Test de Final Fantasy XII : Revenant Wings
Un pari risqué…
Après un plus que bon Final Fantasy XII, Square Enix, revient, un an plus tard avec une suite qui n’a de suite que le nom. En effet, ces événement se passe après l’intrigue principale sur PS2 mais le style de jeu devient tout a fais différent ! On entre alors dans un Jeu de Rôle très tactique. Un pari risqué, mais on ne peut s’attendre qu’a du bon avec Square !! Surtout qu’avec le très bon Advance Wars sorti en même temps, Revenant Wings avait du souci à se faire…
Synopsis du jeu :
Pour ce deuxième opus, nous avons le droit a une histoire toute neuve : même héros certes (Vaan et Penelo étant mis en avant), mais histoire nouvelle ! En effet, un jour, nos héros découvrent un vaisseau abandonné, infesté de monstre. En train de se débarrasser d’eux, ils seront propulsés à bord de leur engin sur l’île flottante de Lémurés. La, il rencontreront un certain Llyud, un guerrier aegyl, révolté, par l’exploitation de ses confrères. A vous de les sauver !!
C’est mon genre :
La stratégie en temps réelle n’ayant jamais été le fort des consoles, il faut le dire, on ne pouvait que douter. Maintenant, soyez en sur, le RTS sur DS peut faire du bon ! Les bases du genre ayant été totalement (et pas superficiellement) transportées pour nous offrir de la stratégie pure et dure : un élément majeur du jeu à souligner reste cependant un peu dur a gérer ; le rapport de force : En effet même si les monstres de M (mêlée) vaincront facilement les monstres D (à distance) qui seront eux-mêmes plus forts que les monstres V (volants) on se retrouve vite a ne plus utiliser cette tactique, tant le bordel de monstre peut être présent.
Le coté RPG se fait aussi sentir sur plusieurs points : tout d’abord les levels ups sont indispensables si vous voulez apprendre de nouveaux sorts. ; Ensuite un bon équipement reste primordial pour vaincre certains ennemis.
Invocations, êtes vous là ?
Principale nouveauté du jeu : les portails d’invocations ! Ils vous permettent d’invoquer des monstres pour combattre sur le terrain : a la manière d’un deck, vous devrez préparer, avant chaque affrontement, votre équipe d’invocation (celle que vous pourrez invoquer lors des combats) ; pour avoir des monstres potables lors des affrontements, une seule solution : les pactes. Vous devrez en effet lier des pactes avec les monstres grâce aux maghilites (des pierres) que vous gagnerez au fur et a mesure de l’aventure.
Dernière Partie : Révélations et Techniques : un boulot monstre ou monstrueux ?
Passons maintenant a la dernière partie de ce test (on se quitte déjà…) : Le texte résumant les qualités et les défauts du jeu ; le texte qui apporte du bon (et parfois du moins bon). Cette fois-ci, le verdict est tombé… et il est… plutôt bon ! En effet, les graphismes sont plutôt magique pour nos petits yeux, et ne s’approchent heureusement pas du style old-school de FFTA, les thèmes de FF XII ont été partiellement gardé, pour le bonheur de nos petites oreilles ; et le jeu se révèle plutôt long !! Place aux notations si vous le voulez bien !
VERDICT :
Graphismes : 16 / 20
Surprise plutôt heureuse car le jeu n’as pas suivi les graphismes old-school de FFTA !
Son : 16 / 20
Ils reprennent pour certains, les thèmes de FF XII premier du nom sur PS2, c’est plutôt joli !!
Jouabilité : 15/20
Elle est plombée par le manque de lisibilité du titre, le gameplay reste tout de même aussi propre qu’a la souris !
Difficulté : 10 / 20
Mal repartie, on avance facilement en moyenne, mais on reste bloqués bêtement sur certains niveaux.
Scénario : 15 / 20
Sauver la contrée d’Ivalice, cela peut paraître classique, mais les rebondissements nombreux prouvent le contraire !!
Durée de vie : 16 / 20
Il vous faudra environ 25 heures pour venir a bout des 81 missions, c’est suffisant !
Intérêt général : 15,5 / 20
Agréablement surpris par ce qui aurait pu être une suite fade, ou un remake pourri. On prend beaucoup de plaisir a jouer, et on est surtout très fier de le finir =]
Les plus :
- Ni un remake, ni une suite fade
- Quelques thèmes magnifiques
- Les graphismes qui ne suivent pas FFTA
Les moins :
- Une difficulté inégale
- Une lisibilité un peu brouillonne.
Paul-Aymeric
