Freeze in Paris !
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Aujourd'hui, ce n'est donc pas une vidéo musicale, mais une vidéo réelle d'un freeze. Un Freeze, qu'est ce que c'est? C'est un rassemblement de personne dans un lieu très fréquenté de préférence (Capitales) qui, pendant 5 minutes, environ s'arrête de bouger, arrête le monde en quelque sorte.
Charles Nouyrit en a organisé un il y a quelques mois, bientôt quelques années à paris. Il a été filmé pour donner un vidéoclip super sympa que je vous propose de voir aujourd'hui, c'est assez hallucinant, surtout quand on le voit en vrai.
Walking On A Line.
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Je sais que plusieurs personnes sur ce site aiment bien le groupe : c'est Pony Pony Run Run qui nous dévoile en effet depuis hier son clip pour la chanson Walking On A Line. Originaires de Nantes, Gaëtan, Amaël et Antonin ont fait leur études aux Beaux-Arts avant de préparer leur premier album sorti cette année : We Need Pony Pony Run Run qui vient d'ailleurs d'être ré-édité. D'influences pop anglaise, rock, voir même éléctro je vous conseille vraiment cette album, il est vraiment, vraiment très bon, bien que difficile à trouver, et ceci malgré le succés de Hey You! le premier extrait.
Peu de choses à dire sur ce clip, qui est très bon, mais qui commence à sentir un peu le déjà vu puisque le premier clip en est très proche. C'est super artistique en tout cas, les plans sont bien fait, etc... On ne voit toujours pas les membres du groupe d'ailleurs.
PS : Prochainement, Antigone d'Anouilh sur mon blog !
New super Mario bros. 2
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A l’E3, je dois avouer que j’étais resté sceptique devant cette annonce (enfin, après, plutôt, je n’avais pas suivi la conférence en live), pourtant, j’ai acheté le jeu, parce que j’y ai accroché au fur et a mesure des vidéos. On a pu observer tout plein de choses, les spoil nous en ont appris (heureusement, sur ce coup là ) aussi des tonnes, et les vidéos étaient drôlement sympa.
Tout d’abord, graphiquement parlant, je dois avouer, que, même si je ne suis pas très regardant sur ce point, ce n’est pas très beau. Muramasa est vraiment sublime à côté, mais, sans vouloir faire mon fanboy (je le suis sûrement, par contre), je dois dire qu’un Mario comme ça ne m’aurait pas plus. L’univers enfantin, naïf, riche en couleurs me plaît bien, c’est ça après tout le charme de Mario… Et puis, malgré un manque d’originalité, il y a eu cependant de gros efforts qui ont été fait de la part des équipes de chez Nintendo : quand on compare la vidéo présentée à l’E3 et celle du jeu tel qu’il est sorti, on voit la différence : fonds beaucoup plus agréables à regarder, plus actuels ; personnage et ennemis un peu mieux modélisés ; couleurs plus intéressante. Ca n’à plus rien avoir avec la pâle copie de l’épisode DS qui nous avait été présentée à l’époque !
Au niveau sonore, qui est un bien grand mot je l’avoue, je suis assez bluffé par le travail réalisé. L’effort a été énorme, et on se demande si le fait que Galaxy propose quelque chose d’impressionnant en est la cause : les musiques sont vraiment géniales ! Toutes collent à l’univers dans lequel on évolue. J’ai ressenti des frissons dans le premier château de Bowser, et c’est rare que ça arrive par exemple. Mélodies rapides ou lentes, lourdes ou très légère, dansante ou pas, il y a vraiment de tout ! En plus de ces qualités très appréciables, l’effort a été continué dans les bruitages : ils correspondent bien à ce que l’on peut attendre d’un jeu en 2 dimensions actuellement. Le son par la wiiMote est intéressant, bien que de mauvaise qualité bien sûr, c’est une bonne idée pour nous laisser éveiller constamment.
J’ai parlé tout à l’heure d’un univers dans lequel on évoluerait, je vais donc traiter ici le gameplay. C’est en général un très bon point d’un Mario en 2 dimensions (même en 3D hein !), et c’est ici aussi le cas. Le gameplay est juste parfait, on tient la manette à l’horizontale, comme une manette NES, et tout est très intuitif. Certains articles de presse semblent regretter un peu de patinage, j’ai l’impression personnellement, que c’est un plus dans plusieurs situations tout à fait irréalistes, molles. En plus de ces contrôles d’ancienne génération, se couplent des mouvements à faire à la wiimote. Petit regret sur ce coup là : ils ne sont parfois pas du tout, mais alors pas du tout adaptés à l’action du moment, ça fait perdre le fil, heureusement que l’on ne les utilise que très rarement dans des endroits critiques. Concernant les mouvements de notre héros, pas de chagrin à avoir, ce sont toujours les mêmes…
Toujours les mêmes, mise à part les nouveaux objets, ils ne sont pas vraiment en nombre (enfin, normal quoi), mais sont vraiment les plus marrants. Exit certains objets comme la cape (World), comme le champignon géant (DS), et bienvenu aux 3 petits nouveaux : le pingouin, qui permet de glisser bien plus facilement pour éventuellement casser des briques au sol, et qui permet aussi d’envoyer des boules de neige qui glacent vos ennemis. La fleur bleue, qui, je l’avoue me paraît assez futile, puisque c’est uniquement l’équivalent de la fleur rouge, et qui permet uniquement d’envoyer des boules de neige. Et enfin, le casque à hélice, qui permet de s’envoler dans les airs d’un coup de wiimote.
Inutile de dire que le level design est très bien pensé et qu’il utilise à merveille ces nouveaux objets. Les étoiles à trouver (comme dans l’épisode DS), au nombre de 3 par niveau sont en effet très bien disséminées, et il va falloir user de logiques, d’agilité et d’objet bien souvent pour les débusquer. A propos de ce level design, vous savez sans doute qu’il a été fait pour permettre de jouer jusqu’à 4 joueurs, et bien, c’est chose réussite, puisque c’est excellemment bien géré (je ne traiterai pas le mode multi aujourd’hui).
Mais le meilleur dans ce nouvel épisode de la franchise à succès, c’est sûrement sa variété, tout à fait énorme. Chaque niveau est une redécouverte, il peut être vécu de pleins de manière différente, chacun des 9 mondes est tout à fait unique en plus, les boss et les ennemis sont originaux, bien que déjà connus des fans !
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Je ne saurai que trop mal comment conclure. J’ai envie de dire uniquement que ce jeu est bourré de qualité. Sur pleins de points, il est tout à fait excellent. Il ne mérite peut-être pas 40/40, mais on ne s’ennuie absolument jamais, le gameplay, les décors, les ennemis sont variés. Inutile de le comparer avec Muramasa quelques secondes, il n’a rien à voir, ça n’en reste pas moins un des jeux Wii de cette année ma foi pauvre.
PS : C'est court, mais c'est un avis, pas plus !
Skins.
Voilà un petit bout de temps que je n’ai pas fais d’articles, aujourd’hui signe la reprise ce blog, je n’ai absolument pas envie de le laisser à l’abandon, vous pourrez donc jouir encore quelques temps des articles relatifs à mes passions : séries, bouquins, films, jeux vidéos, musique, et plein d’autres trucs.
Aujourd’hui, je viens vous parler, suspens… d’une série ! Je crois qu’elle est anglaise, ma foi, j’en suis même sûr. Elle est assez connue et me plaît beaucoup, même si je n’en suis qu’au tout début. Elle s’appelle, Skins. Comme mon avatar, et c’est de là dont il est tiré hein, rassures-vous, ce n’est pas une simple coïncidence.
Alors que je regardais la nouvelle série qu’y passe sur M6, l’internat que je trouvais intéressante, malgré le caractère ridicule de certaines situations, on m’en a en effet parlé en me disant qu’elle était excellente car elle se fondait uniquement sur le caractère psychologique des personnages. Je suis absolument d’accord, et c’est ça le principal attrait de la série.
Skins, ça raconte la vie d’adolescents anglais fictifs âgés de 17 ans. Ils représentent tous un quelqu’un que l’on connaît, que l’on croise tous les jours, c’est une caricature de la société moderne finalement. Il y a une bande composée de plusieurs amis, et chacun semble à l’opposée de l’autre. Chaque épisode se centrant sur un de ces personnages, l’aspect de différence ne fait que s’accentuer.
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Tony, c’est le jeune playboy de la bande, c’est la caricature du manipulateur, il est excellent dans son rôle, personnellement, il me fait beaucoup rire par moment. Il est super intelligent, il semble ne rien contrôler, mais en fait, il contrôle tout ! La vie de ses amis, et bien sûr la sienne.
Michelle, c’est la copine de Tony, elle est bien jouée aussi ici, on la sent entièrement dévouée à Tony, et complètement amoureuse de lui. La série joue beaucoup dessus, le coté manipulateur du jeune homme en ressort encore plus fort, et Michelle en ressort encore plus faible.
Sid, c’est le puceau du groupe, il se croit meilleur ami de Tony, mais bien sûr, on ne peut pas savoir si ce sentiment est réciproque, c’est un looser sans cesse manipulé par tous, il est trop gentil, mais il n’arrive pas à concilier sa vie d’étudiants et sa vie personnelle. Il est amoureux de Michelle.
Cassie, c’est le personnage la plus attendrissant de la série, personnellement, je l’aime beaucoup. Elle est anorexique et amoureuse de Sid. On dirait que pour elle tout va super mal, a moins qu’elle soit juste naïve, je pense que c’est le caractère le plus intéressant de ce groupe d’ami avec celui de Tony.
Chris, c’est le mec qui part vraiment en freestyle, on ne sait jamais trop comment prendre ces apparitions, il semble complètement en dehors d’une vie dite normale, on ne sait pas trop comment l’identifier par moment. Il semble tout à fait fou, au vu de ses exploits dans l’épisode qu’il propose.
Jal, c’est la jeune fille toute sage de la bande. Elle fait de la clarinette mais vient d’une famille de rappeur plus ou moins talentueux. Elle ne m’intéresse que peu, bien que certains moments de son épisode soient mémorablement tristes, elle ne semble pas présenter un intérêt énorme à la série.
Maxxie, c’est un mec homo. Il est super caricatural dans le premier épisode, mais par la suite, ça s’estompe, et on le voit vraiment peu. Je n’ai pas vraiment grand-chose à dire de lui, sauf que c’est le meilleur ami de Anwar.
Anwar, car on vient de parler de lui, c’est un musulman, qui essaie de concilier la religion avec la vie d’adolescent. Il a peur que ses parents apprennent que Maxxie est gay, parce que bien sûr, c’mal vu. Il est assez intéressant par moment, même si il ne joue pas un rôle fondamental dans la série non plus, il apporte un plus.
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Personnellement, je trouve que la série est vraiment bonne, et qu’elle se concentre bien, comme on me l’avait dit sur l’aspect psychologique des personnages, jamais dans les 5 premiers épisodes que j’ai vu pour le moment, elle ne met en scène des choses inintéressantes, déjà vues, contrairement à d’autres séries que je ne citerai pas.
Par contre, c’est vraiment la série la plus trash qui existe, autant sexuellement parlant, que sur les autres points, ça n’arrête pas franchement, les passages dramatiques arrivent parfois pour calmer le tout, mais faut pas être réfractaire à ça.
Les passages dramatiques on va en parler, parce qu'ils le méritent, j'ai eu les larmes aux yeux dans l'épisode 5 lorsque l'un des personnages tente de se suicider (désolé du petit spoil). Ils sont bien joués, et c'est loin d'être pseudo-dramatique, ça l'est vraiment.
9/10.
+ : Super marrant.
+ : Bien jouée
+ : BO bien trouvée
+ : Personnages caricaturaux
- : Trop trash parfois
- : Certains personnes en retrait
Superbus à Evry
Concert de Superbus à Evry hier
dans une fosse pas violente, bien
sympa, pas trop pleine à craqué en
plus. Rapide review, dans le désordre.
BEFORE.
Attente d'une heure au 4éme rang
de la fausse, achat de divers objets
au merchandising pour patienter un peu.
Première partie des Starliners, article
bientôt.
Gogo Dance Show, le concert commence.
Personne n'ose trop danser, même si la
chanson est plus entrainante que jamais.
La meilleure adaptation live je pense,
surtout que l'entrée était sublime.
Addictions. Tout le monde connaissait,
forcément, et tant mieux, ça a commencé
à bouger un peu le public mollasson.
En tout cas, la chanson qui se veut assez
électronique est passée très rock.
Lola. Il est clair que c'est une
des chanson qui vaut la renommée de Superbus.
Le live prouve qu'elle le mérite : tout le
monde a crié, dansé, chanté, c'était vraiment là
l'ouverture du concert !
Pop'n'gum. La première chanson du
second album à passer. la chanson qui a signé le
succès du groupe. Elle est assez connue, et on
s'est bien amusé, pendant les refrains. Déjà
vu, amis efficace donc.
Ça mousse. Ambiance pas trop géniale.
Enfin, y en avait une meilleure précédemment,
mais normal, c'était la chanson qui accompagnait
la tournée fin 2007 en radio. Y avait pas de
bulle en plus, cette année.
Just like the old days. Une excellente
surprise, même si je savais que ça allait
déchirer vraiment. Je pensais que ça allait être
un peu moins bien. Finalement, c'est le must,
ou presque, bien entendu !
Keyhole. Assez déçu, on m'avait pourtant
assuré que ça allait être génial en live.
C'est peut-être le placement qui fais ça, mais je
m'ennuie un petit peu, dommage, car c'est une de
mes chansons préféré du dernier album.
Sex Baby Sex. Une surprise de la voir, celle-là.
Elle passe tout le temps, c'est pourtant pas un
hymne du groupe, mais ça marche, les refrains sont
efficaces, même pour ceux qui ne connaissent pas
encore. Bon choix.
Radio Song. je viens de me rendre compte
que je ne me souvenais plus du tout du passage
de cette chanson. Gros vide, tellement je connais
bien la chanson, ça m'a paru habituel de la voir,
de l'entendre.
London Town. Ils se sont foutu de la gueule
de Julien Doré avec un ukulélé, en disant que ce mec
était super sympa, qu'il leur avait passé, qu'il avait
appris à Jenn à en faire. Derrière, y avait le drapeau
anglais aussi, ça a bien donné, pour une chanson que
je n'aime pas.
I Wanna Be U. Un peu déçu, je m'attendais
à quelque chose de mieux. Là, la chanson est molle.
Quand on sait que certaines chansons vraiment plus
énergiques auraient pu passer, on est assez déçu,
m'enfin bon.
Tiens le fil. une surprise de la voir...
ou pas, car je m'attendais à en voir une comme ça,
entre un peu de douleur et tiens le fil, puisque les
deux font un malheur en live, c'est vrai. Une bonne
surprise donc.
Superstar. Jennifer nous a demandé si on avait
le premier album, tout le monde a crié que oui, c'était
marrant, puis la seule chanson a passer du premier
album a commencée, et ça a fais un carnage, tout
le monde connaissait, criait, dansait! Bravo.
On Monday. Ma ballade préférée de Superbus,
Pour la petite anecdote, ils ont comparé
la taille... des instruments bien entendu.
M'enfin bon, c'était pas une réadaptation,
alors aucune surpris à ce niveau !
Travel the World. le clou du concert
pour moi, tout le monde connaissait, et l'intro
"Don’t you wanna know how he keeps startin’ fire"
était sublime. Pour l'anecdote, ma voisine de fosse
a crié YEAH! Tout le monde a rit, c'tait marrant.
Apprends-moi. Jennifer a demandé aux gradins
de danser sexy car elle savait que la fosse (nous !)
allions danser sexy. Il fallait s'croire au Macunba
d'Evry, ça a bien géré. C'était un des clous aussi.
Et tant mieux, car la chanson le mérite !
RAPPEL.
Nelly. Bien qu'elle ait fait un gros bide
radio, la chanson a bien marché, j'étais bien content
car j'aurai pensé que Lola l'éclipserait un peu
avec ses refrains plus entrainants. parfait pour un rappel
je pense.
Butterfly. HYSTÉRIE. Pour ceux qui ne connaisent
pas Superbus, les hystéries collectives de Superbus,
c'est culte, tout le monde fait n'importe quoi pendant
une chanson. Du classique su Butterfly, mais ça
marche mieux que tout bien sur !
Le Rock à Billy. Héhé, ma chanson préférée
de Superbus. Ça a marché vraiment du tonnerre.
Les Shout Shout entonnés par la foule ont jamais
été aussi merveilleux. Tout le monde était en
transe, vraiment. =p
Lova Lova. la fin, malheureusement.
Jennifer est allée danser sur la barre de strip-tease.
Ça a claqué a mort, vraiment ! La chanson était
vraiment plus rock que d'habitude, merci les superbus.
AFTER.
Autographes des Starliners qui sont vraiment sympa,
achat d'une affiche, il y avait plus grand monde quand
on est parti !
Zapping de la semaine 1.
Projet ludique, car je sais que ça attire plus qu'un pavé, couplé d'un peu d'ironie. C'est quelque chose que je voulais faire depuis longtemps, pour accompagner mes chroniques. Je ne sais cependant pas si je vais continuer, ça prend un peu de temps, mine de rien... D'ailleurs, il est bon de noter que la musique accompagne les extraits volontairement, mais je vous laisse regarder ça, et bien entendu commenter, ici, ou sur youtube.
Intermède Humoristique
En attendant autre chose... de mieux.
La preuve irréfutable que l'histoire du Père Noël est fausse, connue, mais sympa.
Il y a approximativement deux milliards d´enfants ( de - 18 ans) sur Terre.
Cependant, comme le Père Noël ne visite pas les enfants musulmans, hindous, juifs ou bouddhistes ( sauf peut-être au japon), ceci réduit la charge de travail pour la nuit de Noël à 15% du total, soit 378 millions.
En comptant une moyenne de 3,5 enfants par foyer, cela revient à 108 millions de maisons, en présumant que chacune comprend au moins un enfant sage. Le Père Noël dispose d´environ 31 heures de labeur dans la nuit de Noël, grâce aux différents fuseaux horaires et à la rotation de la terre, dans l’hypothèse qu´il voyage d´Est en Ouest, ce qui paraît d´ailleurs logique.
Ceci revient à 967,7 visites par seconde. Cela signifie que pour chaque foyer chrétien contenant au moins un enfant sage, le Père Noël dispose d´environ un millième de seconde pour parquer le traîneau, sauter en dehors, dégringoler dans la cheminée, remplir les chaussettes, distribuer le reste des présents au pied du sapin, déguster les quelques friandises laissées à son intention, regrimper dans la cheminée, enfourcher le traîneau et passer à la maison suivante.
En supposant que chacun de ces 108 millions d’arrêts sont répartis uniformément à la surface de la Terre ( hypothèse que nous savons fausse, bien sur, mais que nous accepterons en première approximation), nous devrons compter sur environ 1,4 kilomètres par trajet. Ceci signifie un voyage total de plus de 150 millions de km sans compter les détours pour ravitailler ou faire pipi. Le traîneau du Père Noël se déplace donc à 1´170 km/sec ( 3´000 fois la vitesse du son). A titre de comparaison, le véhicule le plus rapide fabriqué par l´homme, la sonde spatiale Ulysse, se traîne à 49 km/sec et un renne moyen peut courir au mieux de sa forme à 27 km/h. La charge utile du traîneau constitue également un élément intéressant.
En supposant que chaque enfant ne reçoit rien de plus qu´une boite de Lego moyenne ( 1 kg), le traîneau supporte plus de 500 mille tonnes, sans compter le poids du Père Noël lui-même. Sur Terre, un renne conventionnel ne peut tirer plus de 150 kg. Même en supposant que le fameux " renne-volant" serait 10 fois plus performant, le boulot du Père Noël ne pourrait jamais s´accomplir avec 8 ou 9 bestiaux, il lui en alourdit la charge utile, abstraction faite du poids du traîneau, de 54´000 tonnes supplémentaires, nous conduisant à bonnement 7 fois le poids du Prince Albert ( le bateau, bien sûr, pas le monarque). 600´000 tonnes voyageant à 1´170 km/sec créent une énorme résistance a l´air. Celle-ci ferait chauffer les rennes, au même titre qu´un engin spatial rentrant dans l’atmosphère terrestre. Les deux rennes en tête du convoi absorberaient chacun une énergie calorifique de 14´300 millions de Joules/sec. En bref, ils flamberaient quasi instantanément, exposant dangereusement les deux rennes suivants.
La meute entière de rennes serait complètement vaporisée en 4,26 millièmes de secondes, soit juste le temps pour le Père Noël d´atteindre la cinquième maison de sa tournée.
Pas de quoi s´en faire de toute façon, puisque le Père Noël, en passant de manière fulgurante de 0 à 1´170 km/sec en un millième de seconde, serait sujet à des accélérations allant jusqu’à 17500 G’s. Un Père Noël de 125 kg ( ce qui semble ridiculement mince) se retrouverait plaqué au fond du traîneau par une force de 2157507 kg, écrabouillant instantanément ses os et ses organes et le réduisant à un petit tas de chair rose et tremblotante.
Vidéo sympa, mais faut connaître la pub MasterCard pour comprendre.
Jeux oubliés...?
Un article pourri, just for fun, et just for troll. Aujourd’hui, je vais donc vous parler des jeux… dont on entend plus parler, alors qu’ils ont fait un buzz pas possible à leur sortie, (en bien, ou en mal !).
The Conduit.
Le plus beau jeu de la Wii, et le meilleur jeu online de cette même console est assez discret depuis sa sortie en juillet, alors les fanboys, je vous disais quoi en janvier quand je disais que le jeu allait être un pétard mouillé ? =)
Wii Music
Ben oui, ça a fait polémique, et les incultes du jeu vidéo ont cru que c’était une extravagance de Nintendo depuis le succès de Wii Sport, Wii Fit, mais non, il avait été annoncé en même temps que Wii Sport, en fait. Le concept était pas poussé au final, dommage.
Mad World
Ben oui, il a été encensé par la presse, mais bon, le pauvre, il était « trop court », et il a fait un bide. C’est bien dommage, Nintendo avait même crée une pub « tout public » pour lui faire attendre les sommets. Suivant ! =)
Punch Out
Je n’ai aucune idée du nombre d’exemplaires écoulés, et je m’en fous, mais bon, Punch Out sur Wii, ça a pas vraiment marché. La preuve, 6 mois après sa sortie on en parle plus. Pourtant, c’était un projet très audacieux, à la base, Messieurs les « gamers », où êtes vous ?
Batallion Wars 2
Certes, ça fait 2 ans qu’il est sorti, mais bon, en mars 2008, on en parlait déjà plus. « c’est trop court », voilà l’argument principal, ben messieurs/dames, pour une fois qu’un jeu on-line est bon, et que la campagne solo l’est aussi, vous êtes bien cons de le bouder.
Metroid Prime Trilogy
Une compil super intéressante, sachant que des tonnes de joueurs n’ont pas tous les épisodes de cette trilogie, pourtant vous l’avez boudé, c’est le constat fait un mois après sa sortie. Et on gueule contre les rééditions 1 épisode par 1 épisode, pourtant, elles, elles marchent bien…
Eledees
Sans doute une assez bonne surprise, ce jeu fun, mais bon, on en parle plus, on sait pas pourquoi. Les ventes ont été moyennes, pourtant, les critiques et les joueurs ont été unanimes, dommage.
Bon, cette liste est exhaustive, je l’ai écrite en a peine 10 minutes, c’était juste pour que certains puissent comprendre un peu mes conclusions. Juste, déjà, le piratage, c’est mal, vous vous étonnez qu’on nous fasse de mauvais jeux sur Wii assez régulièrement, mais vous avez vu quand même, que plusieurs jeux de cette liste ont bidé, alors qu'ils sont loin d'être mauvais (j’ai pas cité Okami, il n’a PAS été oublié ). Vous faîtes vos aveugles aussi : « wé, la wii, elle a pas de jeux, c’tout », alors que vous cherchez pas…
Les deux premiers jeux, aussi, c’est aussi fait pour dénoncer quelque chose : les « gamerZ ». Ben oui, vous vous prétendez gamers, mais bon, vous ne cherchez pas plus loin que le bout de votre nez. Faîtes vous votre avis personnel en y jouant, et arrêter les « tableaux », c’un coté « gamers » d’un coté « casual ». Bon, c'est vrai, j'me suis un peu défoulé sur The Conduit, mais bon, ça n'en reste pas moins un exemple.
Avis DQ Sword
Sorti il y a plus d’un an et demi en France, Dragon Quest Sword aura sans aucun doute divisé la presse et les joueurs. Moi non, il m’aura juste bluffé, parce que c’est un rêve de gosse qui se réalise. Retour sur une expérience courte, mais hors du commun.
En 2003, Japon, Square enix propose un intéressant Kenshin Dragon Quest, qui tournait directement sur une télé. Il proposait de retranscrire les mouvements des épées et des boucliers à la télévision. Malheureusement, impossible de vivre quelque chose de correct, à cause des limitations techniques imposées. 4 ans plus tard, c’est l’annonce de la wii, une très belle opportunité pour Square Enix, qui tente de recommencer l’expérience.
Et dès le jeu acquit et lancé, on est déçu..., par un scénario assez bidon, tout au long de "l'épopée". Inutile d’en consacrer de longues lignes ici, cherchez sur internet si vous voulez le connaître, mais ça ne sert à rien, rassures-vous. On est aussi déçu par le fait que le jeu se déroule sur des rails et se dirige à la croix directionnelle...
Autre déception, il n’y a qu’un village où se ballader... Au final, on se dit heureusement, en effet, les personnages non joueurs sont inutiles, il ne servent strictement à rien, ils sont CONS, les déplacements dans les rues à la croix directionnelle sont imprécis et les rues elles même sont buguées. Les temps de chargement, quand à eux, sont assez impressionnant !
Le coté RPG, continuons sur celui-là, puisque vous pourrez vous ravitailler en potions et en armes dans la ville, est un des points fort du jeu. Le levelling est assez intéressant, on retient le placement des alliés, le coté tactique de leur utilisation, les différents sorts à utiliser, la gestion des dégâts/points de vie, du bon, de ce coté donc, même si ça alourdit… un peu les combats. Rien de bien exceptionnel, mais ça apporte quelque chose.
Graphiquement parlant, ça va de moche à assez beau. Les décors sont assez originaux, (en 7 heures, on ne revoit jamais deux fois le même environnement, sauf la ville) bien que peu détaillés, les personnages et les ennemies sont eux assez convaincants. Sur, ce n’est pas du grand art, mais le choix graphique les rendent assez sympathiques.
« Sonoristiquement » parlant, ça va du assez bon au bon, les thèmes des Dragon Quest sont de retour. Certes, c’est beaucoup moins magique que les thèmes des différents Final Fantasy, malgré tout, ça s’écoute avec plaisir, quand même
Du coté du gameplay lors des phases de combat (c’est le plus important, non ?) j’ai envie de dire, c’est imprécis, parfois bourrin, mais putain qu’est ce que c’est bon… En appuyant sur B et en pointant l’écran, on sort les boucliers, pour se protéger des attaques des ennemis. Pour les attaquer, on met des coups d’estocs, ou on tranche a la manière d’un sabre, jamais dans la direction voulue, mais ça marche quand même, et ça fais bien plaisir…
Finalement, Pourquoi finir sur le plus important ? Pour signaler en une très courte review que ce jeu vaut le coup, malgré ses défauts IMMENSES. Rarement un jeu n’a été aussi jouissif et intéressant à ce point. A une quinzaine d’euro, ne passez SURTOUT pas à coté
Fantasia. L'apprenti sorcier
[U][/U]Non, je n'ai pas envie de vous mettre tous les Fantasia sur mon blog, seulement, alors que l'on parle beaucoup d'Epic Mickey ces temps-ci, ma prof d'arts plastiques a montré à la classe l'apprenti sorcier, l'un des cours métrage qui compose Fantasia. J'ai donc bien envie de le poster, pour ceux qui ne l'ont toujours pas vu.
Cette merveille, sortie en 1940, puis ressortie en 1999 avec Fantasia 2000, est accompagnée d'une célèbre œuvre de Paul Dukas, compositeur français de l'époque. Et c'est bien sûr là que c'est intéressant, puisque la musique accompagne le film toujours parfaitement ! Bonne vidéo.
Paulo.
Paul-Aymeric
