Xenoblade Chronicles X de l’équipe Monolith Soft est certainement le portage Wii U qui était le plus attendu sur Nintendo Switch. Ayant l'appellation Definitive Edition dans cette nouvelle version, le titre intègre ainsi de nouveaux ajouts améliorant davantage le contenu. Toujours enivrés par le titre lors de notre Preview, nous allons pouvoir désormais apposer notre verdict final après avoir parcouru le titre intégralement, et c’est peu dire. Ainsi, le contenu du test reprendra ce qui a déjà été abordé précédemment en y ajoutant tout ce que nous n’avions pu dévoiler à ce moment-là. Pour rappel, le titre sera disponible le 20 mars prochain sur Nintendo Switch.

Test réalisé à partir d’une version fournie par Nintendo.
Temps total passé sur le jeu : 150 heures

Le test est garanti sans spoils. Afin de garder la surprise de la découverte pour les joueurs n’ayant pas fait l’opus original sur Wii U, merci de ne rien divulguer concernant les éléments clé du scénario dans les commentaires.

Une exode forcée

Nous sommes en 2054 et l’humanité fait face à une menace imprévue. En effet, deux races extraterrestres se rapprochent de la Terre tout en se livrant une bataille effrénée. Cette guerre subie proche de la planète met en péril l'existence même de l’humanité. N’ayant pas d’autres choix car dépassée par la puissance de ces deux entités, l’Humanité décide de fuir la Terre à bord d’Arches (de gros vaisseaux spatiaux). Le conflit était si intense que malheureusement, seuls peu de vaisseaux réussirent à passer au travers de celui-ci comme “la Grande Blanche”. Après s’être enfui à bord de ce vaisseau, l'humanité a erré deux ans dans le cosmos dans l'espoir de trouver une planète habitable. Or, les extraterrestres retrouvent leur trace et les attaquent subitement, causant des dommages irréversibles à la Grande Blanche…

Le vaisseau s’écrase alors sur une planète inconnue et par chance habitable. Il a été nécessaire de s’adapter une fois arrivé sur place. Deux mois se sont écoulés et c’est là que l’on vous trouve. En effet, suite au crash, plusieurs capsules se sont éparpillées. Vous revenez à vous sortant donc de votre stase. C’est Elma qui vous trouve et se charge de s’occuper de vous le temps que vous repreniez vos esprits. Vous semblez d’ailleurs avoir perdu la mémoire, ce qui, d’après Elma, pourrait être une conséquence de la stase. Elle prend alors soin de vous expliquer tout le contexte et vous raccompagne jusqu'à la ville humaine. Vous découvrez alors une vaste structure baptisée New Los Angeles. Vous allez faire la rencontre du BLADE, un groupe chargé de découvrir votre nouvelle planète : Mira.

Agir comme un agent du BLADE

Étant sorti après le premier opus de la saga Xenoblade, X en reprend les mécaniques principales en combat. Vous pouvez en effet déclencher chacun de vos Arts (sorts) dans la barre en bas de l’écran comme bon vous semble en prenant en compte que chacune possède un cool down. De plus, comme pour les autres opus de la saga, votre placement par rapport à vos ennemis est primordial. Il faut veiller à bien lire les détails de chacun de vos Arts puisque certains sont efficaces en étant sur le flanc de votre ennemi par exemple. Cela peut vous permettre de les faire chuter afin de faire davantage de dégâts. Il faut savoir aussi que certains Arts consomment des points de tension (PT) qui eux-mêmes se cumulent via les attaques automatiques ou au travers des autres types d’Arts.

Ensuite, sachez que vos personnages disposent de deux armes : corps-à-corps et distance. Il convient donc d'utiliser la bonne au bon moment. Pour aller plus loin, vos équipiers peuvent lancer un cri de guerre auquel il est préférable de répondre en utilisant un Art correspondant (impliquant plus de dégâts et une petite régénération de PV). Outre ces cris, peuvent intervenir des défis guerriers (un petit QTE) qui, si bien utilisés, montent à la fois votre barre de moral en combat rendant vos performances meilleures et vous rendant aussi des points de vie non-négligeables. De même, il peut être assez pertinent d'utiliser des Arts dits d’aura qui boostent vos capacités. Enfin, point de détail important, la météo peut avoir une incidence sur vos capacités. À titre d’exemple, lorsqu’il pleut, vous perdez en précision avec vos armes à distance.

Autre point important, il convient de vous choisir une classe. Vos partenaires eux ont leur propre classe et possèdent des caractéristiques spéciales. En revanche, de votre côté, vous devez en choisir une et avancer dans l’arbre de classe afin de vous spécialiser dans un rôle ou une manière de faire des dégâts. Chaque classe impose de ne porter qu’un type d’arme au corps-à-corps ou à distance. Les Arts que vous débloquez sont améliorables grâce aux points de combat que vous accumulez au fil de votre progression (combats, sondes, Trésors, etc.). Outre les Arts, vous pouvez vous équiper de compétences passives. Et plus votre classe est avancée, plus vous pouvez en équiper. Encore une fois, celles-ci sont améliorables. Finissons avec l'équipement qu'il faut bien évidemment changer au fur et à mesure pour devenir plus résistant et aussi plus puissant. Veiller à vos résistances qui peuvent parfois être importantes suivant l’ennemi affronter. Il est à noter que vous pouvez aussi opter pour un équipement de mode (transmogrification en jargon plus classique) afin de choisir l’apparence de votre choix et de vous garantir le meilleur des looks.

New L.A. & Frontier Nav

Dans cette grande ville, vous aurez l’occasion de vous adonner à différentes activités en marge du scénario principal. Disons que vous pouvez accepter trois autres types de quêtes. Les missions normales qui vont parfois avoir leur propre fil rouge et traitent particulièrement de la vie de certains résidents ou du développement de la ville. Les missions d'ententes quant à elles s’axent plutôt sur le traitement des personnages composant votre équipe. Ainsi, vous apprendrez à mieux les connaître, mais aussi à apprendre d'eux certains Arts. Enfin, les missions de base, qui se prennent sur un tableau, servent essentiellement à vous faire de l’argent, gagner certains équipements, etc. Dans tous les cas, il faut savoir qu’en général, ça se limite à chasser du monstre ou récolter des objets comme dans la plupart des jeux. En revanche, les quêtes normales et d’ententes bénéficient d’une bonne écriture.

D’ailleurs, puisque l’on a évoqué l’équipement, il faut savoir que ceux-ci sont produits par différents fabricants. Vous pouvez alors investir du Miranium pour les soutenir et ainsi les aider dans leurs recherches et développements. Quel bénéfice pour vous ? Avoir de nouveaux types d’équipements disponibles et de meilleure qualité. Et le Miranium, qu’est-ce donc ? Il est extrait sur Mira et sert à diverses choses. Et c’est ce qui nous amène à l’exploration et tout son concept dans X. Comme il s'agit d’une terre inconnue, il va falloir découvrir cette planète. Afin de la cartographier, elle a été décomposée en hexagones. Ainsi, en installant des sondes aux endroits dédiés, vous allez révéler ce que chaque parcelle (hexagone) vous réserve : trésor, Tyran (monstre particulièrement puissant), quêtes. Mais ça ne s’arrête pas là, vous pouvez par la suite mettre une sonde spécifique qui va s’accentuer sur une tâche : extraire le Miranium, produire de l’argent, améliorer votre capacité de stockage, etc. Et afin de maximiser votre rendement, vous pouvez aligner les sondes connectées entre elles en choisissant le même type pour optimiser tout votre rendement. C’est incroyablement bien pensé (et à ne pas négliger).

Un Mira-ge à explorer

Le point fort du titre, outre son gameplay très bien ficelé, c’est Mira, la planète elle-même. C’est un vrai plaisir de découverte, une balade vers l’exotisme, un enchantement pour les yeux, un vrai mirage qui nous donne un soupir admiratif à chaque nouveau panorama découvert. En effet, contrairement aux autres Xenoblade, ici, le tout transpire la science-fiction à plein nez et nous en met plein la vue à chaque instant. En outre, le level design nous offre un environnement cohérent comme rarement nous en avons eu. Restez près des routes et le danger ne sera pas très important, partez en revanche explorer les endroits les plus reculés et de mauvaises surprises peuvent vous attendre. Bien que le titre soit sorti sur Wii U, il n’a pas à rougir même en 2025 quand on voit l’ampleur des décors, leur profondeur, et même leur gigantisme.

Là où le titre sait aussi nous prendre à revers, c’est qu’outre cette beauté, c’est qu’un danger permanent nous attend au détour d’une forêt ou d’un massif. Mira est une terre incroyablement hostile. Et afin de peut-être donner plus de cohérence, ce ne sont pas forcément des ennemis de petits niveaux qui vous attendent même dans la zone de départ. Tout se mélange et il convient de bien choisir son itinéraire pour se rendre dans certains lieux tant certains ennemis puissants peuvent se trouver sur votre chemin. En parlant de chemin, la balle éclaireuse a été améliorée pour mieux vous montrer le chemin à suivre. Bref, Mira nous semble vivante, possède un écosystème presque réaliste, et fourmille de détails. Pour détailler un peu la faune locale, la plupart des monstres ont des appendices que vous pouvez briser. C’est autant utile pour récolter des matériaux que pour faire bien plus mal à ces bestioles aux parfois dévastateurs. Pensez-y en affrontant des Tyrans qui s'apparentent à des ennemis rares, particulièrement puissants et résistants. Nous évoquions le gigantisme des décors, mais il en va de même pour certains ennemis à la taille déraisonnable !

Metamode

Arrivé à un point de l’aventure, vous allez pouvoir débloquer une fonctionnalité à ne pas négliger, le Métamode. Celui-ci est une sorte de burst pour vos personnages. En somme, une fois que vous avez accumulé 3000 Pt, vous pouvez déclencher ce mode en appuyant sur le “bouton” du milieu de votre barre d’Arts. Une fois activé, la vue se trouble pour donner une impression de vitesse, vos Arts se rechargent à vitesse grand V. Ainsi, vous pouvez enchaîner les coups assez rapidement et occasionner des dommages conséquents à vos adversaires. En revanche, les personnages gérés par l’IA n'activent pas ce mode de manière autonome, mais vous pouvez leur en donner l’ordre. Le Metamode nous a sorti de situations parfois périlleuses ou même perdues à certains moments , notamment lorsque nous étions submergés d’ennemis ou en difficulté face à quelqu'un d’un peu trop puissant pour le groupe.

Des Skells sinon rien

Un agent du BLADE doit être digne de confiance pour piloter un Skell et il doit donc faire ses preuves dans un premier temps. Ainsi, dès lors que ce sera le cas, votre premier Mecha vous sera remis. Les Skells sont donc des machines que vous pilotez et pouvant faire d’énormes dégâts et surtout vous permettent de tenir tête aux monstres les plus puissants et les plus grands (oui, dans ce cas présent, la taille compte !). Afin que votre Skell soit efficace, il convient de l’équiper afin que lui aussi possède en quelques sortes des Arts. Le gameplay est identique à vos combats pédestres, à la différence que vos coups dépendent de ce que vous équipez : claymore, faux, pistolets, etc. Les emplacements ne manquent pas et ce n’est pas moins de huit équipements que vous pouvez équiper sur votre machine (il se peut que l’un des équipements puisse occuper deux slots d’ailleurs).

En pilotant un Skell, il est aussi possible de déclencher le Metamode qui est ici différent. Suivant le modèle du Skell, c’est un bonus spécifique qui se déclenche : réparation, boost de stats ou autres. Avant de pouvoir voler (car oui, ça arrivera plus tard), votre Skell peut assurer des déplacements plus rapides en se transformant en véhicule terrestre. Enfin, sachez que le Skell est personnalisable d’un plan de vue esthétique (peinture, etc.) certes, mais dispose aussi d’un niveau. Ainsi, avec un Skell de niveau 30, vous serez moins performant qu’avec un Skell de niveau 50. Par ailleurs, il faut que le pilote ait au moins le niveau du Skell pour pouvoir le piloter (et donc utiliser aussi l'armement de même niveau). Trois types de Skell existent : léger, Moyen, Lourds. Chacun des trois possède ses avantages et ses défauts.

N’oubliez surtout pas que le Skell dispose d’une quantité de carburant et qu’une fois celle-ci vide, il vous sera inutile. Le carburant se remplit dans le temps, mais de manière très lente (à moins d’en booster la régénération via des sondes sur le terrain). Sinon, il faudra passer par la case hangar pour faire le plein en payant en Miranium. Nous en revenons donc à vraiment ne pas négliger le Frontier Nav. De même, si en combat votre Skell est “détruit”, il faudra le réparer. Si vous disposez d’une assurance encore valide, cela ne vous coûtera rien. Si vous vous éjectez en réussissant le QTE, même chose, aucuns frais. Dans le cas contraire, passer à la caisse pourra être douloureux. Pour rappel, un Skell neuf peut coûter facilement plusieurs millions. En définitive, c’est toute une gestion qui vous attend et des précautions à prendre, mais une fois le système bien appréhendé, il est largement possible de limiter les frais.

Des ajouts bienvenus

C’est en effet ce que propose cette version, du contenu supplémentaire afin de vous donner encore plus de satisfaction et peut-être répondre à quelques questions. Nous ne pouvons aborder avec précision ce qu’il se passe dans le scénario qui se greffe à ce qui existait sur Wii U. Et dans un sens, c’est même bien mieux, il n’y a aucun intérêt à priver les joueurs de la découverte totale d’une histoire. Nous allons simplement préciser que l’histoire teasée dans les trailers fait directement suite à l’histoire principale avec vos personnages et vos niveaux, Arts, bref tout. La précision est importante puisque dans le Xenoblade premier du nom, le contenu additionnel de la Definitive Edition était amené sous forme de Stand Alone et se jouait en dehors du jeu de base. Ici, ce n’est pas le cas et c’est une très bonne chose.

Outre l’histoire, des personnages font leur apparition ainsi qu’un nouveau Skell révélé lors de la diffusion du trailer. Nous détaillerons la structure du jeu un peu plus bas, c'est grâce à celle-ci que deux personnages par exemple ont pu être intégrés dans le jeu sans perturber le scénario principal et sont disponibles durant la partie du jeu qui faisait partie de la version Wii U. Encore une fois, nous allons préférer ne rien dire pour que vous découvriez qui sont ces personnages et quelle est leur histoire (plutôt intéressante d’ailleurs). De plus, l’un des deux vous permettra de mettre la main sur un Skell spécial ô combien stylé et facile à gérer, car il dispose d’un équipement unique que l’on ne peut d’ailleurs pas changer, ce qui le rend davantage intéressant.

Une écriture élargie

La structure de Xenoblades Chronicles X est assez particulière. Contrairement aux autres opus, une fois que Mira vous est ouverte, vous pouvez littéralement aller où vous voulez (hormis certains lieux accessibles uniquement en volant). Dans un sens, on peut d’ailleurs se demander, quand on sait que Monolith a appuyé les équipes d’Aonuma pour Breath of The Wild, si Mira n’a pas servi d'inspiration à l’exploration libre. Ainsi, l'histoire se découpe en douze chapitres qui, individuellement, sont assez courts. Pour pouvoir passer d’un chapitre à l’autre, il faut avoir un niveau minimum et avoir exploré un certain pourcentage d’une région donnée. C’est donc au travers des quêtes annexes et ententes que vous allez progresser entre temps et aussi grâce à l’exploration.

Pour partager notre expérience, nous avons systématiquement fait toutes les quêtes disponibles entre deux chapitres (sauf si nous n’avions pas la force requise). Le résultat est sans appel, il nous a fallu environ 120 heures pour boucler le contenu original du soft. Nous préférons le préciser, nous avons réellement tout fait (explorer, chercher les trésors, battre les Tyrans en plus des quêtes). Mais attention, le titre fait très fort sur un point, même si l’écriture du scénario reste assez courte en soit, elle n’en demeure pas moins bonne. Peut-être moins impactante que les autres jeux de la saga, mais réserve son lot de surprises et sait souvent appeler bon nombre de questions au joueur, lui donnant ainsi hâte de passer à la suite.

Alors où est donc ce point fort ? Et bien tout le contenu qui entoure le scénario, chaque personnage a sa petite histoire au fur et à mesure que vous augmentez l’entente et que vous progressez dans les chapitres. Donnant ainsi lieu à des scènes tantôt touchantes, tantôt drôles. Il se peut même que certains personnages se révèlent à vous d’une manière que vous n’auriez pas imaginé. Mais ça ne s’arrête pas là. Bon nombre de quêtes annexes viennent renforcer l’intérêt que l’on porte à l’univers et à New L.A.. Certaines quêtes deviennent même des petits fils rouges que vous suivez petit à petit et donnent encore plus de consistance au tout. Puisque vous allez rencontrer des races autres que les Terriens, leur intégration sera aussi au cœur de votre ville, mettant alors en avant beaucoup de choses et faisant le parallèle très adroitement avec une société mixte. Pour conclure sur l’écriture, c’est un tout qu’il faut embrasser pour profiter de ce Xenoblade plutôt que de se centrer uniquement sur l’histoire principale.

Une technique encore impressionnante

Notre test s’approche doucement de la fin et il faut bien évidemment évoquer l’aspect technique du jeu. Comme nous l’avons précisé à plusieurs reprises dans le test, le titre reste encore impressionnant aujourd’hui. La Switch gère très bien le soft qui tourne sans sourciller même en mode nomade. Aucun ralentissement lors des combats, une vue toujours très lointaine (même les ennemis, les plus gros tout du moins, apparaissent de très loin). Il faut aussi dire que sa direction artistique y est pour beaucoup puisque sans être photoréaliste, c’est tout de même moins ”cartoon” que les autres opus. Soyons aussi objectif, certaines textures de sol ou même de rochers sont parfois très baveuses de près. Mais in fine ça ne choque pas tant la plupart du temps, tout est bien rendu.

En revanche, on peut noter quelques défauts qui existaient à l'époque. Certains PNJ peuvent apparaître tardivement et quelques saccades peuvent survenir le temps que vos personnages chargent quand vous changez d’équipe. Ce n’est pas forcément gênant en soit mais ça reste un point qui potentiellement aurait pu être amélioré. Enfin, côté bande son, nous sommes ici sur un tout autre registre. Bien que ce soit un J-RPG, certaines pistes frisent quelque peu avec le Rock (notamment dans New L.A.). Mais il est à noter que beaucoup de postes intègrent des chants même en combat, ce qui, si cela vous touche, peut être très grisant. Certaines musiques seront bien évidemment bien plus axées sur l’émotion et tout particulièrement quand elles interviennent durant le scénario, mais il est clair que c’est une composition d'un autre genre qui nous est proposée ici. Notre seul regret et que nous ne pouvons donc juger, se situe sur les fonctionnalités en ligne, car les serveurs n’étaient pas disponibles lors de la rédaction de ce test.