[Test] Ultimate Marvel VS Capcom 3

Ultimate Marvel vs Capcom 3 est un crossover où l'on retrouve l'univers de Capcom et de Marvel Comics. C'est l'opus qui suit Marvel vs. Capcom 3: Fate of Two Worlds de la série des Marvel vs Capcom.
Opus dont la première nouveauté qu'on remarque est le nombre de personnages qui augmente de 12. On retrouve comme dans Marvel vs. Capcom 3: Fate of Two Worlds du côté de chez Marvel, Spider-Man, Wolverine, X-23, Phoenix, Storm (Tornade en français), Hulk, She-Hulk, Captain America, Magneto, Iron Man, Thor, Super Skull, Deadpool, Taskmaster, Doctor Doom, Dormammu, M.O.D.O.K et Shuma-Gorath à prendre en DLC comme dans Marvel vs. Capcom 3: Fate of Two Worlds et du côté de chez Capcom, Ryu, Chun-Li, C.Viper, Akuma, Felicia, Morrigan, Chris, Amateratsu, Albert Wesker, Zero, Viewtiful Joe, Dante, Trish, Nathan Spencer, Tron Bonne, Hsien- Ko, Arthur, Mike Haggar et Jill Valentine (en DLC également); et viennent s'ajouter de l'univers Marvel, Ghost Rider, Novan Iron Fist, Doctor Strange, Hawkeye et Rocket Raccoon et de l'univers de Capcom, Strider, Vergil, Frank West, Firebrand, Nemesis et Phoenix Wright. Ce dernier reste d'ailleurs le personnage dont le gameplay est le plus difficile à maîtriser; pas étonnant quand on se dit qu'un avocat s'amène dans un VS Fighting en tant que personnage jouable; il en devient donc mystérieux sur son utilisation particulière. Cela confère un total de 50 personnages (les DLC dits plus hauts compris) plus charismatiques les uns que les autres, de part le design ou bien les divers répliques de chacun qui fait que le jeu est plus sympa à jouer. De quoi permettre déjà pour Capcom de relancer la licence à peine quelques mois après avoir mis sur le marché Marvel VS Capcom 3 : Fate of Two Worlds, sorti chez nous le 18 février 2011. En plus de cela, il est désormais possible de contrôler Galactus.

Bien entendu, qui dit nouveaux personnages dit plus de gameplay. Même si le rééquilibrage semble faible aux premiers abords et au vue de ne pas avoir disputé pas mal de combats (du genre 500 ou +), ce défaut est vite balayé par les nouveaux personnages aux styles de combat fort intéressants. Que ce soit Phoenix Wright lançant des feuilles de papier en criant "Take That !" ou appelant son assistante Maya sur l'arène de combat, ou encore Frank West qui s'amuse à prendre des photos à chaque fois qu'il lamine son adversaire lors d'un enchaînement, ou même du côté de chez Marvel, Ghost Rider, considéré comme l'un des plus cool personnages du jeu, de part son character design, bien évidemment repris du comics, mais aussi par sa maniabilité facile à prendre en main, les anciens joueurs comme les nouveaux de cette deuxième version de Marvel vs Capcom 3 pourront apprécier ces nouvelles fonctionnalités. D'autant plus qu'elles sont aussi mis en avant avec le X Factor déjà présent dans Marvel VS Capcom 3 : Fate of Two Worlds qui peut désormais être activé dans les airs.

D'une même patte graphique, les stages n'ont pourtant pas connu de réelles modifications si ce n'est la présence de nouveaux stages et également le stage de Ghosts'N Goblins qui passe en noir et blanc par exemple. De même que la Bande son qui a simplement été revisitée, ce qui peut-être réprimandé par ceux qui n'aimaient pas les musiques de départ; pas très convaincant sur ce point.
Néanmoins, on constate un mode online revu où il est possible de jouer les spectateurs durant un combat.

Petites nouveautés, plus à retenir, Ultimate Marvel vs Capcom 3 s’enrichit de quelques améliorations variés par rapport à son prédécesseur qui en rendra le jeu meilleur. Les joueurs entrant sur ce terrain, fan de l'univers comics de Marvel ou de l'univers de Capcom se retrouveront aussi à travers un casting correct avec divers styles de combat; de quoi faire monter l'adrénaline également pour ceux qui souhaiteraient doser au maximum Ultimate Marvel vs Capcom 3.

Rien sur la PS Vita, car je ne sais pas si le portage est le même, s'il y a des choses différentes ou non.

Screenshots et vidéos :

 [flash]http://www.youtube.com/watch?v=TVwnbDZRoAk&feature=player_embedded[/flash]

[Test] Tatsunoko vs. Capcom : Ultimate All-Stars

Sorti d'abord et seulement au Japon le 11 Décembre 2008 sur borne d'arcade puis sur Wii sous le nom de Tatsunoko vs. Capcom: Cross Generation of Heroes, Tatsunoko vs. Capcom: Ultimate All-Stars est un cross over sorti sur Wii mélangeant l'univers de Capcom avec celui de Tatsunoko.

On y retrouve du côté de chez Capcom des personnages connus des grands des jeux de baston tels que Ryu, Chun-Li ou Morrigan, ainsi que d'autres comme Viewtiful Joe, Mega Man, Roll[/b], la fée du logis de ce dernier, Zero apparu dans Megaman X, Frank West, le héros Dead Rising premier du nom, voire même carrément PTX-40A, le mécha de Lost Planet.
De l'autre côté, Tatsunoko nous offre des personnages jouables comme Tekkaman Blade, Karas, Yatterman-2, Joe the Condor, Ken the Eagle et bien d'autres... Au total, 27 personnages sont jouables ce qui confère une durée de vie bonne pour ceux qui veulent se perfectionner le plus possible. Durée de vie, et donc jeu qui se voit offrir un mode Online.

Utilisant le Tag Mode, Tatsunoko vs. Capcom: Ultimate All-Stars vous permet de créer des équipes de deux personnages qui (comme dans tout cross over de baston qui se respecte) peuvent être jouer en intéraction durant vos combats. De quoi balancer des combos dévastateurs sur l'adversaire er remporter la victoire. Mais il y a aussi la Jauge d'hyper présente dans le jeu et effectuant un Mega-crash pouvant mettre fin à ces enchaînements permettant à votre ennemi de retourner la situation. Le Mode Baroque est également une nouveauté à l'honneur du jeu car vous pouvez faire plus de dégats.
S'agissant d'un jeu sur Wii, la maniabilité n'est pas forcément la même que sur une autre console. En effet s'il peut être difficile de s'adapter à une jouabilité avec dans les mains une Wiimote seule, ou avec en complément un Nunchuk ou au contraire trouvant cela si facile dû à la configuration du jeu dans ce cas là donnant du coup aucune sensation de réel challenge, rien n'empêche d'utiliser un Pad Gamecube qui reste le meilleur moyen de jouer à un VS Fighting sur une WII.

Le jeu offre des graphismes plutôt raffinés avec des Hypers spectaculaires dûes aux couleurs et animations. Animations des personnages correctes, décors bien modélisés, cinématiques de bonne qualité (même si l'on peut regretter le fait que ce soit la plupart du temps des plans fixes), visuellement Tatsunoko vs. Capcom: Ultimate All-Stars n'a rien à se reprocher par rapport à d'autres jeux de combat.

Du point de vue de la bande son, Tatsunoko vs. Capcom: Ultimate All-Stars reprend les voix originales des personnages, et remixe les thèmes de ces dernier des divers jeux vidéo se trouvant dans ce cross over. Vous noterez notamment qu'à chaque changement de personnage lors d'un combat, la musique vient squatter ce dernier pour vous mettre dans l'ambiance.

Un VS Fighting qui fera plaisir à beaucoup, jeu qui est souvent comparé à Marvel VS Capcom dont la principale différence entre ces deux jeux est que l'on peut plus parler de Hard Core Gaming pour Marvel VS Capcom que pour Tatsunoko vs. Capcom: Ultimate All-Stars. Mais sans cela Tatsunoko vs. Capcom: Ultimate All-Stars n'a pas grand chose à en envier, le jeu aura beau être jouer par des gens plus casuals, certains y prendront plus de plaisir qu'à un Marvel VS Capcom.

Screenshots et vidéo trailer :

[Test] Megaman ZX

Titre français	Mega Man ZX
Titre original	RockMan ZX
Genres	Plates-formes, Tir, Action-aventure
Thèmes	Robots, Science-Fiction
Développeur	Inti Creates Co., Ltd.
Editeur	Capcom
Site internet	http://www.capcom.co.jp/rockman_zx/
Producteur	Inafune Keiji
Dates de sortie	22/06/2007 France  06/07/2006 Japon  12/09/2006 États-Unis

S'inspirant de la série des Megaman Zero sortis sur GameBoy Advance, Megaman ZX se passe cent ans plus tard après les combats entre humains et Reploïds dans la série des Megaman X et Zero. La paix règne dans ce monde, mais les Mavericks cherchent encore à s'imposer. Vous incarnez au choix Vent, un jeune garçon, ou Aile, une jeune fille qui se trouve être la première héroïne jouable de la série des Megaman. Travaillant pour la société Giro Express tenu par leur ami Giro, vous êtes en train de faire une livraison, dont la cargaison se trouve être un Biometal, un être possédant une conscience et pouvant fusionner avec celui ou celle qu'il souhaite. Cette livraison est interrompu par un groupe de Marvericks. Vous n'avez donc pas d'autre choix que d'utiliser le Biometal X qui se trouve dans la cargaison, ce qui va vous conférer une armure pour combattre et détruire le groupe ennemi.
Megaman ZX apporte donc ainsi une nouveauté dans le scénario (hormis le choix du protagoniste); en effet, là où dans les anciennes séries des Megaman, vous incarniez un robot, dans Megaman ZX, vous contrôlez un humain qui peut revêtir une armure.
Vous serez contraint à fusionner deux biometaux, à savoir le Biometal X que vous avez déjà et le Biometal Z qui possèdent en réalité les faculté de Megaman X et de Zéro. Cela vous amènera à combattre avec le Biométal ZX (d'où le nom du jeu). A partir de ce moment, vous allez chercher à savoir qui est responsable de cela et pourquoi on vous a attaqué.

Le jeu amènera également du point de vue du scénario des cinématiques animés plutôt bien faites, et pour les puristes accompagnées de doublages japonais, le tout traduit dans la langue du pays, vous recadrant dans le contexte et offrant ainsi un premier aspect visuel du jeu. Restant un opus dont les graphismes sont en 2D, Megaman ZX se détache tout de même de ses prédécesseurs. Très beau, plus détaillé, le joueur est placé dans un univers tout autre. Il n'y a qu'à voir l'architecture du jeu qui n'est pas forcément la même que dans les anciens Megaman. Animations fluides accompagnés de bruitages correctes, les armes ne manquent pas, et les différents design de chaque biometal récupéré non plus. Que ce soit le model ZX, ou le model HX, en passant par le model FX, comme dans les anciens jeux Megaman, bien que beaucoup pensent qu'il ne s'agit que de gameplay, les différentes armures donnent une richesse et une diversité graphique du jeu.

L'histoire suit bien l'évolution de la série, mais également le gameplay. Bien que cette fois-ci il n'est pas question de récupérer des pouvoirs provenant d'autres robots mais plutôt de récolter plusieurs Biometaux, le gameplay de Megaman ZX amène encore à utiliser des nouvelles capacités tout au long de l'histoire. De plus, le jeu n'est pas aussi linéaire; plus la peine de partir d'un point A pour aller à un point B, il est désormais possible d'explorer les lieux comme vous le sentez; cela reste un gameplay en 2D (donc seulement de droite à gauche), mais cela confère tout de même une certaine liberté, et également une certaine difficulté pour avancer petit à petit dans l'histoire car même si vous pouvez vous baladez où bon vous semble, il restera tout de même certains passages qui seront bloqués, vous obligeant à revenir sur vos pas. Le jeu apporte également des quêtes annexes qui vous sera possible d'arrêter à tout moment. Si vous bloquez sur une quête, vous pouvez en choisir une autre en attendant, afin de ne pas rester sans rien faire dans le jeu en lui-même.
Passons maintenant aux boss; outre le fait que l'on récupère un Biometal en guise de récompense à chaque fois qu'on en élimine un, ils ne sont plus forcément seuls contre vous. Certains combats se feront contre deux boss. Cela vous incitera à être plus prudent, surtout s'il vous faut avoir des yeux derrière la tête dans le cas où l'on vous attaque des deux côtés. Certains boss à force de les revoir dans le jeu vous énerveront tellement le fait d'être narguer n'en sera que plus détestable pour certains et par moment. Ces boss, pour certains vous donneront l'opportunité, ou même la nécessité d'utiliser l'écran tactile. Capcom a réussi à mettre en avant pour quelques occasion le deuxième écran de la Nintendo DS.

Un jeu suffisamment dynamique et pour le moins difficile, le tout dans une ambiance particulière que ce soit d'un point de vue visuel ou audio. Le jeu apporte des musiques qui semblent être plus techno, ce qui peut s'avérer être sympathique, voire qui correspondraient mieux à un univers plutôt cybernétique qu'est Megaman ZX.

Succédant bien aux épisodes de Megaman Zero, Megaman ZX, apporte une fraicheur auprès des plus gros fans de la licence de chez Capcom qu'aux plus casuals ou même à ceux qui ne connaissent pas l'univers qui ne seront pas forcément dépaysés en commençant par jouer à cet opus même si la difficulté semble être de mise. Jeu fun, varié, énervant par moment, Megaman ZX semble être un bon divertissement que Capcom aura sans doute bien fait de concocter pour la Nintendo DS.

Screenshots et vidéo trailer:

"Video Tips, Trucs et astuces"

Hello !

J'enchaîne avec une vidéo qui parlera surtout aux gamer les plus anciens, et également à ceux qui aiment plus particulièrement les jeux de baston, ou VS Fighting pour cette vidéo. Elle vous montrera une des plus populaires des personnalités dans le jeux vidéo de l'époque, Cyril Drevet qui présentait une vidéoTips. Alors je préviens, parce que je sais que y en a qui vont surement se moquer , cette vidéo vient des années 1990. Le vocabulaire, les mots erronés, les mimiques etc font que ça n'a quasiment rien à voir avec ce qui est dit aujourd'hui. Donc soyez un peu indulgent .
Un grand merci à Panda de l'équipe de Gamerside de nous permettre de voir cette vidéo qui en rendra certains nostalgiques ^_^

[flash]http://www.youtube.com/watch?v=35nsFiUPvq4&feature=player_embedded[/flash]

Overclocked Remix

Salut

Aujourd'hui j'ai décidé de vous parler de Overclocked Remix.

Overclocked Remix (parfois abrégé OC ReMix) est une communauté de musiciens amateurs de jeux vidéo, fondée sur internet fin 1999. Les membres y ont pour passion de remixer des musiques de jeux vidéo, et de les proposer en téléchargement gratuit au format MP3.

Site plutôt connu dans le domaine, on y trouve toute sorte de remixes; c'est clair que c'est pas les musiques qui manquent et vous avez tous les genre possible. Jazz, piano, rap, rock, métal, électro, trance...

OC Remix a notamment réalisé en mai 2006 la bande originale du jeu Super Street Fighter II Turbo HD Remix.

Les jeux proposés sont de toutes les époques depuis le début du jeux vidéo. Vous pouvez aussi bien trouver des remixes de jeux anciens (en sachant qu'il y a plus de musiques remixées provenant de jeux rétro sur le site) comme Zelda II sur Nes que des remixes de jeux plus récent comme Metal Gear Solid 4.

Je vous laisse ma playlist pur vous faire une idée, ainsi que le site internet de cette communauté.
http://ocremix.org/

Et ma playlist personnelle (qu'il m'arrive de mettre à jour de temps en temps)

Automatic Mario

IL EST FOU CE MARIO, IL EST FOU !!

Je vous propose une petite vidéo Youtube vraiment impressionnante, y a pas d'autres mots. C'est ce qui est appelé des Automatic Mario. Le but est de permettre à mario de bouger seul, pas besoin de paddle pour finir le niveau. Mais les performances vont plus loin. Le niveau se fait en musique où l'on joue avec les bruitages du jeu. De quoi apporter des "remix" de certaines musiques. Inutile de vous dire que ce genre de choses est, pour la plupart, fait par des japonais, hein, faut pas déconner non plus . Si après que vous ayez regardé la vidéo, ça vous intéresse toujours, je vous laisse ce compte Youtube qui s'est spécialisé dans le domaine. Je m'excuse de la qualité de la vidéo, elle n'est pas de moi, mais je préfère vous donner la version définitve de l'oeuvre pour que vous puissiez vous rendre compte du boulot et aprrécier le plus possible.
Au plaisir !

[flash]http://www.youtube.com/watch?v=44uIYor6qvM&feature=related[/flash]

Street Fighter II - Le début d'une grande licence

Qui n'a jamais joué à [i]Street Fighter[/i] ? Qui n'a jamais vu un Hadoken lancé par [b]Ryu[/b] ou [b]Ken[/b] ?
C'est tout simplement le premier jeu de combat à succès (oui parce qu'il y en a eu avant). Cependant, [i][b]Street Fighter II[/b][/i] est considéré comme le digne père des jeux de baston;


Si l'on fait un saut dans le temps, il était difficile à l'époque de bien retranscrire un jeu qui était sur borne d'arcade, sur une console. [b][i]Street Fighter II[/i][/b] a su mettre une claque à ce niveau là. La ressemblance entre les deux versions des deux supports est bluffante. Visuellement, [b][i]Street Fighter II : The World Warrior[/i][/b] a réussi à se renouveler par rapport à [i]Street Fighter[/i] premier du nom. L'esthétique du jeu est remarquable notamment dûe aux personnages; les sprites ont été retravaillé et les animations de ces derniers également. On se retrouve dans un jeu très fluide pour l'époque. Il n'y a qu'à comparer les personnages avant et après.

[i]Avant - Street Fighter I[/i]		[i]Après - Street Fighter II : The World Warrior[/i]

Les décors sont également magnifiques, sont animés (prenez le stage de Dhalsim où les éléphants lèvent leur trompe), apporte un schrolling horizontal, ainsi qu'une intéraction avec le décor : les barils qu'on peut détruire dans le stage de Ken en est un exemple.

On oublie le fait d'avoir un seul personnage jouable dans [i][b]Street Fighter I[/b][/i], à savoir [b]Ryu[/b] (ou [b]Ken[/b] si vous jouez en Player 2) pour avoir le choix entre huit personnages. Tous sont très distinct; [b]Ryu[/b], le guerrier japonais, vagabond et solitaire, [b]Blanka[/b], l’aberration naturelle, animal plus qu’humain, [b]Guile[/b], le marine justicier... Cela confère une certaine histoire en fonction des personnages. De même que [b]Chun-Li[/b], la Chinoise avide de vengeance, unique représentante de la gent féminine, et qui est également l'un des premiers personnages féminin existant dans l'univers des jeux vidéo.
Ces huit personnages ne se distincte pas seulement par leur histoire personnage mais par leur manière de jouer, ce qui confère une grande richesse dans le jeu. Bien que [b]Ryu[/b] et [b]Ken[/b] se joue de la même manière, ce n'est pas pareil pour tout le monde. L'exemple le plus simple reste [b]Zangief[/b] qui est un chopper; là où Ken et Ryu peuvent envoyer des [u]hadoken[/u] à distance ou utiliser le [u]shoryuken[/u] pour contre attaquer dans les airs, [b]Zangief[/b] est plus porté sur le combat au corps à corps. Cela montre que Capcom a su rendre un gameplay très diversifié. [i][b]Street Fighter II : The World Warrior[/b][/i] apporte un gameplay jamais vu avant en matière de jeu de baston. Avec la possibilité de faire au choix, un coup faible, moyen ou fort, les stratégies pour venir à bout de son adversaire sont nombreuses. Cela a permis la naissance du principe des combos. Le stun ou les combinaisons de boutons permettant d'envoyer une attaque spéciale apporte un plus, bien que cela était déjà présent dans [b][i]Street Fighter I[/i][/b].

Les bonus stages sont aussi une nouveauté dans les jeux de baston. Pas mal pour se défouler un bon coup lorsqu'un combattant vous a bien énerver. Un bon défouloir qui est aimé par le plus grand monde.
Cela est sans compter les 4 boss cachés et surtout le dernier où dans ce jeu, le terme boss était le bon. En effet, les derniers combattants sont bien plus difficiles à battre que les anciens combattants. Là où dans certains jeux, le (s) boss peuvent être plus faciles, ici ce n'est pas le cas. [b][i]Street Fighter II : The World Warrior[/i][/b] est le premier jeu de baston à introduire cette notion dans les jeux de combat.

Au niveau de la bande sonore, le jeu ammène des musiques propre à chacun qu'on est suceptible d'apprécier, pour l'époque ces musiques étaient très bonnes (tout du moins sur la Super Nintendo), surtout lorsqu'on sait qu'il était encore une fois difficile de faire un jeu sur console en essayant du mieux possible à ce qu'il ressemble à celui qu'il y avait sur borne d'arcade.
[b]
[i]Street Fighter II : The World Warrior[/i][/b] est un jeu dont on a du mal à s'en lasser. La durée est quasiment infinie vu comment on peut apprécier le jeu, et vu que le mode versus est présent, donc les combats entre vous affluent. Les personnages sont attachants et chacun à sa propre unité vocale, les graphismes pour l'époque sont très travaillés... Bref [b][i]Street Fighter II : The World Warrior[/i][/b] est comme une boîte de Pandore qui a révolutionné le monde des jeux vidéo, à tel point qu'on en parle et qu'on y joue encore aujourd'hui.

Je vous laisse ce podcast de l'association BasGrosPoing sur la création de Street Fighter II. Le podcast date de 2010 (vous comprendrez pourquoi je vous le dis en l'écoutant), les podcasters peuvent parler de choses que vous ne connaissez peut-être pas. Pas d'inquiétude, ce qui importe est la partie Street Fighter II .

[mp3f=0]http://basgrospoing.fr/podcasts/bas_gros_poing_2.mp3[/mp3f]