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Selection musicale du mois

 

Etre joueur

Ce matin, pour revoir une nouvelle fois et revivre l'E3 que nous venons de passer, je me suis remater pas mal de vidéos, l'euphorie en moins, j'ai pu en fin de compte avoir un regard qui était bien plus reculé que celui que j'avais lors des pré conférence et des annonces durant le salon. M'est venu alors cette réflexion, qu'est ce qu'un joueur, et où me trouvais-je par rapport à ce nom qui si pour certain n'apporte rien, pour d'autres résonne comme une vérité absolue ? N'étais je plus qu'un joueur lors de cette guerre, qui si elle existe depuis Nintendo et SEGA, n'a jamais été aussi portée sur le devant grâce ou à cause d'Internet avec qui tout va toujours plus vite... La question fait mal et j'en suis arrivé à une conclusion, la voici...

Ce n'est pas tout nouveau que je me suis essayé aux jeux vidéos, d'aussi loin que je m'en rappelle, la première fois que j'ai touché à une manette c'était en 1989, il y a 24 ans maintenant et c'est une Nintendo qui me servait de support, je me vois encore les yeux palpitants, les sens exarcébés et les nerfs faisant trembler mes mains sur petit rectangle qui m'envoyé dans d'autres mondes, celui de Zelda, Samus ou encore Mario. J'étais contaminé et malgré les dires de mon entourage, jamais plus, ma vie n'aura été éloigné du monde virtuel qui s'offrait à moi. Je n'étais pas encore un joueur comme on pourrait l'entendre aujourd'hui, j'étais ce petit gamin qui devait aller chez son voisin du dessus pour pouvoir assouvir sa soif de jeux, enfin jusqu'à ce que mes parents m'offrent un Sinclair 200, un PC qui ne proposait que 4 couleurs mais avec qui j'ai pu m'essayer à des jeux qui allaient devenir des classiques, ou qui l'étaient déjà mais sans que j'en sache la moindre chose. Maniac Mansion, Golden Axe, Joust, Mario, Shinobi, Karaté, Double Dragon, Les Tortues Ninja, j'en passe et des meilleurs, mes armes étaient faites et la différence entre PC et consoles pour moi n'avait aucune importance, les deux étant identique pour moi. Il aura fallu l'arrivée d'une console pour savoir ce que j'allais préférer, le Megadrive.

C'est à ce moment que j'ai su ce quétait un joueur, d'être un joueur ! Sonic, flamboyant sur cette écran, apportait une fraicheur au monde du jeu vidéo, sa vitesse nous transportait vers d'autres contrées et les musiques qui sortaient des hauts parleurs du téléviseur caressées agréablement mes douces oreilles. Oui, j'étais devenu un joueur, un vrai, et jamais plus cette vérité n'allait pouvoir être réfutée. Pas de guerres des consoles, tout du moins de suite, pas d'envie de dire à l'autre : "c'est moi qui est la plus grosse", non juste l'envie de s'amuser, de s'évader. C'est à l'arrivée de la Super nintendo qu'un autre sentiment est apparu, celui d'une sorte de mis en danger, c'était idiot, après tout ce n'était qu'une console de plus, de quoi s'amuser beaucoup plus, mais déjà cette guerre était présente et chacun avait son camps, d'un côté ceux pour Nintendo et ceux qui était pour SEGA, les Segamaniaques... J'étais clairement de ces derniers. Aujourd'hui je me dis que c'est marrrant, ça me donne le sourire ces batailles de cours de récrés qui étaient bien loin de ce que l'on vit aujourd'hui, nous avons grandi, les batailles ont continuées et les consoles avec, PlayStation, Nintendo 64, Saturn, Dreamcast, PlayStation 2, Xbox et Game Cube. La suite ouvrira une guerre avec une intensité jamais atteinte, Xbox 360 Vs. PlayStation 3. Je ne met pas la Wii de Nintendo, étant clairement hors course et proposant rien en comparaison des deux premières citées, et le PC, lui clairement fait pour des personnes qui se prennent pour l'élite et qui me débectent.

Je ne pourrais dire pourquoi, mais il est clair qu'un stade avec ces deux consoles a été dépassé. Fini le temps des récréations, les mots sont durs, virulents et sans aucunes retenues, l'écran du PC  évitant de s'en prendre une comme lorsque l'on parle en face de quelqu'un... Chacun y allait de son argument mais c'est bien celui-ci qui est revenu à de maintes reprises, c'est celle-ci qui est une console de joueur... Pourquoi avancer ce point alors que les deux proposaient et proposent toujours des jeux à ceux qui ont jeté leur dévolue dessus ? Il n'y a pas de vraies réponses mais peut-être que celle-ci apportera quelque chose, peut-être... Et si tout cela n'était que pour se rassurer, se dire : "j'ai fait le bon choix". Ne serait-ce pas tout simplement ça le nerf de la guerre, celle qui démarre lorsque l'on achète l'une ou l'autre ? Mais je reviens sur cette phrase : "je suis un joueur, un gamer...".  Cette phrase n'a plus que de sens aujourd'hui que lorsque l'on choisit son camp, dans tous les cas c'est comme cela que je le ressens. Je ne jètte la pierre à personne, je suis le premier à l'avoir fait et à le faire. Oui, l'arrivée de la PlayStation 4 et la Xbox One refait sortir des démons qui en fin de compte fait de nous tout sauf des joueurs, nous ne savons plus nous contenter de ce que l'on nous proposent, à savoir 2 consoles qui ont chacune leurs défauts et leurs qualités, de quoi doubler le plaisir de chacun...

En fin de compte, et pour finir, non je ne suis plus un joueur, en tous cas comme je l'entend. Une seule chose me trotte dans la tête, le redevenir, pas en gueulant que j'ai la meilleure, non, en jouant car j'ai bien l'impression que l'on oublie que tout cela n'est qu'un jeu, une façon de perdre son temps et de le faire passer. J'aime ce média et à force de se battre comme nous le faisons nous en oublions sa substance, le plaisir de partager un moment, seul avec son moi-même ou avec des amis à qui l'ont passe sa manette pour qu'il goûte à ce plaisir. Je finirai la dessus, peut-être que Micrososft à raison, à quoi bon partager lorsque l'on voit ce que l'on est devenu, des haineux qui, en voulant se la jouer perso et allant de son petit commentaire, ne faisons que nous enfermer dans ce monde qui est riche et ouvert... Je me pose la question... Dans tous les cas, vive la Xbox One, vive la PlayStation 4 et vive la Wii U, elles sont là pour que nous nous amusions, ne l'oubliez jamais !

JK Vs. Call of Juarez : The Cartel - 2nd round

Bienvenue chers amis de la boucherie en bonne et dû forme ! Moi c'est Jurassic Killer et j'ai décidé de m'attaquer à Call of Juarez : The Cartel, une piscine où ceux qui sont venus s'y noyer n'oublieront et ne perdront jamais ce goût nauséeux dans leur bouche... Je viens rectifier le tir, bousiller en plusieurs étapes ce jeu, le détruire pour que ce qu'il reste de votre mémoire et surtout souvenir de cette bouse ne soit que bons, un jeu que même Midas n'aurait pas voulu développer. Bienvenue pour cette seconde partie du test de Call of Juarez : The Cartel, bienvenue dans mon monde, bienvenue dans la souffrance...

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Après notre petite escapade dans la Forêt et avoir brûlé des réserves de Marijuana (juste pour cela je hais les dévellopeurs...), nous venions de finir notre première étape dans cette horreur que se nomme Call of Juarez : The Cartel... Une nouvelle fois je passe les interludes qui ne présentent l'intérêt que de préparer ma vengeance mais qui m'horripilent au plus haut point et pour vous dire franchement, j'aurai préféré des cris d'enfants plongés dans un congélateur suppliant de les laisser sortir*, seul véritable plaisir d'un homme tel que moi, la souffrance des autres... Et là, c'est moi qui souffre ! Mais bon, je vais m'en tenir au jeu et dans le jeu, nous sommes plongés dans les rues de Los Angeles, vous savez, la ville où le soleil nous manquent tant ces derniers jours, la ville des stars avec ses Hollywwod Boulevard ou encore Venice Beach, la ville qui est le théâtre de drôles d'agissements, tel que notre périple qui nous plonge dans une bouillie informe de visages se ressemblant tous, à croire que l'inceste est devenu monnaie courante dans l'ouest des Etats-Unis, toujours un train d'avance ces américains ! M'enfin, tout cela pour vous dire que cette seconde mission n'a aucun but, nous obligeant a accédé à une maison visiblement abandonné ou squatter par des junkies qui ont eux, la chance d'être assez défoncé pour ne pas comprendre ce qu'il se déroule dans cette infâme merde dans laquelle j'ai plongé la tête la première et avec laquelle je suis prêt à casser du visage à la chaîne, quitte à laisser des traces, je préfère le faire de façon convenable, voyez-vous c'est important la classe, surtout dans la destruction ! Où j'en étais ? Ah oui, la maison des horreurs ! Nous sommes donc dans cette baraque et l'on va devant, derrière, devant, derrière, et on tire à tout va ! Je vous vois venir mes petits poussins, non ça n'a rien à voir avec une bonne partie de jambes en l'air même si celles-ci volent du côté des ennemies qui abondent pour prendre cette forteresse tombant en miette ! On se fait chier quoi mais heureusement j'ai une once d'espoir, le prochain stage se déroule dans une boîte à biatch, mes yeux s'ouvrent, mes sens s'aiguisent et mes oreilles palpitent d'excitations !

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Encore une fois, c'est une déception... Alors que l'endroit semble propice à se rincer l'oeil, c'est ici plutôt un pieu bien aiguisé qui vient vous le caresser. Informent, les petites poulettes ne dérogent pas à la nouvelle mode de L.A. et ses penchants incestueux. Non pas que des jumelles ou des triplettes ça me déplaisent pour passer du bon temps, mais quand elles ressemblent à Natasha, la travlo de 56 ans que j'ai croisé un soir au Bois de Boulogne, ça me rappelle de mauvais souvenirs... Quoiqu'il en soit, et si vous veniez à perdre l'esprit d'acheter cette gerbe que nous ont vomis les petits attardés de chez Techland, vous serez frappés par les dialogues pleins de poésie qui débordent de ce jeu. Véritable hymne à l'amour de la vulgarité à tout va, vous serez souvent interpelés par les "salope", "va te faire foutre", "pute" ou je ne sais quoi encore pour vous nommer. Vous pourriez vous dire que voilà une chose qui ma plaît, et bien non ! L'insulte gratuite et sans fondement, qu'il l'apporte la preuve que je suis une salope! Ca me donne des envies de meurtres et de démembrations en veux-tu, en voilà ! MERDE QUOI, UN PEU DE RESPECT CA VOUS ARRACHEREZ LA GUEULE ? Putain, déjà que je dois me farcir cette musique sordide et totalement dégoulinante de pus pouvant rendant sourd toute personne à chaque moment, si en plus je dois être insulter, je ne peux plus me contenir ! La batte à clous me titille le regard depuis pas mal de temps et ma main tremble, j'ai envie de défoncer le jeu, mais je ne peux pas, il faut garder mon calme, il faut que je finisse le jeu, il faut que je vous raconte, c'est mon devoir... Je m'efforce donc à continuer ce test... Nous sommes donc dans ce bar à putes dixit les commentaires de mes ennemis et je dois aller au troisième étages pour discuter avec une stripteaseuse... Je touche le fond, une nouvelle fois, mon être s'enfonce dans une folie profonde, si j'étais pas encore assez fou,  et mon âme part vers des sommets de violences... Les dialogues, mais les dialogues BORDEL DE DIEU ! Dignent d'une série Z au cube, on ne fait même plus attention à ce qui se dit. De toutes façons, on s'en fout, le chemin est balisé... Je torche le stage en butant de l'ennemi et en prenant part à un interogatoire digne de la Gestapo mais sans que les lèvres du mec en face de nous ne bougent, surement dû aux coups qui pleuvent sur sa sale gueule... Lamentable...

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Je suis vidé, 2 stages et je suis vidé... Ce jeu est un calvaire et même moi je ne sais même plus quoi faire, enfin, si ! Je prépare de quoi bousiller ce soft qui n'en a que le nom... Le café est là, les excitants aussi, je suis prêt pour le 4 ème épisode, putain, ça va être dur...

Jurassic Killer

=> (*) Je viens du Nord-Pas-de-Calais, j'ai donc découvert comme toutes les personnes de ma région que nous pouvions avoir des Mr. Freeze au doux goût d'enfant, je ne pratique pas le sadisme, en tous cas sur les enfants...

Jurassic Killer in Call of Juarez : The Cartel

Jurassic Killer in Call of Juarez : The Cartel

Lorsque tu te perds dans les promos, tu sais que tu vas sûrement avoir affaire à une merde, mais bon, franchement, quand en plus tu le paye 5 euros, tu te dis, c'est bon, pas besoin de paniquer, à ce prix c'est pas bien grave, au pire, tu auras un nouveau jeu dans ta collection... Quelle erreur mes petits poussins adorés, quelle erreur... Bienvenue dans mon monde, celui de Jurassic Killer, celui de Call Of Juarez : The Cartel et croyez-le, celui du pire cauchemar que puisse connaître un dévellopeur. Bienvenue dans le premier stage de cette immonde bouse !

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Ouais après tout, jouer à un jeu de cet acabit en une seule fois, c'est pas possible, même pour moi, j'aime la merde, mais là, mais là, c'est carrément une fosse à purin... Je ne vais même pas m'attarder sur le scénario qui n'a aucun but, aucune once d'originalité et que même Steven Seagal aurait refusé, c'est dire... On est des flics, vous êtes les méchants, on a des côtés bad guys vous êtes des attardés... ou c'est l'inverse, je ne saurai plus vous dire... M'enfin, je me lance quand même et là, c'est le choque, moi même je suis terrorisé, oui, terrorisé et pour me terroriser, il en faut beaucoup ! Je vois donc enfin la bête et mes yeux ne cessent de saigner, comme un rejet de tous ces excréments qui parsèment mon écran plat, je ne peux plus m'empêcher de scruter le cadre qui est devant moi pour trouver un bon point, rien, peau de zob, quetchi quoi ! Mais bordel, vous avez programmé le jeu avec des aveugles atteint de daltonisme ou quoi chez Techland (je sais que cette phrase n'a aucun sens mais franchement j'm'en tape le coquillard). On ne voit rien dans ce parc proche de Los Angeles, nos ennemis sont impossibles à voir et enfin de compte, quand tu tires, tu ne sais même pas ce que tu touches... J'vais vous dire, ce n'est peut-être pas si mal. Non, ce n'est pas que je veux être méchant, mais quand je vois la gueule de mon personnage (à choisir parmis trois handicapés mentaux), j'ai cette petite phrase qui me dit : "Mais heureusement que tu ne vois pas la sa gueule de ces connards !". Ouais, t'as raison petite voix qui me guide partout où je vais, je ne préfère pas voir leurs faces, d'autant plus qu'apparement les skins sont quasimentstoutes les mêmes, certainement l'explication la plus logique à cette immondice, la consanguinité des personnages... Le monde du jeu vidéo va mal, Christine Boutin nous avait prévenu...

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Mais je suis bon prince... des ténèbres, et je laisse une chance au gameplay et je me dis qu'enfin de compte il n'y avait pas que des aveugles dans l'équipe que nous a concocté Techland, il y a aussi des manchots, prêt à coder n'importe quoi avec leurs moignons pourris ! L'effet à la manette est redoutable, aucune sensation de plaisir de tirer à tout va nous vient à l'esprit, pourtant c'est bien là le plaisir malsain de la chose, flinguer à tour de bras. Non, rien n'égaye au paddle notre route dans ce bois qui tout les 50 mètres se répète à l'infini, à ce titre, messieurs les développeurs, je vous aurai préconisé votre anus, bien moins loin et bien plus intéressant après l'insertion de votre jeu dedans, mais ce n'est qu'un avis personnel. Revenons-en à nos moutons, le gameplay, mais quelle honte, comment de nos jours et plus particulièrement en 2011, un jeu de cet acabit à pu sortir ? Non, franchement, faut arrêter de faire de la merde, je sais que c'est un besoin naturel de chier mais y a des limites ! Rigide, sans goût et totalement à la ramasse, rien n'est fait pour que nous passions un bon moment dans ce jeu, la jouabilité, forcément, en pâti beaucoup et il me vient à l'esprit que jeter ce DVD par la fenêtre sera bien plus fun...

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J'en arrive enfin à la fin de ce premier niveau qui m'a vu traversé une rivière de merde, je suis soulagé, plus que 9 stages, enfin j'en sais rien, je ne sais même pas si j'irias jusqu'aù bout... Quoiqu'il en soit, je vais partager mon malheur avec vous tout du long de ce jeu, stage par stage, merde par merde, gerbe après gerbe. Vous vous en sentez capable ? Et bien à demain, pour de nouvelles aventures !

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Jurassic Killer

David Cage fait sa petite princesse

The Nomad Soul, Fahrenheit ou encore Heavy Rain, des jeux rapidement et logiquement balayé par un certain Shenmue. Je sais que dès cette première phrase je vais m'attirer les foudres de ceux qui ne connaissent pas la série de SEGA, je le dis sans ménagement, vous pouvez allez vous faire foutre, est-ce clair  ? Je ne me sent en aucun cas obligé de vous dire pourquoi ou comment, jouer à Shenmue et vous comprendrez. Ce point établi, revenons sur le dernier caprice de David Cage, tête à claque officiel du jeu vidéo !

Alors que le gaillard est entrain de mettre en place son Beyond Two Souls qui n'aura aucun gameplay, je suis certain que le slogan officiel de Quantic Dream est : "De toute beauté, nos jeux sont sans gameplay, c'est clair, tu vas te faire chier !", et qu'il devrait nous arriver dès 2013, voilà que David Cage vient faire sa capricieuse starlette auprès de Sony pour avoir un nouveau moteur graphique, c'est à dire des frais supérieur pour un jeu qui n'aura que ça le reste n'étant qu'à l'image d'un ancien développeur, Cryo, la seule différencve étant qu'à l'époque nous étions assez intelligents pour faire un doigt à ses petits cons qui ont cru que seul  les graphismes pouvaient faire un jeu. Aujourd'hui oublié, ils sont à leur place, dans la fosse à purain ! Ah, ils étaient français aussi !

Sinon, et désolé pour cette escapade dans le passé, voici la phrase de David Cage : 

« Est-ce vraiment censé d'un point de vue business ? Pas vraiment, pour être honnête. Étant le patron du studio, je peux vous dire que c'est totalement absurde. Mais nous aimons cela. Nous sommes une équipe de passionnés. […] Nous sommes juste des gens fous. Nous ne faisons pas cela pour l'argent ou la célébrité. Nous voulons juste prendre des risques parce que nous voulons essayer de repousser les limites. »

Ca y est, je te hais mec, tu es tellement imbu de ta personne que tu me donnes envie de vomir. Putain mais vous n'avez pas l'impression de vous retrouver devant un sketch des Inconnus, cette phrase : "Nous ne faisons pas cela pour l'argent ou la célébrité." est quasiment la même que l'un des sketchs du célèbre trio qui parodiait Indochine : "Nous ski compte, c'est pas le succès, pas le top 50. Hein ? Ouais on y est mais on s'en fout quoi vous voyez ?.". Mais merde quoi, quand quelqu'un va lui foutre une baffe dans la gueule ? Quand un des nombreux journalistes, sur le web ou même ici, vont le dire que c'est un branquignole.

David Cage tu as fait un bon jeu, Unnnnnnn !!!!!!!!! Arrête de faire ta Diva, le reste n'est pas du jeu, de mauvais film quin'impressionne que par leurs graphismes, le reste est à jeter ! Je t'emmerde David, je t'emmerde !

La Frite Déchaînée

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Si il y a peu j'ai quitté mon poste de rédacteur chez GamerObs, je n'ai pourtant pas quitté la rédaction totalement et c'est avec un projet fou que j'ai repris ma plume. En effet, avec un ami qui est web designer nous nous sommes mis en tête de traiter de toute l'actualité culturelle, dans un premier temps de notre ville natale, et dans un second de la Côte d'Opale.

 

Riche par sa bonne ambiance et la culture qui chaque jour donne un peu plus de poids à son patrimoine, la région Nord-Pas de Calais avait besoin qu'un site mette en avant sa Côte si belle quand le soleil décide de pointer le bout de son nez.

 

Voilà comment La Frite Déchaînée a vu le jour, avec la simple idée de partager ces moments qui nous font bouger et sortir de notre baraque. Aussi, nous ne nous contentons pas de ne faire que de la pub pour les évènements, nous portons aussi un regard sur ces artistes qui sont aussi comédiens de nos aléas nocturnes.

 

Alors si la Côte d'Opale est votre fief, si vous habitez cette si belle région, n'hésitez pas à venir faire un petit tour, déjà sur notre site et ensuite sur notrepage facebook où vous nous retrouverez dès le mois de septembre avec La Frite en Vadrouille, l'agenda qui nous manquait temps !

 

Le reste est bien sur conviait sur notre La Frite, nous ne sommes pas racistes et qui sait, peut-être qu'un jour vous serez amenés à rencontrés les personnes qui parsèment nos colonnes !

 

En vous souhaitant à tous une bonne fin de journée, 

 

Cédric Lefort, aka JG

 

Avant première La Frite Déchaînée - Mystified

Si La Frite Déchaînée a pour vocation de parler essentiellement de la Côte d'Opale, il peut aussi arriver que nous nous égarerions un peu plus loin de nos frontières. C'est ce qui arrive à présent avec Mystified, un jeune groupe venant de Rouen et qui au travers d'un rock, grunge, pop et même classique nous offre une musique qui n'a pas à rougir de la comparaison avec des groupes comme Muse, Serj Tankian ou encore pour les plus francophones, Noir Désir. Mais trève de bavardages, voyons ce qu'à la formation rouennaise dans le ventre et ce en vidéo.

 

Et oui, première surprise, c'est une jeune fille qui est à la guitare et au chant. Du haut de ses 18 ans, Jess, ne manque pas de prestance et de charisme. Même si la timidité est présente, ça n'enlève rien à son charme qui est accompagné d'une musique particulièrement entrainante mais toute à la fois calme. Une alchimie qui nous emmène au travers d'un voyage que dépeint Mystified de la plus belle des façons. Leur première album d'ailleurs, Over the Threshold, est tiré de lettres écrites en 1794 et que le second EP, dans la continuité du premier, prendra quand à lui des lettres de 1799. Un retour dans le passé qui est sans aucun doute possible des plus beaux. 

D'ailleurs, 5 titres des 9 présents sur Over the Threshold est en écoute, et vous savez quoi, voici la page qui vous permettra de vous faire une idée sur ce groupe qui est devenu l'un de mes coups de coeur ! Ne suffit plus que de cliquer sur l'image ci-dessous.

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Mystified c'est un peu ça, une sorte de certaine grâce qui est emmenée par des musiciens très bon et une chanteuse qui n'est pas en reste en terme d'instruments mais qui, surtout, a une voix qui du haut de ses petits 18 ans porte déjà grandement et qui retourne facilement nos esprits. Vous l'aurrez compris, je suis conquis et il ne vous suffira que d'une écoute si c'est votre genre pour être dans la même situation que moi... Alors n'hésitez plus, foncez écouter Mystified, vous ne serez pas déçus et vous pourriez bien découvrir un artiste qui ne doit déjà plus rien prouver à personne.

Cédric Lefort pour La Frite Déchaînée

Tournoi SSX à boulogne sur mer

Bonjour mes petits amis de Nintendo Master, malgré ce que vous pouvez penser, je vous aime bien et c'est toujours avec le sou(rire) que je partages mes avis avec vous ! Quoiqu'il en soit je vous invite (si vous habitez le pas de calais bien entendu) à venir au tournoi de SSX qui aura lieu à Boulogne sur Mer au Hijack, un bar où l'on se croit à la maison pour une ambiance chaleureuse et où quelques lots seront à gagner contre 2 Euros !

Allez je vous fait de gros bécots et espère vous voir le 12 mai petits amis de NM !

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JG (ou JK) tease son prochain test Kinect !

Alors vous vous souvenez du dernier test que j'ai eu la chance de tester, pour vous faire patienter jusqu'aù prochain test avec l'accessoire, je vous offre ce petit tease me mettant en avant !

Les moqueries peuvent pleuvoir je sais que je suis un beau gosse, allez place à la vidéo !

La salle d'attente

Je me suis pris dans l'idée d'écrire une histoire qui a lieu dans une salle d'attente en psychiatrie, voici l'intro, qu'en pensez-vous  ? A vrai dire c'est une amie (merci Mad'moiselle Lokita !) qui m'a donné l'idée et franchement je pense qu'il est possible de faire quelque chose de pas mal, mais trêve de bavardage, place à mon intro !

"Les folies n'ont de beauté qu'à condition d'être totales"
Paul Javor - Sa raison de vivre

Se retrouver dans une salle d'attente en psychiatrie c'est un peu comme être à McDO, chaque personne pouvant être un menu que l'on peut commander. A chaque fois c'est pareil, on a le droit à un panel que l'on peut retrouver à chaque fois ! Tenez, regardez moi la dépressive de service, sûrement 5 fois qu'elle se loupe cette conasse, il serait peut-être temps que la prochaine fois sa petite gueule explose pour nous foutre la paix, toujours triste, jamais rien ne va, mais arrête les "ô secours !" et bute toi ! Mais bon y a pas que ça et heureusement, où serait le sourire de ma journée alors ? Le schyzo, ah le schyzo, il en faut aussi toujours un ! Passage à l'âge  adulte qui c'est mal passé, bah oui mon grand faut savoir grandir... avoir un ami imaginaire qui vous parle à l'oreille mais pas comme on était gamin, plutôt celui qui vous pousse au délire bien crade et glauque ! Je peux faire la voix si tu veux mon ami (tiens prend ce petit couteau et bute tout ce beau monde). J'allais oublier le dérangé, le gars pas méchant mais que l'on regarde avec méfiance et tant mieux je vais vous dire parce que il faut que vous sachiez qu'il y a aussi un autre cas toujours présent, le ou la psychopathe et aujourd'hui ils n'ont pas de chance parce que celui qui tient ce rôle, c'est moi...

... bonjour Docteur !

I'm a Psycho !!!!!!

Je veux ce jeu ! JE LE VEUX, JE LE VEUX, JE LE VEUX, JE LE VEUX !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Pourquoi, hein ? Pourquoi ? Parce que je suis un Psycho !!!!!!!!!!!!!!!!! JE LE VEUX !!!!!!!!

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