pas le faire sur la télé de vos parents ? Les jeux de tir vous permettent de vous imaginez en train de vous balader dans la rue et de tuer tous ceux que vous voyez. Ce qui est souvent le rêve d’un hardcore gamer. Et quoi de mieux que de pouvoir incarner un valeureux soldat, un intrépide voleur de voiture, un combattant exemplaire, ou encore un autre type de personne courageuse que vous n’êtes pas dans la vraie vie. Vous n’incarnez jamais dans ces jeux hardcore gamer un obèse qui s’essouffle dès qu’il s’agit de courir, qui a des problèmes d’acné, qui a besoin de vêtements autres que ses T-shirts avec des phrases à la c*n, qui habite dans le sous-sol de ses parents ou encore qui n’a jamais « touché » une fille de sa vie. Non, un jeu hardcore se doit de proposer tout ce qu’un hardcore gamer veut être, tout ce qui le fait pleurer la nuit une fois seul. Ça tombe bien, c’est ce à quoi répondent tout à fait les FPS et autres jeux de tir à la 3ème personne. C’est dans ces jeux qu’ils peuvent réaliser leurs rêves tout en en étant récompensé mais aussi libérer toute la violence qu’ils ont refoulée.

9. Être classé au moins 16+*.

Les jeux hardcore gamer sont aussi toujours notée au moins 16+. Le hardcore gamer aime seulement les jeux vidéo excessivement violents auxquels les casual gamer, comme les personnes âgées ou les jeunes enfants, ne jouent pas ou ne sont pas autorisées à y jouer. Ils ont également l’impression d’être plus « hardcore » parce qu’ils jouent couramment à des jeux de plus en plus gores. Des jeux comme Killzone 2 voient tout leur marketing basé sur leur violence omniprésente pour attirer les hardcore gamer parce qu’ils leur permettent d’extérioriser leurs frustrations en zigouillant des gens dans le monde virtuel des jeux vidéo.

8. Décourager l’innovation.

S’il y a bien une chose qui fait défaut aux jeux hardcore, c’est l’originalité. En effet, pourquoi s’embêter ? Le meilleur moyen d’avoir de bonnes ventes consiste à améliorer les graphismes, modifier légèrement le scénario, en le faisant se dérouler durant la seconde guerre mondiale, ou, si ça a été déjà fait, le faire dans un futur où les robots ont pris le pouvoir (ou du moins font de leur mieux pour), ou si c’était déjà dans le futur, le faire dans des temps reculés, où vous devez combattre des sortes de géants. Ensuite ajoutez quelques nouvelles armes, changez la couleur des armures, ou débrouillez-vous pour que le personnage principal se rase la tête. Bien sûr, s’il était déjà rasé, faites lui pousser des cheveux. Maintenant, si ce personnage était dans une équipe dans le premier jeu, faites en sorte que dans le second il ait à retrouver ses coéquipiers qui ont été capturés. Bien sûr, si vous aviez un tank dans le premier jeu vous aurez un super tank dans le second. Par contre, si le jeu était dans le futur, sa suite se doit d’être dans le passé. Enfin, si le jeu est le premier d’une nouvelle licence, prenez toutes les bonnes choses des derniers bons jeux parus, ajoutez les ensemble, retranchez-y l’année de sa sortie et ajoutez-y autant d’armes à feu ou d’épées et terminez en vous assurant que le jeu n’est pas trop différent des autres afin de ne pas troubler les joueurs à qui vous essayez de vendre le jeu.

7. Avoir dépensé au moins 1 000 000 $ pour le marketing.

Des millions de dollars sont utilisés dans le marketing, afin de créer une hype autour du jeu, dans des proportions monstrueuses. Les développeurs d’un jeu achètent des espaces publicitaires sur des sites tels IGN ou Gamespot, qui leur décerneront ensuite la note de « 5 stars» ou « 10/10 » et les qualifieront même de « Game of the Year ». Le but de tout cela est que le hardcore gamer, facilement impressionnable, ressente le besoin d’avoir absolument ce jeux et de le terminer avant tout ses amis virtuels. Ainsi il sera déjà un boss sur ce jeu avant même que ses amis l’aie acheté, et quand ils joueront les uns contre les autres online il parviendra facilement à les dominer. Le hardcore gamer aura alors l’impression d’avoir accompli quelque chose d’important dans sa misérable existence.

6. Avoir la santé qui s’auto-régénère aussitôt que vous vous mettez à l’abri.

Nous aimons tous être meilleurs que les autres pour certaines choses. Et la première chose auquel un hardcore gamer pense est qu’il est meilleur que les autres aux jeux vidéo. Mais les hardcore gamer sont-ils vraiment meilleurs que les gens « normaux » ou passent-ils juste plus de temps à jouer ? Les hardcore gamer aiment que leurs jeux soient longs et compliqués mais pas forcément durs. Ils aiment les jeux qui vont les occuper pendant 20 heures ou plus alors que les casual gamer qui vivent en dehors des jeux vidéo ne pourront pas les terminer. Et comme le hardcore gamer veut terminer ses jeux lui-même, ils ne doivent pas être trop dur, juste suffisamment longs. Ne nous voilons pas la face, mourir n’est pas marrant (!). Ces jeux doivent être suffisamment faciles afin que les hardcore gamer puissent gagner et ainsi avoir une meilleure opinion d’eux mêmes. Un truc pour faire des jeux vidéo plus faciles est de créer une barre de vie qui se régénère automatiquement dès que vous vous abritez. Cela rend le jeu plus long et permet en même temps de le rendre plus facile. Dans Contra vous n’avez pas de barre de vie : un tir et vous êtes mort. C’est pourquoi les hardcore gamer préfèrent les jeux modernes que les grands classiques.

5. Avoir un mode multi-joueur où des jeunes de 12 ans peuvent s’exprimer en l33t speak.

Tous les jeux hardcore ont un mode multi-joueurs online. C’est là où les jeux hardcore offrent le plus d’interaction entre les gens. C’est pour faire face à leur isolement social qu’ils ont créé leur propre langage. Par une des réactions les plus infantiles qu’un groupe pourrait avoir, ils sont allés plus loin en créant un langage inutile et barbant. Le leet speak permet aux groupes de « hardcore gamer » de discuter de leur pire ennemi : le « casual gamer », sans que celui-ci ne comprenne quoi que ce soit à ce qu’ils disent. C’est important, parce que le casual gamer est beaucoup mieux foutu physiquement et pourrais facilement sortir le hadcore gamer de son « calvaire ». Le leet speak permet aux hardcore gamer de se sentir vraiment comme quelqu’un de spécial. A chaque seconde leur revient à l’esprit qu’ils ne font que gaspiller leur vie, mais heureusement, il y a une chose qu’ils peuvent faire qu’une personne banale ne peut pas… Je veux dire par là, qui pourrais déchiffrer du leet speak, qui pourrait remplacer des voyelles par des chiffres si ce ne sont les hardcore gamer ?

4. S’adresser aux jeunes de 12 ans (beaucoup d’armes à feu et de « conneries » ).

L’âge moyen du hardcore gamer est de 35 ans, nous avons fait d’importantes recherches et c’est le nombre que nos chers singes nous ont rapporté sans cesse. Le type de logement du hardcore gamer est dans 33% des cas le sous-sol du logement de ses parents, le grenier pour 33 autres % et enfin au-dessus du garage dans les 33% restants. Encore une fois, nos chers reporters nous ont fourni ces nombres rapidement et sans relever une quelconque variation. Ce qui est le plus intéressant est que notre équipe de recherche psychologique à trouver que le niveau moyen de maturité d’un hardcore gamer était comparable à celui d’un enfant de 12 ans. Donc, un jeu qui s’adresse aux hardcore gamer doit cibler les joueurs de 12 ans. Et ce à quoi pensent surtout les jeunes de 12 ans, c’est faire des « conneries ». Par conséquent, une tactique marketing facile est de placer un maximum de femmes en tenues légères dans les jeux hardcore afin d’attirer autant de hardcore gamer que possible. Nous trouvons intéressant que malgré que les hardcore gamer critiquent la stupidité d’une personne lambda, le hardcore gamer moyen est généralement attiré par les mêmes choses. Les mêmes principes humains de base les motivent, et pourtant ils sont si socialement attardé qu’ils sont incapable d’agir. D’où des jeux vidéo basés sur la violence et le chaos. Le jeune de 12 ans aime courir autour des bâtiments fortifiés, frapper ce qui lui tombe sous la main, et se fourrer dans les emme*des. Le hardcore gamer moyen est en réalité un enfant de 12 ans piégé dans un corps de géant et poisseux avec un minimum de lien social et beaucoup de jeux vidéo.

3. Ne pas avoir d’autres couleurs que marron, vert, gris, rouge et noir.

Les jeux « hardcore » évoquent toujours une esthétique « terne », que ce soit dans le thème ou l’apparence. Vous ne savez même pas où vous allez dans certains niveaux, mais finalement vous êtes réconfortés par le fait que vous avez une puissante arme à feu avec vous s’il faut tirer au hasard dans le noir sur un ennemi que vous voyez approximativement. Avoir un mode sur votre téléviseur qui éclaircit l’écran vous sera alors d’une précieuse aide. Avoir des lunettes quand vous jouez à ces jeux sera également un atout. Si vous n’avez aucune de ces 2 choses, attendez-vous à vous déplacer dans ces jeux comme si vous étiez une personne aveugle. Tirer profit de la peur de l’obscurité n’avait jamais été aussi facile que maintenant pour les développeurs grâce aux jeux hardcore.

2. Doit avoir 80 % du budget consacré aux graphismes, et le reste pour le marketing.

Plus les graphismes sont réalistes et sombres dans un jeu, plus cela interpellera le hardcore gamer. Pour ce dernier, les jeux disposant d’un style graphique trop cartoon (comme la plupart des jeux Nintendo Wii par exemple) attireront la foule de casual gamers et donc peu lui importera si le jeu est fun ou non à jouer, un vrai hardcore gamer ne reconnaîtra jamais prendre plaisir à y jouer. Lorsque les développeurs comme Valve ou Guerilla games développent un jeu pour hardcore gamer, ils vont dépenser autant d’argent que possible afin de rendre leur jeu aussi réaliste que possible d’un point de vue graphique, tout en faisant le minimum d’effort pour le gameplay. Comme nous l’avons vu plus tôt, le reste du budget de ces jeux sert à financer un marketing (trop) conséquent afin de créer une hype énorme autour du jeu, de façon à ce que le harcore gamer croit que s’il n’achète pas le jeu et ne le finit pas avant ses amis, il perdra tout le respect de la communauté hardcore gaming qu’il avait pu acquérir.

1. Tous ceux qui sont sur N*G ** adorent ce jeu.

Si vous avez besoin de connaître la situation du monde du jeu vidéo, où allez-vous ? Sur N*G ! Vous pouvez en effet y parler de Killzone 2, Killzone 2 ou encore de l’amélioration indéniable apportée par Killzone 2 par rapport à Killzone 1. C’est le site où tout le monde va pour affirmer sa différence en étant toujours d’accord avec les autres sur les principaux sujets vidéoludiques. Vous n’arrivez pas à avoir de petite amie, vous vivez encore chez vos parents, vous sentez mauvais, ou avez de l’acné ? Allez donc sur N*G. Bien sur qu’il y aura des arguments différents quant au niveau « hardcore » mais si un jeu est reconnu comme étant bon par la communauté du site alors vous savez que c’est un jeu hardcore. Comment un ensemble de personnes qui clament que les différences entre les gens sont primordiales, que les gens « ordinaires » sont tous des clones les uns des autres, que les filles aiment seulement les mêmes idiots, peuvent-ils se démarquer ? Et bien ils vont sur N*G et s’accordent sur tout. Et que se passe-t-il à présent lorsque quelqu’un de différent arrive ? Et bien ils le fuient ! Ils ne le laisse pas s’assoir à leur table à midi et le traite de tous les noms. En fait, ils leur font ce que toutes les brutes leur font au lycée. Comme vous le voyez, le hardcore gamer est juste superficiel, sa peau est grasse et très pâle. Le hardcore gamer veut seulement trouver sa place, c’est pour ça il aime être d’accord avec tous les autres.

*Mature dans le texte original.
** Site internet anglais au nom censuré par nos soins. :-) Remplacez-le par le site de votre choix.

Alors, combien de personnes ont eu le courage ou l'envie de lire de la première à la dernière ligne? :D

Milenoir

Ecoutez donc !

Bien que les articles musicaux ne semblent pas avoir la côte (n'est-ce-que pas ... Mile), je ne peux m'empêcher de poster quelques chansons coups de cœur. Tant pis si je fais un bide pire que mon malheureux acolyte, le principal n'est-il pas de s'exprimer ? :D



Les fatals picards - mon père était tellement de gauche




Imogen heap - Hide and seek




Ladyhawke - My delirium




Amy macdonald - A wish for something more




The submarines - You, me and the bourgeoisie


Noir

Plus vite que la lumière !



Comme promis, suite à l’annonce plus ou moins « mystérieuse » de Nintendo dans Famitsu, j'ai décidé de me pencher sur F-Zero GX, l’opus GameCube de la célèbre franchise de jeu de course futuriste de Nintendo.
second épisode développé en 3D (après F-Zero X sur N64), et premier à être développé en coopération avec l’ancien rival de Nintendo, Sega (si l’on excepte la version sortie en arcade), F-Zero GX fait forte impression lors de sa présentation en octobre 2002. Déjà, voir les 2 anciens ennemis travailler sur un même jeu semble irréaliste. Tout comme les graphismes et le tracé des circuits (mais tout cela dans le bon sens).



En effet, il y a « seulement » 5 ans et demi, le 31 octobre 2003, sort dans nos contrées F-Zero GX. Et comme de nombreux titres de l’époque de l’éditeur nippon, le jeu est magnifique (pour cette année là ). Les différents décors sont sublimes (bien que pas des plus détaillés), que les circuits soient au dessus de la mer, dans les bois, ou dans des univers plus « science fiction ».



D’ailleurs, parlons en des circuits ! Alors que les premiers s’avèrent assez simplets dans leur tracé, on arrive vite à des circuits assez tortueux et déments : des angles droits, des absences de rembardes, des circuits en forme de « tube » (que l’on parcourra soit en étant « à l’intérieur », soit « à l’extérieur ») et plein d’autres folies (que je n’avais pu débloquer :sad2 : )



Et oui, je n’avais pas pu débloquer toutes les coupes (ou alors j’avais eu beaucoup de mal pour les dernières, je ne me souviens plus) ! Cela n’est pas dû au fait que je sois nul en jeux vidéo (quoique pour les jeux de course c’est vrai que je ne suis pas un boss quand même ^^) –contrairement à Noir- mais plutôt à la difficulté plus que surprenante pour un jeu de cette époque (on n’est pas sur nes ou arcade), même au niveau de difficulté le plus faible. Débloquer tous les personnages, circuits et autres bonus est un véritables challenge que mêmes les plus doués d’entre vous auront du mal à relever! Car remporter les différents championnats (bonne chance pour les derniers ^^) ne sera pas suffisant, il vous faudra terminer le mode histoire (qui suit les aventures du Captain falcon) dans son niveau de difficulté maximal (essayez déjà en normal…).



Par conséquent, malgré le nombre important de personnages différents (une trentaine ayant chacun leur propre véhicule aux caractéristiques propres), il est fort peu probable que vous ayez la chance de tous les essayer et de les customiser. Eh oui, parmi ses nombreux modes (Course contre la montre, Grand prix, Histoire, Entrainement...), F-Zero vous permet aussi d’améliorer plus ou moins sensiblement les caractéristiques de vos véhicules, mais cela s’avère difficile, étant encore une fois plombé par le niveau de difficulté du jeu.



Vous l’aurez compris, F-Zero est un jeu de course que j’attendais impatiemment, et il tient toutes ses promesses le bougre ! Mais sa difficulté en a rebuté plus d’un –dont moi- et j’avoue avoir été dû coup relativement déçu de ne pouvoir avoir accès à l’ensemble du contenu du jeu (en particulier tous les circuits ou même ne serais-ce qu’arriver dans les premiers du classement pour certains). Surtout que c’est la première fois que je lâche un jeu pour une telle raison (surtout un jeu GameCube XD). C’est donc avec un goût amer dans la bouche qu’on éteint sa console…et le vend, mais si vous êtes un as du volant et que les courses futuristes vous tentent alors ce jeu est pour vous. Quant aux autres joueurs, il faudra y réfléchir à 2 fois avant de l’acheter (quoique vu son prix maintenant encore ça va).

Mile


PS : Au passage, l’article sur un F-Zero Wii était bien sûr un poisson d’avril à l’heure japonaise ^^ Désolé pour les faux espoirs que cela a suscité chez certains d’entre vous. Merci à Duncan pour son très beau montage pour l’occasion :-) .

PS 2: Ayant actuellement des problèmes avec de connexion avec la plupart des sites de steaming, je n'ai pas pu visionner moi-même le contenu de la vidéo présente dans cette article. Désolé par avance si le contenu de cette vidéo n'est pas de très bon choix.

PS 3 par Noir : la vidéo est bel et bien une vidéo de ... gameplay. Tout va bien donc. :p
Par contre, Noir n'est absolument pas porté vers les jeux de courses (à part Mario kart) ! :grrr:

Les identités de Milenoir

Aujourd'hui, Milenoir à décidé qu'il était temps de vous dévoiler l'identité des 2 membres qui le constituent :-)
Comme certains l'ont deviné, Mile n'est autre que:
...
...
Duncan

Quant à Noir, personne n'avait deviné: il s'agit de Tomtom ! (les membres de GM le connaissent bien).

Poisson d'avril ^^'

A bientôt sur Milenoir's secrets.
Milenoir

[HS]Nintendo "annonce"… !!!!



Exceptionnellement, Milenoir se permet de de poster une news sur son blog afin de vous faire partager sa joie.
Famitsu sortant chez les nippons le mercredi, il semblerait que de petits malins ait réussi à y mettre la main dessus quelques heures avant l’ouverture de leur marchand de journaux préférés.

Et voici un scan d’une page :


Il semblerait qu’un nouvel épisode Wii soit en développement ! Et après sa collaboration avec Sega pour l’épisode GC, il semblerait (d’après cette mystérieuse pub/annonce/je ne sais comment dire :s) que Nintendo s’allie avec un autre pilier de l’arcade pour ce nouvel épisode : Namco Bandaï. Cela ne serait pas étonnant sachant que c’est ce dernier qui avait développé le dernier Starfox de la Gamecube ainsi que deux Mario Kart en borne d’arcade.

Enfin, il semblerait que le Wi-Fi Connection soit de la partie, espérons qu’ils ne s’agissent pas d’un simple classement mondial mais de véritables courses online.

Pour fêter cette « presqu’annonce », Mile va vous concocter un avis sur F-Zero GX, disponible dès demain soir.

Plus d'informations sur tout cela dans les jours à venir sûrement ;)

Milenoir

Et vous, quelle serait votre derniere volonté ?



Mile doit être content d'en avoir terminé avec ses partiels, il va pouvoir se mettre à faire plein d'articles pour notre blog (quoi que ...). Je viens pour ma part d'en finir avec mes TPE, me revoilà donc avec une nouvelle idée de lecture : Mort d'un superhéros d'Anthony Mc Carten.



Voici le résumé figurant sur la quatrième de couverture :

Bienvenue dans le monde de Donald Delpe, quatorze ans, la peau sur les os, des épaules en portemanteau. L'air bizarre. Pas de sourcils, pas de poils nulle part. Une tronche de patate pelée. Il enfile les rues du nord de Londres dans ses baskets taille 45, le bonnet tiré bas sur le front, le casque sur les oreilles, son Ipod à fond. Aucun succès avec les filles. Et pour couronner le tout, des parents qui l'énervent. Mais pire que tout ça : il a un cancer, et ça ne s'arrange pas. Le monde serait vraiment atroce s'il n'y avait ... MIRACLE MAN, l'indomptable, l'invincible superhéros inventé par Donald et dont les aventures remplissent ses carnets - des aventures qui le mettent aux prises avec son ennemi de toujours, LE GANT, un docteur fou.
Le temps est compté ... Donald ne sait pas combien il lui reste à vivre, mais ce qu'il sait, c'est qu'il ne veut pas mourir vierge. C'est son rêve. Miracle Man a Rachel, même le Gant a une infirmière hyper sexy. Mais Donald ? C'est un temps pour les superhéros, qui ont l'habitude de faire leur apparition au moment ou on les attend le moins. Mais à l'inverse des superhéros de BD avec leurs costumes incroyables recouverts d'étranges symboles, les héros, dans la vraie vie, ont l'air tout à fait normaux. La chance de Donald, c'est d'être aidé par plein de superhéros humains. Mais est-ce que cela suffira à le sauver ?




Plutôt accrocheur, non ? Le moins que l'on puisse dire, c'est que le décor est planté ! J'ai lu ce livre il y a quelque temps, il est donc fort probable que je ne me souvienne pas de tout. Mais ce n'est pas un problème : je ferais court, voilà tout. :p
Mort d'un superhéros raconte donc le quotidien, les doutes, les souffrances, les petites (voir grande) joie(s) et les errements de Donald, jeune adolescent atteint d'un cancer. Ce dernier se sait condamné et vit renfermé sur lui-même. Ses parents ne s'entendent plus, se disputent souvent. Leur couple est à bout de souffle, éprouvé par l'épreuve qu'est leur cancer de leur plus jeune fils. Leur fils ainé, dans un même temps ne pense qu'à une chose : les filles (EDIT de Mile: comme certains membres de NM :xx ). Manque de chose, son jeune frère aussi. Et ce dernier n'est pas aidé par son look négligé et la chimiothérapie qu'il suit ...

L'auteur va s'attacher à nous raconter les relations tumultueuses de Donald avec le monde composé de ses parents, le docteur Adrian King (son psychologue) et [Censuré]. Lisez donc le livre ! :D
Pour ma part, j'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire. Je suppose que cela tient à l'une des particularités du livre, qui, outre son sujet ... original n'en possède pas moins une narration ... originale elle aussi. L'auteur a en effet voulu opter pour une présentation "pièce de théâtre". On retrouve donc (entre autre) les didascalies. Plutôt déroutant ! Une autre spécificité tient aux nombreuses scènes relatant les aventures de MIRACLE MAN. A vrai dire, je n'ai pas toujours compris et apprécié ces "interludes".

Néanmoins, je ne peux que vous conseiller ce livre qui m' a peu à peu aspiré et bercé au gré des péripéties que doit affronter Donald, adolescent courageux entouré de héros humains. Si vous butez au commencement, ne désespérez pas. La fin en vaut la chandelle ! :-)

Noir

L'Epée de Vérité



Les partiels terminés, je vais enfin pouvoir vous faire découvrir ce qui est, selon moi, une grande série de la fantaisy américaine. Il s’agit de l’Epée de vérité. Je vais donc tenter de vous présenter le mieux possible dans cet article le premier tome de cette saga (11 livres dont 8 parus en France –leur couverture illustre l’article-), les 3 autres sont en cours de traduction) : La première Leçon du Sorcier.



Pour commencer voici le résumé :
Jusqu'à ce que Richard Cypher sauve cette belle inconnue des griffes de ses poursuivants, il vivait paisiblement dans la forêt. Elle ne consent à lui dire que son nom : Kahlan. Mais lui sait déjà, au premier regard, qu'il ne pourra plus la quitter. Car désormais, le danger rôde en Hartland. Des créatures monstrueuses suivent les pas de l'étrangère. Seul Zedd, son ami le vieil ermite, peut lui venir en aide... en bouleversant son destin. Richard devra porter l'Épée de Vérité et s'opposer aux forces de Darken Rahl, le mage dictateur. Ainsi commence une extraordinaire quête à travers les ténèbres. Au nom de l'amour. A n'importe quel prix.



Comme vous pouvez le voir, l’histoire a l’air très basique à première vue. Un héros qui s’ignore au début se retrouve au centre de conflits qui le dépassent. Un « grand méchant » n’a de désirs que de régner sur le monde…



Et pourtant, derrière ce scénario simpliste à première vue se cache une histoire travaillée. Elle est écrite de telle manière que, même lors des passages « mous » en termes d’action, on ne s’ennuie pas. Peut-être cela est-il dû à la découverte des différentes nations formant ce monde, qui ont chacune leur propre régime politique, intimement liée à leur Passé, Passé qui ne se divulgue que peu à peu à travers chaque tome. Peut-être cela s’explique-t-il par le fait que l’on ne suit pas les aventures d’un héros accompagné de ces compagnons de voyage, mais bel et bien de héros et héroïnes qui, que ce soit contre ou non leur gré, devront agir séparément pour mieux se retrouver plus tard (cela n’est cependant pas très visible lors du premier tome pourtant c’est dès celui là que les rouages se mettent en place). Mais je pense surtout que ce plaisir de lire ces aventures est dû au fait que rapidement on fait preuve de compassion pour un/des personnages, qui doivent chacun faire face à leurs problèmes. De la petite fille esclave d’une princesse capricieuse au vieux sorcier devant faire face à son devoir en passant par la jeune femme lourde de secrets et bien d’autres, il est difficile de ne pas s’attacher à un personnage au moins.



Et cela, l’auteur en est bien conscient, conscient de la vie insufflé à ses personnages et de nos sentiments envers eux. On s’inquiète, on pleure, on aime, on s’étonne avec eux. Et on souffre avec eux. Car si l’auteur à des pulsions cachées, ce sont belles et biens des pulsions plus qu’à la limite du sadomasochisme (je ne vous dis pas ma surprise quand je suis arrivé dans certains passages à ne pas mettre entre toutes les mains (surtout dans de la fantaisy), alors que rien sur la 4ème de couverture n’indique qu’on va tomber sur de telles choses…) ! Sadomasochisme non pas dans un contexte sexuel (quoique…) mais juste dans l’idée qu’on a vraiment l’impression que l’auteur a pris plaisir à faire autant souffrir certains de ces personnages (en particulier dans ce premier tome), ce qui n’est pas sans conséquences (sur lesdits personnages et même sur les lecteurs les plus sensibles XD).



Enfin, bien que le « grand méchant », ce fameux Darken Rahl, soit assez classique, ne craignez rien pour les prochains tomes : les menaces sont plus originales (mais pas forcément innovantes).



A noter cependant la trop grande préoccupation de l’auteur de vouloir faire dans la surenchère en ce qui concerne chaque nouvelle menace. Ça marche une fois, voire 2, mais cela s’avère un peu lassant au bout d’un moment. Mais cela reste toutefois un « détail » (c’est la façon de présenter la « menace » qui est lourdingue au bout d’un moment)



En bonus, le premier chapitre de « La première leçon du Sorcier » est disponible ICI

Mile



La couverture du prologue (à ne pas lire avant le premier tome de préférence).


(Vous pouvez retrouvez l’ensemble des couvertures dans le répertoire de Milenoir, ICI )

L'Annonce de Milenoir

On kiffe Duncan, et vous?!


Non, ne vous inquiétez pas, Milenoir's secrets n'a pas encore été piraté. Comme vous pouvez désormais le voir, la page d'accueil du blog a été légèrement modifiée. La bannière portant le nom du blog, fruit du travail acharné de Duncan (on a dû le fouetter!), a été légèrement retouchée (héhé personne avait vu la faute d'orthographe ouf).

De plus, nos articles seront désormais ornés d'un en-tête made in Duncan (encore une fois ^^) au nom de la rubrique associé à l'article.

Et pour fêter ça, nous (mile, noir et duncan) vous offrons un petit bonus:



Encore merci à Duncan pour ses créations.

Si vous souhaiter découvrir son travail, c'est >>>ici<<<

Milenoir

La vague déferlera-t-elle ?



Le moins que je puisse dire, c'est que j'ai un emploi du temps plutôt chargé en ce moment. Ce qui ne m'a pas empêché d'aller au cinéma en fin de semaine dernière (oui, il faut bien décompresser :p). Le titre de l'article vous a intrigué ? Eh bien restez, vous allez en découvrir plus dans les quelques lignes (ou paragraphes ...) qui vont suivre.

J'ai en effet été voir La vague, de son titre originale Die Welle, un film de Dennis Gansel.

Synopsis :

En Allemagne, aujourd'hui. Dans le cadre d'un atelier, un professeur de lycée propose à ses élèves une expérience visant à leur expliquer le fonctionnement d'un régime totalitaire. Commence alors un jeu de rôle grandeur nature, dont les conséquences vont s'avérer tragiques.

Voici l'affiche du film, suivie de la bande annonce pour vous en faire une petite idée.





Je dois avouer que j'ai été trainé par ma mère pour voir ce film ... "Un film en allemand ne peut pas te faire de mal !" Eh bien, je la remercie. :p
A l'image de films récents comme Good bye Lenin ou La chute (qui méritent d'être vus, soit dit en passant) le cinéma allemand s'est penché sur son histoire : ici le XXème siècle (une partie bien entendu). Celui-ci ne fait pas exception. Il faut savoir que La vague est tiré d'un roman (faisant partie du programme scolaire allemand il me semble) lui-même tiré de faits réels :une expérience de Ron Jones effectuée aux Etats-Unis.

On pourrait résumer l'idée du film à ce questionnement : l'histoire n'est-elle qu'un éternel recommencement ?
Dès les premières minutes, le spectateur est immergé et plongé dans l'ambiance de La vague. Le film, malgré le fait qu'il mette en scène des adolescents (plus ou moins rebelle ^^) avec quelques problèmes de cœur n'oublie pas son sujet principal : la naissance d'un régime totalitaire.
La découpe scénaristique se fait sous forme de jour, le projet durant une semaine. On suit l'évolution de ce projet grandeur nature, avec la mise en place de tout ce qui caractérise une autocratie. Les différents élèves qui représentent un échantillon de la population vont se révéler sous leur vrai jour et mettre de côté leur individualisme pour former une communauté.
Tout développer serait un peu trop long. Je ne peux que vous recommander d'aller le voir (de préférence en VO sous-titrée). Vous ne serez pas déçus de cette expérience ! :-)

Noir
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