Tu ne comprends rien !

Yoshiki TANAKA: Héros Galactique, ça poutre !

Yoshiki TANAKA: Héros Galactique, ça poutre !


Avant-avant-hier c’était le troisième anniversaire de la première diffusion de l’anime forgé de sueurs viriles, mais aussi le jour le plus merdique de l’année. Merdique au point de créer une faille au niveau de mon hypersubconscient-subgalactique et ainsi me ramener à la réalité. Pas de cas de conscience, seulement une putain de migraine (vos conneries me font mal à la tête) me forçant à écrire ce jour-ci, après plus d’un mois d’inactivité cérébrale.


ou la loose incarnée !


Le mois de mars fut fort enrichissant, j’ai appris, que SEGA n’était pas capable de traduire un jeu (en français) et encore moins sans faire de fautes en anglais. Que SEGA fait chier son monde en fournissant au compte goutte le dis jeu et qu’Infinite Space pu un peu du cul (voir si j’ai le temps de divaguer sur le sujet durant le reste de l’article ou dans un autre). Pas de morale à dire sauf que je ne sais vraiment pas quoi écrire. Non je ne me rabaisserai pas à un stupide poste d’une vidéo accompagnée de quelques mots, non plus à celui d’une image et pourtant… Je pourrai très bien m’avancer sur la saga Gundam. En quoi c’est du Super Roboto déguisé en Real Robot (genre sans intérêt particulier, si ce n’est de se faire chier) et que le titre du très estimé Second Impact de la japanime n’est absolument pas mérité pour MSG. Mais j’entends l’appel des héros de la galaxie crier dans mes oreilles. Oui, la galaxie a besoin d’un héros ! Aujourd’hui sera Soap Opera cu’d'biche !


Par quoi commencer, si ce n’est que Yoshiki TANAKA est sans doute l’auteur japonais que j’affectionne le plus, alors que jamais je n’ai lu une de ces œuvres. Né un certain 22 octobre 1955 dans une province pourri et complètement isolée du reste du Japon, la préfecture de Kumamoto. M. TANAKA fut admis et gagna* son doctorat de littérature en japonais à la grande et prestigieuse université Gakushuin à Tokyo considérée comme l’égale de la grande Université de Tokyo. M. TANAKA est le papa de l’œuvre adapté en la plus grande série d’OVA jamais produite à ce jour, j’ai appelé Les Héros de la Galaxie. L’œuvre comporte quelques 162 OVA (qui poutre sa mère) tous les personnages ont eu droit à un acteur de doublage**, si ce n’est deux. Kei TOMIYAMA s’occupant d’interpréter Yang WEN-LI (LE Miracle) fut frappé par la mort le 25 septembre 1995 au cours de la production, qui s’étala sur plus de 10 ans (1988 à 1999).


Bien sûr Yoshiki TANAKA ne se contenta pas d’une seule œuvre qui fut acclamer de louange. Une seconde fut considérée comme un classique à savoir, Les Chroniques d’Arslân*** (disponible aux éditions Calmann-Levy). La version adaptée en anime reste inconnu auprès de l’animefan moyen (qui ignore les 9/10 des productions d’antan****, dommage…) et pourtant nous avons la chance de disposer d’une version française de bonne facture (ou pas) aux éditions Black Bones.

Une troisième œuvre de ce grand maître verra le jour sur papier animé en 2008, pour ces 20ans sur papier écris. Elle passa inaperçu chez les animefans, ainsi que les fans de LHG. Et pourtant, cela dans une période bien creuse en animés de bonnes factures. Elle qui fut adapté par le grand duo de LHG (Noboru ISHIGURO, Hiroshi TAKAKI). Et c’est bien sur cette œuvre que je jette mon dévolu, Tytania œuvre de SF ce plaçant dans un contexte existentiel.


Depuis plusieurs siècles un clan sans terre, domine l’Univers, domine la guerre, sans partage, ni défaite, Tytania domine ! Mené par les 4 grands ducs au service d’Ajman TYTANIA chef du clan et valet de l’Empire, ainsi que de l’Empereur, se voit renouveler son allégeance auprès de ce dernier quand au même moment… Le grand et glorieux clan Tytania s’intéresse au sort d’une misérable et insupportable planète démocratique, Euria. La flotte menée par Ariabart TYTANIA grands ducs se permet une « petite promenade de santé » en affrontant le dernier rempart d’Euria, Fan HULIC ! Amiral précoce et précipité dans la gueule du loup par ses pères, afin de nourrir la bête affamée de son mets préféré, la victoire. Fan aurait dû perdre ! Mais ce jour-là fût autrement. Le jeune amiral sorti, alors de ses manches une surprenante tactique le condamnant à la victoire ! De retour triomphant sur Euria, l’Amiral Fan HULIC se verra contraint à la fuite au travers de la galaxie, exilé de et par sa patrie afin d’obtenir les clémences de Tytania qui eux ne cesseront pas de le pourchasser.

beeeeeeeeeeeeeeeeh !!!


La qualité de Tytania réside avant tout dans sa narration et sa réalisation qui restent très bien encadrées, surprenantes par moment, mais souvent lassantes. Heureusement l’intrigue principale s’articule autour de luttes internes à Tytania pour le pouvoir et le prestige qui rajoute du piment au tout. L’animation quant-elle ne tient pas vraiment dans mes normes (Gainax), mais reste agréable si, on s’arrache les yeux et cautérise les plais avec sa merde. Et puis, combien même l’utilisation massive de la 3D pour modéliser nos chères vaisseaux spatiaux fait moche, la BO pue.

Aaaaaaaaaaaaaaaaaaah !


Elle qui est déjà bien trop maigre pour un slice-of-life, alors ne parlons pas d’un Soap. Composée majoritairement de trois thèmes écrits par un « illustre » inconnu Hiroshi TAKAKI. Trois thèmes que j’intitulerai : le thème Tytania (pompeux), le thème Résistances (qui n’est pas de l’illustre compositeur) et le thème Fan HULIC. Celui de Tytania s’illustre dans l’opening interprété par un soprano faisant mille et mille gloire à Tytania, dans le plus pur style baroque est rends ainsi hommage par la qualité de l’interprétation et la mise en scène à l’opening de LHG. Le second thème figure quant à lui comme ending, bien plus rythmé que celui de Tytania. Il crée un mouvement, une dynamique qui prône le changement, ainsi Fan HULIC est mis en valeur. Le dernier thème quant à lui est juste ÉPIQUE, SURPRENANT !!! Malgré son utilisation massive lors de l’anime pour les situations héroïques (ou pas…), ce thème poutre !


Fan HULIC : Ze'héros


Depuis la défaite du Grand Duc Ariabart TYTANIA. Tytania déplace le voile de la victoire et de l’illusion qu’il portait jusque là, sur le jeune HULIC se retrouvant mystifié. Mystifié par un Tytania qui dans un premier temps en fait non pas l’ennemi n°1 à abattre, mais le rival de grande envergure qu’il faut vaincre et capturer vivant ! Afin d’imposer sa position personnelle comme propice à une promotion et de garder une stabilité sous le nom de « domination » au service de Tytania.
Fan Hulic se verra attribuer le doux nom du héros ayant mis en déroute l’invincible Tytania (à l’aide d’une stratégie beurre-cacahouète tout de même). Contrairement aux hommes de Tytania (qui ont tous un gros pénis bien placé), Fan cherche à rester l’homme simple, sans grande ambition(p’tite bite) qu’il était avant la bataille, d’Euria. Il ne jettera pas l’illusion sur lui comme le fait si bien Tytania. Il ne mentira jamais sur sa situation. Tout le long des 26 épisodes nous assistons à la transformation de cet homme simple, héros par illusion, en un véritable brave. Un héros acceptant le très lourd fardeau qu’est de porter sur ses épaules les espoirs de toute une galaxie suffocant sous le poids toujours plus imposant de Tytania, un parfait Yang WEN-LI.


Very, very good guy !

De l’autre côté un homme répondant au nom de Grand Duc Jousselin TYTANIA, Ô combien charismatique et aimé de ses hommes… Ce personnage emblématique de Tytania accepte toutes les possibilités (défaites ou victoires) et ne refuse jamais une faveur, contrairement aux autres Ducs. Et pourtant sous cet air calme et posé, il nous donne l’impression d’un ardent personnage qui attend qu’une chose, un rival à sa hauteur pour s’affronter dans une ultime bataille.

Aux côtés d’un clan radieux incarné par des personnages difficilements identifiables tels que le frêle et émo Idris Grand Duc de Tytania ou encore la brute stupide Salisch TYTANIA, nous avons un homme simple. Fan qui sera nous incarner.

Le thème de la décadence est présent tout le long de l’anime. Plusieurs fois lors des réunions entre les ducs nous assistons à un débat sur l’immortalité que représente Tytannia et fini généralement par une simple conclusion : l’univers n’est pas immortelle, alors la domination de Tytania sur ce dernier ne l’est pas. La mort ici représente une forme de libération (la mort d’un homme aux manières gênantes chez Tytania, fait des heureux). Alors que de l’autre côté nous avons des héros contraints par celle-ci, Fan se voit obliger de combattre Tytania pour venger un être aimé et c’est bien cette raison qui motive la plupart des résistants. Elle qui les enchaine aux combats. Mais un désaccord se fait ressentir entre les ducs sur ce qu’il en est de Tytania avant la fin du Monde. Les personnages conservateurs tels qu’Idris ou encore Salisch regardent dans le passé glorieux pour construire l’avenir. Chacun s’identifie à l’un de leur illustres aïeuls et voient un Tytania immortelle, infaillible. Cependant, l’homme au Mouton d’Or (vaisseau amiral), Ariabart TYTANIA ayant appris de sa défaite se réserve sur l’avenir comme l’intrépide Jussellin TYTANIA qui sait…


Je veuuuux le pouvoir euuuh...

Le mirage que Tytania avait bâti autour de lui s’effondre. La folie des grandeurs devient la clé, l’objet de sa décadence. L’intérêt de l’anime est de porter réflexion sur l’immortalité, sur ce qui est stable et ce qu’il n’est pas. Il s’inscrit dans le courant baroque en jouant avec les illusions et l'extravagance de Tytania. Mais la présence de Fan permet de dévoiler la vérité et nous permet de faire un rapprochement entre l’histoire de Tytania et celles de nos écrits. Le XVIII siècles, siècles des lumières, siècle de vérité succède aux écrits baroques menteurs par nature du XVII. Ce parallèle permet d’ouvrir une porte à la réflexion sur notre monde, nous qui avons trop sauvant regardé le « passé prestigieux » (cf: la Belle Époque, les Trente Glorieuses) pour forger l’avenir.
Tytania est invincible ! Tytania est grand ! Tytania est glorieux ! Tytania est illusion !

Le plaisir de l’anime, se trouve principalement dans les batailles comme son illustre frère LHG. Elles qui auront souvent du mal à nous tenir en haleine tout le long de l’anime, plus ponctuer par les fuites de Fan que les batailles interstellaires. Malheureusement la pauvreté des musiques et de l’animation donne un air de réchauffer qui fait fast-food. Cependant l’anime d’Artland nous met une violente fessé lors de l’épisode 26 avec un putain de cliffhanger qui nous laisse présager une suite, qui espérerons-le sera digne de LHG.


Moi, casser tête à toi.


Pour conclure, on peut dire que Tytania n’est pas l’anime aux quels tous les fans de LHG étaient en droit d’attendre (Scheißekarikatur !!!), mais un anime d’une misère subspatiale qui vous emmerdera tout le long de l’aventure. L’anime ne vaut pas qu’on s’y attarde, l’achat de celui-ci est déconseiller au risque de troubles de la capacité intellectuelle. Tytania c’est du bon gros nanar fermenté en boite ! Et j’en mangerai de nouveau avec plaisir !

Ecrit le 26 mars:
Aujourd’hui j’ai acheté un jeu, un peu comme de nombreux Nfags, un bon gros RPG comme il se doit ou pas. Le dilemme fut terrible la lâché sauvage de plusieurs RPG aux potentiels énormes le même jour sur la même plateforme, mais d’éditeurs rivaux depuis toujours (quoi qu’on en dis aujourd’hui). Cela provoqua cet incroyable déchirement du grand sentiment de TOUT envers ces titans qui habitaient mon cœur. Ce sentiment fut pris entre deux lames, cette douleur que je ressens encore à cette heure. Lune émoussée et l’Aube affûtée, dans un combat où seul ma main s’attacha à l’être cher tant aimé. Dans un dernier rugissement je m’emparai de l’énorme choix que me posa la poche aux beaux rois. Évolution ou révolution, les siècles passés l’Histoire m’appris de surcroit que l’immobilisme laisse Terreur aux meilleurs enfants du Monde.

J’émis ces mots « Ici, là ! » pour entourer cet îlot dérivant dans l’Espace Infini. L’ultime jugement enflammé fracassant mers et terres transcendant d’une fureur extrême les cieux, tomba ! D’un coup de stylé impétueux, les molécules emplis de passions fougueuses se frictionnèrent, déchainant astres, batailles et cataclysmes inter-galactiques.


Infinite Space


Coca, ok ! Chips, ok ! Bouclier subpostérieur, ok ! All green !!! FURIOUS-VRILLE, HASSHIN !!!

PS: Je retourne faire « Piou, piou, piooouuu, piou… Boom ! »

C'était mieux avant...

Certifiez sans troll et avec images ou pas!
Imaginez-les : Vrille, pour le bien de votre imagination.

Après une semaine, deux articles et 144 commentaires. J'ai un gros e-penis.

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Le voici cette article complétement nombriliste qui fait de moi son héros à la peau bleu et cape rouge !
[image avec un homme bleu et une longue cape rouge qui flotte]
Vrille : « La virilité d'un homme se mesure à sa cape ! »

Ce que vous croyez brillez dans le ciel
une fois l'aube passée n'est pas le soleil,
mais le sombre reflet de mon égo personnel.
Les merveilleuses lumières nocturnes qui peignent le nuit avant mon levé, ne sont que de brèves éclats de mes pensés immortelles.

De moi.

Découvrez le passé tourmenté et l'avenir d'un héros légendaire qui a une grosse cape.

Vous savez, il existe des jeux tellement tortueux vous forçant à jeter votre enfance à la poubelle. Un de ces monstres qui forcent les gamins de 7-8 ans qui n'ont plus assez d'argent de poche pour s'acheter des piles à démonter toutes les télécommandes, afin de trouver ses précieuses LR6 (ou AA) et de nourrir l'horrible. Seuls les masochistes tomberont sous sa folie endiablée. Sachez que je termine absolument tous mes jeux à 100% 2 ou 3 fois, même les jeux pour masochistes. Mais ces deux jeux sont HORRIBLES. J'y ai perdu mon enfance, mon adolescence, 4-5 putains années de ma vie à m'acharner sur A et B. A quoi bon, alors que j'aurai pu cliquer off !

L'acharnement, le désir d'humilier à son tour un jeu qui m'humiliait chaque jour avec l'oppressent Game Over. D'écraser les sales faces vertes et d'exploser leurs poules avec lesquelles, j'ai été coincé durant 3ans. De buter des boss qui m'ont tué par dizaines et dizaines. De brandir ma gameboy en pointant le malin et de dire : Non ! Jamais je n'abandonnerai ! Saisons et âges seront restaurés, je le jure sur mon nom de héros ! De mon A et B salvateurs, tu recevras le salut que t'accorde ma lame Lv2... la mort ! Le temps d'un instant, la saison du moment ces deux jeux ont su m'emporter dans de temps anciens et de lointaines contrés aux quels jamais je n'aurai soupçonné l'existence. Les graphismes se limitaient au pixel par pixel. Pourquoi de tels jeux qui datent, sont-ils plus « beaux » que les jeux PS360, pourquoi quand je touche une Gameboy, une N64 l'émotion monte, la nostalgie sans doute, mais ce n'est pas que ça.


Avant que les consoles soient suffisamment puissantes pour afficher de beaux graphismes à en faire frémir plus d'un. Cet outil qui flatte les yeux, se trouvait au « dernier » rang. Les jeux ressemblaient à des jeux et pas à des démos graphiques de leurs moteurs qui font trop beau. Les level et game designers se défonçaient pour innover. Les compositeurs créaient des merveilles avec des outils sonores limités. Trois postes qui semblent tomber dans l'oubli, au profit du beau qui fait vendre, car sur la jaquette seuls les images s'expriment. N'oublions pas les scénaristes qui se transforment petit à petit en historien ou disparaisses avec le scénario.

Le stick-analogique inventé par Nintendo et le passage à la 3D fut clairement deux grandes innovations/évolutions pour le monde du jeux-vidéo en terme de level design et game play.
2004-2005, Nintendo tente un nouveau pari pour assouvir son pouvoir sur le marché des consoles portables, Dual Screen et Tactil c'est juste énorme. On peut dire aujourd'hui, 5ans après son lancement, que la DS est un véritable coup de maître (bien que la mienne me sert plus de GBAbis). La ludothèque est grande bien fournit avec des jeux de tous genres qui exploitent réellement les caractéristiques, mais surtout abrite des perles.
2006, la WII est lancé avec sa manette bizarre qui change radicalement un gameplay qui n'a pas su se renouveler sur console de salon depuis le passage à la 3D et au stick. Détecteurs de mouvement et pointeur voilà les arguments de la WII. Contrairement à la DS, la WII reste dans un bilan mitigé (pour l'instant) avec une ludothèque qui manque cruellement de HIT(tiers) et les seuls prétendants n'exploitent pas suffisamment les capacités de la console, à mon goût.

Sauf que la réalité est toute autre. Nintendo passe son temps a recycler et améliorer des concepts passés (PowerGloves, Game&Watch, etc.). Leur politique n'est pas si différente des deux autres concurrents, qui eux passent leurs temps à faire beau toujours plus beau. L'innovation pour les consoles n'existe plus, depuis la N64.

Malheureusement cela s'applique aussi aux jeux Nintendo. Prenons l'exemple flagrant de La Légende de Zelda qui n'a pas évoluée depuis l'épisode GameCube (style cartoon) et encore, si ce n'est depuis Le Masque de Majora qui lui a réellement innové avec son système temporelle à la con. Pokémon qui tient à pomper, repomper et rerepomper chaque épisode précédant. La 4G est une bouse ! Ne me parlez pas des Pokémon qui ne ressemblent à rien (Archeodong, Spiritombre) d'un métagame « juste » trop offensif (les néophytes se prennent moins de tartes faciales), aucune réel évolution technique et encore moins de vrai scénario qui lui est facilement améliorable !
Super Smash Bros quant à lui, a vu sa base de données grossir comme pas possible au passage à Brawl, mais le gameplay n'a absolument pas changé à part l'apparition de quelque objet et la suppression de personnage qui avait la classe (Newtwo, Roy) au profit des tapettes bleus (Lucario, Ike), ainsi que la ralentissement des mouvements qui facilitent la tâche aux néophytes.
Heureusement Super Mario Galaxie a su évoluer vers un jeu qui utilise au mieux les possibilités de la 3D. Sauf que SMG est trop facile !

La facilité devient récurrente chez Nintendo. Ce n'est pas uniquement Super Mario, mais aussi les Zelda (depuis WW), Mario Kart (WII et DS), Pokémon 4G, SMBB, cinq de leurs plus grosses licences. Autant pour MK c'est justifiable : jeu multijoueur tout ça, tout ça. Pokémon et Super Mario reste à définir, mais un jeu de baston 2D tel que les SSB que nenni de surcroit un Zelda ça ne se fini pas en 15-20h sans même un Game Over. « les masochistes qui vivent pour et font vivre Nintendo pendant ses crises, pour se fait cracher à la gueule à coup de super-massive-casual-game qu'en tout va pour le mieux. Et pourquoi ? Pour jouer à un putain de Zelda qui sort qu'en tout va mal ! ».
Certaines personnes hautement cultivés appellent ce phénomène la casualisation(c'est horrible je sais...), pour ma part c'est juste un suicide. Adieu la fanbase masochiste de Nintendo.

L'autre côté de la rive c'est bien ! Si on exclut les DLCs, les jeux (IKEA(clones(bis)) ga(y)mers, trop beaux, trop réalistes, trop monochromatiques qui prennent trop de places avec d'éternelles chargements(PSP). C'est trop « « « bien » » », mais surtout vides. Deux consoles « sur-sécurisées », surblindées, suréquipées, mais deux constructeurs qui ne sont même pas capables de faire une compression correcte des jeux (ou/et des éditeurs incapables) !!! « Vient que je te foutre mon bluray/HDdvd double couches ».


Je ne sais plus quoi dire... Les jeux perdent de leurs beautés. Le renouveau de concepts qui auraient pu sauver cette magie s'attardent. La WII était prometteuse et pourtant seuls les jeux du ligne up(sur un an) ou/et leurs suites ont su réellement utiliser ce qu'elle a dans le ventre en terme de gameplay. J'accorde une ultime et troisième chance à Nintendo, aux jeux vidéos de me faire sourire, rêver, souffrir comme ils ont su si bien faire, grâce à un véritable gameplay, une difficulté existante, l'année 2010: Zelda Wii et Sin&Punishment 2 seront-ils salvateurs ?!
L'avenir de ce héros au passé tourmenté se tient aujourd'hui devant lui Qu'en deviendra-t-il ?!
...


PS: L'article sera sans doute édité pour mettre des images qui sont joliment moches et des liens qui font pas peurs.

La censure, NM et puis c'est tout !

Suite à ma critique de Muramasa qui n'a pas plu à tout le monde. Un ou des CRÉTINS LIBERTICIDES ont porté atteinte à plusieurs reprises, à des libertés fondamentales de la Déclaration française des droits de l'homme et du citoyen de 1789 ; La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre à l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi.

Ici il n'y a pas eu de préemption d'innocence, ici il n'y a pas eu de jugement et de procès dans le cadre de la loi française, ici il y a eu censure ! En modifiant mes dires, nos dires : un/des malins c'est/ce sont amusé à modifier mes notes sur Muramasa (de 9/20 on passe à 19/20), parce que ma pensée ne lui/leur plaisait pas ! En supprimant des commentaires purement et simplement au grès de ses/leurs envies.
Quand j'ai exprimé ma colère sur le sujet, dans les commentaires de l'article Muramasa, censure !
La liberté d'expression n'est plus, la liberté de penser aussi.
Selon d'autres dires ce n'est pas la première fois sur NM et je m'étonne qu'aucun d'entre vous n'a poussé un coup de gueule haut et fort.
Je n'appelle pas à une révolution, mais une évolution vers la liberté qu'accorde le droit français.

N'oubliez pas il ne s'agit pas de moi, mais de vos libertés qu'il faut défendre !

Pour éviter toutes nouvelles censures, de l'article et de ses commentaires, j'ai décidé de poster l'article sur mon vrai blog !

PS : Je suis conscient que ces basses actions concernent qu'une petite partie du staff NM.

Muramasa et le fidéle fan de Nintendo.

Ils existent, les vrais gamers sur WII. Vous savez, les masochistes qui vivent pour et font vivre Nintendo pendant ses crises, pour se faire cracher à la gueule à coup de super-massive-casual-game qu'en tout va pour le mieux. Et pourquoi ? Pour jouer à un putain de Zelda qui sort qu'en tout va mal ! Oui, c'est ce marché de frustrés qui est ciblé par Muramasa. Quels joueurs d'aujourd'hui n'ayant pas connus la grande époque de la 2D s'y aventureraient ? Des curieux sans doute... Et puis c'est tout.

« Et puis ça fait toujours plaisir de sortir sa WII de la poussière pour jouer à un jeu dit « gaymer » (fais par un tiers sur une console Nintendo). »
Le plus gros défaut de Muramasa pour moi, est qu'il joue de trop sur la nostalgie qu'on les vieux (ou jeunes) Pro-N pour l'époque NES, enfin c'est mon ressentiment. Que j'exprimerai tout le long du test.


Avec deux scénarios des plus révolutionnaires...
« T'oh, je suis une princesse qui se fait posséder par un vil brequin, blablabla. »
« J'ai perdu la mémoire, oh nooon. Et j'ai ressuscité avec un super pouvoir de la mort qui tue, pour ma bien aimée, blablabla »

De nombreux et somptueux décors, enfin trois beaux décors qu'on aura la joie de parcourir durant 10h et pour les plus fous et moins épileptiques d'entre nous 20h. Le temps de terminer les deux « histoires » et parcours qui sont exactement les mêmes, mais se déroulent dans le sens inverse, dans les mêmes trois putains de magnifiques bouts de cartons qui servent de décors. Un peu à la Mario Kart et son mode miroir.

Une difficulté qui plafonne le divin en égalant celle de WII Sport. « Appuyez sur A pour terminer le jeu...»

Des dieux trop puissants comme boss, mais qui se font vaincre par des fags qui se prennent pour des tourniquets et le tout avec une putain de SIMPLE lame (qui aurait des pouvoirs servant strictement à rien !). Dieux < Simples lames, WTF !!!

De plus Muramasa nous fait le plaisir de ne pas reconnaître à un seul moment du jeu les mouvements, alors qu'on est sur WII !!!

Genre... Comme je suis une personne de qualiter, je fais un bilan, objectif...
Les graphismes sont beaux, mais tellement répétitifs. Ils ne m'inspirent en rien la poésie que certains revendiquent, mais la paresse de faire autre chose. Un jeu n'est pas qu'une estampe !
18/20


Une durée de vie médiocre (8-10h) qui se voit doubler grâce à un très mauvais subterfuge qui s'appelle, miroir.
3.5/20


Un Gameplay qui n'innove en rien, cela surprendra quelques néophytes de la 2D qu'on peut terminer un jeu seulement avec un bouton (ici présent, A), mais absolument pas les « habitués ». Plein de sabres qui font jolies et c'est tout, des items inutiles, une facilité déconcertant (9h de jeu, niveau 99... Youpi...), pas de détection de mouvement, alors que WII !
8/20


Merde, j'ai oublié de parler des musiques, enfin les trois pauvres musiques aussi nombreuses que les décors. Elles sont relativement bien et s'accordent parfaitement aux trois décors, mais au grand nombre de TROIS !
8/20


La team de dév' : « Là, les gars va falloir assurer, c'est la dernière ligne droite, OK !?! », « Ouais !!! Coach, »
Heureusement pour mon égo et malheureusement pour mon portemonnaie, ils se sont planté. Les « scénarios» handicapés tiennent sur deux béquilles qu'ils doivent se partager entre une momohime conne à craquer et un preux chevalier efféminé qui fera le bonheur des yaoistes en chaleurs. L'histoire aurait pu se passer dans n'importe quelle société médiévale, mais fallait bien vendre à ces cons d'occidentaux japanophiles.
8/20


Vanillaware fait croire à une grande prise de risque avec un jeu gaymer sur WII, mais ce n'est rien. Muramasa n'est pas une prise de risque ; développer sur WII coûte moins chère que sur PS360 (fait moins mal en cas de ventes catastrophiques), le scénario n'innove pas, le gameplay non plus et les musiques sont trop peu nombreuses. Avec ses décors magnifiques qui ont sans doute monopolisé les ¾ du budget, Muramasa est une belle coquille vide à vendre aux aveugles.
Note globale: 9/20