JK Vs. Call of Juarez : The Cartel - 2nd round

Bienvenue chers amis de la boucherie en bonne et dû forme ! Moi c'est Jurassic Killer et j'ai décidé de m'attaquer à Call of Juarez : The Cartel, une piscine où ceux qui sont venus s'y noyer n'oublieront et ne perdront jamais ce goût nauséeux dans leur bouche... Je viens rectifier le tir, bousiller en plusieurs étapes ce jeu, le détruire pour que ce qu'il reste de votre mémoire et surtout souvenir de cette bouse ne soit que bons, un jeu que même Midas n'aurait pas voulu développer. Bienvenue pour cette seconde partie du test de Call of Juarez : The Cartel, bienvenue dans mon monde, bienvenue dans la souffrance...

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Après notre petite escapade dans la Forêt et avoir brûlé des réserves de Marijuana (juste pour cela je hais les dévellopeurs...), nous venions de finir notre première étape dans cette horreur que se nomme Call of Juarez : The Cartel... Une nouvelle fois je passe les interludes qui ne présentent l'intérêt que de préparer ma vengeance mais qui m'horripilent au plus haut point et pour vous dire franchement, j'aurai préféré des cris d'enfants plongés dans un congélateur suppliant de les laisser sortir*, seul véritable plaisir d'un homme tel que moi, la souffrance des autres... Et là, c'est moi qui souffre ! Mais bon, je vais m'en tenir au jeu et dans le jeu, nous sommes plongés dans les rues de Los Angeles, vous savez, la ville où le soleil nous manquent tant ces derniers jours, la ville des stars avec ses Hollywwod Boulevard ou encore Venice Beach, la ville qui est le théâtre de drôles d'agissements, tel que notre périple qui nous plonge dans une bouillie informe de visages se ressemblant tous, à croire que l'inceste est devenu monnaie courante dans l'ouest des Etats-Unis, toujours un train d'avance ces américains ! M'enfin, tout cela pour vous dire que cette seconde mission n'a aucun but, nous obligeant a accédé à une maison visiblement abandonné ou squatter par des junkies qui ont eux, la chance d'être assez défoncé pour ne pas comprendre ce qu'il se déroule dans cette infâme merde dans laquelle j'ai plongé la tête la première et avec laquelle je suis prêt à casser du visage à la chaîne, quitte à laisser des traces, je préfère le faire de façon convenable, voyez-vous c'est important la classe, surtout dans la destruction ! Où j'en étais ? Ah oui, la maison des horreurs ! Nous sommes donc dans cette baraque et l'on va devant, derrière, devant, derrière, et on tire à tout va ! Je vous vois venir mes petits poussins, non ça n'a rien à voir avec une bonne partie de jambes en l'air même si celles-ci volent du côté des ennemies qui abondent pour prendre cette forteresse tombant en miette ! On se fait chier quoi mais heureusement j'ai une once d'espoir, le prochain stage se déroule dans une boîte à biatch, mes yeux s'ouvrent, mes sens s'aiguisent et mes oreilles palpitent d'excitations !

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Encore une fois, c'est une déception... Alors que l'endroit semble propice à se rincer l'oeil, c'est ici plutôt un pieu bien aiguisé qui vient vous le caresser. Informent, les petites poulettes ne dérogent pas à la nouvelle mode de L.A. et ses penchants incestueux. Non pas que des jumelles ou des triplettes ça me déplaisent pour passer du bon temps, mais quand elles ressemblent à Natasha, la travlo de 56 ans que j'ai croisé un soir au Bois de Boulogne, ça me rappelle de mauvais souvenirs... Quoiqu'il en soit, et si vous veniez à perdre l'esprit d'acheter cette gerbe que nous ont vomis les petits attardés de chez Techland, vous serez frappés par les dialogues pleins de poésie qui débordent de ce jeu. Véritable hymne à l'amour de la vulgarité à tout va, vous serez souvent interpelés par les "salope", "va te faire foutre", "pute" ou je ne sais quoi encore pour vous nommer. Vous pourriez vous dire que voilà une chose qui ma plaît, et bien non ! L'insulte gratuite et sans fondement, qu'il l'apporte la preuve que je suis une salope! Ca me donne des envies de meurtres et de démembrations en veux-tu, en voilà ! MERDE QUOI, UN PEU DE RESPECT CA VOUS ARRACHEREZ LA GUEULE ? Putain, déjà que je dois me farcir cette musique sordide et totalement dégoulinante de pus pouvant rendant sourd toute personne à chaque moment, si en plus je dois être insulter, je ne peux plus me contenir ! La batte à clous me titille le regard depuis pas mal de temps et ma main tremble, j'ai envie de défoncer le jeu, mais je ne peux pas, il faut garder mon calme, il faut que je finisse le jeu, il faut que je vous raconte, c'est mon devoir... Je m'efforce donc à continuer ce test... Nous sommes donc dans ce bar à putes dixit les commentaires de mes ennemis et je dois aller au troisième étages pour discuter avec une stripteaseuse... Je touche le fond, une nouvelle fois, mon être s'enfonce dans une folie profonde, si j'étais pas encore assez fou,  et mon âme part vers des sommets de violences... Les dialogues, mais les dialogues BORDEL DE DIEU ! Dignent d'une série Z au cube, on ne fait même plus attention à ce qui se dit. De toutes façons, on s'en fout, le chemin est balisé... Je torche le stage en butant de l'ennemi et en prenant part à un interogatoire digne de la Gestapo mais sans que les lèvres du mec en face de nous ne bougent, surement dû aux coups qui pleuvent sur sa sale gueule... Lamentable...

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Je suis vidé, 2 stages et je suis vidé... Ce jeu est un calvaire et même moi je ne sais même plus quoi faire, enfin, si ! Je prépare de quoi bousiller ce soft qui n'en a que le nom... Le café est là, les excitants aussi, je suis prêt pour le 4 ème épisode, putain, ça va être dur...

Jurassic Killer

=> (*) Je viens du Nord-Pas-de-Calais, j'ai donc découvert comme toutes les personnes de ma région que nous pouvions avoir des Mr. Freeze au doux goût d'enfant, je ne pratique pas le sadisme, en tous cas sur les enfants...

Jurassic Killer in Call of Juarez : The Cartel

Jurassic Killer in Call of Juarez : The Cartel

Lorsque tu te perds dans les promos, tu sais que tu vas sûrement avoir affaire à une merde, mais bon, franchement, quand en plus tu le paye 5 euros, tu te dis, c'est bon, pas besoin de paniquer, à ce prix c'est pas bien grave, au pire, tu auras un nouveau jeu dans ta collection... Quelle erreur mes petits poussins adorés, quelle erreur... Bienvenue dans mon monde, celui de Jurassic Killer, celui de Call Of Juarez : The Cartel et croyez-le, celui du pire cauchemar que puisse connaître un dévellopeur. Bienvenue dans le premier stage de cette immonde bouse !

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Ouais après tout, jouer à un jeu de cet acabit en une seule fois, c'est pas possible, même pour moi, j'aime la merde, mais là, mais là, c'est carrément une fosse à purin... Je ne vais même pas m'attarder sur le scénario qui n'a aucun but, aucune once d'originalité et que même Steven Seagal aurait refusé, c'est dire... On est des flics, vous êtes les méchants, on a des côtés bad guys vous êtes des attardés... ou c'est l'inverse, je ne saurai plus vous dire... M'enfin, je me lance quand même et là, c'est le choque, moi même je suis terrorisé, oui, terrorisé et pour me terroriser, il en faut beaucoup ! Je vois donc enfin la bête et mes yeux ne cessent de saigner, comme un rejet de tous ces excréments qui parsèment mon écran plat, je ne peux plus m'empêcher de scruter le cadre qui est devant moi pour trouver un bon point, rien, peau de zob, quetchi quoi ! Mais bordel, vous avez programmé le jeu avec des aveugles atteint de daltonisme ou quoi chez Techland (je sais que cette phrase n'a aucun sens mais franchement j'm'en tape le coquillard). On ne voit rien dans ce parc proche de Los Angeles, nos ennemis sont impossibles à voir et enfin de compte, quand tu tires, tu ne sais même pas ce que tu touches... J'vais vous dire, ce n'est peut-être pas si mal. Non, ce n'est pas que je veux être méchant, mais quand je vois la gueule de mon personnage (à choisir parmis trois handicapés mentaux), j'ai cette petite phrase qui me dit : "Mais heureusement que tu ne vois pas la sa gueule de ces connards !". Ouais, t'as raison petite voix qui me guide partout où je vais, je ne préfère pas voir leurs faces, d'autant plus qu'apparement les skins sont quasimentstoutes les mêmes, certainement l'explication la plus logique à cette immondice, la consanguinité des personnages... Le monde du jeu vidéo va mal, Christine Boutin nous avait prévenu...

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Mais je suis bon prince... des ténèbres, et je laisse une chance au gameplay et je me dis qu'enfin de compte il n'y avait pas que des aveugles dans l'équipe que nous a concocté Techland, il y a aussi des manchots, prêt à coder n'importe quoi avec leurs moignons pourris ! L'effet à la manette est redoutable, aucune sensation de plaisir de tirer à tout va nous vient à l'esprit, pourtant c'est bien là le plaisir malsain de la chose, flinguer à tour de bras. Non, rien n'égaye au paddle notre route dans ce bois qui tout les 50 mètres se répète à l'infini, à ce titre, messieurs les développeurs, je vous aurai préconisé votre anus, bien moins loin et bien plus intéressant après l'insertion de votre jeu dedans, mais ce n'est qu'un avis personnel. Revenons-en à nos moutons, le gameplay, mais quelle honte, comment de nos jours et plus particulièrement en 2011, un jeu de cet acabit à pu sortir ? Non, franchement, faut arrêter de faire de la merde, je sais que c'est un besoin naturel de chier mais y a des limites ! Rigide, sans goût et totalement à la ramasse, rien n'est fait pour que nous passions un bon moment dans ce jeu, la jouabilité, forcément, en pâti beaucoup et il me vient à l'esprit que jeter ce DVD par la fenêtre sera bien plus fun...

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J'en arrive enfin à la fin de ce premier niveau qui m'a vu traversé une rivière de merde, je suis soulagé, plus que 9 stages, enfin j'en sais rien, je ne sais même pas si j'irias jusqu'aù bout... Quoiqu'il en soit, je vais partager mon malheur avec vous tout du long de ce jeu, stage par stage, merde par merde, gerbe après gerbe. Vous vous en sentez capable ? Et bien à demain, pour de nouvelles aventures !

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Jurassic Killer

Double Fine : mon premier test, hahahahahahahaha!!

Je l'avais dis que les développeurs avaient du morons à se faire, la preuve en est avec ce test que mon cerveau de psycophate m'a ordonné d'écrire, à plus mes petits pigeons préférés, hahahahahahaha !

La boucherie c'est  ici !

Test de DLC Quest (jeu indie)

Il y a un endroit sur le Xbox Live Arcade où personne ne va jamais ou sinon n'en parle jamais et pourtant, parfois et à bas prix, des  petits jeux viennent distraire le joueur en mal de nouveautés. Aujourd'hui c'est l'un de ses jeux que je vais vous tester, son nom, DLC Quest, oui DLC Quest, une satyre sur le jeu vidéo actuel et ses contenus téléchargeables à tire larigot !

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Nous voilà donc au début du jeu, simple et arborant un graphisme en 2D tout droit sortis d'une 8 bits, DLC Quest nous offre de jouer un héros dont la princesse c'est fait enlevée par le "Bad Guy", à ce moment précis, il n'y a plus rien dans le jeu, ni animation, ni musique, ni direction, juste le droit d'aller choper des pièces en allant à droite et aller voir son marchant préféré pour acheter le premier DLC du jeu, les mouvements ! Voilà comment se déroule le jeu, pour pouvoir avancer ils vous faudra acheter le contenu, choses qui sera certainement possible dans quelques années (mois ?) et pour de vrai cette fois-ci dans le monde bucolique du jeu vidéo !

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D'autre part notre quête nous permettra de croiser des personnages haut en couleur ne sachant pas trop ce qu'ils font ici, des autres vous proposant des quêtes ou encore un personnage représentant bien le joueur actuel et qui vous laissera le passage si vous lui donnez le DLC de la version bonus d'un jeu, oui, même le joueur en prend un peu dans la gueule et franchement, ça fait plaisir !

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Seul ombre au tableau, la durée de vie, 20 minutes à tout casser, c'est peu mais vu la bonne rigolade que l'on passe et le petit prix (80MS Points/0.96&euroalt il serait dommage de s'en passer, la satyre étant pleinement assumée et forcément et terriblement vraie...

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Test : Magical Quest Starring Mickey Mouse

Il y a parfois des choses qui vous tombe dessus sans que vous ne demandiez rien à personne, des amis, des anciennes rencontres, la vie et parfois c'est un jeu vidéo, c'est ce qui m'est arrivé avec un ami qui m'a envoyé une vidéo d'un vieux jeu que je n'avais pas vu depuis, ouhhh, belle lurette, et là l'idée me vient, je branche ma Super Nintendo, ressort mon Magical Quest et décide de vous en parler, parce que ce soft, c'est tout simplement une foutue merveille. Bienvenue dans le monde de Mickey Mouse !



A vrai dire je ne vais pas mentir j'ai toujours détesté Mickey, je l'ai toujours trouvé fourbe pour être franc, et si il existait réellement je ne lui tournerais pas le dos. Enfin ce petit détail mis de côté, j'ai, par contre, toujours adoré ces jeux, sur Megadrive, Master System, Super Nintendo, Nintendo, etc, etc... Ca tombe donc plutôt bien vu que c'est de l'un d'entre eux que je vais vous causer aujourd'hui et plus particulièrement de Magical Quest sur SNIN où par une journée ensoleillée, nos amis Dingo, Donald, Plutot et bien entendu Mickey s'amuse à la balle. Malheureusement rien ne va plus aller, une balle mal réceptionnée par Mickey et c'est le drame, Plutot par chercher la balle et tombe d'une falaise pour être suivi quelques instants plus tard par son maître qui apprendra un peu plus tard que son cher chien a été enlevé par le terrible Pat Hibulaire qui est un grand sorcier. L'aventure peut enfin commencer, la magie aussi...



La première chose qui frappe lorsque l'on arrive dans ce monde tout droit sorti de Disney, c'est la beauté des graphismes, Magical Quest est beau, un point c'est tout. On déambule avec admiration dans le premier niveau et on se prend à flâner, à regarder les détails, à chercher le détail qui pourrait faire défaut, mais rien n'y fait, M.Q. est quasiment parfait niveau décors. Pour ce qui est des ennemis et de Mickey c'est exactement la même chose, les premiers sont variés et jouissent tous d'une animation qui aurait pu faire pâlir pas mal de dessin animé de mon époque. Mickey, héros du jeu, à le droit au plus grand soin forcément et c'est avec enchantement que notre voyage ce fait avec lui. Oui, Capcom n'a pas fait les choses à moitié, c'est juste du grand art...



Mais la force de ce jeu ne réside pas là. Si dans le premier niveau Magical Quest n'est qu'un jeu de plate-forme lambda, il prend tout son essor dès le second stage où notre amie la souris se verra offrir un costume de magicien. Mais chose encore plus énorme, 2 autres costumes viendront se greffer aux premiers, celui de pompier et d'alpiniste. Mais qu'est ce que ça change me direz-vous ? Mais tout ! Si vierge de ceux-ci Mickey ne peut que s'agripper et attraper les blocs, dès qu'il enfile l'un d'eux c'est tout bonnement un gameplay incroyable qui s'offre à nous ! En magicien, il pourra lancer des rayons de magie sur ses ennemis et les blocs l'entourant, en pompier, nous pourrons tirer des salves d'eau qui pourront se transformer en plates-formes en touchant des ennemis et en jauger la puissance suivant le temps que l'on reste appuyer sur le bouton. A noter qu'il vous sera nécessaire pour ces 2 costumes de recharger une jauge à l'aide soit de lampe d'huile, soit de bornes d'incendies, qui, rien n'est donné ! Mais le somome arrive avec le costume de l'alpiniste, le jeu devient légendaire à partir de ce moment et surtout grâce à la montée de la montagne qui deviendra l'un des moments les plus épiques de tous les Mickey. Oui, ce M.Q. regorge de bonnes idées toutes mises superbement en pratiques !



Et si il n'y avait que ça ! La musique vient s'engouffrer dans nos oreilles qui en redemandent avec délectation. Collant parfaitement à l'action on se plait à fredonner l'air pendant le jeu, preuve si il en fallait que le titre de Capcom était encore une réussite sur ce point. Les bruitages, bien que classiques, se laissent entendre et ne gâche en rien ce que nous avons sous les yeux.

Si il ne devait y avoir qu'un point noir ce serait la durée, avec 6 mondes découpés, celle-ci n'excède pas l'heure de jeu et ce n'est pas la difficulté qui vous arrêtera. La seule chose qui sauve tout cela est qu'il faut ce Magical Quest d'une traite, pas de sauvegarde ni de mots de passes, c'est en une fois ou jamais ! Nous parlerons rapidement du mode 2 joueurs anecdotique qui n'est même pas un mode coopération à l'image de World of Illusion sorti la même année (1992) sur MegaDrive mais plutôt un tour par tour. Juste histoire de gonflage de durée de vie.



Voilà j'arrive à la fin de mon petit moment de bonheur avec cette souris de malheur, et encore un fois j'ai pris énormément de plaisir à rejouer à ce jeu, car vous voyez, voilà ou réside sa force, malgré sa durée de vie pitoyable, ce jeu est magique, on y revient sans problème, en tous cas c'est simple, jouez-y !

Test : Streets of Rage

Mes doigts me titillent depuis bien trop longtemps maintenant et j'ai décidé de refaire des tests d'oldies sur mon blog, j'ai donc effacé les derniers articles que j'avais rédigé pour reprendre là où j'avais laissé mon bien pauvre blog... Mais pour me rattraper je vais tout de suite commencer par du très lourd, du très très lourd même ! Ladies and Gentleman, plus jeunes et moins jeunes je ne veux parler que du légendaire Streets of Rage !



On se dit que pour entendre des histoires de gros sous et de coups dans la tronche du concurrent, rien ne vaut notre bonne époque, et bien que nenni, déjà en 1991 ça se passer comme ça et en cette douce et belle année le Megadrive écrasait tout sur son passage, un Sonic plus cool que l'image de ce bon vieux Mario et surtout une console bien plus puissante que la Nes de Nintendo. Mais la Snes allait faire son entrée et SEGA ne pouvait pas réagir, en découlera Streets of Rage, un Beat'em all tout ce qui a de plus simple mais développé par la célèbre Team Shinobi et un certain Yuzo Koshiro qui s'occupera de la musique. La machine était lancée, le reste ne sera plus que légende...



L'histoire se veut simple et il faut le dire on s'en fout un peu, tant que l'on peut castagner à tout va, nous, nous étions bien contents. Nous sommes donc dans une ville (qui ne portera même pas de nom) où le crime organisé s'est peu à peu développé et qui est au main d'un certain Mr. X... La police devant cette recrue d'essence des mauvais comportement va créer une unité spéciale pour terrasser ces terribles ennemis... Ouais je l'avais dit, c'est simple mais l'unité spéciale c'est vous et franchement moi je vous le dit, juste grâce à ça nous allons pouvoir bastonner chaque passant qui croisera notre route, ouais, tout le monde est méchant donc pourquoi se retenir ?



Voilà, vous êtes lancés dans le grand bain et c'est maintenant à vous de jouer, vous débutez donc dans la rue et ce sont dès les premiers instants que vous allez être attaqués de toute part, malfrats, punks, salo..., euh, meufs avec fouets et encore plein d'autres ne cesseront de vouloir barrer votre route. Mais don't panic mes amis, de une vos gaillards sont plus que taillés pour les piétiner à coups de lattes et de deux, la maniabilité du soft est juste énorme ! Aucun soucis ne viendra vous empêcher de décoller des pains à tour de bras ou encore de foutre en pleine face des foutues savates, oui mes frères, frapper n'aura jamais été aussi bon, tout du moins à l'époque !



Mais ce n'est pas tout, graphiquement le jeu tient plus que la route et les nombreux environnements que vous visiterez vous permettront de faire un jolie voyage dans le pays de la bastonnade, rue, plage, bateau, ruelle, usine, ascenseur et batiment vous feront voir du pays ! L'animation, qui n'est pas en reste, sera un prétexte pour admirer chaque mouvement de vos personnages, encore une fois un pur régale. A cette époque c'était la baffe (je sais c'est facile) assurée !



Pour finir en beauté, comment ne pas vous parlez de la musique du jeu, composé par Yuzo Koshiro, les musiques du jeu font cracher les capacités du Megadrive comme jamais, c'est simple, du début à la fin du jeu on s'étonne à de temps en temps rester sur place pour juste écouter le travail du maître, oui j'utilise le mot maître, car s'en est un !



J'arrive déjà à la fin de mon passage dans le passé (20 ans déjà !) et je m'aperçois que j'ai oublié pas mal de chose, le mode 2 joueurs qui propose des moments plus qu'épiques (je ne peux en dire plus, mon cousin n'appréciera pas trop ;) ) ou encore de la durée de vie plus qu'honorable pour cette époque et qui joui toujours d'un Replay Value plus qu'énorme (encore aujourd'hui je prends mon pied avec), mais à quoi bon à vrai dire vu que ce jeu est une légende qui a traversé les âges et qui aura le droit à 2 suites toujours Megadrive.

Oui, Streets of Rage est une légende et si par malheur vous n'avez jamais joué à ce jeu, cachez vous, ne le dites pas et allez tout de suite achetez une Megadrive avec ce jeu ou la compilation sorti sur 360 ou PS3 ! Pour les autres vous savez de quoi je parles !

BONUS TIME




http://ostream.free.fr/OST/OST_streetsofrage.php
franchement allez-y, vous allez vous en prendre plein les oreilles !

http://streets-of-rage-remake.softonic.fr/
et ça c'est cadeau !