Lisez ceci est mon blog, trollez ceci est l'espace à comm.

#11th edition RPG Battle theme

Dans la neuvième édition j'évoquais un hiatus d'un peu plus d'un an, une paille comparativement au temps qui sépare la 10è de cette présente 11è édition, pas loin de deux ans et demi, deux ans et demi passés à faire pas mal de trucs mais sans doute pas assez de rpg à mon sens.
Cela n'enlève toutefois rien à mon goût prononcé pour les OST du genre, que j'écoute en plus grand nombre que je ne joue aux jeux à proprement parler, c'est triste d'une certaine manière mais cela reste une façon enrichissante de découvrir l'univers musical d'un titre faute de pouvoir y jouer, par manque de temps mais aussi par manque d'envie.

Manque de temps et manque d'envie, voici ce qui caractérise respectivement mes sentiments vis à vis des jeux dont sont issues les deux thèmes à venir.

 

Toki to Towa - Towa Battle theme

 

http://www.youtube.com/watch?v=rJFgwU8b3_A

Date de sortie Japon : 11 Octobre 2012

Date de sortie Amérique : Confirmée mais...

Développeur : Imageepoch

Éditeur : Bandai-Namco

Compositeur : Yuzo Koshiro

Imageepoch n'est clairement pas un développeur que je porte dans mon coeur, ils font beaucoup beaucoup de jeux alternant entre le médiocre, l'opportuniste voire même le racoleur, tout ça en arborant une arrogance déplacée alors qu'ils n'ont rien prouvé si ce n'est qu'ils sont incapables de pondre tout simplement de bons jeux.
Cette tirade contre le développeur que j'honnis le plus dans le secteur (avec Level 5 pas loin derrière) étant fini, parlons donc de hum Toki to Towa, un jeu où l'on incarne une princesse schyzophrène qui n'a jamais embrassé de garçon et qui a vu son futur mari se faire stab par un mec venu de nulle part le jour de la cérémonie, hé pas de chance !
Derrière ce setting qui vend du rêve se trouve le premier projet PS3 d'Imageepoch financé et édité par Bandai-Namco pour l'occasion, et se vendant comme le premier "HD Animaton RPG" (prononcer "hache di animéchieun ar pi gi"), un créneau il est vrai déserté par les développeurs habituels 2D sur console next-gen (Gust, Tales Studio, Vanillaware, Flight Plan, Idea Factory...). Il y avait donc une place à prendre, l'intitulé laissait entrevoir un certain potentiel et puis finalement on a eu ça.
De la j-pop à se jeter par la fenêtre, des personnages tous plus stupide d'apparence les uns que les autres (pourtant c'était Vofan, des -monogatari, au chara-design), une niaiserie à vouloir se crever les yeux comme Oedipe, et plus que tout une animation 2D déplorable à un rythme de 3 frames per second quand le jeu tourne à fond.
Bien entendu le jeu a fait un four, mérité, en se vendant à moins de 30 000 exemplaires, et il a même eu le privilège d'être élu kusoge of the year (littéralement "jeu pourri de l'année") par de nombreux grands bloggeurs japonais. À côté de ça Bandai-Namco avait confirmé peu de temps avant sa sortie japonaise que le titre était prévu pour les US, mais si ils ont annulé cette localisation depuis et laissent maintenant tomber le titre dans l'oubli, pour une fois on leur en voudra pas, et cela évitera des situations embarassantes comme celle de Last Rebellion (tiens Kusoge de 2010, un corps deux esprits, ça me rappele un autre jeu).
Brefouille, je ne sais pas trop comment mais Yuzo Koshiro a trouvé le moyen de venir s'engluer dans cet étron de bas étage, c'est d'autant plus curieux que, la licence Etrian Odyssey mis à part, il se fait rare depuis quelques années, difficile d'expliquer comment et pourquoi mais toujours est-il que l'on est mis devant le fait accompli, il a composé pour un jeu de merde et même si il aurait pu se laisser prendre par la facilité et accorder son niveau à l'ensemble du titre, force est de constater que son travail reste... décent. Bon il est en petite forme et il a du voir le loup sans doute, mais même peu inspiré ça reste écoutable, sympa, et le seul truc qu'il y a sauvé de cet énième naufrage Imageepoch.
Puis je suis faible dès qu'il y a un violon/alto/violoncelle mais ça c'est moi.

 

Tales of Xillia 2 - If It's For You ~Song 4 U~ (Final Boss theme)


Date de sortie Japon :1er Novembre 2012

Date de sortie Occident : TBC

Développeur : Namco Tales Studio

Éditeur : Bandai-Namco

Compositeur : Motooi Sakuraba

J'étais moi-même au Tales of Festival le jour de l'annonce, et même si on le pressentait on ne voulait pas vraiment y croire, après tout jamais il n'y avait eu de suite opportuniste en si peu de temps dans la série jusque là (Destiny 2 étant un vrai épisode complet et extrêmement dense, et Symphonia DotNW même pas une suite canon et considéré comme un spin-off), mais ils l'ont fait, donner une suite au mothership le plus baclé de l'histoire de la série, autant dire que ça n'envoie pas du rêve et que le soir j'ai un peu chié de travers.
C'est donc avec une certaine tristesse que Tales of Xillia 2 constitua le premier épisode principal depuis 5 ans que je ne me procure pas à sa sortie japonaise, Tales of Xillia ayant été une déception telle que je n'ai même pas fini le jeu, alors pourquoi me plonger dans une séquelle d'un titre baclé et qui sort en plus seulement un an après le dit titre baclé (!) ?
Seulement l'avenir m'a donné tort, par je ne sais quel tour de magie Tales of Xillia 2 est un très bon jeu, il a su capitaliser sur les quelques points fort de son prédecesseur (notamment le dual range en combat) et se doter d'un réel contenu et d'une densite qui avait tellement manquée aux aventures de Jude et Milla. Alors quand en plus le battle system est de nouveau fun, que l'hi-ougi exhibition pète le feu et marque le retour des dual hi-ougi (www.youtube.com/watch?v=blivZFAI--k grmbl), que le scénario est le meilleur et le plus sombre de la série (premier titre de la série a être estampillé Cero C, soit 16+) qu'il y a de VRAIES multiples fins assurant une replay value du tonnerre de dieu, autant dire que tout ça me fait me sentir con d'avoir pour une fois loupé le grand retour de la série sur le terrain de l'excellence.
Bon l'OST reste quelconque, Sakuraba oblige, mais ce theme du boss final me rend faible parce c'est un remix de l'opening (http://www.youtube.com/watch?v=MB4bvAK__Ks rmnhhh), et ça c'est mon talon d'achille, les remix d'opening en guise de boss de fin c'est toujours cool, c'est scientifiquement prouvé et je ne comprends pas pourquoi plus de jeux n'exploitent pas ce filon.

 

Concours 11 Tales of Graces F et 1 ToX2 à gagner

Dans le cadre de la sortie de Tales of Graces F, Kingdom of Tales organise en partenariat avec Bandai Namco un grand Concours avec à la clé pas moins de 11 copies de Tales of Graces F à gagner, dont un collector, ainsi qu'un exemplaire de Tales of Xillia 2 et pas mal d'autres cadeaux.

Le concours est accessible à tous les résidents français, belges et même suisses ~

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Début Juin j'irais...

Quelque part

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NM a bien changé

Est-ce que ça voulait dire que ça a changé en bien ?
Ou est ce que ça voulait dire que ça a beaucoup changé ?

Mon implication pour le site n'étant plus possible après plus de 4 années de fidélité je m'en avais voguer vers d'autres cieux, pas d'hypocrisie, la force de l'habitude faisant je devrais encore passer ici de temps en temps mais, je l'espère, de façon décroissante au fur et à mesure que le temps passera (et pour ceux qui veulent du matos pour flameware http://www.megaupload.com/?d=OADMT7RN garanti 70% sans mauvaise foi).

 

Et bonne continuation à Darkwiitrucmachinds (putain ton pseudo il est prise de tête quand même !) et Antholink, l'avenir (positif) du site c'est eux : humilité, ouverture d'esprit et passion.

In b4 "Je t'aimais pas"

 

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Probablement un peu des deux.

Animés de l'été : prélude




Désormais tout le monde saura ce que fait Barbatos Charles vi Britannia quand il ne keikakute pas un truc foireux
(La suite ici)

[flash]http://www.youtube.com/v/R5SdUyYnfp4[/flash]

 



/! SPOILER /!
Mawaru Penguin Drum - Survival Strategy





Blazblue Characters #2 : Hakumen

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[flash]http://www.youtube.com/watch?v=md1lBeuMJWs[/flash]

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Fiche d'identité



Histoire

Hakumen est un des six héros de la première guerre de l'ars magus qui avait abouti sur la destruction de la bête noire, le fléau de toute l'humanité.
Dans toutes les légendes il est décrit comme celui qui a mené la bataille parmi les six héros et a donné le coup de grâce à la bête noire, tout ceci mis à part son identité et son passé restent inconnues, il est apparu un jour dans son armure Susano'oh et n'en est jamais sorti depuis, personne (ou presque) ne sait ce qui se sache à l'intérieur : homme ou femme ? humain ou homme bête ? La réponse est disséminée dans les différents scénario de Calamity Trigger et implique notamment Rachel Alucard la chef de la famille des vampire Alucard.
Disparu depuis la fin de la guerre contre la bête noire, il réapparaît au début de Calamity Trigger avec la ferme intention d'éliminer Ragna the Bloodhedge.
Sa personnalité est quelque peu hautaine mais c'est un homme juste, franc et épris de justice, ses différentes citations tendent à abonder dans ce sens et il se voit comme un serviteur chargé d'abbatre la justice divine sur les pêcheurs. Il n'est néanmoins pas fou et se rend bien compte qu'il appartient au passé et que sa présence aujourd'hui n'aura qu'un impact limité sur l'avenir.

Gameplay

Hakumen est ce qu'on pourrait appeler un tank de première catégorie, son coup puissant (C) avec son épée lui offre une portée et une puissance pour le moins monstrueuse qui pour les novices en fait clairement un personnage abusé infligeant d'énormes dégats. Comme si cela ne suffisait pas, son dash aérien lui permet une très bonne mobilité et son drive (D) lui permet de contrer pratiquement n'impore quel attaque. Entre Calamity Trigger et Continuum Shift le personnage a été un peu "nerfé" mais de façon quasi indolore.
Ses distortion drive sont un grand coup d'épée à l'horizontale (retardable !) allouée d'une vague d'énergie à l'horizontale, et Kokujin Yukikaze, un contre effectuant énormément de dégats.
Son astral finish est simple à sortir mais est également... un contre, il faut donc le faire à proximité de l'adversaire et espérer que celui-ci morde à l'hameçon.

Vidéo Démonstration

[flash]http://www.youtube.com/watch?v=ALYYqRd4la4[/flash]

[C] The Money of Soul and Possibility Control

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Fiche détaillée

  •  Titre : [C] The Money of Soul and Possibility Control

 

  • Nombre d'épisodes : 11

 

  • Studio d'animation : Tatsunoko

 

  • Chaîne de diffusion : Fuji TV

 

  • Diffusion : 15 Avril au 24 Juin 2011

 

  • Créneau horaire : 00h45

 


Dernier réprésentant à ce jour de la case Noitamina (avec Ano Hana), C est un animé atypique qui se présentait avant tout comme une histoire ayant pour thème principal l'économie.
Derrière cette série d'animation on retrouve Kenji Nakamura (Mononoke, Ayakashi...) à la direction, Noboru Takagi (Durarara, Baccano...) au script et à la composition et le presque novice Mebae au character-design.


Synopsis

Le gouvernement japonais a été sauvé in-extremis de la crise par un fond d'investissement inconnu dénomme le "Fond souverain de Richesse.
Pour les japonais cependant cela n'a pas impacté la lente régression de leur train de vie, et le chomage l'insécurité et le mal être continuent de croitre lentement et surement dans une société semblant péricliter tous les jours un peu plus.
Kimimaro n'est lui pas affecté par tous ces évènements, tout du moins pas directement, orphelin il a été élevé par sa grand mère après la soudaine disparition de ses deux parents, aujourd'hui âgé de 19 ans et étudiant d'économie à Tokyo il cumule les baito pour pouvoir se payer un appartement minuscule et manger des cup de ramen quotidiennement, cela ne le gêne toutefois pas outre mesure et son aspiration est juste de vivre une vie simple, stable et tranquille.
Ses prétentions sont remises en cause du jour au lendemain lorsqu'un homme étrange surgit dans son appartement et lui propose une énorme somme d'argent en échange... d'une hypothèque de son avenir. Clairement rebuté par cette proposition et l'aspect pour le moins déluré de son interlocuteur, Kimimaro refuse. Mais c'était sous-estimer la force de persuasion de Masakaki (car tel est son nom), qui presque sous la contrainte le force à signer ce contrat qu'il honore d'emblée en lui fournissant une nouvelle carte de crédit très particulière et un virement à 5 zéro (nous parlons ici en yen) sur son compte en banque.
Mais cette somme d'argent ne va pas sans inconvénient, ainsi s'il veut éviter la "banqueroute", Kimimaro devra chaque semaine affronter un "entrepreneur" en duel, personne ayant acceptée le même contrat que lui, dans un mystérieux espace nommé le "Financial District"....

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Opening

[flash]http://www.youtube.com/watch?v=dJsjla9X0ng[/flash]

Avis

L'introduction a très vite le mérite de nous présenter la réelle nature des Financial District et des duels évoqués plus tôt, l'argent ne tombe pas par les fenêtres et si une telle quantité est offerte à n'importe quel entrepreneur c'est parce que la contrepartie est énorme, ainsi, après un combat bref mais intense entre deux protagonistes encore inconnues, le perdant en banqueroute nous est montré comme se suicidant devant une rame de train peu après son combat. Le contre coup de la défaite ? Peut être plus que ça...

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Finalement après un premier tiers placé sous la nécessité de Kimimaro de concilier duels (mortels ?) dans le Financial District et sa vie réelle d'étudiant, ce dernier va vite se rendre compte des différentes forces en présence dans le District, que ce soit Soichirou Mikuni le chef de la Guilde et l'homme le plus puissant du Financial District de Tokyo, Jennifer Satou une agent de l'IMF un organisme souhaitant réguler l'impact des Financial District sur la vie réelle, ou encore Sennoza Kou un philantropiste et amabassadeur d'ONG proposant aux entrepreneur de passer les duels contre lui en échange d'une compensation financière (nécessaire) à leur annulation... tous les protagonistes majeurs et side kicks les plus importants paraissent être des gens sains d'esprits et mesurés peu fans du ratatinage d'adversaire du fait des conséquences que cela implique.
On aura ainsi un mal fou à finalement identifier l'identité du ou des antagoniste(s) finaux tant les objectifs de tout un chacun semblent se rejoindre dans cet visée louable de sauvegarde du Japon et des entrepreneurs (les "deals" , ou duels, ne s'achevant pas nécessairement sur une banqueroute), c'est finalement presque à l'épilogue d'une série (trop) courte que ces visions entreront en conflit quand à l'utilisation ou non de la Midas Money, de l'argent au nom au combien évocateur (pour ceux ne sachant pas révisez votre cours de mythologie) créé par le Financial District et abondant dans le monde réel.

Problèmes et défauts

11 épisodes pour raconter une histoire c'est peu, alors quand en plus celle-ci est ambitieuse et nous abreuve d'un jargon économique indigeste et d'un monde virtuel dont on ne comprend pas toujours les règles cela commence à faire beaucoup, et il est ainsi courant de voir des péons balancer des cinglants "j'ai rien compris" un peu partout sur le net.
Alors C est-il incompréhensible ? Je ne pense pas. Il est juste difficile d'accès et nécessite d'avoir quelques notions de base en économie pour en saisir une partie des enjeux et la logique qui en découle, et malgré cela un certain effort sera demandé au spectateur et il faudra savoir retenir les différents "hints" disséminés ça et là pour bien comprendre certains évènements se déroulant à la fin de l'histoire (même si on aura le droit à un petit deus ex machina au sens strict du terme), et magré tout cela certains détails resteront très probablement encore flous.
Rassurez-vous, il n'est pas nécessaire non plus d'avoir fait Bac +4 en économie pour en extraire la substantifique moelle, et il n'est pas non plus demander de regarder plusieurs fois les épisodes pour bien tout comprendre (même si pour certains ça pourra aider :p). Non, il suffit juste de ne pas être passif devant l'écran comme nous l'exige actuellement une bonne partie de la production japanime (les slice of life en tête de liste), ces quelques prérequis étant remplis alors foncez ! Et même si ce n'est pas le cas l'animé reste plus que regardable grace à son style artistique assez étrange (notamment lors des conversations avec les asset) et ses combats quand ceux-ci ne sont pas... coupées.

Car oui techniquement il y a pas mal de choses à redire sur l'animé, le manque de budget se fait sentir fréquemment et on a des scènes tout bonnement coupées, de la 3D CG médiocre qui s'infiltre régulièrement de façon totalement random. Le final est ... finalement à l'image même de l'animé, beaucoup de bonnes idées mais un manque de budget d'animation qui saute aux yeux pour nous offrir un épilogue sympathique mais loin derrière ces modèles d'inspiration (Gurren Lagann et Star Driver pour ne pas les citer). On pourra aussi pester sur le design de Msyu, l'asset de Kimimaro, qui semble plus taillé pour vendre des figurines que pour se battre...

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Et le reste

Comme Higurashi a lancé la mode il y a quelques années on a le droit à quelques rictus et transformations de faciès pour le moins ragoutantes, Masakaki et les asset s'occupant de ça parfaitement, on peut également louer l'absence totale de fanservice, non pas d'épisode à la plage ou de panty shot.
Niveau pugilat le résultat final s'apparente quelque peu à un mix entre Spectrobes, (le personnage participe aux combats avec ses assets) Yu Gi Oh (les ordres sont données via une carte), Pokemon (la carte c'est aussi la pokeball en quelque sorte) et Persona (l'asset étant la personnification du futur de l'entrepreneur). Globalement c'est très sympathique et même si les ordres et les différents assets sont assez mal expliqués, les voix anglaises qui interviennent de partout rendre assez bien et immergent plutôt bien dans les combats.
On ne peut pas en dire autant de l'anglais en général dans l'animé, comme souvent quand des japonais essaient de parler une langue qui ne leur est pas familière le résultat des doublages full english ne sont clairement pas naturelles ni crédibles (on appelle ça de l'engrish)
Niveau seiyuu (ou comédien de doublage en français) on remerciera les producteurs de nous avoir mis deux quasi novices dans les rôles principaux, le turn over n'étant pas fréquent dans le milieu, on retrouve très fréquemment une dizaine de seiyuu différents dans la quasi totalité des productions qu'elles soient animé ou vidéoludiques.
Les musiques sont également à citer dans les points positifs, si elles sont peu nombreuses elles s'avèrent toute de qualité et se trouvent bien en accord avec les évènements qu'elles illustrent, l'OST n'étant pas encore disponible je n'ai par contre rien de plus à ajouter dessus (si ce n'est bien sur que tout ce qui est violon, violoncelle, alto c'est toujours excellent)


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Postérité

C ne marquera pas le genre c'est certain, la faute à un format très restrictif que les créateurs ont voulu coupler avec un message très fort à consonnance anti capitaliste, le mélange des deux étant ouvertement casse gueule et le budget faible tout s'est finalement goupillé "avec les moyens du bord". C'est parfois décousu, c'est rarement clair, c'est faible techniquement  mais ça n'en reste pas moins un animé unique qui aborde l'économie d'une façon loin d'être inintéressante et nous présente sa propre vision de l'épreuve divine ouvertement altermondialiste.


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Blazblue Characters #1 : Jin Kisaragi

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Fiche d'identité

Nom : Jin Kisaragi
Arme : Nox Nyctores Yukianesa
Race : Humain
Statut : Commandant du Novus Orbis Librarium
Famille : Ragna the Bloodhedge (frère), Saya (soeur)
Citation : Nii-san !!!

Histoire

Jeune orphelin adopté par une des famille membre du Duodecim, les Kisaragi, Jin a su vite graver les échelons pour être diplômé de l'académie militaire du NOL (Novus Orbis Librarium) et s'assurer un grade de Lieutenant lors de son entrée en service. Grâce à l'aide de son Nox Nyctores Yukianesa il balaie la rébellion d'Ikaruga et est proclamé héros par le NOL et promu commandant en plus d'accéder à la tête de la famille Kisaragi.
Ayant eu vent des rumeurs de la présence de Ragna the Bloodhedge dans la 12è cité hiérarchique de Kagutsuchi, Jin déserte son poste pour se rendre sur place et pouvoir "tuer à nouveau" son frère aîné, le premier épisode de la série Blazblue Calamity Trigger s'achève pour lui après sa défaite contre Ragna, Continuum Shift commence alors qu'il se trouve en soins intensif dans une unité mobile du NOL au-dessus de Kagutsuchi.

Gameplay

Relativement "noob friendly" Jin est aussi bien un attaquant à distance que de contact, son drive permet de geler instantanément l'adversaire pendant un laps de temps non négligeable, et sa palette d'attaques lui alloue une très longue portée ainsi qu'une puissance plutôt pas mal. Comparativement à Calamity Trigger il s'avère plus lent dans Continuum Shift et la durée de glaciation de son drive a été réduite de façon drastique.
Ses Distortion Drive sont toujours aussi vifs et sortent assez facilement (demi cercle + droite + C ou D) et son Astral Finish est parmi les plus simples du roster, tant pour le sortir que pour toucher l'adversaire.

Vidéo Démonstration

Last Teasing




C'est pour de vrai cette fois, promis.

Last courrier

Des fois je reçois des trucs cool dans ma boîte aux lettres.

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