Déceptions de l'année 2008 : Le point
Première grosse déception, GTA IV, simplement le pire GTA 3D qui existe actuellement. Techniquement, il est vrai que le jeu est une bombe, que le moteur physique est tout à fait impressionnant. Mais quand on regarde un peu plus loin que ces critères, on se rend bien compte que la presse nous ment et nous corromps. J’ai acheté bien sûr le jeu les yeux fermés, mais après y avoir joué, j’ai trouvé de nombreux défauts, et facilement, ils se résument d’ailleurs en deux mots : trop réaliste. Oui, où est passé le fun des conduites improbables et des sauts complètement fous ? Où est passé le scénario original (pour un GTA) de San Andreas ? Ou est passé l’univers si kitch qui m’avait fait adoré Vice City ? Ou sont passés les petits boulots complètements cons comme la conduite de véhicules tels que le camion de poubelle ? Enfin… ou est passé l’originalité ? A trop vouloir en faire, GTA m’as plongé dans un ennui mortel. Si tuer des gens dans la vie réel est impossible. GTA IV est si proche de celle-ci qu’on préfère le vendre, pour en profiter vraiment, et pour approfondir des relations autres que je te baise avec les filles du jeu…
Deuxième déception, Super Smash Bros Brawl ! J’en vois déjà crier au scandale, car vous adorez tous le jeu, mais je trouve vraiment, qu’à trop nous avoir fait attendre, Nintendo à une nouvelle fois déçu. Pourquoi ? Déjà parce que beaucoup ont cliqués sur les spoiler pour connaître les personnages cachés et ont donc eu, trop peu de surprise, ensuite parce que la facilité pour débloquer stage et personnage était vraiment exorbitante, après parce que l’émissaire subspatial s’est transformé en ennui obligatoire, et enfin parce que le on-line à déçu par ses serveurs. Certes, ils reste la variété des coups, la variété tout simplement des choses à débloquer tels que les trophées, mais bon, à quoi bon le faire quand on est une personne qui n’adore pas peaufiné une stratégie ? A rien… Finalement, les seuls trucs que je risque de retenir, ce sont : le mode multi en offline et les événements, tout deux.géant.
Paul-Aymeric
