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TEST : The Legend of Zelda Spirit Tracks

Test rédigé pour Zelda-Source.com. Attention aux Spoilers. Permission d'utiliser seulement après avoir demandé à son auteur, Merci !



Étant la suite de Phantom Hourglass, la ressemblance au niveau graphique se fera donc très marqué mais Spirit Tracks vous offre aussi une toute nouvelle et époustouflante aventure, avec un lot de nouveauté !

Scénario

Nouveau jeu égal donc nouveau scénario. Dans ce tout nouveau monde d’Hyrule, vous jouerez le rôle de Link, notre petit héro de vert vêtu préféré, apprenti conducteur de train. Votre aventure commencera donc sur l’île du Bercail, Nico, un vieillard colocataire qui vous donnera l’impression de déjà vu, vous racontant la légende des Spirit Tracks. Il vous annonce aussi que vous devez rapidement aller rejoindre Alfonzo, votre mentor, afin que vous puissiez ensemble vous rendre au château d’Hyrule, voir la princesse, pour qu’elle vous remette enfin votre permis officiel de conducteur de train.

Une fois arrivés au château, vous vous rendez immédiatement à la cérémonie de remise des diplômes ou la princesse vous attend ainsi que son ministre à l’étrange comportement... La cérémonie débute alors et vous recevez votre permis des mains de Zelda mais, avant que celle-ci ne retourne dans ses appartements, elle s’approche de vous et vous demande, tout en vous remettant une lettre, de venir la voir, discrètement et seul, dans sa chambre. Elle vous quitte alors, ainsi que tous les autres et suite à un regard à donner froid dans le dos, le Ministre Cambouis vous lance un avertissement subtil que vous ne comprenez pas tout de suite.

Une fois parvenu jusqu’à la chambre de Zelda, elle vous apprend alors qu’Hyrule est en danger et que vous êtes le seul à pouvoir l’aider. En effet, la situation est alarmante puisque les rails entourant le royaume commencent à disparaître mystérieusement… Elle vous demande alors de l’accompagner jusqu’à la Tour des Esprits afin de voir s’il y aurait quelque chose là bas qui pourrait vous en apprendre plus sur le pourquoi de ces soudains évènements. Contraint mais heureux d’accepter, vous reprenez alors la route, après une fuite illégale du château avec Zelda, en direction de la Tour, accompagné bien entendu d’Alfonzo.



Cependant, alors que vous veniez tout juste de quitter le château à bord de votre train, les rails sur lesquels vous rouliez disparaissent, vous obligeant donc à soudainement arrêter votre progression. Soucieux de savoir ce qui se passe, vous descendez du train, tous les trois, et êtes presque aussitôt abordés par le Ministre Cambouis qui vous raconte alors tout son plan maléfique, désormais accompagné d’un certain Fraisil, dévoilant aussi sa véritable identité, sous ses deux chapeau. Il vous apprend qu’une fois tous les rails du royaume disparus et le pouvoir en sa possession, il pourra faire revenir l’Esprit du Mal mais que cependant, il lui manque encore un petit quelque chose afin de mener à terme son plan ; le corps de la princesse. Alfonzo s’interposant aussitôt, il se fera malheureusement rapidement mettre hors de combat par Fraisil qui ne fera alors qu’une bouchée de vous avant d’atteindre Zelda qui se fera séparée de son corps par Cambouis. Se sauvant avec le corps de la princesse, ils vous laissent donc tous les trois là, inconscients avec la Tour qui est maintenant divisée en plusieurs morceaux, soutenue par un étrange nuage mauve menaçant…

Heureusement, le docteur du château vous ayant découverts, vous vous réveillez en sûreté dans une chambre avec Alfonzo, gravement blessé. En sortant de là, vous apercevez ensuite l’âme de la princesse, demandant de l’aide aux gardes puis se dirigeant vers sa chambre, ne pouvant être vu apparemment que par vous. Vous la suivez donc et elle vous apprendra qu’elle ne sait pas comment elle a pu se retrouver dans cet état mais que vous devez rapidement vous rendre à la Tour afin d’en savoir plus, ce que vous faites. Vous y trouvez donc Axelle, du peuple des Lokomos, qui vous en dira plus et vous annoncera que vous et la princesse devrez faire revenir les rails dans Hyrule en visitant temples et en bravant tous les dangers afin aussi de récupérer le corps de Zelda avant qu’il ne soit trop tard…

Une aventure qui s’annonce spéciale et enchanteresse puisque ce sera la première fois que Zelda vous accompagnera tout au long du jeu, vous assistant de sa forme fantomatique mais aussi parce que vous retrouverez toute la magie de pouvoir jouer d’un instrument de musique ou encore de revisiter Hyrule sous un autre visage et combattre de nombreux ennemis…

Gameplay et maniabilité

Nous y sommes enfin ! LA grande particularité de ce deuxième jeu sur DS, celui qui marquera tous et chacun, est de pouvoir se déplacer grâce à un train ! Qui aurait cru qu’un jour, Nintendo nous feraient passer du cheval au bateau, puis du bateau au train ? Au départ, si les avis furent très mitigés concernant ce nouveau moyen de transport, il se fera cependant très vite oublié des mauvaises langues puisque l’on prend très rapidement goût à conduire ce petit engin bien réalisé !

En effet, si au départ la chose vous semble difficile à assimiler, c’est normal, ne paniquez surtout pas ! Après quelques explications claires et un peu de pratique, vous deviendrez un as du chou-chou et pourrez facilement vous rendre d’un endroit à un autre sans trop d’encombre, bien qu’il vous faudra surveiller tout autour de vous les ennemis pouvant vous nuire (que vous pourrez repousser avec le canon que vous recevrez un peu plus tard) ou encore rapidement changer la direction des rails afin de continuer dans le bon chemin pour vous rendre à destination. Si jamais, durant votre route, des créatures se retrouvait sur votre passage, il vous suffirait alors tout simplement d’utiliser la corde en haut à droite de votre écran tactile pour émettre un son avec votre train. Bref, le petit tableau de bord qui s’affiche à ce même écran lors de vos voyages (pouvoir ralentir, accélérer ou arrêter) en train est bien sympathique, facile à comprendre et à utiliser.

Et comme le système avait été bien apprécié dans Phantom Hourglass, le train, comme le bateau, sera modifiable ; vous pourrez donc changer les « parties » qui le composent comme l’avant et le derrière du train en passant par votre canon afin de l’améliorer non seulement au niveau design mais force et défense.



Comme vous ne passerez pas tout le jeu sur les rails, il nécessitera bien entendu que vous posiez les pieds sur la terre ferme, que ce soit pour visiter un village ou un temple. Heureusement, pas de changements du côté des contrôles de votre petit héro en tunique verte ; vous apprendrez très rapidement à bien le jouer. Suite à votre changement d’uniforme et à la tutoriel de départ, que ce soit pour attaquer, rouler, parler (simplement en pointant sur le personnage) la maniabilité de notre cher Link reste relativement facile. Chaque Zelda venant avec son lot de nouveaux petits objets sympathique à utiliser, comme pour exemple la flute ou l’arme créant de petites tornades, vous serez surpris d’aimer encore plus souffler dans le micro de votre DS pour jouer une mélodie ou nuire à vos ennemis ainsi qu’éloigner des substances vous bloquant le chemin. La particularité de pouvoir retrouver un instrument ressemblant à l’ocarina vous remémorera d’ailleurs de bons et nombreux souvenirs qui vous feront encore plus apprécier de pouvoir en jouer. Là ou ça se complique un peu, par contre, c’est avec votre gardien (ou plutôt gardienne ^^) en armure de Darknut…

Bien qu’étant un concept très intéressant, la possibilité de trimbaler Zelda avec vous un peu partout dans les donjons, lorsqu’elle prend possession d’un Darknut que vous aurez réussi à affaiblir en le frappant au dos avec votre épée lumineuse, reste un peu difficile à comprendre au départ. Cependant, une fois acquise, tout comme pour le train, vous n’en sortirez que plus content de jouer ! Cette grosse armure, habitée de l’âme de la princesse Zelda, vous sera très utile dans les donjons puisqu’elle pourra non seulement elle aussi attaquer vos ennemis mais bloquer des lance flammes, traverser, avec Link sur son dos, des lac de lave ou encore, si vos ennemis sont trop haut, vous prendre sur ses épaules afin que vous puissiez les atteindre. Plusieurs énigmes ne pourront être résolue qu’avec la collaboration du gardien comme pouvoir ouvrir des portes en appuyant simultanément sur les deux paliers ou encore envoyer celui-ci dans un endroit inaccessible par Link pour faire quelque chose pendant que Link, de l’autre côté, complètera le travail.

Contre certains mini-boss, elle saura se rendre utile mais c’est là que ça se complique un peu plus puisque vous devrez contrôler à la fois Link et l’armure afin de mélanger votre ennemi et de pouvoir l’attaquer à son point faible ce qui ne sera pas facile et demandera de la pratique au début. Et comme c’est la princesse qui l’habitera tout au long de votre parcours, ne soyez pas surpris de la voir affronter les plus féroces ennemis sans jamais flancher mais de soudainement la voir se paralyser devant deux petites souris ; elle reste Zelda !

Les donjons, plus vous avancerez dans votre quête, sauront aussi vous offrir beaucoup de challenges, d’énigmes et de nouveautés dans la manière de passer au travers. Les minis quêtes seront elles aussi nombreuses afin d’aider les habitants d’Hyrule ou encore pour votre propre profit personnel. Et que dire du mode multiplayer qui vous donnera en plus de longues heures de jeu à combattre vos amis(es) accompagné de rires et plaisir !

Graphismes et sons



Reprenant essentiellement les mêmes graphiques que Phantom Hourglass, Spirit Tracks ne se voit donc pas spécialement doté d’un meilleur charme. Dès le début de l’aventure, ont peu facilement remarquer que le tout, toujours en Cell-Shading, aura été mieux fini et attentivement retouché ce qui ne sera pas du tout à déplorer.

Le look du jeu dans son ensemble reste donc très coloré et amusant, pour l’ambiance mais aussi les limites de la console, et très bien accompagné par des musiques et des sons parfois à coupés le souffle qui vous feront rappeler de précieux souvenirs ou rapidement tomber encore plus sous le charme de cette magnifique aventure qu’il vous faut à tout prix posséder si vous êtes un fan de la série Zelda !

Verdict

Vivez donc pleinement l’aventure de Spirit Tracks sans avoir peur de le regretter puisqu’il est facilement meilleur que Phantom Hourglass et vous fera vibrer tout au long de ses rails… euh, de ses heures de jeu, pardon !

Points forts :

- Fonctionnalité avec le micro qui ajoute du funn
- Aventure digne d'un Zelda.
- Nouveaux personnages attachants
- La princesse, tout au long du jeu, telle une Navi ? Wow !
- Bande sonore magique et facilement entrainante...
- Des donjons bourrés d'énigmes comme ont les aime.

Points faibles :

- Graphismes un peu trop ressemblants au précédent opus DS et parfois... facile ?
- Bien que possédant une belle histoire, Spirit Tracks comporte cependant un "mais..."

Détails en chiffres

Scénario : 17/20
Une histoire riche en nouveauté qui nous laisse à la fois perplexe et content de la découvrir.

Gameplay/maniabilité : 19/20
Conduire un train, utiliser de tous nouveaux objets, pouvoir jouer de la flute, être suivit et secondé par Zelda ou encore simplement contrôler Link à nouveau dans sa nouvelle aventure ? PAR-FAIT !

Graphisme : 18/20
Même si peu être trop ressemblant à ceux de Pantom Hourglass, les graphiques de Spirit Tracks charment tout de même et sont plus soignés, choquent moins à l'oeil. Il faut le croire maintenant, le Cell-Shading va très bien sur portable !

Bande son : 19,5/20
En passant des simples sons au musiques de la flute ou de celles lors de vos voyages, rarement des compositions n'ont eut autant besoin d'être félicité ! Enlevez-les et Spirit Tracks perdra déjà un bon morceau de ce qui fait de lui un jeu zelda.

Durée de vie : 18/20
Environ 20 heure tout au plus pour la quête principale en plus d'une foule de quêtes annexes et ajouté à cela un mode multijoueur prenant ? Que dire si ce n'est que Spirit Tracks possède de bons atouts pour garder longtemps les fans derrière leurs deux écrans ?

Note finale : 92,5/100

Test de Final Fantasy CC My Life as a Darklord Wii

Texte rédigé en premier lieu pour Fantasy-Source. Testé sur Wii.
Voir l'original ici : My Life as a Darklord : faire le mal a du bon.


Après avoir remporté un succès commercial plus que critique grâce son Sim City-like Final Fantasy Crystal Chronicles : My Life as a King, Square Enix revient sur Wii avec un épisode requérant au joueur davantage de stratégie, My Life as a Darklord. La brute aurait-elle plus d'atouts que le gentil ?

Votre aventure débute lorsque le Roi des Ténèbres, trop affaibli par les forces du Bien, décide de se sacrifier et de s'enfermer dans un cristal noir, cristal noir qui se retrouve au sommet de la tour et pour lequel vous mettrez toute votre gouaille à le défendre. Tout au long du jeu, vous jouerez le rôle de sa fille, la princesse Mira, aidée par ses précieux sujets, les Tomberries ainsi que d'une autre petite peste qui agira un peu au même titre que Chime avec le prince, dans le volet précédent. Après avoir complété la partie apprentissage du jeu et avoir obtenu votre château, vous découvrirez sans grand étonnement la mappemonde dans laquelle vous évoluerez. Elle est grosso modo de la même taille que celle de My Life as a King.

Défense d'entrer

Votre but est clair : survivre en consolidant les fondations de votre forteresse. Un objectif bien plus égoïste que de construire maisons et écoles, comme c'était le cas dans la première monture. Toutefois, les deux titres ont certains points en commun : l'intrigue rattachée par des perches longues comme trois jambes et l'idée de bâtir des étages qui comporteront des moyens défensifs afin d'empêcher les envoyés de l'armée du bien (guerriers, mages noirs, mages blancs, voleurs, etc.) d'atteindre votre cristal noir qui, si détruit, vous fera perdre la partie.

Mais comment faire ? Là encore, la manière de s'y prendre reste très simple mais peut vous coûter cher si vos actions sont mal choisies au départ. Vous commencez avec la possibilité de construire cinq étages au maximum (limite qui pourra être débloquée par la suite). Grâce aux EN, dont le compteur de points se situant tout en haut a droite du Karma, vous jugerez de la meilleure défense à adopter. Un étage, peu importe la protection qu'il vous apportera, vous coûtera 50 EN alors que les monstres, au départ, ne vous en coûteront que 25. Cependant, puisque le niveau des monstres que vous emploierez augmentera au fil de l'aventure, les EN a dépenser pour les invoquer grossiront en conséquence, demandant au joueur de faire preuve de parcimonie. A chaque level up, vos vils larbins gagneront en force et adresse, ce qui permettra à la darklord de se reposer entre deux salves d'aventuriers. Gare toutefois aux altérations d'état. Comme dans tout RPG, les assiégeants pourront, en plus de cogner dur, lancer poison, paralysie, somni ou encore sommeil. Un élément à ne pas sous-estimer ! Bien sûr, ces techniques sont réversibles et vous pourrez aussi en faire de même avec vos héroïques guerriers, voire sur vos créatures : augmenter temporairement leur puissance d'attaque, leur vitesse de déplacement par exemple.

Il ne faut pas oublier de mentionner aussi que, comme les éléments, les classes des monstres/guerriers supplantent celles qui sont en désavantage. Ainsi, les unités de guerriers seront efficaces contre les unités de tireurs, celles-ci étant efficaces contre celle des sorciers. Et il existe les unités dites polyvalentes qui causent les mêmes dégâts à toutes les autres. Les troupes guérisseuses quant à elles se contentent uniquement de venir en aide aux autres et n'organiseront pas d'offensives. Si, cependant, il advenait que vous opposiez des unités de même catégorie, aucun dégât critique ne pourrait être affligé des deux côtés. Aiguisez votre stratégie en conséquence !

Prenez garde aussi à la gestion des étages. Plus vous progresserez dans votre aventure, plus vous pourrez en construire. C'est un facteur très important. Peu importe la stratégie que vous leur affecter (tout défensif/offensif) ! Puisque si les floors pleins d'ennemis venaient à manquer à votre tour, vous risqueriez rapidement de vous retrouver sur le plancher.

Lundi matin, l'empereur, sa femme et le p'tit prince...

La princesse Mira et ses sujets ont beau être de tout nouveaux personnages dans l'univers des Crystal Chronicles, vous ne serez pas dépaysés : les protagonistes de l'épisode précédent viendront régulièrement violer la porte de votre domaine. Par exemple, Chime, toujours aussi intelligente, vous défiera en tant que boss de chapitre ! Les décors aussi vous aideront à mieux apprécier cet opus puisqu'ils ne sont pas tellement différents, tout juste plus raffinés que dans My Life as a King. Colorés, simples et jolis à la fois, le joueur gardera l'oeil attentif.

Les musiques et les sons restent dans l'ensemble harmonieux, collés près des events et suffisamment variés pour s'adapter à divers situations de ce tower défense maléfique. Côté durée de vie, les points de Karma, qui vous donnent la possibilité de garnir les étages de différentes espèces, assurent au jeu une longévité correcte même si le joueur sera régulièrement invité à remettre la main au portefeuille pour débloquer du contenu téléchargeable.

My Life as a Darklord reste un jeu simple, évoluant dans un univers et des décors simples, avec une histoire simple mais qui pourtant, au fur et à mesure que le temps avance, saura vous prendre à son divertissement si bien exploité et son stress permanent. Chapeau à Square Enix qui, même si la politique commerciale outrancière du contenu téléchargeable vient noircir le tableau, a bien su exploiter ce tower défense à la sauce diaboliquement maléfique !

Preview de Final Fantasy CC Echoes of Time sur DS

Texte rédigé en premier lieu pour Fantasy-Source. Testé sur Wii.
Voir l'original ici : Echoes of Time : on reprend, on réessaye et on espère.


Vous vous êtes mis la tête dans le sable lorsque l´idée d´un nouveau titre portant le nom de Final Fantasy Crystal Chronicles a fait apparition sur le web pour la Wii et la DS ? Ne vous emportez pas si facilement avant d´avoir pu l´essayer. Car au contraire de son prédécesseur, ayant provoqué une levée de boucliers sur Gamecube, Echoes of Time pourrait bien vous plaire.

Sept à la maison

Une nouvelle fois sur console de salon Nintendo, Square Enix tente sa chance avec un jeu prometteur dont l´intrigue gravite autour des pouvoirs mystérieux du fameux cristal. Tout l´intérêt se trouve dans la compatibilité inédite entre la Wii et la DS, comme l´avait fait, par le passé, le premier Crystal Chronicles en en proposant une interactivité entre la Gamecube et la GameBoy Advance. Avec ce nouvel épisode, le joueur ne se verra pas obligé de mettre la main à la poche pour pouvoir jouer avec ses amis en mode multijoueur. C´est là un argument de taille qui pourrait changer la donne : grâce au moteur Pollux, le jeu tourne à l´identique, sur Wii comme sur DS, ce qui signifie à l´usage que le joueur ne sera pas contraint de posséder les deux consoles pour inviter ses potos à la maison mais, l´une ou l´autre. Notons aussi que, pour les jours de blues, une campagne solo est proposée.

En mode multijoueur : peu importe les support utilisés : Echoes of Time vous donnera la possibilité de vous faire aider par trois de vos ami(e)s contre les dangers qui se dresseront devant vous, en formant un petit groupe d´attaquants de races, de métiers et de spécialisations différentes ; ce qui aura pour effet de voir les techniques et magies se combiner pour former un tout plus puissant. Dans le même esprit, les développeurs on ajouté la possibilité de nager tout en assagissant des coups de glaive. Bien entendu, la customisation de votre avatar constituera la première des priorités avant de se jeter dans l´aventure et qui sait, si vous préférez votre bon vieux Mii, vous pourrez peut-être l´utiliser !

Et pour tout le reste ?

En ce qui a trait au design des environnements et des autres protagonistes, pas d´inquiétudes réelles à avoir puisqu´il s´agit d´une équipe d´habitués de cette série de spin-off, avec pour chef Mitsuru Kamiyama et pour porte étendard la compositrice Kumi Tanioka. Même s´il ne sera pas exempt de défauts, Echoes of Time proposera des décors colorés et stimulants se mariant bien avec ses personnages au style tel qu´on les connait pour tous les autres jeux estampillés Crystal Chronicles. Autant sur DS que sur Wii, le jeu devraient plaire aux grands mais surtout aux petits. Certains nouveaux venus dans ce genre d´univers en seront ravis quand d´autres pourront trouveront leurs marques, tant dans la manière de jouer que de compléter les quêtes : la recette de Rings of Fates sur DS a été clairement reprise.

L´histoire, bien qu´encore vague, vous plongera dans la peau d´un(e) jeune homme/femme âgé(e) de 16 ans qui décidera de quitter son village natal pour partir à l´aventure, ne sachant pas ce qui l´attend et encore moins tous les secrets que renferme le Crystal. Malgré tout, lorsqu´il sera question d´explorer des donjons ou de combattre ses opposants, l´aventure s´annonce un peu moins linéaire et ennuyante que celle qui était prévue pour le titre GC, grâce notamment à l´introduction de cette dimension coopérative et joviale qu´est de terminer les niveaux entre amis ou en famille.

Echoes of Time aura-t-il et méritera-t-il plus d´attention et de succès que Crystal Chronicles premier du nom ? Européens et américains devront attendre encore quelques mois avant de mettre la main sur une version ou l´autre de ce jeu que possèdent les japonais depuis jeudi dernier (le 29 janvier) et qui jusque là a fait un parcours correct parmi les critiques.

Test de My Life As a King sur Wii

Texte rédigé en premier lieu pour Fantasy-Source. Testé sur Wii.
Voir l'original ici : Le Sim-City like du roi en culottes courtes.


FFCC My Life As A King : un Sim City a la Final Fantasy !

Premier et non les moindres a tenter leur chance sur le système de jeu téléchargeable de la toute dernière console de Nintendo, le WiiWare, Square-Enix met au monde Final Fantasy Crystal Chronicles : My Life As A King. N’étant pas attaché a l’histoire de celui déjà sorti sur la Gamecube auparavant, ce tout nouveau jeu possède pourtant des liens communs tels que les races, le style et surtout, la force du crystal que la firme semble tout particulièrement adorer. Disponible sur le magasin en ligne de la Wii depuis plusieurs mois déjà, cet autre opus de la série FFCC vaut-il réellement les 1500 points demandés pour pouvoir y jouer ?
Le Crystal ou une force d’attraction inaténuable

Tout commence avec votre arrivée en scène ainsi que celle de vos compagnons qui le resteront tout au long du jeu ; Chime et Hugh Yurg. Apparemment, il c’était écoulé déjà pas mal de temps depuis votre longue route afin de retrouver les traces de votre père, le Roi Épitav et ce qui avait été autrefois son royaume. Et vous y voila enfin, attirés par le pouvoir du fameux crystal en son centre, dans ces ruines quand même pas si laides que cela. Après vous être rendus compte que le crystal en question pouvait parler mais qu’il détenait aussi un très grand pouvoir nommé « Architek », celui-ci vous fera don de ce pouvoir qui vous permettra, grâce aux carrés brillants sur le sol, de donner vie a des bâtiments de toute sorte. C’est au travers de cette besogne répétitive mais sympathique que tout au long du jeu, vous devrez évoluez dans le scénario qui n’est pas si bête que cela.

Sur les traces de votre père, votre mission sera donc de reconstruire un royaume a votre image mais aussi de découvrir ce qu’il est advenu de sa personne et de tout ce qui a bien pu lui arriver. De chapitres en chapitres, mais aussi selon les donjons que vous aurez débloqués dans votre quête, vous en apprendrez toujours un peu plus sur le roi Épitav et du mal qui sommeille dans le crystal qui aurait pu causer sa perte pour ainsi réussir a le détruire a jamais…

Gérer un royaume entier mais aussi des aventuriers !

Bien que répétitive, votre action principale dans le jeu, sauf celle qui consiste à reconstruire a votre propre vouloir tout le royaume, sera de gérer des aventuriers qui travailleront pour vous afin de vous rapporter argent, trésors et élémentide. En effet, a chaque jours, vous devrez vous rendre au panneau d’annonce de votre royaume pour y rencontrer vos fidèles serviteurs qui, au départ, ne possèderont qu’une seule classe ; celle de Guerrier. Selon l’annonce que vous y aurez placé, vous devrez décider de qui prendra part à telle ou telle mission (généralement explorer, recueillir des informations ou alors affronter des boss) ou qui devra tout simplement aller s’entraîner en vue de devenir plus fort. Lorsque l’un d’eux aura réussi a vaincre un boss, vous devrez lui décerner une médaille qui augmentera l’un de ses stats (Force, Agilité, Intelligence, etc…) ce qui le rendra ainsi, évidemment, plus fort.

Bien entendu, vos voyageurs ne possèderont pas la même classe tout au long du jeu puisqu’a partir du moment ou vous pourrez le faire, vous pourrez changer celle-ci pour un mage blanc, un mage noir ou un voleur. Chacun, encore une fois, ayant leurs propre capacités spécifiques a apprendre dont vous pourrez augmenter la liste avec votre argent, en encourageant la recherche dans le bâtiment visé. Attention cependant être bien certain de votre choix quand a la décision de changer un personnage de classe puisque cette action ne sera pas réversible ; il ou elle oubliera tout se reliant a la classe précédente. Il est malheureux cependant de constater qu’aucune autre race que celle des Clavat ne peut être exploitée…
Ce qui rend la partie intéressante et non ennuyante est le fait qu’en plus d’acquérir des niveaux, de devenir plus forts et de développer des capacités liées a leur classe, vos aventuriers pourront aussi, selon le donjon visiter, vous débloquer de nouveaux bâtiments à construire (ou aussi augmenter votre limite de construction de maisons par exemple) mais aussi vous rapporter tout plein d’élémentide, la pierre vous permettant d’utiliser le pouvoir d’Architek du crystal. Ne soyez donc pas surpris si vous possédez plus d’argent que d’élémentide car celle-ci ne vous sera accessible que lorsqu’un boss sera détruit (ou lorsqu’un de vos aventuriers aura mis la main sur une rare quantité de ce rare métal).

Ne soyez pas non plus déçu si par manque de temps, vous veniez a manquer a souhaiter un bon retour a la maison a vos petits puisque dès le lendemain, Chime vous attendra dès le réveil avec le récapitulatif, en chiffres et en texte, de chacun de ce que vos personnages engagés ont recueillis, rapporter et réalisé !

Ou construire prend tout son sens

Ainsi, contrairement a Final Fantasy Crystal Chronicles premier du nom et à ce que certains auraient pu penser de My Life As A King, vous, le roi, personnage principal, ne participerez aucunement aux combats dans ce jeu, votre tâche se limitant uniquement à construire et à voir les jours s’écouler. Ok, dis sur une telle note, je vous l’accorde, le jeu peu sembler ennuyant à mourir mais alors la serait votre erreur de me croire si tel était vraiment mon avis.

En faite, entonnement, cette besogne ritualiste deviendra de plus en plus intéressante et prenante au fur et à mesure que le jeu avancera. Non seulement vous gagnerez de nouveaux bâtiments et de nouvelles capacités maximales de construction pour certaines mais vous devrez aussi arranger le tout dans votre cité pour que l’ensemble forme une sympathique harmonie et possède une image accueillante (a la votre, aussi ^^’). Et s’il advenait que vous ne soyez pas convaincu par l’emplacement d’un de vos bâtiments ? Simple comme bonjour, vous pourrez, toujours avec l’aide précieuse de Chime, détruire celui-ci et attendre au lendemain pour le changer d’emplacement ou le grossir.

Vous vous devrez aussi de veiller a ce que chaque bâtiment important (Temple des Mages Blancs, École des Mage Noirs ou encore La Salle d’entraînement en passant aussi par les magasins d’armes, d’armures et d’items) reçoivent de l’argent quotidiennement pour pouvoir se développer et ainsi offrir plus de meilleurs produits a vos habitants et aventuriers.

Tout ce que vous bâtirez dans votre cité aura un impact sur l’humeur de vos habitants qui joue un rôle très important dans le jeu. Pour pouvoir faire grandir le nom de votre cité (Village, Ville, Cité, etc…) et ainsi attirer plus de visiteurs et développer l’économie, il faudra courir partout dans les moindres recoins pour parler avec vos habitants qui possède un petit sourire vert au dessus de leur tête et ainsi faire augmenter votre barre d’humeur (ou aussi construire ce qu’ils vous demanderont). Une fois remplie, et selon son niveau, cette barre vous permettra de changer le statut de votre cité ce qui vous rapportera reconnaissance, argent et vous rapprochera toujours un peu plus de la fin.

En bref, vous découvrirez a quel point construire et développer sa propre cité est excitant !

Les décors et l’ambiance auditive, dans tout cela ?

Fidèles a leur titre, Square Enix auront repris le même style que tous les autres Crystal Chronicles dans ce jeu sur la console de Nintendo. C’est-a-dire un environnement et des bâtiments colorés aux tons un peu cartoonesque s’agençant avec l’allure chibi et petite taille des personnages (il sera d’ailleurs aussi touchant de retrouver les Moogles ^^). Certains pourront regretter alors que d’autres, comme moi, saurons apprécier tant le jeu n’aurait pas été semblable dans le cas contraire d’un Final Fantasy au style trop réaliste comme le XII.

On pourra cependant regretter le manque, voir l’absence inquiétante, d’émotions perceptible dans les gestes des personnages du jeu ainsi qu’une variété trop limité de bâtiments qui deviennent rapidement trop répétitifs. Heureusement, puisque FFCC My Life As A King est un jeu téléchargeable, il offre aussi du contenu en plus (qu’il vous faudra payer) qui viendront ajouter un peu plus de variété pour l’œil.
En ce qui concerne les musiques et les sons, rien n’est désagréable au départ et du moment que vous n’êtes pas de ceux ou de celles qui n’aiment pas les répétitions puisque les jours étant semblables, les musiques ne changeront guère et les sons resterons les même. Un travail quand même soigné et qui se fusionne bien avec le style et l’ambiance générale du jeu.

Pour conclure…

Square Enix a osé, les avis sont mitigés. Pourtant, sous ses allure répétitif et facile, My Life As A King est un très bon achat pour les amateurs de jeux du genre Sim City ou Harvest Moon qui demandent de prendre soin de personnages et de construire votre ville a votre image et selon vos désirs. Les autres regretteront de ne pas pouvoir sortir des murs du royaume et de ne pas pouvoir non plus combattre contre des ennemis mais cela, nous ne pouvons rien n’y faire et l’idée reste ingénieuse laissant la porte ouverte à de possibles autres jeux dans le même genre. Incertain au départ, j’ai finalement cédé et allouer 1500 points a une chaîne de plus sur mon menu Wii et je ne l’ai pas du tout regretté. Si je devais noter le jeu, je lui donnerais sans hésiter un bon 8/10 !

Concours NM !

Je sais, ce jeu ne sortira JAMAIS sur Wii, mais je voulais en faire une pochette ! Final Fantasy XIII, ça rock !

ATETNTION : L'image est originale de Square Enix mais comme rien n'empêche de prendre directement une image/artwork original, j'ai ajouté en transparence l'image d'une ville détruite et j'ai aussi mis le logo FF + Logo Square et Teen. J'ai finalement mis le logo FFXIII sur la verticale a gauche ;)



J'espère qu'elle vous plaira ! Elle est pas aussi belle que bien d'autres participants mais bon :-) L'important c'est de participer !