#1st edition RPG Battle Themes
Premier article de ce qu'il sera peut être une série à venir (?), cela dépendra de ma motivation et de l'éventuel succès rencontré (le 0 comm est guère motivant il faut avouer °° )Je vais donc essayer de recenser les battle theme qui ont pu me marquer dans les RPG jusqu'à aujourd'hui, par série de 2 pour des raisons évidentes (pour moi).
Ce qui m'a motivé à vouloir lancer cela? Et bien c'est tout simple, en furetant sur youtube hier soir, je suis tombé sur des mecs qui avaient uploadé leur top 100 des battle theme dans les RPG et il faut avouer que ça avait de la gueule. J'ai tout de même passer 3 heures à écouter les musiques les mieux classés en me disant que c'était une idée bien sympa.
Je vais éviter de hiérarchiser les thèmes postés par contre, pour la bonne et simple raison que qualité musicale et ressentie pendant le jeu brouillent totalement la donne et rend l'objectivité difficile voire impossible (existe-elle simplement, si on se pose la question façon haganeren non uhuh)
On commence donc par du lourd, enfin en théorie toutes les pistes seront du lourd donc bon.
Baten Kaitos Origins - Le Ali Del Principio
La musique du vrai boss de fin, le Wiseman, qui 1000ans auparavant corrompait le coeur des hommes. Si le joueur était bien retourné dans le passé pour l'éliminer, alors celui-ci prendra possession du corps mort de Verus pour se transformer et adopter sa forme réelle semblable à un ange déchu.
Le combat dans l'espace-temps du Wiseman est techniquement ingagnable mais grace à l'aide de "Malpercio" Sagi se relève et terrasse celui par qui tout a commencé dans la série Baten Kaitos.
La piste a été composé par la femme de Motooi Sakuraba et chanté par leur fille agé de 9ans à ce moment la.
Le genre de battle theme épique et émouvant que l'on oublie pas.
Si globalement l'OST de Tales of Innocence est un foirage total, il subsiste 3 pistes qui sortent du lot: l'opening l'ending et le thème du final boss. Celle-ci est, comme vous l'aurez deviné, la dernière citée.
La poussée d'adrénaline ressentie au début du combat avait quelque chose d'unique, si en lui même le boss final n'est qu'un sombre plot twist venu de nulle part (kikou je suis la pretresse d'il y a 1000ans qui a buté Asras et je suis toujours pas morte) la piste n'en n'est que magnifiée seule lumière au milieu d'un océan de banalité. On aurait mit une banane en guise de boss final que cela aurait été tout de même épique.
fisico
