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Génie, je veux un nouvel article!



Après plus d’une semaine d’inactivité due à des semaines chargées (que ce soit pour moi ou Noir =/), nous revoilà !
Après Golden Sun, j’ai décidé de m’attaquer à un jeu plus vieux et moins connu (malgré qu’il ait eu son petit moment de gloire lors de sa sortie). Les plus jeunes membres de NM n’ont surement jamais connu de bonnes adaptations de films/dessins animés en jeux vidéo (hormis 2 ou 3 exceptions, et encore). Fut pourtant une époque où cela n’était pas forcément le cas et où les licences de Disney (exemple pris « au hasard » ) étaient plus travaillées. Prenons, encore une fois au « hasard », Aladdin sur SNES, développé et édité par Capcom en 1993 (1994 pour l’Europe), à ne pas confondre avec la version Megadrive.



Génie, fais moi une bonne adaptation !

C’est en 1993 que Disney nous sort son dessin animé tiré des contes des milles et une nuit : Aladdin. Comme à l’accoutumée, une adaptation en jeu vidéo est prévue. C’est Capcom qui s’en occupera et autant le dire tout de suite : le célèbre développeur/éditeur japonais est à la hauteur de ce qu’on peut attendre de lui (ou presque…). En effet, l’univers du film est très bien retranscrit dans ce jeu de plates-formes. Tout d’abord il faut noter la diversité des environnements traversés : vous commencer dans les rues d’Agrabah pour au final combattre le terrible vizir Jafar qui convoite le pouvoir et désire se marier avec la belle Jasmine (sentiment qui n’est pas réciproque ^^). Mais pour en arriver là, il vous faudra traverser les quelques niveaux (une petite dizaine) retranscrivant l’histoire du film : la caverne où se trouve la fameuse lampe magique, un monde provenant de l’imagination du Génie ou encore le ciel étoilé d’Agrabah. Le tout est accompagné de musiques inédites fort sympathiques mais s’inscrivant très bien dans l’univers du jeu ainsi que de scènes fixes nous contant l’histoire entre les différents niveaux.



Génie, n’oublie pas le gameplay !

Un beau jeu c’est bien, mais il faut que la gameplay suive. Loin d’être catastrophique, il s’avère être une petite surprise même (en se replaçant dans le contexte du joueur lambda qui découvre le jeu en 1993). Bien que la plupart des actions soient banales (je cours, saute sur l’ennemi pour le tuer…) on y trouve quelques bonnes idées comme un passage en tapis volant (pas si facile que ça !) ou encore la possibilité de s’accrocher aux rebords des plates formes lorsque vous ne sautez pas suffisamment loin. Des idées intéressantes mais pas assez pour renouveler le genre. Reste que le tout s’enchaîne toutefois fort bien et que traverser les niveaux s’avère être un réel plaisir pour tous ceux qui ont aimé le film de Disney.



Génie, je veux… euh je ne sais plus !

C’était bien parti pour être un grand Jeu de plate-forme (notez le « J » majuscule ^^). Mais voilà, ce n’est pas le cas. La faute à une difficulté inexistante (encore plus en la comparant à celle des autres jeux de l’époque) et à jeu relativement court (seulement 2 heures pour un joueur NON confirmé ). On regrette également l’absence de boss (hormis à la fin du jeu), qui aurait pu « pimenter » l’aventure. Aladdin restera cependant un grand jeu « Disney » avec son atmosphère qui respecte très bien le dessin animé sans rester « passif », je veux dire par là que les développeurs n’ont pas voulu faire une adaptation sans âme du film, loin de là. Le plaisir de jouer est bien là et les jeunes joueurs (le public principal visé ) se feront un plaisir d’y rejouer. Bref, Aladdin s’avère être une agréable surprise, si ce n’est sa durée de vie faiblarde.



Les 6 premières minutes du jeu


Mile

Et la prochaine fois ^^ :
[lien=http://www.nintendo-master.com/galerie/vis.php?
us=3e64c3fb8724a9b87be57c251fbe71d2.jpg][/lien]

Lire c'est bien, écouter c'est mieux!



On change aujourd'hui encore de domaine pour s'attarder sur de la musique. Plus précisément sur le groupe de Jpop (mais pas que) AAA (qui n'a rien à voir avec des piles...).



Mais pourquoi "AAA"? Il s'agit de l'abréviation de "Attack All Around", (me demandez pas pourquoi ils ont choisi ce "nom" XD). Le groupe, (fondé au milieu de l'année 2005) est constitué de 7 membres ( 8 auparavant mais une jolie demoiselle l'a quittée pour des problèmes de santé). Je vais vous en faire une très rapide présentation puis nous passerons 3 de leurs chansons.



Alors, de gauche à droite, nous avons:
- Shinjiro Atae, un des membres les moins mis en avant, ce qui le rend assez énigmatique ;
- Naoya Urata, le leader officiel du groupe;
- Chiaki Ito, une fille assez discrète par le fait qu'elle chante quasiment que lors des refrains;
- Takahiro Nishijima (aka/alias Nissy), le leader officieux du groupe: c'est celui que vous entendrez et verrez le plus souvent dans la plupart des clips;
- Misako Uno, la fille la plus mise en avant, si vous entendez une voix féminine il y a de grandes chances que ce soit elle ;)
- Mitsuhiro Hidaka, si vous entendez des passages s'apparatant à du rap, vous êtes sûr que c'est lui qui chante;
- et en dessous: Shuta Sueyoshi, le leader acrobatique du groupe.

Je vous laisse maintenant découvrir un de leur single sorti l'année dernière, en commençant par Crash (chanté et dansé uniquement par les membres "masculins" du groupe):

Crash



Si le refrain de Crash ne vous est pas inconnu, c'est normal, c'est en effet la musique de fond des trailers de World Destruction, le RPG de Sega sorti sur Nintendo DS l'année dernière au Japon (renommée Sands of Destruction pour sa localisation aux USA en fin de cette année pour l'anecdote).

Music


Une musique bien gai je trouve ^^

Zero


(Oui ce n'est plus aussi joyeux ^^). A noter que Zero fut la chanson de l'opening de l'animé tiré de World Destruction.

Voilà, c'est tout pour aujourd'hui j'espère que cela vous aura plut.


Mile


PS pour dark_luffy => je n'ai rien à voir avec lucy-nyu (si tu lis bien un de mes articles tu verra que tu as tord ;) ), je suis un mec, un vrai :p

PS²: Pour le prochain article, je peux juste vous dire qu'il sera sur un jeu datant de 15 ans environ (j'hésite encore entre quelques jeux ^^).

EDIT de Noir : s'il se trouve parmi vous des gens à qui cette musique ne sied point, sachez que je vous approuve ! *Court taper Mile pour cet article.*

Devine qui vient mourir ce soir



Ne vous attendez pas à découvrir dans cet article un RPG qui aurait marqué l'un de nous. Et non ! Il faut bien changer un peu de sujet des fois (qui a dit que c'était simplement le 2ème article :p). Je vais vous présenter un livre : Devine qui vient mourir ce soir de Ben Elton. J'espère vous donner envie de le lire. ;)



Avant de commencer, je vous copie/colle le résumé figurant sur la quatrième de couverture afin de connaître le contexte :
Sommes-nous tous des voyeurs ? Prenez dix candidats prêts à tout pour devenir riches et célèbres, enfermez-les dans une maison surchauffée pendant neuf semaines sous l'œil de trente caméras, vous obtenez Résidence surveillée, la dernière création sulfureuse de Voyeur Prod. Si, au vingt-septième jour de l'émission vous y ajoutez un meurtre en direct et un coupable non identifié, vous explosez l'Audimat, assurez la fortune de la productrice, et infligez au très british commissaire Coleridge la pire enquête de sa carrière : il lui faudra toute sa patience de vieux limier pour trouver le coupable parmi cette bande d'abrutis bien moins innocents qu'il n'y paraît. Une comédie décapante doublée d'un suspense palpitant.

Vous l'aurez compris, derrière ce titre un brin racoleur se cache une satire de la télé réalité, fleuron de la télévision de ce début de XXIème siècle ... :rool:
Le style d'écriture est simple, voir cru à certaines occasions. Vous n'aurez aucun problème à comprendre, donc. :p

La narration se découpe en trois grandes parties représentatives de la télé-réalité : sélection, élimination et un seul vainqueur dont les "chapitres" sont les jours de l'émission. On suit avec plaisir tantôt les réflexions de l'inspecteur Coleridge et de son équipe (ne concernant pas forcément son enquête ...) et la vie au sein de la production de Voyeur Prod et de la propriété où sont parqués les candidats. Comme dans la vraie vie, chaque moment de la vie quotidienne dans la maison est raconté par une voix off faisant passer la découverte de la nourriture du frigo comme un moment épique, ou grand classique : la piscine ...

Bien que ce livre ne soit pas de la grande littérature, je ne peux que vous le conseiller. Il est divertissant, se lit avec plaisir et vaut le coup rien que pour lire les réflexions idiotes des participants ! :D
Ah, et vu que c'est un thriller, je n'ose douter que vous serez surpris par la fin ...

Noir

La saga Golden Sun



Règles du jeu.

Comme vous le voyez, cet article s’avère être très long. Pour vous facilitez la tâche, les grandes idées de l’article sont en gras. A vous de lire ou non les précisions qui les accompagnent. La dernière partie n’est cependant pas organisée de cette manière. Vous ne trouverez aucun spoil dans cet article, j’entends par non spoil tout ce que l’on peut apprendre grâce aux manuels des 2 jeux et aux 30 premières minutes de Golden Sun. Pour des questions de longueur d’articles, je ne reviendrai absolument pas sur le scénario. Seul précision à ce propos : les «4 phares » sont 4 importantes structures d’un des 4 éléments (eau, feu, vent, terre) qui maintiennent « endormie » l’Alchimie (une puissante magie il semblerait). Y lancer une des 4 étoiles élémentaires (celle correspondant à celui du phare) a pour conséquence d’allumer le phare en question. Une fois tous les 4 allumées, l’Alchimie se déversera sur le monde ce qui devrait créer un cataclysme.

Attention à ne pas confondre cet article avec un test, tout cela est subjectif (en particulier la première partie « Ce qu’on aime dans Golden Sun »), hormis le [Retour sur :] qui a pour but de retourner comme son nom l’indique sur un point plus qu’important de la saga à mes yeux.

J’espère que cet article vous plaira et vous fera découvrir ces 2 jeux si vous n’y avez pas joué (je referais cet article en plus synthétique s’il me l’est demandé). En espérant que cet article vous plaira, bonne lecture.



Ce qu’on aime dans la saga Golden Sun.

1. Les « psynergies ». Les psynergies sont l’équivalent de ce qu’on appelle dans les autres jeux « la magie ». Mais contrairement à la plupart des RPG de l’époque où la magie est utilisée uniquement en combat sauf pour soigner, les psynergies se révèlent beaucoup plus utiles lors des phases d’exploration. Elles vont permettront de déplacer des objets, lire dans les pensées, faire pousser des lianes/dérouler des cordes pour grimper ou encore remplir des récipients d’eau.

2. Les djinns (et invocations). Que serait Golden Sun sans ses fameux djinns ?! Ce sont ces petites créatures élémentaires (que vous croiserez tout au long du jeu en cherchant bien) qui vous permettront de réaliser vos meilleures attaques. En effet en « attaquant avec elles » vous les liées à vous. Vous pouvez alors les utiliser et les combiner pour réaliser de puissantes invocations (qui ne consomment pas de MP, mais vos stats seront modifiées chaque tour en fonction de leur statut).



3. Les donjons. Si vous êtes allergiques aux bons gros donjons, passez votre chemin ! Les 2 Golden Sun proposent pas mal de longs donjons (par exemple chacun des 4 phares vous prendra une bonne heure si vous voulez tout visiter) qui sont régulièrement parsemés de salles consacrées à votre réflexion. Et elles cassent volontairement le rythme des nombreux combats aléatoires…



4. La liberté dans le second opus. Les plus vieux joueurs crieront au sacrilège mais il faut bien avouer que Golden Sun 2 a marqué les esprits par la liberté qu’il laisse au joueur, lui permettant d’arpenter le monde de Weylard à sa guise et de visiter les ruines, monts et autres donjons dans l’ordre de son choix ou encore de s’attaquer à une de ces quêtes annexes.

5. Les musiques. C’est du Motoi Sakuraba en pleine forme qui œuvre ici ! Fidèle à lui-même, ce sont bien sûr les thèmes des combats qui se révèlent être particulièrement dynamiques. Les autres musiques ne sont pas mauvaises pour autant (en particulier celle de l’ending) malgré qu’on soit sur GBA.

6. Les combats…Assurément un gros point fort du jeu (et un point faible, voir plus bas): en effet, bien qu’ils soient au tour à tour, ils ont tout pour plaire aux réfractaire : pseudo 3D assez bien maîtrisée ce qui permet de jolis effets de caméra, psynergies (magies) pour certaines impressionnantes (pour le support) comme le fameux pyroclasme…



7. La durée de vie. Certains joueurs diront que ce n’est pas un argument (zero darkmind ^^) mais je ne suis pas d’accord ici : entre avoir un même bon jeu court ou long je préfère l’avoir en version longue! Golden Sun faisait déjà un honorable 20 heures (pour un jeu GBA), sa suite en fait le double. Et collecter les 26 (GS) ou 96(GS 2) djinns n’est pas de tout repos !

8. Les antagonistes. Ce point-ci peut paraître être une vaste blague. Et pourtant ! Après tout, qui n’a jamais à la fois redouté et apprécié les duos infernaux que forment d’une part Salamandar et Phoenixia et Karstine et Agatio d’autre part ? Certes, les 2 derniers sont nettement moins charismatiques mais un des 4 phares leur donnera leur heure de gloire. Reste enfin le (trop ?) mystérieux Alex.



9. Une vision des choses différentes dans chaque jeu. Encore un point stupide à première vue. Dans Golden Sun vous incarné le groupe de Vlad constitué de celui-ci et de son ami Garet, rejoints rapidement par Ivan et Sofia. Dans le second opus vous incarnez Pavel, acolyte de Salamandar et Phoenixia et ami d’enfance de Vlad, accompagné de sa sœur Lina, de sa captive Cylia auquel s’ajoutera Piers. Chacun des 2 groupes croit agir pour le bien du monde. Dans chacun des 2 épisodes vous pourrez donc mieux comprendre leur vision respective de leur univers.

10. Le bruitage des voix (!). Un détail qui m’a beaucoup amusé, ce sont les « voix » des personnages. En effet ce sont des bruitages caractéristiques plus ou moins aigus suivant le personnage et plus ou moins rapides suivant les sentiments de celui qui parle.


Ce qu’on peut ne pas apprécier.

10. Transférer les données de golden Sun 1 vers le 2. Ce n’est un secret pour personne, Vlad et ses compagnons croiseront votre route dans Golden Sun 2. Vous pouvez alors transférer leurs données du premier épisode vers le deuxième mais pour cela il faudra relier 2 GBA au moyen d’un câble link. Vous n’avez pas 2 consoles, ni de câble ? Qu’importe ! Copiez les 4 écrans de code que vous pourrez obtenir en effectuant une manip’ spéciale sur l’écran titre de Golden Sun (après avoir fini le jeu bien sûr) et recopiez les (manuellement) après dans Golden Sun 2. Une solution efficace mais loin d’être une des plus rapides…



9. Impossible dans GS2 de revenir sur les terres traversées lors du premier volet. Vous avez appréciez les territoires traversés dans Golden Sun ? Vous espériez les arpenter de nouveaux dans sa suite ? Et ben NON. Pavel et ses amis devront s’en passer, la géographie du monde en ayant décidé autrement !

8. L’Inexorable pas assez présent. L’Inexorable ? Késako ? Il s’agit d’un rocher flottant à un œil qui n’est autre qu’une espèce de divinité qui veille sur les étoiles élémentaires. Bien que ses apparences soient plus que rares (une fois dans chaque jeu), elles se révèlent déterminantes. On aurait donc aimait le découvrir un peu plus pour mieux connaître ses motivations et comprendre ses actions pour le moins surprenantes parfois.

7. Une histoire qui s’étale sur 2 jeux. Quelle déception pour les joueurs en découvrant qu’ils avaient déboursé 40€ environ pour tomber sur un « à suivre » alors qu’ils s’attendaient à poursuivre leur périple avec le groupe de Vlad pour allumer les 2 phares restants (reprenez votre souffle) !

6. Des héros principaux « muets ». C’était une désagréable particularité des RPG nippons old school : le mutisme du héros principal. Alors que tous les personnages sont doués de parole, vous pouvez juste dire « oui » ou « non » en inclinant la tête. Plus surprenant, alors que Vlad est incapable de parler dans GS, il enchaine avec nonchalance les remarques dans GS2, et inversement pour Pavel !

5. Des personnages un peu niais. Qui dit RPG japonais + Nintendo dit… personnages niais bien sûr ! Certes on est loin d’un Tales of mais tout de même ! Les personnages s’avèrent parfois trop naïfs croyant que les « méchants » vont les laisser partir en toute tranquillité (si si vous voyez de quel passage je parle). C’est seulement au dernier donjon qu’ils perdront leur innocence (et encore...).



4. Le manque de profondeur des personnages. Les personnages qu’on incarne tout au long des 2 jeux sont forts sympathiques mais malheureusement leur histoire personnelle n’est pas beaucoup mise en valeur, ce qui nous empêche de réellement s’attacher à eux.

3. L’histoire de l’univers du jeu peu approfondie. Il est dommage que les développeurs de Camelot n’aient pas souhaité développer davantage l’histoire du monde dans lequel se déroule l’aventure (Weylard). En effet on sait que les anciens sages ont créé les phares pour emprisonner l’Alchimie mais on n’en connait pas les raisons précises.

2. Le blabla. C’est assez paradoxal pour un jeu qui n’a pas un scénario des plus étoffés : les scènes de dialogues sont particulièrement nombreuses et longues. Pour ma part j’ai bien aimé, mais les allergiques à la lecture vont y réfléchir à 2 fois avant de lancer leur jeu…

1. Les combats … qui étaient aléatoires ! De beaux combats dynamiques, c’est bien, mais les rencontres étant aléatoires et assez fréquentes, cela peut s’avérer usant à force. Et ça finira par en dégouter plus d’un.




[Retour sur :] Golden Sun "3"

Après avoir terminé Golden Sun 2 : L’âge perdu, de nombreux fans s’attendaient/espéraient une suite. En effet, de nombreuses suites (ou prologues, si l’on désire expliquer en détail pourquoi les phares ont été créés par les anciens) différentes peuvent être envisagés, les ultimes paroles prononcées et la mystérieuse sauvegarde proposée en fin de jeu ne faisant que conforter cette idée…

Mais c’est le silence chez Camelot, le développeur, qui déclare seulement fin 2002 être sur un projet Gamecube, qui se révélera être « simplement » un Mario Golf. Déception donc chez les fans qui pensaient qu’un Golden Sun GC allait leur être révélé en attendant la localisation de Golden Sun 2 (pour les américains et européens en tout cas).
Puis en juillet 2007, lueur d’espoir chez les gamers : des images « volées » de l’écran titre d’un Golden Sun 3 DS apparaissent sur la toile. Le jeu se jouerait un peu comme Zelda : Phantom Hourglass, l’écran tactile servirait donc à se déplacer et à utiliser les psynergies, tout cela dans une pseudo 3D… qu’on ne verra jamais. Et pour cause ! Il ne s’agissait que d’un habile fake (l’emploi d’un des artworks de Golden Sun 2 pour l’écran du bas n’était d’ailleurs pas très judicieux). Mais cela suffit à refaire surgir l’ombre d’un Golden Sun 3 tant attendu : les jaquettes Wii de Golden Sun n’ont alors pas tardé à pointé le bout de leur nez sur la toile.



Ce n’est que 9 mois plus tard, en avril 2008, que Camelot décide enfin à communiquer sur leurs projets potentiels. Hé là, c’est la phrase de trop : « Honnêtement, tout comme vos lecteurs affirmant qu'ils souhaitent voir un nouveau Golden Sun, un nouveau jeu de tennis, et un nouveau Shining Force, et bien tout le monde chez Camelot pense la même chose. Nous voulons vraiment sortir ces jeux pour ces gens. » Les espoirs (vains?) renaissent, certains fans en bavait. Je dis bien « en bavait » et non pas « en bavent encore », car depuis cette annonce, silence radio comme d’habitude chez Camelot. Résultat : on ne sait toujours pas si un nouveau Golden Sun verra vraiment le jour, même s’il semblerait que les développeurs y pensent plus ou moins.



Bientôt:

Et pour finir, un petit indice quand au sujet de mon prochain article (beaucoup moins long) :





Mile

Notre noble cause (ou pas)

Bienvenue à tout le monde sur le blog Milenoir's secrets.
Mile et Noir (2 membres de NM plus ou moins visibles au sein de la communauté ) vont tenter de vous faire (re)découvrir de nombreux jeux, livres et musiques plus ou moins connus en vous présentant leurs coups de cœur. Mais ils n'hésiteront pas à faire également part de leur déception et à vous expliquer pourquoi.
En espérant que vous apprécierez nos futurs articles (qui seront 100% SUBJECTIFS), à bientôt. ;)

Milenoir
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