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Selection musicale du mois

 

Test : Magical Quest Starring Mickey Mouse

Il y a parfois des choses qui vous tombe dessus sans que vous ne demandiez rien à personne, des amis, des anciennes rencontres, la vie et parfois c'est un jeu vidéo, c'est ce qui m'est arrivé avec un ami qui m'a envoyé une vidéo d'un vieux jeu que je n'avais pas vu depuis, ouhhh, belle lurette, et là l'idée me vient, je branche ma Super Nintendo, ressort mon Magical Quest et décide de vous en parler, parce que ce soft, c'est tout simplement une foutue merveille. Bienvenue dans le monde de Mickey Mouse !



A vrai dire je ne vais pas mentir j'ai toujours détesté Mickey, je l'ai toujours trouvé fourbe pour être franc, et si il existait réellement je ne lui tournerais pas le dos. Enfin ce petit détail mis de côté, j'ai, par contre, toujours adoré ces jeux, sur Megadrive, Master System, Super Nintendo, Nintendo, etc, etc... Ca tombe donc plutôt bien vu que c'est de l'un d'entre eux que je vais vous causer aujourd'hui et plus particulièrement de Magical Quest sur SNIN où par une journée ensoleillée, nos amis Dingo, Donald, Plutot et bien entendu Mickey s'amuse à la balle. Malheureusement rien ne va plus aller, une balle mal réceptionnée par Mickey et c'est le drame, Plutot par chercher la balle et tombe d'une falaise pour être suivi quelques instants plus tard par son maître qui apprendra un peu plus tard que son cher chien a été enlevé par le terrible Pat Hibulaire qui est un grand sorcier. L'aventure peut enfin commencer, la magie aussi...



La première chose qui frappe lorsque l'on arrive dans ce monde tout droit sorti de Disney, c'est la beauté des graphismes, Magical Quest est beau, un point c'est tout. On déambule avec admiration dans le premier niveau et on se prend à flâner, à regarder les détails, à chercher le détail qui pourrait faire défaut, mais rien n'y fait, M.Q. est quasiment parfait niveau décors. Pour ce qui est des ennemis et de Mickey c'est exactement la même chose, les premiers sont variés et jouissent tous d'une animation qui aurait pu faire pâlir pas mal de dessin animé de mon époque. Mickey, héros du jeu, à le droit au plus grand soin forcément et c'est avec enchantement que notre voyage ce fait avec lui. Oui, Capcom n'a pas fait les choses à moitié, c'est juste du grand art...



Mais la force de ce jeu ne réside pas là. Si dans le premier niveau Magical Quest n'est qu'un jeu de plate-forme lambda, il prend tout son essor dès le second stage où notre amie la souris se verra offrir un costume de magicien. Mais chose encore plus énorme, 2 autres costumes viendront se greffer aux premiers, celui de pompier et d'alpiniste. Mais qu'est ce que ça change me direz-vous ? Mais tout ! Si vierge de ceux-ci Mickey ne peut que s'agripper et attraper les blocs, dès qu'il enfile l'un d'eux c'est tout bonnement un gameplay incroyable qui s'offre à nous ! En magicien, il pourra lancer des rayons de magie sur ses ennemis et les blocs l'entourant, en pompier, nous pourrons tirer des salves d'eau qui pourront se transformer en plates-formes en touchant des ennemis et en jauger la puissance suivant le temps que l'on reste appuyer sur le bouton. A noter qu'il vous sera nécessaire pour ces 2 costumes de recharger une jauge à l'aide soit de lampe d'huile, soit de bornes d'incendies, qui, rien n'est donné ! Mais le somome arrive avec le costume de l'alpiniste, le jeu devient légendaire à partir de ce moment et surtout grâce à la montée de la montagne qui deviendra l'un des moments les plus épiques de tous les Mickey. Oui, ce M.Q. regorge de bonnes idées toutes mises superbement en pratiques !



Et si il n'y avait que ça ! La musique vient s'engouffrer dans nos oreilles qui en redemandent avec délectation. Collant parfaitement à l'action on se plait à fredonner l'air pendant le jeu, preuve si il en fallait que le titre de Capcom était encore une réussite sur ce point. Les bruitages, bien que classiques, se laissent entendre et ne gâche en rien ce que nous avons sous les yeux.

Si il ne devait y avoir qu'un point noir ce serait la durée, avec 6 mondes découpés, celle-ci n'excède pas l'heure de jeu et ce n'est pas la difficulté qui vous arrêtera. La seule chose qui sauve tout cela est qu'il faut ce Magical Quest d'une traite, pas de sauvegarde ni de mots de passes, c'est en une fois ou jamais ! Nous parlerons rapidement du mode 2 joueurs anecdotique qui n'est même pas un mode coopération à l'image de World of Illusion sorti la même année (1992) sur MegaDrive mais plutôt un tour par tour. Juste histoire de gonflage de durée de vie.



Voilà j'arrive à la fin de mon petit moment de bonheur avec cette souris de malheur, et encore un fois j'ai pris énormément de plaisir à rejouer à ce jeu, car vous voyez, voilà ou réside sa force, malgré sa durée de vie pitoyable, ce jeu est magique, on y revient sans problème, en tous cas c'est simple, jouez-y !

Sans déconner Oo

Les mots me manquent, regardez juste la vidéo, vous comprendrez...




A quand des pubs comme ça chez nous ?

La pub du mois de juin 1992

A l'heure où tous les yeux sont rivés sur la 3DS et la prochaine annonce de la PSP2, il est marrant de revenir Presque 19 ans en arrière pour voir une petite pub de la plus célèbre des consoles portables, le Game Boy !



Que de belles couleurs, un cadre des plus charmants que Francis Cabrel aurait alors adoré pour s'enchaîner une petite partie de Super Mario Land (d'ailleurs on peut très bien imaginer qu'il est à l'intérieur). Oui à l'époque on savait faire des pubs avec humour !

Test : Streets of Rage

Mes doigts me titillent depuis bien trop longtemps maintenant et j'ai décidé de refaire des tests d'oldies sur mon blog, j'ai donc effacé les derniers articles que j'avais rédigé pour reprendre là où j'avais laissé mon bien pauvre blog... Mais pour me rattraper je vais tout de suite commencer par du très lourd, du très très lourd même ! Ladies and Gentleman, plus jeunes et moins jeunes je ne veux parler que du légendaire Streets of Rage !



On se dit que pour entendre des histoires de gros sous et de coups dans la tronche du concurrent, rien ne vaut notre bonne époque, et bien que nenni, déjà en 1991 ça se passer comme ça et en cette douce et belle année le Megadrive écrasait tout sur son passage, un Sonic plus cool que l'image de ce bon vieux Mario et surtout une console bien plus puissante que la Nes de Nintendo. Mais la Snes allait faire son entrée et SEGA ne pouvait pas réagir, en découlera Streets of Rage, un Beat'em all tout ce qui a de plus simple mais développé par la célèbre Team Shinobi et un certain Yuzo Koshiro qui s'occupera de la musique. La machine était lancée, le reste ne sera plus que légende...



L'histoire se veut simple et il faut le dire on s'en fout un peu, tant que l'on peut castagner à tout va, nous, nous étions bien contents. Nous sommes donc dans une ville (qui ne portera même pas de nom) où le crime organisé s'est peu à peu développé et qui est au main d'un certain Mr. X... La police devant cette recrue d'essence des mauvais comportement va créer une unité spéciale pour terrasser ces terribles ennemis... Ouais je l'avais dit, c'est simple mais l'unité spéciale c'est vous et franchement moi je vous le dit, juste grâce à ça nous allons pouvoir bastonner chaque passant qui croisera notre route, ouais, tout le monde est méchant donc pourquoi se retenir ?



Voilà, vous êtes lancés dans le grand bain et c'est maintenant à vous de jouer, vous débutez donc dans la rue et ce sont dès les premiers instants que vous allez être attaqués de toute part, malfrats, punks, salo..., euh, meufs avec fouets et encore plein d'autres ne cesseront de vouloir barrer votre route. Mais don't panic mes amis, de une vos gaillards sont plus que taillés pour les piétiner à coups de lattes et de deux, la maniabilité du soft est juste énorme ! Aucun soucis ne viendra vous empêcher de décoller des pains à tour de bras ou encore de foutre en pleine face des foutues savates, oui mes frères, frapper n'aura jamais été aussi bon, tout du moins à l'époque !



Mais ce n'est pas tout, graphiquement le jeu tient plus que la route et les nombreux environnements que vous visiterez vous permettront de faire un jolie voyage dans le pays de la bastonnade, rue, plage, bateau, ruelle, usine, ascenseur et batiment vous feront voir du pays ! L'animation, qui n'est pas en reste, sera un prétexte pour admirer chaque mouvement de vos personnages, encore une fois un pur régale. A cette époque c'était la baffe (je sais c'est facile) assurée !



Pour finir en beauté, comment ne pas vous parlez de la musique du jeu, composé par Yuzo Koshiro, les musiques du jeu font cracher les capacités du Megadrive comme jamais, c'est simple, du début à la fin du jeu on s'étonne à de temps en temps rester sur place pour juste écouter le travail du maître, oui j'utilise le mot maître, car s'en est un !



J'arrive déjà à la fin de mon passage dans le passé (20 ans déjà !) et je m'aperçois que j'ai oublié pas mal de chose, le mode 2 joueurs qui propose des moments plus qu'épiques (je ne peux en dire plus, mon cousin n'appréciera pas trop ;) ) ou encore de la durée de vie plus qu'honorable pour cette époque et qui joui toujours d'un Replay Value plus qu'énorme (encore aujourd'hui je prends mon pied avec), mais à quoi bon à vrai dire vu que ce jeu est une légende qui a traversé les âges et qui aura le droit à 2 suites toujours Megadrive.

Oui, Streets of Rage est une légende et si par malheur vous n'avez jamais joué à ce jeu, cachez vous, ne le dites pas et allez tout de suite achetez une Megadrive avec ce jeu ou la compilation sorti sur 360 ou PS3 ! Pour les autres vous savez de quoi je parles !

BONUS TIME




http://ostream.free.fr/OST/OST_streetsofrage.php
franchement allez-y, vous allez vous en prendre plein les oreilles !

http://streets-of-rage-remake.softonic.fr/
et ça c'est cadeau !
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