Final Fantasy XIII

Aïe aïe aïe! Difficile de trouver jeu plus polémique dans l'histoire du jeu vidéo ! Final Fantasy XIII (vous ne m'e voudrez pas de l'appeler FF13 à partir de maintenant) est développé par Square Enix, et s'inscrit dans la Fabulla Nova Crystallis. La Fabulla Nova Crystallis est censé regroupé certains jeux de la Saga Final Fantasy: Ils ne se déroulent pas forcément dans le même univers mais ont une certaine mythologie commune. De ce principe, et avec la sortie du très attendu Lightning Returns, regardons de plus près ce que proposait ce jeu, ô combien haït. Fanboyisme aveugle ou essai raté de la part des développeurs? Un peu des 2... 

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La forme... 

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On ne va pas tergiverser plus longtemps, rentrons dans le vif du sujet avec la principale qualité de FF13: Ca claque graphiquement. Le jeu possède ainsi plusieurs lieux très variés: Cela peut aller du somptueux lac de glace aux ruines d'une antique ville. Quoi qu'il en soit, c'est très, très beau. Un soin particulier a été apporté aux cinématiques qui, si vous aimez l'action, sera un véritable régal visuel (Mention spécial à la cinématique du retour sur Cocoon). Bon, tout n'est pas rose au pays des Chocobo et on pourra pester contre les effets du fourreau de Lightning: Mais comme le dirait une certaine personne: "Si on remarque ce genre de détail, c'est qu'on a vraiment que ça à dire!" 

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En bref, si ça claque graphiquement, on ne peut pas en dire autant des personnages: Si certains sont visuellement excellents (Lightning, Vanille, Fang), d'autres sont moyens et peu inspirés (Snow, Hope) voir carrément mauvais (Sazh). Cependant, ils sont tous dotés d'un background formidable et il faut vraiment détesté le jeu pour ne pas s'y attacher... Ou alors ne pas supporter les orgasmes de Vanille qui arrivent à peu près tous les 5 minutes. Mais ce n'est qu'un détail... Ou pas. Mention au développement de la relation entre les différents protagonistes qui est vraiment réussi. 

La musique maintenant: Le constat est ici mitigé. Si certains thèmes sont excellent (le thème de combat, ou d'un certain boss Fal'cie), d'autre ne sont pas adaptés à leur contexte tout en étant très jolie, et d'autre sont carrément mauvais et mal employés (du jazz dans un combat de boss? Vraiment?). Le doublage anglais est correct mais: Pourquoi ne pas mettre la VO? On bref, ce n'est pas pour son OST mal employé que l'on retiendra ce jeu... Dommage pour une série connu pour son excellence à ce niveau!

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Pour finir sur l'enrobage, parlons du scénario: Constat encore une fois mitigé entre une aventure qui laisse réellement peu de répit et certains écoeils comme "Quel chemin devons nous prendre, sachant qu'il n'y en a qu'un?" ou encore d'autre hasards tellement tirés par les cheveux qu'on se demande vraiment si on ne se moque pas de nous... De manière général, celui se complique inutilement et ne dit pas forcément les choses clairement.  Mais heureusement, le dénouement du jeu est magnifique est fait bien vite oublier ces petites erreurs... 

 

... Et le fond 

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C'est la dessus que mes reproches seront les plus virulents. Mais faisons les choses dans l'ordre: Le système de combat, par exemple. Celui-ci est en semi-temps réel. Vous choisissez vos attaques selon une jauge ATB qui se remplit au fur et à mesure du temps. Par contre, un très gros défaut du jeu qui entraine ainsi une immense frustration, vient du fait qu'une fois votre personnage principale KO, le combat s'arrête. Ca n'a l'air de rien comme ça: Mais combien de fois un monstre vicieux tuera votre héros alors qu'à une attaque près il mourrait? Le principal problème n'est cependant pas la: Il vient en effet des monstres: A cause d'eux, il existe 2 types de combat: Celui où vous marteler un bouton en attendant que ça finisse et celui où la moindre erreur est fatal pendant les 15 minutes que dure le combat. Presque jamais le jeu n'atteint le juste milieu. La difficulté est ainsi énorme et est un énorme facteur de frustration... Les eiloderons sont, par contre, d'un génie sans nom: se battre à côté de ces guerriers de légende et la symbiose final provoque un immense plaisir.  La notion d'équilibre entre les différents rôles (au nombre de 6: Attaquant (DPS), Ravageur (Mage), Saboteur (Debuffeur), Tacticien (Buffeur), Soigneur (Healeur) et Défenseur (Tank)) reste une excellente idée. 

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Ce dernier point découle d'une autre bonne idée du jeu: Le crystarium. Fie du niveau: Vos personnage augmenteront en puissance en fonction de ce que vous voulez en faire. A chaque fin de combat vous gagnerez des PC(= Points de compétence) qui vous permetteront d'augmenter vos statistiques de façon conséquentes sur des arbres de compétences dépendant de chaque rôle. En clair: Chaque personnage possède les 6 rôles (qui se débrident au fil de l'histoire) et à chaque rôle correspond un arbre. Ne sous-estimer pas ce point: Cela peut avoir une influence énorme sur les combats. 

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Un point qui m'a déplu reste la personnalisation de l'équipement. Pourquoi? On n'a du mal à en comprendre l'intérêt, l'influence reste minimum, cela provoque d'inutiles dilemmes et de manière général l'interface est (je trouve), plutôt mal foutu. La même pour les potions: présenté comme un élément indispensable du gameplay, elle ne finissent par ne plus servir à rien. 

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Parlons de ce qui est considéré comme le pire défaut du jeu: Sa linéarité. Je vais me faire des ennemis, mais je vais totalement divergé avec cette avis: La linéarité n'est-ici pas un défaut. Elle est entièrement au service de la narration. Alors oui la saga FF n'a jamais eu de jeu linéaire, oui on a toujours eu un certain choix: Mais ua final il fallait toujours aller d'un point A à un point B. Mettez-vous dans le crâne que la linéarité n'est pas un défaut, ni une preuve de paresse de développeur, mais bien une manière d'aborder le jeu vidéo qui a ses qualités comme ses défauts. 

 

13/20

Je ne vais pas répéter ce que j'ai dis plus haut dans le test: Mais pour moi la haine envers ce jeu est totalement injustifiée. FF13 veut trancher avec ses prédécesseurs pour renouveller la série. Oui, le résultat n'est pas parfait, oui, on est loin du niveau global des anciens FF: mais il n'en reste pas moins un jeu qui peut quand même avoir ses bons côtés.  Par contre, certains défauts comme la difficulté totalement artificielle du jeu (et l'immense frustration qui en découle) sont vraiment génants. Des défauts que la suite du jeu (Final Fantasy XIII-2) corrigent sans l'ombre d'un doute. En faite, FF13 est victime du public qu'il vise: En voulant toucher tout le monde, il oublie ce qui faisait le sel des anciens FF. 

Points positifs:

- Les graphismes, encore magnifiques aujourd'hui.

- Le crystarium.

- Les eiloderons. 

- le développemet de la relation entre les personnages.

- Le background de l'univers.

- La fin magnifique. 

- La linéarité, totalement assumée et au service de la narration. 

- Le système de combat en lui-même...

Points négatifs:

- ... Qui souffre du fait que le combat s'arrête une fois le leadeur KO.

- Les ennemis, soit trop fort, soit avec trop de PV: Jamais de juste milieu.

- La difficulté artificielle et frustrante au possible.

 - L'OST pas toujours bien adapté.

- Le scénario se complique inutilement.

- Le système d'évolution de l'équipement.

- Les orgasmes de Vanille. 

 

Xenoblade Chronicles

Je vous ai déjà parler de jeu qui avait nourris ma passion du jeu vidéo, des jeux que je traite en religion aujourd'hui. Mais il en est un qui a fait allumer cette flamme, un qui m'a fait passer du "casu'" au "gamer", et ce jeu,  c'est Xenoblade. Le soft fut développé par Monolith Soft ( déjà à l'oeuvre sur de grandes séries comme Xenogear, Xenosaga, mais ont aussi contribué à The Legend of Zelda: Skyward Sword, ou ProjectXZone). Et aujourd'hui, à l'aube de 2014, l'année où Monolith Soft va nous ressortir un grand jeu, regardons plus en détail ce que nous propose Xenoblade Chronicles... 

 

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(Veuillez me pardonnez, mais dans un soucis de clareté, j'utiliserais les noms français du jeu) 

Il y a longtemps, Mékonis et Bionis, sont apparus sur un mond entièrement aquatique. Ils se sont battus, représentant respectivement le méchanique et l'organique... De force égale, et après une longue, très longue bataille, ils se sont entretués. Après des centaines d'années, la vie s'est développé sur leur carcasse,et la lutte continuent entre les peuples de Bionis, et les Mekonites, peuple de Mékonis.Et aujourd'hui, les Homz (humains de Bionis), se battent désespérement contre les invincibles Mekonite et leur carapace quasiment inviolable... Quasiment, car il existe une arme capable de détruire cette carapace, la Monado. C'est donc en le personnage du héros Dunban, qui armé de Monado, lutte presque seul contre les armées méchaniques... Je ne vais pas rentrer dans les détails, mais sachez que le scénario, d'inspiration shonen, même s'il ne vole pas aussi haut que ces illustres ancêtres, reste passionant a suivre. Enfin bon, surtout la deuxième partie du jeu, parce que celui, s'il démarre en faisant très, très fort, a un petit coup de mou sur la première moitié. La zone des marais de Satorl, bien que très belle, ne sert presque à rien scénaristiquement parlant. Autre point important, la fin. Oui, la fin ne s'assume pas. Tout le jeu se construit sur l'épique, la fantastique, pourtant celle-ci, d'inspiration SF, ne peut que diviser. En cherchant a expliquer son univers, à faire un joli clin d'oeil à Xenogear et Xenosaga, Xenoblade perd une grande partie de son charme... Dommage. Enfin, et pour finir, de manière général cette univers manque de finition. Il n'y a pas de bestiaire, et on aurait vraiment aimé en apprendre plus sur certaines choses... Le jeu se contente d'expliquer ce qui est nécessaire, sans aller plus loin. 

 

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Bon, je vous ai dit que l'univers du jeu était très original, je vous ai dis qu'il était aussi immensément grand, et magnifique à en pleurer? Non? C'est pourtant le cas, et sur Wii, s'il vous plait. Jamais nous n'avons l'impression d'explorer les même paysages. D'expérience personnel, je me souviens de ma découverte de la Jambe de Bionis. C'était tout bonnement magique. Et c'est loin d'être vide en plus, il n'y a pas de bestiaire à consulter, ça n'empêche pas le fait que le jeu comporte énormément de monstres différents. Et si ça ne vous suffit pas, vous pourrez toujours aller affronter les "named", des monstres possédant des noms et étant bien plus puissant que leur congénère. Petit bémol, il en faut bien un, sur certaines textures un peu baveuses, mais vraiment rien de grave. Enfin, et pour finir sur ce que j'appelle, l'enrobage du titre, l'ambiance sonore du titre est vraiment, vraiment de très très grande qualité. L'OST restera dans les mémoires avec des titres de légends, tel le Main Theme, vraiment sublime. Et le doublage: Joie de découvrir un doublage anglais réussi. Joie de découvrir pour les anglophobes les voix japonaises, elles aussi de très grande qualité. Sachez que, de toute mon expérience vidéludique, je n'ai jamais entendu d'ambiance sonore aussi réussi. 

 

Pour finir, parlons du gameplay du titre. S'il on peut regretter le manque d'interractions globale du titre ave son univers, force est de constater que celui ci est réussi. Prennons, à titre comparatif, le gameplay de Final Fantasy 13. Les systèmes de combat, très proche, se diffèrent sur un point: La ou on peut reprocher à FF13 une trop grande répétivitié et une trop grande longueur de combat, Xenoblade fait dans le dynamique, le jouissif, la puissance. Comme FF13, celui se base sur un semi-tour par tour. Seulement, votre déplacement est libre, et a une influence sur le monstre. Enfin, les "arts" (appelez les talent si vous voulez) sont utilisables n'importe quand: une fois utilisés, il suffit d'attendre qu'ils se rechargent. Vous avez 7 personnage différent, Shulk, Reyn, Sharla, Riki, Dunban, Mélia et un dernier personnage que je ne nommerais pas par peur de vous spoilez. Shulk, par exemple, est un personnage équilibré, qui peut servir de healeur (soigneur), de DPS (Personnage servant a attaquer les points de vie du monstre très rapidement), ou tank (Personnage qui prend les coups). Les personnages ont donc souvent plusieurs rôles que vous pourrez changer selon votre style ou vos envie, en changeant les arts de vos personnages. La personnalisation de vos personnage est ainsi très poussée: Vous pouvez changer n'importe quel pièce d'armure de vos personnages, leur attribuer des "gemmes" (qui augmentent vos caractéristiques, et que vous pouvez fabriquer vous même). Enfin, vous avez aussi des capacités, divisés en arbres, qui évoluent au fil des combats: Vous choisissez un arbres parmi 3 autres (+2 débloquables avec des quêtes) et celui ci s'augmente quand vous affrontez des "named" que vous n'avez pas encore affronter, ou quand vous découvrez des lieux. Cependant, ce n'est qu'une fois les arts débloqués que le système de combat devient vraiment intéressant: il est plutôt pénible au début. Enfin, disons le clairement: L'inventaire est très mal construit. C'est un véritable calvère de le gérer. Parlons des quêtes aussi: Elles sont rarement intéressantes et consistent pour la plupart à ramener 5 écailles de dragons au PNJ du coin. La durée de vie est excellente, et le farming n'existe pas ou très peu: Le soft n'est pas difficile. Enfin, le new game + ne présente pas, ou très peu d'intérêt. 

 

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17/20 

 

Oui, Xenoblade est un titre imparfait, oui, Xenoblade pèche par son manque de finition sur son univers, mais non, ce n'est clairement pas un mauvais jeu. Si la fin est raté, le déroulement, jusqu'au boss final, est passionant. Les personnages sont charismatiques en plus d'être attachants. Le système de combat est une réussite, c'est nerveux, fluide, jouissif. Le soft est très beau avec des paysages de rêve, l'OST restera dans les annales. Pour ceux qui ne s'y intéresse pas à cause du manque de difficulté: Je vous répondrais que celle-ci est réglable: Ne vous équipez pas des meilleurs pièces d'armure, n'améliorez pas vos arts... Le titre est accessible mais réglable à l'envie. On a la, probablement, le meilleur RPG de la Wii, tout simplement. C'est un titre que je vous conseille chaudement: Il fait partie des perles à ne pas rater. Monolith Soft, vous qui m'avez émerveillé, j'attends votre nouveau projet avec impatience. 

 

Points positifs:

 

- Un système de combat réussi.

- Une mise en scène excellente

- Une OST de légende. 

- Un univers original.

- Des lieux beaux, vastes et variés 

- Des personnages attachants.

- La personnalisation poussée

-Un bestiaire riche.

-Un titre accessible, à la difficulté réglable. 

 

Points négatifs:

 

- Un manque de finition dommageable sur l'univers.

- Une fin qui déçoit. 

- Un inventaire raté.

- Un manque d'Encyclopédie. 

- Des quêtes pour la plupart inintéressantes. 

 

 

 

Message.

Bonjour, bonsoir, monsieur, madame, hermaphrodite, chose difforme non identifiée... 

Un petit message pour vous signaler que le test de Xenoblade arrive! =D 

Et aussi...

je tiens à affirmer mon soutien envers mes compaires Seipas et Mario5454, qui ont perdu leur blog à cause d'un illustre idiot nommé Abyssexf, ou theNSAmegaFAN pour les intimes. Donc, faites attention si vous voyez ce lache, NE CLIQUEZ SURTOUT PAS sur ces lien! =0 

 

Merci d'avoir lu, et rendez-vous demain pour le test de Xenoblade! ;) 

 

Mon avis sur... La démo d'Aeterno Blade

Aujourd'hui, un mon avis sur ce petit jeu indépendant dont la démo est arrivé récement sur l'E-shop. 

 

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Bon, alors premières impressions... la cinématique du début est sympa. Pour un jeu indépendant c'est plutôt pas mal. 

Heureusement d'ailleurs, ça sauve tout le reste, parce que graphiquement c'est plutôt laid... C'est terne, c'est tristounet et les ennemis, plus sac à pattate tu meurs. Les artwooks sont dégueulasses. 

Le gameplay est sympathique, les combots sont rapide et plutôt nerveux, point positif donc... L'idée de la manipulation du temps peut donner des choses intéressantes...

Niveau scénario... Ouais on va pas en parler. Mais en gros, c'est l'habituel "Je veux venger mon village du gros méchant a grou grouh qui l'a tué"

 

En gros, ce que j'en tire, c'est que je ne suis pas convaincu: graphiquement moche, un sous Castlevania 3D pour le reste (déjà que cette opus s'est fait démonter...), ça vous fait Aeterno Blade. Mais, la manipulation du temps peut donner des lieux à des pistes de réflexion inétressantes... A voir donc, mais ça penche plus dans le négatif que le positif. 

 

 

Test Okami

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Ah... Okami... Comment parler de ce jeu? Il y a tant à dire dessus... Développé par Clover Studio (aujourd'hui, dans les grandes lignes devenu Platinum Game), édité par Capcom, le jeu est sortis la première fois sur Playstation 2. Le jeu connut alors un gigantesque succès d'estime mais malheureusement, le succès commerciale ne fut pas au rendez-vous. Cependant, 2 ans plus tard, une version Wii sortis, puis encore plus tard, une remise à niveau HD (vraiment nécessaire? Je vous pose la question) et une suite dénommé Okami-den sur DS sortirent. Jamais la série ne connut de grandes ventes pourtant largement méritées. Mais la n'est pas la question, aujourd'hui, à l'approche de Noël et de sa magie, parlons de la toute première version d'Okami sur PS2... Et j'ai peur de pas être à la hauteur, sur ce coup la! 

 

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Dans l'ordre, nous allons commencé par parler de l'univers développé dans le jeu. Dans cette univers, la légende dis qu'il y a une centaine d'année, un dragon nommé Orochi fit trembler le pays. Celui-ci exigeait tous les ans le sacrifices d'une jeune fille... Le choix de la jeune fille était arbitraire: Une flèche maléfique venait se planter sur la maison de la victime. Au même moment, une louve blanche fit son apparition dans le village, et on dit d'elle qu'elle était une servante d'Orochi... Elle fut nommée Shiranui. Un villageois décida de l'affronter, mais à chaque fois, la louve l'évitait agilement et avec rapidité. Vient le jour du festival maudit. Et la flèche maudite se planta dans la maison de la jeune femme dont le villageois héroïque était amoureux... L'amour donne des forces insoupçonnées, le grand Izanagi, car tel était son nom, alla affronter le dragon maléfique aux 8 têtes, en lieu et place de sa bien aimée. Sous la nuit noire, ils combattirent toute la nuit. Mais le grand homme était humain, et ses forces limitées, il finit par s'écrouler de fatigue, résigné à mourir. Alors, la louve Shiranui apparue. Telle un rayon de lumière, elle brillait de la lumière de l'espoir. Etait-ce par respect envers le combattant, qui n'abandonnait jamais? Par haine envers Orochi? On ne le saura jamais. Il n'empêche qu'elle se lança dans la bataille.La lutte sauvage continua, entre une bête maléfique et une bête pure protégé par la nature. Mais hélas, Orochi était invincible et il finit par blesser la créature de lumière... Agonisante, la louve n'abandonna pas. Elle poussa un hurlement majestueux. Les nuages cachant la lune se dégagèrent, et celle brilla d'une intensité dorée jamais vu, d'un rayon qui atterrit sur la lame d'Izanagi. Dans un dernier espoir, aussi vain que futile, le héros humain frappa de ses bras épuisés le monstrueux démon. Une par une, ses têtes tombèrent. Orochi était vaincu! Et tandis que le soleil se levait, il mourut enfin. Le héros regarda la belle louve qui l'avait aidé, et dans un geste fort en symbole, il la prit dans ses bras et l'amena à son village. Et devant la foule ébahit, dans le dernier souffle de l'incroyable bête, il lui caressa la tête... Mais l'histoire est-elle finit? Non. Même si personne ne connait la suite... Le jeu va vous la raconter. Demandons à Jean-Kévin ce qui pense de l'histoire développé dans le jeu (avec correction orthographique intégrée): « Bon ben, c'est pourri. Y a pas de flingues, les graphismes sont à chier, les combats ennuyeux et l'histoire est vraiment gami...-PAN PAN- Arrrrrrg -PAN- ». Hum, désolé, le coup de pistolet est parti tout seul. En bref? Si vous cherchez de l'explosion partout, du FPS bien bourrin, passez votre chemin. L'histoire de Okami n'est pas originale. Non, elle est bien plus que ça. Parfois très drôle, parfois très triste, et tellement, tellement plus mature que ce qu'on pourrait pensé... Des rires francs, des larmes qui coulent, de la haine, de l'épique, de l'attendrissement, le jeu vous fait passer par tous les états, et atteint les sommets de l'onirisme. Grandiose et remplis de référence, Okami est un jeu intelligent, et terriblement prenant.

 

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A la question, Okami est-il un Zelda-like? Je répondrais que c'est le genre dont il se rapproche le plus, mais... Le limiter à ça, serait une terrible erreur. Certes, le jeu suit un schéma zeldaesque classique (comprenez par cela, donjon, énigme, amélioration des capacités, boss, tout ceci sont des éléments de gameplay) mais, le système de combat est radicalement différent d'un Zelda traditionnel: Bien plus orienté RPG, le jeu vous proposera d'améliorer votre loup, en caractéristique comme en équipement. Il existe 3 type d'armes: le miroir, le fouet et l'épée. En fonction de l'endroit ou vous le placer, votre arme aura différentes fonction: un miroir placé en première position, aura une fonction offensive, un miroir placé en seconde position servira de bouclier. Les ennemis (présenté sous forme de parchemin dans la map), qui peuvent être combattu en journée, n'agresserons le joueurs que la nuit. Sachant que la faculté de changer le jour en nuit vous sera accordé très tôt dans le jeu, sachez qu'il est possible de faire le jeu sans faire quasiment aucun combat, exceptés ceux obligatoires, évidement. Petit bémol sur le système de combat, cependant, on peut considérer qu'il manque de profondeur: un comble pour les développeurs considérés comme les roi du BTA désormais! Un autre aspect de gameplay -Et de loin le plus important- est le pinceau céleste. D'un trait de pinceau, vous pouvez réparez des ponts, faire venir le jour et la nuit, créer des lianes, des nénuphars... L'idée, dont on pouvait craindre qu'elle manque de précision, en plus d'être original, est génial et magnifiquement mise en action dans le jeu. Les interactions avec l'environnement sont ainsi bien plus grande que dans un Zelda classique. Enfin, un mot sur Amaterasu en elle même. Notre déesse du soleil est leste, rapide, agile, jusqu'au bout des pattes. Et quelle intelligence de faire fleurir les plantes sous ses pas: Poésie et beauté, même dans le gameplay. La durée de vie est plus que corrects et fait jeu égal à celle d'un Zelda: une trentaine d'heure. Il existe de nombreuses quêtes dans le jeu: toutes intelligentes et loin des quêtes basique d'un RPG (Un indice, pour une quête visant à faire fleurir des cerisiers dans une certaine ville, pensez à regardez la tête d'une certaine personne, sinon vous allez vous arracher les cheveux!). On pourra reprocher au jeu sa trop grande facilité: mais le jeu se veut accessible au plus grand monde: c'est un défaut qui n'en est pas un.

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Enfin, finissons sur l'enrobage du titre: son graphisme, et sa bande-son: ça va être court, bref, et précis, l'un, comme l'autre, sont magnifiques. Mais qu'on soit bien clair: Si vous n'avez pas aimé The Wind Waker, vous n'aimerez pas Okami. Le cell-shading est exploité à fond, l'univers graphique est unique en son genre et marquera à jamais les esprits. La poésie du jeu est exacerbé, jamais Okami ne pourra être oublié de ce point de vue la. On a la l'un des plus (le?) beaux jeux qui n'ai jamais existés . C'est d'autant plusimportant, que les paysages sont variés et tous dignes d'être cités en exemple. La musique n'est pas en reste: parfaite, de bout en bout. La magnifique voix du menu nous faisant un somptueux "Okami" donne le ton. Les personnages utilisent un langage pour le moins particulier: mais finalement totalement adapté, et qu'on ne peut que saluer. Et l'ending est vraiment somptueux. Je n'en dirais pas plus, à vous d'explorer le monde vaste et surprenant de l'ancien Nippon. Du point de vue technique, rien à dire: aucune chute de framerate, c'est impressionnant, vraiment.

 

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19/20

 

Je voulais mettre moins, j'ai voulu croire qu'en rédigeant ce test je trouverais une multitude de défauts, mais je ne peux pas...Okami a marqué le monde vidéoludique lors de sa sortie. C’était une preuve évidente que les jeux vidéos, ça pouvait être autre chose que de la violence gratuite. Le jeu est étonnnement mature, en total contradiction avec son graphisme mignon,  mais soigné et tellement poétique. Parce que Okami est un poème, un magnifique poème écologique adressé aux joueurs et au Japon. On pourrait pester contre la relative facilité du soft, ou encore contre le manque de profondeur des combats –qui, soyons clair, restent tout de même très fun à jouer-, mais franchement, les qualités du soft sont tellement nombreuses, qu’on aurait tort de s’en privé pour si peu.  Alors, je ne m’attarderais pas plus à vous décrir le jeu, parce que le plaisir de découverte d’Okami est telle  qu’en dire plus serait le gaché, et j’ai trop de respect, et d’admiration pour vous infliger cela (Ce n’est pas le testeur, mais le joueur qui parle). Et de toute façon, si j’ai réussi mon boulot, vous êtes déjà en train de rechercher le jeu… Ou de le redécouvrir pour d’autre. Okami fait partis des jeux qui ne se racontent pas, mais qui se vivent, tout simplement.

 

Points positifs:                                                                              

Graphiquement sublime...                                                           

Un gameplay original et recherché...                                             

Un scénario écologique mais pas niais, c'est possible!                   

Mature, ce jeu vous fera passer par toutes les émotions et, pour moi, c'est une très grande qualité 

Une OST de très grande qualité, très belle, avec un ending magnifique.

L'ambiance, plus réusie, plus prennante, tu meurs. 

Une durée de vie très correcte.

Une preuve vivante que l'industrie du jeu vidéo, ce n'est pas que de la violence abusive.    

 

Points négatifs:

... Le graphisme ne plaira pas à tout le monde

... Le système de combat manque peut-être de profondeur.

Un certain manque de difficulté. 

Trop parfait pour être vrai!                                                                    

 

 

 

Mon avis sur... Bravely Default.

"Mon avis sur" est une rubrique qui va parler des jeux récemment sortis et que j'ai acheté (Parce que je vais pas acheter des jeux juste pour cette rubrique). Ici, pas de test, mais bel et bien un avis d'un joueur. Aujourd'hui... 

 

Bravely Défault

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La jaquette japonaise est tellement plus jolie que celle française...

 

Ah, elle nous aura fait attendre la bête, mais comme tout le monde le dis, ça valait le coup. Maaaaaaaais de la à dire qu'on a la le BGE 3DS ? ... Nop,  je crois pas. Alors, qu'est-ce qui marche ? 

Graphiquement parlant c'est magnifique, le monde il est beau, le monde il est vaste. Le dessin des villes est sublime et ces villes sont toutes uniques et resteront longtemps dans ma mémoire. On peut pas en dire autant des donjons, dont certains sont les doublons d'autre et dont les méchanismes sont archi-connu. Mais pas grâve, on a pas forcément besoin d'originalité pour faire quelque chose de bien ! Le chara-design est tout mimi, et sans boobs s'il vous plait merci (Magnolia tu dégages de ce point de vue la ! T.T). Les musiques sont inoubliables de beauté et je me passe l'OST en boucle le soir dans ma chambre. Mention à l'ending particulièrement réussi, qui a réussi à me faire penser à celui d'Ôkami. C'est dire le niveau ! 

Le système de combat est LA réussite du jeu. Il est impécable, stratégique et très fun. S'il on se débrouille bien (c'est à dire pas comme moi). Pas besoin de farm pour monter de niveau (gros point positif pour ceux que cela rebute). Les jobs sont très bien pensés sans relativement peu de doublons entre eux. Le bestiaire est vaste, sans pour autant être varié malheureusement... 

Le génie scénaristique de la dernière ligne droite se doit de rester dans les mémoire lui aussi. J'en ai été scotché. 

La construction du village de Norende est... J'en suis fan. Et je suis loin de l'avoir fini... 

Alors, qu'est-ce qui ne marche pas ?

 5 fois. C'est le nombre de fois que le jeu vous fait faire la même chose pour la vraie fin. C'est justifié scénaristiquement certes, mais pour autant, il n'y avait pas moyen de rendre ça plus court histoire de rendre ça moins chiant ? J'ai du passer 5 heures à faire ça. Sur la trentaine d'heure qu'il m'a fallu pour voir les 2 fins, c'est beaucoup. 

Si la dernière ligne droite se veut géniale, on peut pas dire que le reste du scénario volent haut... Tout est prévisible à des kilomêtres à la ronde.

La démo nous a présenté des quêtes basiques de J-RPG ( rapporter 5 ongles de gobelin pour que je puisse  me gratter le dos, par exemple), mais ou sont-elles donc passé? Ils ne restent plus que les quêtes de recherche de job!

Les micro-transactions, si elles sont facultatives, elles ne devraient même pas existées. 

 

"L'évolution dans la continuité", c'est la devise de Bravely Default. Sans révolutionner le genre, Bravely Default apporte enfin le second souffle dont les J-RPG ont besoin. Et l'épique du trailer teaser ne nous fait prévoir QUE du bon. Comme beaucoup, je suis emballé par cette nouvelle série et je n'éprouve que hâte envers Bravely Second. Cependant je ne vois en le jeu qu'une esquisse de ce qui pourrait être,  non pas un concurant au titre de BGE 3DS (ce qu'il n'est pas pour moi, qu'on soit bien clair), mais de BGE tout court. Quoi qu'il en soit, c'est une TRES bonne pioche que ce jeu et je ne saurais que vous le conseiller. Mais n'achetez pas l'édition collector qui ne mérite pas son prix ( Pour vous résumez, statut brute, extrait d'OST, artbook (même s'il est beau) imprimé à l'envers, 32 cartes RA... Pour 105 euros préparez la vaseline !) 

 

Le test d'Okami arrivera pendant les vacances, des soucis personnels m'ayant empêchés de travailler dessus.

 

 

Le Docteur (3/3 )

Voici la dernière partie du dossier concernant le Docteur, avec aujourd'hui 3 parties différentes: Une première sur les principaux ennemis du Docteur, une autre sur mon avis sur la série et enfin pour finir sur comment je perçois le 50ème, qui à froid et en y réfléchissant est bourré d'incohérences.

 

Les ennemis du docteurs

 

Le Silence : ( Alerte Spoiler saison 6 )

 

Le Silence, avant d'être un groupe cherchant à tuer le Doc', est une race extra-terrestre de type parasite, c'est à dire qu'ils vont sur une planète et utilise ses habitants sans qu'ils ne s'en rendent compte. Comment peuvent-ils le faire ? Ces Slenderman miniature aux doigts de ET ont comme particularité le fait que toutes les informations les concernant s'effacent d'elle même. Autre chose, on ne peut pas se souvenir d'eux, à moins de les regarder. Si on ne les regarde pas, on ne sait même pas qu'ils existent.

Le Silence est aussi le nom d'un groupuscule composé de moines-sans-tête et d'humains, qui ont pour but de tuer le Docteur avant « que la question ne soit pas posé ».

 

Les Cybermens

 

Les Cybermens sont l'archétype de l'IA qui se retourne contre son créateur. A la base arme contrôler, ils se sont auto-améliorer à travers les guerres et sont depuis quasiment invulnérable. Enfin... Sauf si vous êtes un Docteur... Ou un centurion millénaire. Au choix. Ils ressemblent à des robots humanoïdes.

 

Les Daleks

 

Les Daleks sont les ennemis héréditaires du Docteurs, sont qui ont causé ces plus grandes souffrances et la la dernière grande guerre du temps. Ces ridicules petits robots sont des machines à tuer, qui n'ont pour d'autre but que d'anéantir toutes formes de vie à travers l'univers... Et ils ont presque réussis. Plusieurs fois. Et ce n'est qu'au travers le sacrifice de nombreux êtres qu'on a pu les en empêcher... Merci Docteur. Ils sont impitoyable, même envers les leurs qu'ils considèrent comme défectueux. L'asile des Daleks ou le dalek humain en sont des preuves... Mortes.

 

Les anges pleureurs

 

 

« Surtout, ne clignez pas des yeux » Les anges pleureurs sont la race la plus ancienne et la plus noire de l'univers, encore plus que les daleks. Ils se nourrissent d'énergie temporelle en renvoyant leur victime dans le passé. Ils sont quasiment invulnérables. Leur seul point faible et leur mécanisme de défense: en effet, tant que vous les regardez, ceci se transforme instantanément en pierre, mais clignez des yeux et vous êtes morts, car leur vitesse est inimaginable. Autre chose, il ne faut pas que vous les regardiez dans les yeux, puisque « ce qui reflète un ange devient un ange ».

Ne me demandez pas si je pisse dans mon froc à cause d'eux. C'est le cas.

 

Le Docteur s'est par ailleurs opposé à d'autres races moins importante comme les Homo Sauriens ( Les premiers habitants de la Terre, ds lézards humanoïdes), les Judoons ( policiers de l'espace ), les Centariens ( Des nains dont le seul but est de faire la guerre ).

 

Notre héros a aussi des ennemis précis , comme par exemple la Grande Intelligence ( être désincarné, principal ennemi de la saison 7) , le Maître ( un seigneur du temps ), il a même du lutter contre le dernier humain de sang pur ( qui n'a pas de sang alien, hein, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dis) ayant jamais existé ! Assez paradoxale non ?

 

Mon avis sur la série

 

 

Doctor Who est une preuve qu'un petit budget peut faire de grandes choses. La série est exceptionnelle par de nombreux points de vue. Sa musique, Murray Gold fait du travail remarquable ( « This is Gallifrey, our Childhood, our home », « Wake up » les main thème en sont de parfaits exemple ), sa direction artistique ( les anneaux d'Akhaten, Gallifrey, le Tardis, les environnements toujours choisis avec soin... ), son immense univers riche en surprise... mais ce qui fait la force de la série, c'est le Docteur. 50 ans, 50 ans que la série dure et on ne connait pas son nom ! Vous imaginez ce tour de force ? Une série, qui plus est avec son succès, dont le protagoniste n'a pas de nom ? Enfin, c'est surtout son caractère: endiablé, triste, joyeux, mélancolique, empli de regret, regardant l'avenir, vieux mais jeune à la fois, le personnage est passionnant puisque imprévisible et intelligent ( Merci les histoires toujours au moins bonnes, et souvent excellentes ). Alors oui, en 50 ans d'existences, la série a eut le temps de rassembler ses incohérences, mais franchement, on s'en fiche et on ferme les yeux. Pour moi, Doctor Who est un exemple de série, et ma série de SF favorite. Capaldi, t'as intérêt d'assurer nom d'un dalek !

 

Le jour du Docteur ( ATTENTION SPOILER )

 

Très agréablement surpris par cette épisode des 50 ans du Docteur. Je n'en attendais pas grand chose après la plutôt décevante saison 7 ( mais qui avait quand même ces bons côtés ), et finalement il y beaucoup de bonnes choses. Bon, commençons par ce qui fâche: La trame intérieur à l'histoire ( les métamorphes ): on s'en fiche littéralement, ce n'est qu'un prétexte. Le fan service de Billie Piper: on aurait mis quelqu'un d'autre ça aurait été pareil. Les daleks qui s'entretuent parce que Gallifrey disparaît... Mouais, c'est un peu gros. Suffisait que John active l'arme une fois que la planète avait disparu et ça aurait été plus cohérent. Et surtout, le plus gros, l'ENORME incohérence avec « la prophétie de Noël ». David Tennant est censé oublié se qui s'est passé et croire que la planète est détruite à cause de lui, hors, il s'en souvient. Pour finir, les seigneurs du temps censés devenir maléfique dans les derniers jours de la guerre, ont plutôt l'air d'être apeuré qu'autre chose: et où est le seigneur président ? Ca, c'était les choses qui fâchent. Qu'y a t'il de bon ? L'interprétation de John Hurt assure un max. Le plaisir de revoir David Tennant, la trame de l'histoire du War Doctor... D'autant plus que c'est bourré d'humour et de sentiments, avec de vrais éclats de rire, mais aussi des larmes qui peuvent couler. « Méli-mélo », « j'ignore où il est allé chercher ça » par exemple, est, en plus d'être une sympathique référence, est très drôle durant la scène, ou encore le fez. La rencontre entre les 3 Docteurs aussi, et leur « alliance » est magnifiquement mise en scène. 3 Docteur,3 fois plus de génie... Scène de la porte de la Tour de Londres messieurs ! Et le plus important de cette épisode... La fin de la série qui s'annonce... Et qui donne envie de bordel de m... Quoi de mieux pour finir la série que le Docteur sauvant Gallifrey … ? Excellent épisode, digne d'être celui fête les 50 ans de la série.

 

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Ce sera tout ! Merci de m'avoir lu, et à bientôt pour de nouveaux tests ! ( Faudrait appelé la déesse du soleil, histoire qu'elle nous ramène de la chaleur en ces heures glaciales... Heureusement qu'on peut faire un peu de peinture au chaud pour passer le temps ! )

 

 

 

 

 

Le Docteur (2/3)

 

 

Bonjour. En l'honneur des 50 ans dans la série des Doctor Who, il me semble qu'une petite rétrospective de la nouvelle série s'impose. Cela va se faire sur 3 parties, 3 articles différents.( Veuillez m'excuser du retard de parution de cette article, je ne sais pas pourquoi, mais hier il n'a pas été publié et je n'ai pas vérifié... )

 

Les compagnons du Docteur ( 2/3 )

 

Le Docteur est l'être le plus solitaire de tout l'univers, mais ça ne l'empêche pas d'avoir des compagnons. Souvent féminin, ceci finissent bien souvent mal. Retour sur les principaux compagnons du Docteur, sans entrer dans les détails. Il ne s'agit pas de développer leur actes et actions au sein de la série, mais de les présenter brièvement.


Rose Tyler (Mickael Smith, Jack Harkness et Jackie Tyler)

Rose Tyler est la première compagne du Docteur. Interprété par Billie Piper, je considère que c'est, pour le moment, la plus importante de toutes les compagnes du Docteur. Pourquoi ? C'est elle qui accompagnera le 9ème Docteur, emprunt de colère, qui le fera changer. Elle est d'autant plus importante, qu'elle est actuellement la seule compagne à avoir connu une régénération du Docteur, faisant la transition de Christopher Eccleston à David Tennant. Jack Harkness ( John Barrowman ) est un personnage très important dans la saga du Docteur, puisqu'il aura une série dérivé nommé Torchwood, plus mature, plus sombre et plus adulte que Doctor Who. Il fut sauver de la mort par Rose Tyler,le rendant immortel dans un tas de circonstances compliqués au possible que je vous laisse le soin de découvrir. Jackie Tyler ( Camille Coduri ) fera plusieurs apparitions et est la mère de Rose. Mickael Mickael Mickael... Interprété par Noël Clarke, il est le petit ami de Rose Tyler à la base... Mais le Docteur volera sa place par la suite.

Martha Jones 

Martha Jones (Freema Agyman) est une jeune infirmière. Celle ci est la seconde compagne du Docteur après Rose, et de ce fait elle fut peu aimée ne restera qu'une seule saison ( la saison 3), même si elle fera par la suite son apparition dans la saison 4. Je trouve dommage qu'elle quitte si vite l'aventure, pour 2 raisons : C'est l'une de mes compagnes préférés, jouissant d'un épisode final ou son rôle marqua les annales de la série. La seconde raison, c'est le fait que se soit la seule actrice de couleur noire jouant le rôle d'une compagne de la série, auparavant critiqué pour son soit disant racisme. Et oui, y en a que ça a faire.

Donna Nobel (et son grand-père, Wilfred Mott).

Donna Nobel est interprété Catherine Tates. Son histoire est l'une des plus triste de la série. Ne restant qu'une saison, elle marquera le meilleur de David Tennant. Elle possède une vie complètement raté, a peu confiance en elle... Et le Docteur est arrivé, et lui a fait vivre les meilleurs moments de sa vie. Son grand père ( Bernard Cribbins) est aussi un personnage important ( ALERTE SPOILER ) , car il sera la cause de la chute du 10ème.

Amélia "Amy" Pond, Rory Williams, River Song

Ces 3 personnages seront les principaux compagnons de Matt Smith. Amy ( Karen Gillan ), Rory (Arthur Darvill) et de façon plus diffuse River Song ( déjà présente avec Tennant, interprété principalement joué par Alex Kingston ). Amy est la première personne que rencontre le 11ème, et sera le principale personnage qui accompagnera le Docteur durant la saison 5. Rory y sera aussi ( en tant que petit ami puis... Puis en tant que Rory Pond si vous voyez se que je veux dire ) mais disparaitra une partie des épisodes. River Song verra son rôle dans la série enfin expliqué durant la saison 6: 3 saisons de « c'est pas l'heure » enfin expliquées ! Entre intrigue et humour, ces personnages ont marqués l'univers du Docteur. Il est d'autant plus dommage que l'épisode de la fin de Rory et d'Amy ne marque pas plus que ça, alors qu'il mélangeait tous les éléments pour l'être...

Clara Oswine Oswald

Il n'y a pas grand chose à dire sur ce personnage joué par Jenna Coleman (Tiens, petite anecdote sur cette actrice, saviez vous que c'était elle qui avait donner la voix anglaise de Mélia de Xenoblade ? » . C'est la « fille impossible ». En tout cas, une chose est sûr., elle a su conquérir son publique au travers de la saison 7, pourtant décrié.

 

Voilà qui clos cette partie du dossier ! Puisqu'il a été publié en retard, j'essayerais ( sans rien promettre ) de sortir la fin du dossier cette après-midi ( ou tout du moins avant l'épisode des 50 ans... Et il concernera les différentes races de l'univers du Docteur ainsi que mon avis sur la série ! 

 

 

 

 

 

 

 

 

Docteur Who ( 1/3 )

Bonjour. En l'honneur des 50 ans dans la série des Doctor Who, il me semble qu'une petite rétrospective de la nouvelle série s'impose. Cela va se faire sur 3 parties, 3 articles différents.

 

Aujourd'hui, intéressons nous au personnage du Docteur. Qui est-il ? Qu'est-il ? Qu'elle sont ses armes ? Voyons cela d'un peu plus près...

 

I ) Le Docteur.

 

 

 

Sachez d'abord une chose: si vous vous attendez ici à une biographie du Docteur, tournez immédiatement les talons. En effet, j'ai pas la foi d'écrire une biographie sur une personne possédant plus de 1000 ans à son actifs. Et ça n'aurait pas le moindre intérêt, allez découvrir la série par vous même, je vais pas vous spoilez nom d'un Dalek !

Commençons donc par l'éternelle question: Mais qui est donc le Docteur ? C'est un Seigneur du temps ( That classe Ô_Ô ). Si physiquement, il ressemble à un homme ( bah oui, le patrimoine génétique des seigneurs du temps découle en partie de la race humaine), corporellement il y a quelque différences:

  • Il possède 2 coeurs. Il peut continuer à vivre quelque instant si l'un de ses coeurs s'arrête.

  • Il possède la capacité de pouvoir absorber tout type de radiation, dans une certaine mesure.

  • Enfin, le plus important, il possède une capacité de régénération.

 

Sa régénération donc, qu'est-se que c'est ? Cette capacité unique en son genre permet à un seigneur du temps au bord de la mort de se soigner en changeant d'apparence. Dans la série, cela se caractérise par un changement d'acteur. Ceci ne veut pas dire qu'un seigneur du temps est invulnérable, non. Si celui ci est tué pendant sa régénération, il meurt définitivement. Dans la nouvelle série, on compte pas moins de 5 acteurs ayant jouer/allant jouer le docteur parmi lesquelles actuellement 4 principaux. Aussi, chaque acteur, selon mon point de vue, en possédant toutes les caractéristiques du personnage, a mis l'accent sur quelque chose de celui-ci:

  • Christopher Eccleston: 9ème Docteur et 1er de la nouvelle série, il incarne la colère du Docteur. Il ne restera qu'une seule saison.

  • David Tennant: 10ème Docteur: C'est avec ce docteur que la série connaitra une nouvelle explosion médiatique, en restant pas moins de 4 saisons! Il incarne la peine du Docteur.

  • Matt Smith: 11ème Docteur qui aura eu la lourde charge de succéder au très aimé David Tennant. Détesté à ses débuts, il a su au fil de ses 3 saisons conquérir son public par son jeu d'acteur exceptionnel. Il incarne la folie du Docteur, montrant sa plus grande démesure

  • Peter Capaldi: 12ème docteur. Qu'incarne t'il chez le Docteur ? Mystère.

  • John Hurt: C'est le Docteur oublié. Apparaissant dans l'épisode final de la saison 7 « le nom du Docteur », on ne sait que peu de chose sur lui avec la nouvelle série. En saurons nous plus avec l'épisode des 50 ans ou il doit fait une apparition... ?

 

Passons aux armes du Docteur, ça va être vite expédié, il n'en a tout simplement pas. Car le Docteur laisse toujours une chance à ses ennemis de se rendre, cherchant toujours le moyen de sauver le plus de vie, rarement avec succès. Ce qui ne l'empêche pas de posséder certains objets pouvant être bien utile comme le papier psychique ( Papier permettant de se faire passer pour quelqu'un d'important aux yeux de celui qui le regarde par la technologie du filtre à perception ), ou encore le tournevis sonique... Me demandez pas de savoir se que c'est et comment il fonctionne, je n'en ai aucune idée !

 

Dernier point abordé dans cette article: Le TARDIS du Docteur ( Temps A Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale ). En gros ? C'est une machine à voyager dans le temps, qui se camoufle en cabine téléphonique bleue ( « D'un bleu... Qui n'existe nul part ailleurs » Le Docteur, « La Pandorica s'ouvre: partie 2 » Saison 5 ) . Et oui, c'est plus grand à l'intérieur... Ou plus petit à l'extérieur, selon les points de vue. 

 

Merci d'avoir lu, rendez-vous demain pour un autre article sur les Compagnons du docteur cette fois !

 

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De vous à moi.

Bonjour ! :3 

 

J'écris ce message pour vous parlez de mes objectifs et de mes motivations. Alors, qui suis-je ? Saurus no Haineko, mais vous pouvez m'appeler Saurus. Pourquoi faire des tests aujourd'hui ? Parce que j'aimerais en faire mon métier. ( Merci à toi gentil modérateur qui m'aura aider à me lancer, tu te reconnaitras ) Pourquoi ai-je commencer par ces 3 jeux ? Parce que je pense avoir quelque chose à dire dessus. Prenons SOTC par exemple, il s'est fait encenser dans son intégralité partout où l'on regarde : hors selon moi, les bases de son gameplay sont complêtement à la masse. Pour cette raison, je ne ferais pas de test de jeux sur lesquel je n'aurais rien à ajouter par rapport à ce qu'on dit dessus ( Le nouveau Zelda, Bravely Default par exemple : Je ne ferais probablement rien dessus ). 

 

Les prochains jeux que je vais tester ? J'avais prévu de faire des jeux comme Ôkami ou Xenoblade ( 2 excellents jeux, soit dit en passant ) mais pour Ôkami, je n'aurais pas grand chose à dire de plus ( attention, je le ferais peut-être cependant ) et pour Xenoblade  ... C'est peut-être encore d'un trop haut niveau pour moi, j'y réfléchis encore. Et j'aimerais aussi au moins tester un jeu que je qualifierais de mauvais ( Encore faut-il que j'en trouve un intéressant, parce que tester la moindre adaptation de film raté ne présente pas le moindre intérêt ). 

 

J'ai aussi l'intention un jour, quand j'aurais la foi , de faire un article sur Docteur Who, pour dissiper quelque idée reçus sur cette série et surtout dire en quoi elle est, à mes yeux, exceptionnelle. ( Attention cependant, je ne suis pas critique de série télévisé, ni de film ) . 

 

Le top des boss a été fait dans l'optique de vous présenter des boss relativement peu connu. Mais bon, avec 3 boss de Zelda, un boss de Metroid Prime  et carrément un jeu au final, je me suis un peu loupé ! :lol: 

 

Pourquoi Nyanmaru-Kamen comme nom de blog ? Parce :

1) Je n'ai aucune imagination pour donner des noms

2) Je suis fan de Code: Breaker 

 

Voili voilu voulou, ce sera tout, merci de m'avoir lu ! :3 A plus ! 

 

(Et pour partir sur quelque chose de drôle... ) 

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