Je suis de retour ! Même si y a que trois mecs qui se souviennent de moi.
L'histoire d'une Saga n°3 : Portal
Coucou les koupaings ! Cette semaine, par manque de temps, je vous fais un petit numéro, pour une petite série : Portal. A noter que la semaine prochain, il n'y aura pas d'Histoire d'une saga, parce que je serais à la Japan Expo. Mais la semaine d'après vous aurez le droit à un bon gros article bien joufflu.
Introduction
Débutée il y a quelque année de cela, Portal est une série de jeux de réflexion développés par Valve. On y incarne Chell, une jeune femme mystérieuse, puisqu'elle ne parle pas, et que le jeu entier se passe à la première personne. Le système de jeu est simple mais efficace : On progresse de salles en salles, où le but est tout simplement d'arriver à sortir. Même si cela parait simple sur le papier, certaines salles vous donneront du fil à retordre. Nos aventures seront rythmées par la voix de GLaDOS, intelligence artificielle d'Aperture Science (le centre dans lequel les jeux se passent), qui sortira des phrases, humoristiques pour la plupart, qui dévoileront (surtout dans le premier) l'histoire du jeu. Le seul outil mis à notre disposition est le Portal Gun, qui permet de poser des portails, sur des surfaces prévues à cet effet. Pour ceux qui ne connaissent absolument pas Portal, le concept de portail est simple : On peut en poser un bleu et un orange. Si on rentre par le bleu, on sort par le orange et vice-versa. Le portal gun permet également de porter de soulever des objets, comme des cubes, permettant de finir les salles. Bref, cette petite intro touche à sa fin. Maintenant, intéressons-nous aux jeux.
Portal, le début.
Sorti le 10 octobre 2007, Portal premier du nom est sorti sur PC, Xbox 360 et PS3, dans le pack Orange Box, qui incluait Half-Life 2 et Team Fortress. Tout commence avec un début que tout le monde a déjà vu milles fois dans les jeux vidéo : Le réveil de l'héroïne (Chell). On apprend donc, grâce à GLaDOS, que notre mission sera d'effectuer des salles de test, dans laquelle il faut trouver un moyen de sortir. Elle nous promet même d'avoir un Gâteau à la fin o/ Sauf que plus on avance, plus GLaDOS devient sombre et les salles dangereuses. Après avoir fini toutes les salles de test, GLaDOS tente de nous tuer, mais heureusement, on a pu s'échapper. On apprend alors que GLaDOS est corrompue et qu'elle à causée la mort de tout le monde dans le centre. Dans la fuite de l’odieuse intelligence artificielle on peut voir tagé sur un mur "The Cake is a Lie", phrase célèbre de Portal. Finalement, Chell réussit à évincer GLaDOS, en incinérant une à une les parties de son corps robotique. Finalement, le jeu se termine avec l'obtention du gâteau, qui je le rappelle, est l'unique but du joueur, avide de sucrerie. Portal aura reçu un très bon accueil, est souvent considéré comme le meilleur jeu de la Orange Box.
Cette chose, c'est GLaDOS.
Portal 2, encore mieux !
Sorti le 19 avril 2011, sur PC, Xbox 360 et PS3, Portal 2 est la suite du premier. Etant sorti encore récemment, je ne vais pas spoiler, donc je raconterais le scénario en gros. Tout commence encore par le réveil de Chell, cette fois ci par Weathley, un robot. Il nous apprend qu'on aurait dormi très longtemps et qu'il faut partir d'Aperture Science, qui est complétement détruit. Sauf que Wheatley réactive accidentellement GLaDOS qui décide de nous faire faire des salles de test pour toujours. Voilà, je ne spoile pas plus. Tout ce que je peux vous dire c'est que GLaDOS se fera bien évidemment vaincre à la fin. Un mode multijoueur est inclus, où il faut tout simplement faire des salles de test. Le jeu aura reçu un excellent accueil est sera considéré par beaucoup comme étant l'un des meilleurs jeux de 2011.
Et cette couille métalique, c'est Wheatley.
Bonus : Répliques de GLaDOS
Ah bah oui c'est super super court cet article ! C'est indigne des autres ! Pour me faire pardonner, je vous ait sélectionné une petit poignée de répliques de GLaDOS !
- Avant de commencer, vous devez savoir que même si le divertissement et l'apprentissage sont au coeur des activités du centre, vous risquez de subir des lésions irréversibles.
- Plus important encore, vous ne devez en aucun cas bzzzpt
- Conformément au protocole de test, vous ne serez pas surveillée dans cette salle. Vous serez livrée à vous-même. Bonne chance.
- Conformément au protocole de test, nous devions vous faire croire que vous ne seriez pas surveillée dans cette salle.
- Conformément au protocole de test, nous cesserons de masquer la vérité dans trois... deux... bzzzpt.
- Si vous avez la tête qui tourne, n'hésitez pas à vous évanouir.
- C'est cela, faisons tous comme les humains. « Oh, regardez comme je transpire. Convertissons le bœuf et les plantes en énergie puis en excréments avant d'aller faire du shopping. »
- Le prochain test va vous plaire. Je vais me rendre à la surface. Il fait un temps superbe. Hier, j'ai vu un cerf. Si vous venez à bout du prochain test, je vous autoriserai peut-être à prendre l'ascenseur jusqu'à la salle de repos, pour vous reparler de la fois où j'ai vu un cerf.
- Le prochain test contient des tourelles. Vous vous en souvenez ? Les choses pâles et froides remplies de balles ? Ah non, ça c'est vous dans cinq secondes. Bonne chance.
Voilà voilà. Je sais, c'était court, mais je m'en excuse. La prochaine fois, ce sera plus long. N'hésitez pas à me demander si vous voulez que je traite une série, en commentaire. Dites-moi aussi ce que vous en pensez ! Bref, a dans deux semaines !
L'histoire d'une Saga n°2 : Metroid
Bonjour, bonjour ! La semaine dernière, il n'y a pas eu d'Histoire d'une Saga, car je n'étais pas chez moi. Cette semaine, pour le second numéro, on va s'intéresser à une série de Nintendo que j'aime beaucoup : Metroid !
Introduction
C'est dans les années 80 que nait la série des Metroid sur NES. On distingue deux types de Metroid : Ceux axés plates-formes, et les FPA (first person Adventure). La série met en scène la chasseuse de prime Samus Aran, dans un univers futuriste. Les ennemis principaux du jeu sont les pirates de l'espace, détrousseurs armés jusqu’aux dents, vivant du pillage et de la rapine. Parmi les boss connus, on peut citer Ridley ou Mother Brain. Samus est membre de la fédération galactique, et aura été élevé par les derniers Chozos (peuple très intelligent et important (comme les Elfes dans le Seigneur des Anneaux (mais là, je m'égare))). Le nom de la série vient des créatures, les Metroides, créature étranges, flottantes, qui tuent leurs ennemis en se fixant sur leur tête, et en aspirant toute leur énergie. La saga est très inspirée du film Aliens, de Ridley Scott (c'est d'ailleurs en référence à lui que Ridley s'appelle comme ça). Voilà, après cette brève introduction, on va pouvoir parler des jeux !
Metroid, le commencement.
Sorti, le 15 Janvier 1988, sur NES, le premier Metroid aura posé des bases qui seront toujours conservées à la suite. Samus part donc pour la planète Zebes pour combattre Mother Brain, chef des pirates de l'espace, et vaincre les Metroids que ces derniers utilisent en tant qu'armes. Le jeu se divise en plusieurs parties : Brinstar, Norfair, Tourian, La cachette de Kraid et La cachette de Ridley (qui sont deux boss du jeu). Comme dans tous les Metroids suivant, il sera possible de récupérer des objets qui seront fort utile à la progression, comme la Morphing Ball par exemple. A noter que l'on découvrait que Samus était une femme, que si on terminait le jeu en moins de 5 heures (ce qui n'est pas facile, car le jeu est plutôt hardcore). A noter que beaucoup d'éléments de Gameplay seront réutilisé, comme la technique du Bomb Jump, qui consiste à utiliser la Morphing Ball, de poser une bombe, et de rester dessus, pour nous permettre de sauter lorsqu'elle explose. En résumé, Metroid aura posé des bases, et reste un classique aujourd'hui ! Passons a présent au second Metroid.
Metroid II : Return of Samus, l'inconnu ?
Sorti le 12 mai 1992, sur GameBoy, Metroid II est le second épisode de la saga Metroid. La fédération galactique est créée. Elle employe des chasseurs de primes à son service, dont Samus. La fédération découvre une forme de vie inconnue sur une planète, et envoie dont Samus la découvrir. Il s'agit en fait d'un petit Metroid dans une capsule. Mais sur le chemin du retour, Samus se fait attaquer par les pirates de l'espace qui dérobent la petite capsule. Samus doit donc aller la récupérer, car les pirates de l'espace utilisent les Metroid pour la guerre. Cette fois ci, la chasse au Metorids est au cœur du Gameplay, avec un compteur de Metroids à tuer. Comme d'habitude, toujours plusieurs zones, même plus que dans le premier (huit dans celui-là, contre quatre pour le premier Metroid). Graphiquement, le jeu ressemble beaucoup plus au Metroids suivant (Super Metroid et Metroid Fusion), que le premier. Ce second épisode aura connu moins de succès que les autres, ce qui est étrange, car c'est un jeu très bon. Bref, maintenant, on va entrer dans la partie qui me plait, le troisième épisode !
Super Metroid, le meilleur !
Sorti le 28 juillet 1994, sur Super Nintendo, Super Metroid est le troisième épisode de la saga Metroid. Super Metroid, est, personnellement, le jeu qui mériterais le plus un remake en HD. Rien que pour voir des scènes cultes aujourd'hui, comme le combat contre Mother Brain, le sacrifice du petit Metroid, l'explosion de Zebes, etc ... Samus, après son épopée vécue dans Metroid II, rencontre un petit Metroid sorti de l'œuf. Samus refuse de tuer le petit Metroid tout mignon, parce qu'il prend Samus pour sa môman. Elle décide de le donner aux scientifiques de la Fédération pour qu’ils l’étudient. Et c'est là que Ridley arrive et enlève la petite larve de Metroid. Samus va donc devoir une nouvelle fois, aller sur Zebes. Après avoir triomphé des vils boss et pirates de l'espace, Samus tombe sur le petit Metroid, qui est devenu grand. Et là, le petit attaque Samus. Et au moment où il nous reste un seul point de vie, le petit gros se rappelle qui est Samus. Samus ayant récupérée sa vie, va donc combattre Mother Brain. Après un dur combat, Samus est sur le point de mourir. Mother Brain s'apprête à lancer une dernière fois son Super Laser (à l'époque, tout était Super), quand le petit gros Metroid arrive, et attaque Mother Brain. Le petit gros draine la vie de la méchante chef de pirates de l'espace pour insuffler de nouveau la vie à Samus. Sauf que le temps de recharger la vie de Samus, Mother Brain aura eu le temps de récupérer sa force, et attaque le petit gros, qui était sur Samus. Le pauvre Metroid meurt en voulant protéger Samus, sauf que comme Samus à en elle la force du Super Laser de Mother Brain, eh ben elle vainc Mother Brain sans trop de difficultés. Enfin, le jeu se termine sur la fuite de la planète, en train d'être détruite. Je sais, c'était long de raconter la fin, mais elle est juste épique. Le système de jeu est toujours hérité des précédents : Un scrolling 2D dans un monde ouvert, avec plusieurs zones, et des améliorations qu'on collecte au fur et à mesure. Certains ajout son fait au Gameplay : La possibilité de tirer dans huit direction, le saut mural, etc ... Le Gameplay rapide en fait un des jeux favoris des Speedruners. Le jeu aura reçu un excellent accueil de la part de la presse spécialisée, mais ce sera vendu un peu moins bien que le premier Metroid. Bref, voilà ce qu'on pouvait en dire sur ce Super Metroid. Il est maintenant temps de faire une pause de presque 10 ans !
Metroid Fusion, le retour !
Sorti le 22 novembre 2002, sur GameBoy Advance, Metroid Fusion marque le grand retour de Metroid après 8 ans d'absence ! Cette fois ci, pas de Metroides (ou presque pas). Samus, en mission sur la planète SR388, contracte un parasite nommé "X", qui s'est développé depuis la disparition des Metroides sur la planète, qui étaient leurs ennemis naturels. Le parasite, se multipliant dans la combinaison de Samus, devint de plus en plus dangereux. Finalement, Samus fut vaccinée par les médecins de la Fédération grâce à des cellules de Metroides. A noter, que Metroid Fusion est le seul Metroid où Samus ne porte pas la combinaison habituelle rouge (car celle-ci est contaminée par les X), mais la combinaison Fusion, bleue et jaune avec le casque rose. Le système de jeu ne change toujours pas, mais le jeu est plus lent que Super Metroid. Comme d'habitude, on ramasse des items forts utiles en chemin, et il y a plusieurs zones de jeu. Il faut savoir aussi que, chronologiquement, Metroid Fusion est le dernier Metroid : Tous les autres se passent avant. Metroid Fusion est aussi le dernier Metroid à ce jour étant totalement en 2D (Other M étant également en 3D). Bref voilà ce qu'on pouvait dire sur ce Metroid Fusion. Maintenant, on change de style avec un FPA !
Metroid Prime, la 3D arrive !
Sorti le 21 Mars 2003, sur GameCube, Metroid Prime est le premier Metroid en 3D. Cette fois ci, la planète principale est Tallon IV. Après avoir reçu un signal de détresse, Samus trouve un vaisseau pirate de l'espace abandonné. Dans le vaisseau, elle se fait surprendre par un parasite qui a muté à cause des pirates. Après l'explosion du vaisseau, Samus, qui au passage perd nombre de ses capacités comme la boule morphing, voit Ridley (encore lui) s'envoler vers Tallon IV. C'est donc là que commence notre épopée sur la planète. Après avoir parcouru les habituelles zones et récupéré les habituels items, Samus doit trouver douze artefacts Chozo, qui sont en réalité des clés (comme dans Zelda OoT), pour pouvoir obtenir une météorite contenant du phazon, substance qui décuple les forces, et que les pirates de l'espace avaient pour ambition d'utiliser. Et quand enfin elle arrive au cratère, elle trouve un Metroid géant, sous l'effet du phazon, qui est appelé Metroid Prime. C'est le boss final du jeu. Le premier Metroid Prime posera les bases de Gameplay pour les Metroid Prime suivants. Malgré la 3D, on sent bien que le jeu ressemble beaucoup au Metroids précédents : Les portes qui doivent êtres ouvertes en tirant dessus, les items à récupérer etc ... Le jeu profite de sa 3D pour poser souvent des énigmes, à la manière d'un Zelda. Il y a de nouveaux items, comme le fameux grapin, et beaucoup d'items qui étaient présent dans les anciens Metroid voient leur fonction modifiée. Metroid Prime aura été acclamé autant par les joueurs que par la presse spécialisée (même si Famitsu n'aura mis "que" 33/40, quand on sait que Nintendogs a eu 40/40 ...). Le jeu se sera très bien vendu. Je crois que c'est tout ce qu'on pouvait dire sur Metroid Prime. Passons au second épisode.
Metroid Prime 2 : Echoes, second épisode.
Sorti le 26 novembre 2004, sur GameCube, Metroid Prime 2 est le second Metroid en 3D. Tout commence lorsque Samus reçoit un message de la fédération lui demandant de localiser des unités perdues sur la planète Ether. Finalement, elle découvre que les unités ont été détruites par des Ings, un peuple maléfique, en guerre contre les Luminoth, l'ancien peuple autochtone d'Ether. Samus décide donc d'aider les Luminoth à vaincre les Ings. Mais un ennemi très puissant les empêchera de vaincre : Dark Samus, qui est en réalité le Metroid Prime, du jeu précédent. Le système de jeu est identique au premier Metroid Prime. Voilà, à part le scénario, il n'y a pas grand-chose d'autre à dire sur ce Metroid Prime 2. Maintenant, on va s'intéresser à l'épisode DS !
Metroid Prime : Hunter, de la 3D sur DS !
Sorti le 5 mai 2006, sur DS, Metroid Prime : Hunter est le dernier Metroid sur console portable. Cette fois ci, notre vaillante chasseuse de prime de rend sur le système Alambic, pour trouver une arme secrète. Sauf que six autres chasseurs de primes ont aussi reçu le message, et c'est donc la compétition pour savoir qui l'aura ! Samus découvre que les Alambic, est un peuple qui fut victime d'une comète qui s'écrasa sur une de leur nombreuse planètes. De cette comète, naissait une créature nommée Gorea qui copia l'apparence des Alambics pour les détruire. Finalement Gorea fut enfermée dans un vaisseau, qui a été envoyé dans une dimension parallèle, ne pouvant être ouvert que par huit clés. Samus récupère les clés, et, avec l'aide des six autres chasseurs de primes, vainc Gorea. Le jeu ressemble vaguement aux Metroid Primes sur console. L'écran tactile sert pour faire bouger le viseur. Le jeu est également pourvu d'un mode multijoueur fort sympathique, jusqu'à quatre joueurs. Voilà, c'était tout pour cet épisode DS. Maintenant, on va passer au dernier Metroid Prime.
Metroid Prime 3 : Corruption, la fin.
Sorti le 26 octobre 2007, sur Wii, Metroid Prime 3 : Corruption est le dernier Metroid Prime. Dans ce dernier opus, Samus les événements se déroule 6 mois après Metroid Prime 2 : Echoes. Les Aurora Units unités qui abritent le réseau de la Fédération, sont victimes d’un virus. Samus est donc appelée, avec d'autres chasseurs de primes par la Fédération. C'est en plein débriefing, que la base est attaquée par les pirates de l'espace. Dark Samus souhaite tuer Samus avec le phazon, mais elle fait le contraire en rendant Samus plus forte. Samus devra donc vaincre une bonne fois pour toute Dark Samus. Etant sorti sur Wii, le GamePlay est diffèrent et utilise la Wiimote et le Nunchuck. Le système de jeu ne changera toujours pas : Enigmes, items à récupérer, le jeu reste très similaire aux précédents Metroids Primes. L'amélioration majeure reste le mode phazon où les force de Samus sont décuplées, mais le temps est limité. Voilà ce qu'on pouvait dire. Passons maintenant au dernier Metroid en date.
Metroid : Other M, j'ai pas trouvé de commentaire dessus.
Sorti le 3 septembre 2010, sur Wii, Metroid : Other M est le dernier Metroid en date. Après un flashback de Samus nous remémorant le combat final de Super Metroid, Samus reçoit un message de détresse d'une station. Elle y va et rencontre des membres de la Fédération, dont un ancien ami et un général froid (au sens figuré), qu'elle a connu. Le jeu étant sorti plus récemment que les autres, je vais éviter de spoiler, d'autant que le scénario est long à expliquer. Pour faire court, tout se passe dans la station (soit dit en passant, nommée Station-Bouteille), le froid général est important et y a Ridley. Le jeu est un virage quasi-total dans le Gameplay : Le jeu se passe en vue ce côté, mais il est possible de changer vue de côté, première personne. Mais la vue ce côté est plus utilisée : Il est impossible de se déplacer en premier personne, elle ne sert que pour des objets comme le grapin. De nombreuses techniques de combat font leur apparition, comme l'esquive par exemple. Contrairement aux précédents Metroids, Samus a déjà beaucoup d'objets, mais ne peut les utiliser que si le froid général l'autorise. On notera aussi les graphismes du jeu de très bonne qualité, notamment les cinématiques. Le jeu se sera bien vendu, et aura eu un excellent lancement, au Japon. Le jeu aura été bien reçu également. Bref, c'est tout ce que j'avais à dire que ce Metroid Other M.
Voilà, ce second article touche à sa fin. N'hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé dans les commentaires, et si vous voulez que je traite une série en particulier, demandez-moi ! C'est tout, et à la semaine prochaine !
L'histoire d'une Saga n°1 : Warcraft
Eh oui, je suis de retour ! Même si doit y'avoir que trois mecs qui se souviennent de moi. Bref, pour mon retour, j'ai décidé de commencer une série (écrite, sur ce blog, évidemment) qui parlera de ... séries. J'essayerais de sortir un article par semaine, je verrais. Aujourd'hui, on va s'intéresser à la série Warcraft, une série qui me tient à c½ur !
Introduction
On va commencer par une petite intro : Warcraft est une série de stratégie, jeux de rôles et MMORPG, dans un univers Medieval-Fantastique (enfin, médiéval, c'est sujet à débat). C'est une série datant du milieu des années 90, et qui a toujours été réservé au PC (seul une compilation avec Warcraft II et son extension est sortie sur PS1 et sur Saturn). C'est une histoire complexe, parsemée de guerre. Pour faire simple, l'histoire se déroule principalement dans le monde d'Azeroth (une autre planète est aussi importante dans l'histoire : Draenor, appelé aussi Outreterre), ou la guerre fait rage entre deux factions : La horde et l'alliance. Les deux peuples principaux sont les humains, et les Orcs. Les deux premiers Warcraft se concentrent sur ces deux races, alors que Warcraft III proposera des campagnes solo avec les morts vivants et les elfes de la nuit. Parlons un peu du monde d'Azeroth : C'est une planète composée de quatre continents : Les royaumes de l'est, où vivent notamment les humains, les nains et les morts vivants, Kalimdor, continent aride où vivent les Orcs, les Taurens ou les Elfes de la nuits, le continent glacé de Norfendre, où vit le roi liche, Arthas Menethil (très important dans l'histoire de Warcraft) avec son armée de morts vivants et le dernier continent, la Pandarie avec son style asiatique, où vit les Pandarens, hommes pandas dont la vie est paisible, et la bière leur boisson favorite. Draenor est la planète d'origine des Orcs et de plein d'autres créatures plus exotiques les unes que les autres. Mais c'est également le repaire de la terrible légion ardente, légion de démons malveillants (très importants dans l'histoire de Warcraft). Voilà ce qu'on pouvait dire sur l'histoire de Warcraft (et c'est la version simplifié). Passons maintenant aux jeux.
Warcraft : Orcs and Humans, le commencement
Sorti en 1995, le premier Warcraft était un jeu de stratégie en temps réelle (comme Starcraft). Dans ce premier jeu, il y avait deux campagnes solos, une avec les Orcs et une avec les humains. D'un côté, les Orcs, tentant d'envahir Azeroth, de l'autre, les humains (étant les autochtones d'Azeroth) devant vaincre l'envahisseur (comme avec les romains et les gaulois). Néanmoins, les Orc gagnent au final, même si on prend les humains. Le jeu propose également un mode multijoueur dont les but est comme celui de Starcraft, détruire tous les bâtiments de l'adversaire. Warcraft est un jeu de stratégie classique, ressemblant à un Age of mythology (bien qu'à l'époque, le genre était plutôt novateur). Contrairement à beaucoup d'autre premiers jeux de saga à l'histoire complexe (comme le premier The Elder Scrolls), Warcraft : Orcs and Humans pose les bases du scénario qui seront toute conservées par la suite (j'espère m'être fait comprendre). Le jeu aura reçu un bon accueil par la presse spécialisée, bien qu'il n'obtint pas le succès dès le départ. Bref, c'était tout ce que j'avais à dire sur ce premier Warcraft, je sais c'était court. Mais passons maintenant au deux !
Warcraft II : Tides of Darnkess, la revanche des humains
Sorti en 1995, Warcraft II : Tides of Darnkess est le second épisode de la saga Warcraft. Après leur défaite, les humains, menés par Anduin Lothar fuirent vers le nord des royaumes de l'est, dans la région de Lordaeron. C'est là que l'alliance est créée : les nains, les gnomes et les elfes de la nuit rejoignent les humains. De leur côté, les Orcs, menés par Orgrim Marteau-du-destin fondent la horde avec les trolls et les ogres. Les humains, réfugiés dans la ville de Dalaran, réussissent finalement à reprendre le dessus sur les Orcs notamment grâce à la trahison d'un nécromancien de la Horde, Gul'dan. Dans la bataille finale, Anduin Lothar est tué par Orgrim Marteau-du-destin, mais les humains réussissent à détruire la porte des ténèbres, le grand portail qui a permis aux orcs d'envahir Azeroth. Les Orcs sont finalement vaincus. Le jeu est très similaire au premier Warcraft : le but est toujours de détruire les unités adverses. Le mode multijoueur permet de jouer jusqu'à huit, ce qui en fait (ou plutôt faisait) un jeu très populaire dans les lans. Le jeu aura reçu un accueil très positif comme son prédécesseur. Voilà ce qu'on pouvait dire sur ce Warcraft II. Mais ce n'est pas tout : le jeu est pourvu d'une extension !
Warcraft II : Beyond the Dark Portal
Sorti en 1997, Beyond the Dark Portal est la première mais surtout la seule extension de Warcraft II. Après leur défaite, les Orcs tentent d'envahir de nouveaux Azeroth (la porte de ténèbres d'Azeroth est détruite, mais pas celle de Draenor). Ils réussissent à arriver en Azeroth. Les humains doivent donc vaincre de nouveau lenvahisseur. Les Orcs sont repoussés hors d'Azeroth, et les humains parviennent même à détruire le portail de Draenor. Mais beaucoup d'humains y sont coincés, maintenant que la porte est fermée. Le jeu ne rajoute pas de grandes nouveautés, en dehors du scénario
Warcraft III : Reign of Chaos, dernier Warcraft solo (pavay césar)
Sorti en 2002, Warcraft III est très similaire (en terme de scénario, et d'univers) à World of Warcraft. La campagne du jeu est en quatre parties. Tout commence en Lordaeron, royaume Humain. Le prince, Arthas Menethil, accompagné de ma mage Jaina Portvaillant combat Le Fléau qui transforme les humains en morts vivants. Après avoir décimé la grande partie de la population de la ville de Stratholme (tous transformés en morts-vivants), Arthas poursuit le vil démon Mal'ganis jusque dans le continent de Norfendre (à noter que l'épuration de Stratholme est une scène revivable dans World of Warcraft) accompagné de son ami paladin, le Nain Muradin Barbe-de-bronze. Ils trouvent une épée qui est complètement badass, mais qui est en fait une épée maléfique, appartenant au roi liche, un vil nécromancien. Finalement, Arthas tue Mal'ganis, Muradin, et tous ses hommes, retourne en Lordaeron, tue son père, parce que l'épée maléfique, l'a obligé à le faire.
Dans la seconde campagne, Arthas et le fléau attaque la capitale des Elfes de Sang : Lune d'argent, pour ressusciter Kel'Thuzad, un nécromancien qui avait été tué auparavant par Arthas. Et là, Kel'thuzad dit à Arthas que le roi liche veut anéantir la légion ardente (légion de démon, qui l'un des ennemis principaux de Warcraft).
Dans la troisième campagne, Thrall, un chaman qui avait libéré les Orcs de Draenor arrive en Kalimdor avec les Orcs. Il rencontre le peuple des Taurens, et s'allie avec eux en les aidant à vaincre les centaures qui les menaçaient. Thrall accompagné du chef des Tauren, Cairne Sabot-de-sang, partis chercher un oracle, confie une colonie Orc à Grom Hurlenfer, dans les forêts elfiques. Mais il se trouve que les forêts sont sacrés pour les elfes de la nuit, et entrent donc en guerre contre les Orcs. Les elfes de la nuit ont dans leur un demi-dieu, Cénarius, alors, les Orcs, boivent l'eau d'un puits magique pour augmenter leur force. Sauf que le puits est corrompu par le sang du démon Mannoroth, et oblige les Orcs à servir la légion. Pendant ce temps, Thrall et Cairne trouvent l'oracle, qui les prévient de la connerie de Grom. Les deux compères, accompagnés de Jaina Portvaillant se dépêchent donc d'aller libérer Grom de l'emprise de Manoroth. Ils y parviennent, et Manoroth et vaincu.
Et enfin, dans la dernière campagne, la reine des Elfes, Tyrande Murmevent combat l'envahisseur humains et Orc. Elle apprend par la suite, que la légion ardente va envahir Kalimdor, et que c'est quand même plus important que la petite gue-guerre contre les humains et les Orcs. Elle réveille donc les druides, qui dormaient depuis quelques siècles, dont le plus puissant : Malfurion Hurlorage. Mais elle fais aussi une connerie : elle réveille le frère de ce dernier, Illidan Hurlorage. Il rencontre Arthas, qui lui parle du crâne de Gul'dan, qui permet de devenir plus puissant. Illidan s'en empare, devient un démon, et est bannis de la forêt. L'oracle, dont on ne connaissait pas vraiment l'identité, apprend qu'il est Medivh, un puissant mage qui avait trahis les humains dans le premier Warcraft. L'ultime alliance des hommes et des elfes (et des Orcs) entra en guerre contre les armés du mordor de la légion ardente et sur les versant de la montagne du destin au sommet du Mont Hyjal, sacré pour les elfes, ils se battirent pour libérer la terre du millieu Kalimdor d'Archimonde, chef de la légion ardente.
Warcraft III est certes un jeu de stratégie, mais il contient des éléments de jeu de rôle, par un système de héros, et des lieux où l'on peut acheter des objets, etc ... Comme dans Starcraft, il y a plusieurs races jouables, avec ses aptitudes : Les humains, les Orcs, les elfes de la nuits, et les morts vivants. Malgré cela, le jeu reste toujours assez similaire aux Warcraft précédents. Il aura reçu un très très bon accueil par la presse mais aussi par les joueurs. Le jeu est également pourvu d'une extension.
Warcraft III : The Frozen Throne
Sorti en 2003, The Forzen Throne est l'extension de Warcraft III, et se concentre sur Arthas. Ce dernier, semant le chaos dans les royaumes de l'est, s'est vu menacés par Illidan et la légion ardente, ainsi que par une rebelle elfe, Sylvanas Coursevent, qui est à la tête de la faction de morts vivants : Les réprouvés. Illidan lança l'assault sur le Norfendre, mais fut vaincu par Arthas. Illidan s'enfui alors vers l'Outreterre. C'est alors, que Arthas fusionna son esprit avec le roi liche, et devint le nouveau roi liche. Le jeu rajoute trois nouvelles campagnes : Les elfes de la nuit, l'alliance et les morts vivants. Voilà tout ce qu'on pouvait en dire sur Warcraft III.
World of Warcraft, l'apogée
Sorti en 2005, World of Warcraft est un tournant majeur dans la série. En effet, c'est le premier à ne pas être un RTS, mais un MMORPG. Deux faction d'affrontent : L'alliance (Les humains, les nains, les gnomes et elfes de la nuit) contre la horde (les Orcs, les taurens, les Trolls et les morts vivants). Je ne vais pas plus l'attarder sur le scénario. Le jeu propose neufs classes : Guerrier, Voleur, Chasseur, Paladin, Mage, Prêtre, Démoniste, Chaman et Druide (toutes les races ne peuvent pas jouer toutes les classes). Chaque classe à trois spécialisations, qui changent le style de jeu. A noter aussi que dans un groupe, chaque personne à un rôle précis : Le tank qui prends des dégâts, les DPS qui attaquent les ennemis pendant que le tank prend des dégâts et le heal (soigneur) qui soigne le tank. Chaque classe ne peut pas remplir tous les rôles : Seul les Guerriers, Paladins et Druides peuvent tanker, toute les classe peuvent êtres DPS, et seul les Paladins, Prêtres, Chamans et Druides peuvent healer. Il y a deux continents : Les royaumes de l'est et Kalimdor. Le jeu propose d'aller jusqu'au level 60. Pour monter en niveau, il y a plusieurs possibilités : Faire des quêtes, dans les zones, faire les donjons avec d'autre gens, où le but est simplement de tuer tous les boss, ou tuer des monstres (bien que cela soit très long). A noter que chaque zone correspond à un niveau, il est donc conseillé d'aller dans les zone de son niveau. Chaque race à une zone de départ, une capitale, quelques compétences raciales, et une monture. Il y a également plusieurs sortes de pvp (combat contre les autres joueurs) : Le pvp sauvage, où on affronte d'autres joueurs de la faction adverse lorsqu'on les croise, les duels, qu'il n'est possible de faire que contre les joueurs de sa faction, les champs de bataille où deux équipe qui vont de 10 à 40 joueurs selon les champ de batailles, s'affrontent, et les arènes où des groupes de 2, 3 ou 5 joueurs d'affrontent. Le jeu propose aussi un système de métiers, on peut faire deux métiers principaux (Minage, Forge, Ingénierie, Dépeçage, Travail du Cuir, Herboristerie, Alchimie, Couture et Enchantement) et tous les métiers secondaires (Cuisine, Pêche et Secourisme). Au niveau maximum, il est possible de faire des scénarios, qui sont comme des donjons, et dont le but change selon le scénario, et des raids, qui sont des donjon à 25 joueurs. Voilà ce qu'on pouvait en dire que World of Warcraft. Enfin, presque tout, car il y a aussi les extensions !
World of Warcraft : Burning Crusade
Sorti en 2007, Burning Crusade est la première extension de World of Warcraft. La porte des ténèbres s'est rouverte, l'Outreterre s'ouvre de nouveau à nous. La limite de niveau passe de 60 à 70 . Deux nouvelle race : Les draeneïs (pouvant être Guerriers, Paladins, Chasseurs, Mages, Prêtres et Chamans), peuple autochtones d'Outreterre rejoignent l'alliance et les Elfes de Sang (pouvant être Paladins, Chasseurs, Voleurs Prêtres, Mages et Démonistes) rejoignent la horde. Il est désormais possible d'avoir des montures volantes, utilisable uniquement en Outreterre. Un nouveau métier principal : La joaillerie. Le boss final de l'extension : Illidan Hurlorage.
World of Warcraft : Wrath of the Lich King
Sorti en 2008, Wrath of the Lich King est la seconde extension de World of Warcraft. Le continent glacé de Norfendre est désormais disponible ! La limite de niveau passe de 70 à 80. Pas de nouvelles races mais une nouvelle classe héroïque : Les chevaliers du zodiaque de la mort (disponibles pour toutes les races), classe qui peut tanker et faire du dps, qui commence au niveau 55 et qui ont leur propre zone de départ. Parmi les nouveautés, on notera les armes de sièges disponibles pour certains champs de bataille, et le salon de coiffure qui permet de changer d'apparence. Nouveau métier principal : La calligraphie. Le boss final de l'extension : Le roi liche.
World of Warcraft : Cataclysm
Sorti en 2010, Cataclysm est la troisième extension de World of Warcraft. Cette fois ci, seulement 5 nouvelles zones éparpillées un peu partout dans Azeroth, mais surtout, Azeroth complétement dévastée, à cause du Cataclysm. La limite de niveau passe 80 à 85. De nouvelles classes sont disponibles pour certaines races. Ainsi, les Humains peuvent désormais être chasseurs, les nains, mages et chamans, les elfes de la nuit, mages, les gnomes prêtres, les Orcs, mages, les morts vivants, chasseurs, les taurens, paladins et prêtes, les trolls, druides, et les elfes de sang, guerrier. Deux nouvelle race : Les Worgens, humains transformés en loups (pouvant être Guerriers, Chasseurs, Voleurs, Mages, Prêtres, Démonistes, Druides et Chevalier de la mort) et les Gobelins (pouvant être Guerriers, Chasseurs, Voleurs, Mages, Prêtres, Démonistes, Chamans et Chevaliers de la mort). Parmi les nouveautés, les guildes ont désormais un système de niveau, et on débloque des avantages de guildes à chaque niveau. Les montures volantes peuvent aussi désormais être utilisés partout en Azeroth. Nouveau métier secondaire : L'archéologie. Le boss final de l'extension : Aile de Mort (Un grand dragon, qui a provoqué le Cataclysme)
World of Warcraft : Mist of Pandaria
Sorti en 2012, Mist of Pandaria est la quatrième extension de World of Warcraft. Pour une fois, un continent quasiment pas décrit dans Warcraft : La Pandarie, au style asiatique. La limite de niveau passe 85 à 90. Une nouvelle race : Les Pandarens (pouvant être Guerriers, Chasseurs, Voleurs, Mages, Prêtres, Chamans et Moines), jouable dans l'alliance et dans la horde, et une nouvelle classe : Les moines, étant la seule classe avec Paladin pouvant être Tank, dps et heal. A noter, que toutes les races, sauf les Worgen et les Gobelins peuvent jouer Moine. Parmis les nouvautés, il est possible de faire des combats de mascottes (petits animaux ou créature) très fortement inspiré de Pokémon. Il faut savoir que les extensions se développent généralement sur deux ans, en plusieurs mises à jour. Ainsi, le boss final de l'extension est encore inconnu. Je mettrais à jours cet article, car World of Warcraft est un jeu en constante expansion.
Voilà, c'était le premier numéro de l'histoire d'une saga. Je pense qu'il y aura une semaine entre deux articles. J'espère que ça vous aura plus, n'hésitez pas à me dire vos impressions, les défauts, pour que je puisse m'améliorer. Si vous souhaitez que je fasse un numéro sur une série en particulier, n'hésitez pas à me demander dans les commentaires !
Test n°8 : Dishonored
Bonjour à tous ! Aujourd'hui, et pour une fois, je fais le test d'une jeu récent d'un mois et quelques jours. Je précise que j'ai Dishonored sur PC. Voilà, bref, voici le test de Dishonored !
Dishonored est un jeu d'infiltration qui à été développé par Arkane Studio, notamment connus pour le développement d'Arx Fatalis. Et donc, dans ce jeu, on incarne Corvo, ancien grade du corps de l'impératrice, sauf que comme elle s'est fait assassinée en sa présence, eh bah, c'est lui que tout le monde accuse (c'est con, hein ?). De plus, le seul témoin qui peut prouver notre innocence, la fille de l'impératrice, s'est fait enlevé par ses individus. Du coup, on s'évade de prison (j'ai déjà vu ça quelque part dans un jeu Bethesda) et on va devoir retrouver la fille de l'impératrice pour la mettre sur le trône de l'empire, et pour cela, il va falloir assassiner des personnes. Voilà, ça c'était pour le scénario. Au passage, tout le jeu se passe à la première personne, et c'est dommage, parce que j'aurais bien voulu jouer à la troisième personne. Et donc, le premier truc qui choque un peu, c'est les personnages, qui sont tous très moches (j'ai déjà vu ça quelque part, dans un jeu Bethesda ...). Mais bon, mis à part les personnages, le jeu est pas moche, les textures sont pas trop dégueulasses et les environnements (bien que je ne sois pas sûr qu'on puisse parler d'environnement lorsque l'on est dans une ville ravagée par la peste avec un air pollué) sont jolis. Après, c'est pas non plus la claque graphique, mais c'est pas bien grave.
Dans Dishonored, on peut partir à la rencontre d'Abraham Lincoln avec une barbe plus longue.
L'un des points faibles du jeu, c'est l'IA. On peut passer sous le nez des gardes, ils voient rien. Ah, et un truc super énervant, la masse de garde qui apparaît de nul part lors des combats. Ben tiens, les combats, parlons en ! Au moins, les combat sont vraiment dynamiques. Notre barre de vie n'est pas très grande, mais pour compenser, celle des ennemis non plus. Dans Dishonored, d'une main, on à une épée (qu'on ne peut pas retirer) et dans l'autre, un pistolet, une arbalète ou une grenade. Il est aussi possible d'utiliser des sorts comme par exemple se téléporter à courte distance ou prendre possession d'un animal (Rat ou poisson). Pour débloquer des sorts, il faut collecter des runes qu'on trouve un peu partout. Il y aussi un truc, qu'on appelle les charmes d'os. C'est comme les runes, sauf qu'ils permettent de débloquer des compétences comme sauter plus loin ou pouvoir tuer d'un coup un ennemi si on en à tué plusieurs juste avant. Et pour trouver ces runes et ces charmes d'os, il faut un objet, qui est un coeur humain qui parle (chez Arkane studio, on à de l'imagination ou de la drogue, je sais pas) et qui permet de détecter ces artefacts. L'arbalète, qu'on récupère assez tôt dans le jeu nécessite des carreaux, on est distingue trois types : Les carreaux normaux, les carreaux anesthésiants qui endorment les ennemis et les carreaux incendiaires qui brûlent les ennemis. D'ailleur, il n'est pas obliger de tuer les ennemis, on peut juste les étouffer (ce qui est pratique, si on à pas envie de tuer des civiles, mais qu'ils peuvent nous faire repérer lorsque nous sommes en furtivité). Voilà, ça c'était tout pour le gameplay.
La grenade peux faire de gros dégats.
Niveau durée de vie, c'est court, une dizaine d'heure pour finir le jeu, et très peu de missions. Dommage aussi qu'il n'y ait pas de quêtes annexes, même si certains apprécieront de vagabonder un peu partout dans la ville. Pour la bande-son, la musique est très discrète, c'est plutôt les doublages qui sont le point fort du jeu. Enfin, le scénario est bon, même si je trouve l'univers mi futuriste mi 19ème siècle un peu bizarre. Voilà, c'est tout pour Dishonored, il n'y aura pas de comparaison, donc on passe tout de suite à la note.
Note
Graphismes : 15/20. Les personnages sont très peu esthétique mais à part ça, c'est plutôt joli.
Jouabilité : 16/20. Les combats sont géniaux, le côté infiltration aussi, mais l'IA est moyenne voir mauvaise.
Durée de vie : 12/20. C'est quand même court, mais certaines personnes aprécieront de refaire le jeu.
Bande-son : 15/20. Les doublages et les bruitages sont bons, mais on aurais aimé que la musique sois moins discrète.
Scénario : 16/20. Un bon scénario, mais un univers un peu bizarre.
Note finale : 16/20. Dishonored reste tout de même un bon jeu, bien que les défauts soient pour certains gênant. Mais, le fun reste tout de même là.
Trailer amateur de Majora's Mask HD
Aujourd'hui, ma trouvaille est bien differente de celle de la dernière fois, puisqu'il s'agit d'un trailer de Majora's Mask HD fait par des FAN. Sans plus attendre, le voici :
A voir en plein écran et en 720p !
Nintendo, c'est d'la merde !
Tout d'abord, je précise que le titre de cet article est en réalité le titre d'une vidéo navrante qui montre bien la stupidité des kikoo-PS3 ... Ma dernière trouvaille du net, qui mérite de figurer au panthéon des vidéo de merde :smilesp:
C'est qu'il se dit podcasteur en plus le gamin :noelol:
Let's Play Zelda : Majora's Mask épisode 1
Voici donc l'épisode 1 de mon let's play sur Zelda : Majora's Mask. Désolé pour la qualité de merde (240p) et ... les bruitages agacents, et ma voix un peu chiante à la longue :smilesp:
WTF ?!
Aujourd'hui, j'ai vu quelque chose et j'ai gueulé : What the fuck ? Pourquoi ? eh bien pour ça :
:smilesp:
Test n°6 (rétro) : Zelda : The Wind Waker
Salut les Kokiris ! Eh oui , déjà le 6ème test ! Il y a en tout 10 tests . Donc plus que 4 test ! Allez , bon test !
Aaaah , The Wind Waker ... Quel grand jeu GameCube ! Et pourtant lors de son annonce le jeu avait refroidi beaucoup de gens à cause de son style graphique. Et même après la sortie du jeu, quelques personnes n'aiment pas le jeu pour son style graphique. Comme d'habitude, je commence par les graphismes. Graphiquement, le Cell-Shading est extremment beau et offre au jeu un petit style dessin animé (nottament avec les explosions qui sont très belles) . Bon, y a un défaut aux graphismes, c'est les donjons pas vraiment interressant à regarder. Mais bon, c'est pas un enorme défaut, surtout que les personnages sont très marrants à voir. D'ailleurs, l'océan est vraiment très étendu et il y a beaucoup d'îles qui sont toutes très plaisantes à explorer. Eh tiens, tant qu'on parle de la mer, l'eau est vraiment très joli à regarder surtout avec le bel effet d'écume. Et y a aussi un petit effet de brouillard en mer quand on est loin d'une île. Enfin bref, graphiquement, c'est très beau.
C'est vraiment sympa à voir !
Aaaaah, se GamePlay ... C'est vraiment plaisant à jouer. Mais evidemment, la grosse innovation du jeu est evidemment la navigation en mer qui est juste super. C'est jouable, parfaitement jouable, et ce jeu est le premier Zelda à offrir un système de combat dyamique. Eh oui, dans les 2 précédents Zelda 3D, Ocarina of Time et Majora's Mask, les combats n'étaient pas extremment bien fait, mais avec se jeu, les combats son extremment plaisants à faire. Dans presque touts les Zelda, on peut faire de la musique. The Wind Waker n'échappe pas à la règle, et l'instrument du jeu est le plus atypique de toute la série car ... c'est une baguette ! Oui, une baguette de chef d'orchestre. Et je doit dire qu'elle n'est pas evidente à prendre en main au début. Mais avec l'habitude , on y arrive très facilement. Et enfin, je fini ce paragraphe GamePlay avec les enigmes du jeu : Elle sont très bien foutus, plus complèxes sur ceux sur N64 mais moins que TP. Bref, The Wind Waker à une excellente jouabilité.
"Je suis un virutooooose"
Ce jeu est très long, surtout que quand le jeu est terminé, on peut le refaire avec Link en pyjama. Oui, c'est pas utile mais marrant. Et surtout, les musiques du jeu sont juste épique est collent parfaitement bien à l'ambiance maritime. On note la musique de l'intro, celle de l'ile de l'Aurore, où la musique du combat contre Ganondorf. Bref, The Wind Waker est un jeu mythique et qui est le meilleur jeu GameCube selon moi .
Youpiiiiii !
COMPARAISON
Aujourd'hui, je compare TWW à 3 jeux . C'est partiiii !
The Legend of Zelda : Twilight Princess
Plateforme : GameCube/Wii
Sortie : 2006 (3 ans après TWW)
Les plus ce jeu : Les donjons plus interressants, le environements plus grands.
Les moins de ce jeu : Les graphismes moins beau par rapport à l'époque de sortie, moins original.
Verdict : Moins bien que TWW
The Legend of Zelda : Phantom Hourglass
Plateforme : DS
Sortie : 2007 (4 ans après TWW)
Les plus de ce jeu : On peut y jouer partout car c'est sur console portable .
Les moins de ce jeu : Le cell-shading moins beau, les musiques de moins bonne qualité, les voyages en bateau moins sympa.
Verdict : Moins bien que TWW
The Legend of Zelda : Skyward Sword
Plateforme : Wii
Sortie : 2011 (8 ans après TWW)
Les plus de ce jeu : Les donjons plus interressants, les musiques orchestral.
Les moins de ce jeu : Les graphismes moins beau, la durée de vie moins prononcé.
Verdict : Moins bien que TWW
Note
Graphismes : 19/20. Le cell-shading est très beau et les pixel sonrt très dur à voir.
GamePlay : 19/20. C'est super jouable et assez original avec le bateau ou la baguette.
Durée de vie : 18/20. C'est très très long ! Plus la deuxième aventure en pyjama.
Bande-son : 18/20. Les musiques sont super et collent avec l'ambiance.
Note finale : 19/20. Quel jeu excellent ! Il est le meilleur jeu Gamecube et fait parti des meilleurs Zelda 3D.