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"Je cherchais juste mon chat qui s'est égaré ici il y'a de là 3 ans! Il cherchait l'acte de naissance de son arrière arrière grand père pour éviter d'être jeté dehors!"
Le livre tourna la page, une expression de réflexion était maintenant dessiné en ses pages.
-Un chat? Oh! Il s'est fait écraser dans la section "Papier Pesant", depuis, on l'a rangé dans la catégorie des "Mammifères raplalas".
-Quoi? ô_Ô Nooooon!
-Qu'est-ce qu'il foutait là aussi... Les actes de naissance sont rangés dans la section "Actes aux premiers souffles", c'est quand même évident..."
Laissant le malheureux à sa peine, il se tourna vers Yoshi et le professeur.
"Et vous alors? Vous avez perdu quoi? Votre belle-mère? (Elle est dans la section : "Salon de thé" au passage )
-Pas du tout répondit le Yoshi, nous sommes à la recherche de mon nom.
-Ton nom?
-N'auriez vous pas un arbre généralogique sur les Yoshis?
-Arbre généralogique, dans la section "Serre des âges", c'est quand même pas compliqué bon sang!
Vous vous retournez, vous partez à droite, vous suivez tout droit, gauche, haut, bas, montez, descendez, 70° vers le nord, tournez la tête de la statue, descendez dans le passage secret, rampez, grimpez, à gauche, en bas, quart de tour avant + A, laissez Norfair sur votre gauche allé en bas, prenez le téléporteur, Revenez à la case départ sans toucher les 20 000 francs, bas gauche droite haut, faites trois petits tour et puis s'en vont! Continuez tout droit après cela et vous serez en plein dessus!
-Ah fit le professeur
-C'est quand même pas compliqué!"

Sur ces mots, le Yoshi et le Prof laissèrent le vieux rabougrit et essayèrent tant bien que mal de suivre les indications du livre. "Euh, Prof ?" - "Oui ?" -"Vous savez où vous allez ?" Le prof ne répondit pas et continua à marcher. Soudain, ils arrivèrent sur une sorte de place. Plus de vingt embranchements différents s'offraient à eux. Et au milieu, trônait la statue d'un petite fillette, avec en son socle l'inscription "Pays des Merveilles". A cet instant, alors qu'il sapprochaient de la statue, un chat rayé bordeau et noir apparu sur la tête de la statue. "Que cherchez-vous messieurs ?" fit le chat.
-Mon nom répondit le Yoshi
-Oh oh! Ton nom? fit le chat"
Il se leva
"Cherches-tu vraiment ton nom ou ton identité?
Une existence se borgne-t-elle, au final, qu'à un simple bout de papier?
Un mot peut il résumer un existence?
Un mot a-t-il autant de puissance?"
Le professeur se leva : "Il ne faut pas sous-estimer les mots, les bouts de papier ne servent qu'à les fixer"
"Tout juste tout juste, cela est bien dit repris le chat
cette invention humaine n'est pas finit de faire parler de lui!
Mais une identité se construit au dehors.
Un simple mot peut-il réellement conjugué votre sort?
On ne peut s'emparer d'un mot, cela serait trop facile
Nous devons rappeler que la vie ne tient jamais que sur un fil!
Un mot cela s'acquière grâce aux personnes, grâce à autrui.
Ce sont eux qui permettent votre existence et votre vie
Vous pourrez chercher très loin dans des zones très compliqué
Une réponse qui, après tout, était juste à coté."
-Je comprends rien fit le Yoshi Pourquoi parles-tu en énigme?"
Le chat sortit une cigarette, l'alluma et fit :
"Ouais, non, c'est un trip de l'auteur, faut pas faire attention"
Il se ressaisit et reprit son air énigmatique habituel :
"Être libre d'identité, c'est aussi une certaine liberté.
Beaucoup de gens la recherche et ne peuvent la trouver
Profitez tant que vous n'êtes pas tenu en laisse
Avant que tout cela s'atténue puis...disparaisse"
Sur ces derniers mots, le corps du chat disparut jusqu'à ce qu'il ne reste plus que son sourire, flottant dans les airs...
Puis à son tour le sourire disparut et le Yoshi demeura debout, éberlué et désemparé. "Ce chat à diablement raison !', pensa le Yoshi. "Mon nom, c'est mon identité et mon identité, c'est celle que je me créé !". Le Prof coupa alors le silence et dit :
-"Voudrait-tu rebrousser chemin ou t'enfoncer encore un peu plus dans ce labyrinthe ?"
-"J'aimerais tant connaître mon nom !"
-"Si ta communauté t'a attribué un patronyme, il est forcémment quelque part par ici."
-"Je le sais, mais par où aller ?"
-"As-tu réfléchit à ce que t'as dit le chat ?"
-"Oui."
-"Et ?"
-"Continuons. Peut-être qu'en le demandant bien gentiment, on nous indiquera le chemin !'
-"Mais à qui veux-tu demander ton chemin ?"
Soudain le Yoshi cria haut et fort :
"Indique-moi le chemin,
Pour que nous avancions,
Afin que dans ces parchemins,
Je puisse trouver mon nom !"
A cet instant, les piles de livres et de papiers qui formaient la vingtaine de couloirs obscurs s'ébranlèrent et se rapprochèrent afin de ne plus former qu'un seul chemin. A cet instant, le Yoshi comprit que pour maitriser ces archives, il fallait savoir maîtriser le langage et donc, parler en vers.
Le Prof et le Yoshi continuèrent ainsi leur route, à travers le seul et unique chemin qui s'offraient à eux, tout en gardant à l'esprit les paroles vénérables du chat, ce qui ne les rendaient pas très durs d'eux.
et finalement, ils trouvèrent la section qu'ils cherchaient
Il s'agissait d'une gigantesque serre avec, à l'intérieurs, des arbres immenses fait d'encre.
Un pour chaque race, Le très large tronc prenait racine dans un couple qui engendra des fils ce qui permit, par exemple, à l'humanité de se développer.
Ce développement était visible sous les yeux ébahis du professeur.
Le sol était couvert de nom tombé de l'arbre. Le professeur s'interrogea sur ce fait.
Il vit un jardinier pas loin, brassant des "noms morts".
"Bonjours monsieur, qu'est-ce que tout ces noms?
-Ah mais crévindiou! Mais ce n'sont plus qu'des mots, hein!
-Pourquoi ne sont ils pas resté sur l'arbre?
-Ah mais c'est qu'y peuvent pas être sur l'arbre mon bon monsieur!
-Pourquoi pas? demanda le Yoshi
-Mais c'est qu'on y pense plus mon bon monsieur alors ça finit par tomber, et oui! Mais si qu'ça vous amuse de voir des noms, grimpez plus haut!
-Je veux bien mais, ce n'est pas mon arbre
-Eh qué! Il est just'là ton arbre, vas pas me l'esquinter à foutre tes pattes partout hein!"
Après avoir remercié le jardinier, ils commencèrent à grimper sur l'arbre...
Grimper était chose plus ardue qu'ils pensaient. Cette serre gigantesque peuplée de milliers d'arbres n'étaient que la face visible d'en bas. Plus on montait, plus les branches se multipliait et conduisait vers des espèces différentes, puis vers des familles différentes, puis vers des individus différents. Partout, des noms. Les arbres n'étaient constitués que de noms, écrits à l'encre. Souvent, des noms tombaient alors qu'ils les frôlaient. Ils continuaient, les noms formaient des marches qui permettaient d'avancer.
Puis, ils virent une branche immensément longue. Elles montaient tellement haut et tellement loin qu'on n'en voyait pas le bout. D'en bas, le jardinier, qu'ils distinguaient à peine, leur cria : "Crévindiou, mais z'êtes déja là ? Ben ca, tedieu ! Ah qu'ba z'avez trouvé la bonne branche ! Reste p'u qu'à monter ! Bon courage !' - "C'est bien là haut, demanda le Yoshi ?" - "P'tet ben qu'oui mon p'tit gars", dit le jardinier en souriant et aussitôt, reprit son balayage en gromelant "ggrrr, qu'est-c'qui nous envoit comme taré les gros patrons !".
Alors, le Yoshi et le Prof montèrent.
ils montèrent et montèrent si bien qu'ils
finirent par arriver à un stade où les entremêlement des branche de l'arbre devenait tellement complexe (à cause d'enfants illégitimes ou des couples venant de familles très éloignés) qu'ils était devenu un énorme noeud et l'on pouvait quasiment y marcher comme sur un plancher, les noms étaient partout et de plus en plus nombreux et visible.
Au bout d'un moment, fort peu de nom étaient oublié et ils parvinrent dans l'arbre généalogique de l'île des Yoshi.
Yoshi vit donc tout les habitants de l'île depuis plusieurs génération.
Il fut alors frappé de stupeur lorsqu'il se rendit compte...
que son nom n'y était pas. Soudain, il se dit que c'était normal qu'il ne le trouva pas, puisqu'il ne le connaissait pas lui-même. "Comment savoir quel est mon nom là dedans se demanda le Yoshi ?". A cet instant, un cri leur parvinrent d'en bas. C'était le jardinier qu'ils ne distinguaient plus.
-"Ah, z'y êtes enfin, c'est pas trop tôt ! Alors l'avez trouvé vo't nom ?"
-"Je ne sais lequel c'est !", répondit le Yoshi
-"Pourtan mon p'tit gars, t'as trouvé l'astuce !"
-"Quelle est-elle, cette astuce si belle ?"
-"Mais celle-ci : le langage, mon ami !"
A cet instant, le Yoshi comprit qu'il devait se mettre à parler en vers, et de manière suffisemment explicite pour que son nom lui soit révélé, au milieu de ce farfouilli d'encre.
"Une identité, un arbre, un mot que je demande
Un mystère, une vie, une phrase qu'il faut qu'on me rende
Fils d'un tel et d'une telle et ce, pour l'éternité
Les évènements de ma vie ne sont eux, pas prémédité.
Ma vie a un sens, ma vie a un nom.
Par pitié arbre, donne le moi, répond!"
Alors, le bourgeon se mit à éclore, les restes de l'ancien nom, devenu illisible tombé depuis longtemps, tomba en lambo et là... Rien n'apparut...
"Mais, pourquoi? fit le Yoshi"
Le professeur se leva alors :
"Mais parce qu'un nom, ça se donne, l'arbre n'agit que comme un simple bout de papier, il ne peut pas donner.
-Mais qui peut me donner un nom alors?
-Et bien moi par exemple.
-...
-A partir de maintenant, je t'appellerais... "
Et à cet instant, alors que le Yoshi allait enfin se voir attribuer un nom, la branche sur laquelle ils étaient installés se mit à trembler et s'éleva. Elle s'éleva si haut qu'ils en perdirent l'équilibre. Le Yoshi et le Prof furent séparés dans leur vol. Le Yoshi atterit au milieu de livres et de papiers, ailleurs dans les archives.
Affolé, il regarda en l'air pour apercevoir un étrange personnage, il était de la taille du professeur et pourtant portait la branche géante de l'arbre à bout de bras.
Le jardinier, affolé sortis un bazooka de son balai et le menaça :
"Nondidju! Voilà l'aut'clown! Mais je suis préparé cette fois!"
Il lança un tir sur le mystérieux personnage qui arracha la branche pour s'en protéger.
A ce moment là, le cerveau de Yoshi paru étrangement vide, comme si quelque chose lui manquait à présent.
Alors qu'il se posait des question, le mystérieux personnage répondit :
"Oh oh, c'est que tu deviendrais presque dangereux aujourd'hui!
-L'arbre! L'arbre! Crévindiou! C'est qut'as même pas conscience de c'que tu fais démon! J'vais te descendre de là à grand coup d'pied dan'l'cul, tout façon, tu ne connais pas mon nom!
-Ton nom? Alfred?"
Le visage du jardinier blémit
"Moi aussi je me suis bien préparé, et maintenant un tour de magie, tu vas, disparaitre!"
Une lueur apparut à un endroit de l'arbre et un nom tomba, un nom où il y'avait marqué "Alfred Gedralt"
Mais cela n'avait plus d'importance, même pour les témoins, les mésaventures du jardinier n'était plus intéressante. On peut l'oublier.
Alors, le démon prit l'énorme branche d'arbre, et l'avala. Après avoir pris ce bon repas, il se tourna vers Yoshi. Celui-ci put plus l'observer, il était vêtu d'une cape d'un violet affreusement laid, d'un masque de citrouille avec une étoile à la place de l'étoile, de vêment de clown avec de grandes chaussures et surtout, un grand chapeau haute-forme avec un sourire narquois qui se marre devant la scène.
D'un coup, son visage ne fut qu'à quelques centimètre du visage de Yoshi, celui-ci fut effrayé mais cela enchantait le nouveau venu.
"Comte Olvido fit se dernier pour se présenter, maitre de l'oubli, en général, quand tu me croises, c'est qu'il te manque à présent quelque chose!"
Il disparu en riant.
Mais que voulait-il dire se demanda Yoshi.
Il fallait qu'il retrouve le professeur pour avoir son nom, il le savait.
Mais... Qui était-il? D'où venait-il? Qui était ses parents?
Il ne put s'en rappeler alors...
il alla voir le jardinier.
- "Bonjour monsieur !"
- "Ah, v'la l'aut' taré !"
- "Vous me connaissez ?"
- "Ben voui mon p'tit gars ! T'as perdu la mém... Crévindiou ! N'me dit pas qui t'a piqué ta mémoire c'te cochon de fils de laitière !"
- "De quoi parlez vous !"
- "De qu'cette enflure t'as volé tes souvenirs mon p'tit gars !'
- "Quelle enflure ? Que dois-je faire ?"
"Déjà, je vais téléphoner à la direction! fit le jardinier"
Il prit son téléphone :
"Allo! C'est Alfred!
-Qui?
-Alfred Gedralt, l'jardinier d'vot barak quoi!
-Euh, attendez un instant."
La standardiste 1 interrompit la discussion de la seconde et de la troisième. (Discussion passionnante au passage, Monsieur Ganeren Ha tromperait sa femme Oüüi avec son ancien amour Mademoiselle Pésessede... Quel horreur! Toute ressemblance avec des personnages existant ou ayant existé serait purement fortuite! )
"Vous connaissez un certain Alfred Gerald?
-NOooon? Qu'est-ce qu'il a fait?
-Bah attends, elle va nous le dire.
-Non mais, il a rien fait, ce serait le jardinier!
-Un jardinier en plus? Ohlalalaaa!
-Un jardinier? De quelle serre? fit la troisième secrétaire, plus sage que la seconde."
La première demanda, la réponse fut un tas d'insulte promouvant le fait qu'avec la pénurie des jardinier dans la ville de papier et pour cause de chef mal luné, il était jardinier de toute les Archives papeliste de la ville, crévindiou!
"Je suis désolé monsieur, nous n'avons pas un tel nom dans nos papiers. fit la première
-Si vous n'êtes pas sur les papiers actuelle et que vous êtes en ville, c'est que vous êtes mort monsieur! fit la seconde
-Mais bon Dieu d'bon Dieu, je suis pas mort, je suis vivant là! Vous m'entendez!
-Insinuez-vous qu'il pourrait se glisser une erreur dans notre administration parfaite?
-Chaque tâche du jour est vérifié par l'élite des vérificateurs de ce monde monsieur!
-Depuis que la Reine des Reine à inventé les gardes Särrquosiste plus personne ne voit la moindre faute d'orthographe dans nos papier alors... Une erreur comme la votre, vous n'y pensez pas!
-Je préfère croire aux revenants et à la magie plutôt que de croire en une erreur!
-Faites vous à cela monsieur, vous êtes mort. Si vous êtes notre jardinier, restez y, vous recevrez une cher allocation pour votre mort.
-Bonne journée monsieur
-Au revoir."
Le jardinier n'en revenait pas, le Maitre de L'Oubli l'avait fait disparaitre, au vu de la société, son nom avait disparu. Il se retourna vers le Yoshi.
"Mon pov ptit gars, il t'es arrivé la même chose que moi n'est-ce pas? Ton professeur ne te reconnaitra pas si il te voit, tu as disparu, toi et ton île. Vous êtes devenu des légendes pour la société, des contes pour enfant.
Le maitre de l'Oubli, il faut que tu le vois, pour qu'il te libère de ton sort!
-Et vous monsieur répondit le Yoshi, vous ne venez pas.
-Non mon gars, les arbres ont besoin de moi tudieu! R'garde donc cui-là, il saigne à cause de c'te Maitre de l'Oubli de pacotie!
-Et en plus, j'avais pas envie de me trimballer avec un mec à l'accent paysan pendant toute l'aventure >> renchérit Haganeren... "

Alors, le Yoshi parti à la recherche, de El Olvido
Il reprit donc le chemin par lequel il était venu et retourna sur la place, avec la statue de la fillette. Il ne reconnaissait évidemment pas l'endroit, pourtant quelq'un semblait le connaître lui. Un sourire flottant apparu au dessus de la tête de la statue :
- "Alors as-tu trouvé ton nom,
Les papiers t-ont-ils donné raison ?"
- "Qui parle ? Où suis-je ?"
Le corps du chat se dessina petit à petit, allongé sur la te^te de la statue. L'animal prit un air grave :
- "Ne me dit pas que... ? Il est repassé hein...!"
Se penchant à l'oreille du Yoshi, il lui murmura :
- "Je suis le seul être au monde à ne pas être affecté par son sortilège. Je garde tout en mémoire. Les gens ne te reconnaitront pas. Mais moi si ! Veux-tu que je t'aide ?"
- "Oui, allons-y !"
- "Mais mon jeune ami, un service n'est jamais gratuit !", fit le chat avec un large sourire.
Je peux payer en capote lui dit-il ??
-Ah! Ah! Ah! Ah!
Il te faudra plus que débourser quelques piecettes
que ce soit à la pharmacie ou la superette!
Non, à chaque chose, une chose équivalente doit être donné
Seul la naissance peut amener cet état de fait!" répondit le chat
-Alors quoi demanda Yoshi?
-Pour retrouver le maitre de l'Oubli il faut le prendre en contrepied
Le souvenir, le savoir, tout cela en est la clé.
La connaissance du monde est détenu par la Reine des Reine
Pour que je puisse t'aider, il va falloir que tu me l'amène"
Alors, le Yoshi disparut des Archives pour se retrouver dehors, devant l'immense tour de la ville...
Sans trop savoir comment d'ailleurs, parce qu'il avait mis 2 semaines pour arriver jusqu'à la place. une fois dehors, il se fit arrêté par des gardes Sarquösiste :
- Vous avez papiers jeune homme ?, fit le premier
- Police de la Reine des Reines, renchérit le second
alors, sur un coup de tête, car il n'y avait personne dasn le coin sauf lui et les 2 gardes, il se dit qu'il devait fairen en sorte que les gardes l'amène chez la reine
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