Sparkster et sa première aventure
Membres de Nintendo-Master, votre choix à était fait et vous voulez donc un article sur l’opossum le plus rapide du monde ? Est bien commençons de suite :D .
Sortit le 05 aout 1993, celui-ci est un jeu de plateforme, a était développé ainsi qu’édité par Konami sur Sega Megadrive et ne comporte pas de multijoueurs.
Un peu d’histoire :
Konami est une entreprise asiatique qui est très réputé pour ces productions de très bonne qualité. Elle à fait sur la Super Nintendo Batman et Robin de la série animé, Batman Returns qui est une adaptation du film de même nom, Axelay le shoot’em up qui utilise le mode 7 de la Super Nintendo, la série Castlevania, les Dance Dance Révolutions, Frogger, les Ganbare Goemon, les Contras, ect…
Bref, Konami est donc une entreprise qui possède de bonnes licences.
Histoire du jeu :
Sparkster, héro que vous incarnez et le meilleur de l’unité Rocket Knights (signifiant les chevaliers missiles en français) du Royaume Zebolus, doit défendre Zebolus d’une armée de cochons bien marrante. Mais un Rocket Knights déchue, sous chef de cette armée de cochons, enlève la princesse durant la bagarre et vous devez donc la sauvez.
Histoire donc encore une fois classique (vous allez l’entendre souvent ce mot sur ce blog 
) mais il y à de l'humour.
Gameplay :
Si vous ne vous souvenez pas de la manette de Sega Megadrive, elle est composée d’une croix directionnelle, d’un bouton start blanc et 3 boutons allant de A à C de couleur noir.
Les commandes qui vont suivre sont les commandes par défaut du jeu.
La touche A et C permette de sauter et la touche B d’attaquer avec son épée tout en faisant une vague style getsuga tensho pour ceux qui connaissent BLEACH mais en plus petits et moins impréssionant bien sur. En restant appuyer sur le Bouton B, vous chargez une barre bleu qui va virez au rouge ce trouvant en haut à droite de l’écran de jeu (car sur la page actuel c’est pour notez mon blog ) . Quand la barre est chargée, vous verrez des étincelles bleu derrière lui et des que vous relâcher le bouton B, il fera une charge avec le feu au cue et épée brandit à l’avant (c’est le réacteur sur son dos qui fait cette effet pour ceux qu’ils me croient ). Répétez la manipe précédente mais cette fois-ci, avant de relâcher le bouton B, maintenez une direction sur la croix directionnel de votre choix et relâcher le bouton B pour orienter cette charge dévastatrice sur les petits ennemies mais aussi sur les bosses.
Si vous êtes au sol et que vous faite cette manipulation en faisant en direction vers le bas, Sparkster fera une roue avec son épée en restant sur place. C’est moins dévastateur que la charge mais efficace quand on est entourez.
Voici donc le stage 1 au complet donc contient du SPOILE si vous connaissez pas le jeu.
[flash]http://www.youtube.com/watch?v=IubgO2bbYak[/flash]
Bande sonore :
Elle est bonne sans être exceptionnel mais certaines vont ce gravez dans votre tête. Voici quelques musiques qui m’ont marquez dans ce jeu :
[flash]http://www.youtube.com/watch?v=Od0yDG8yVgM[/flash]
[flash]http://www.youtube.com/watch?v=dNb9_JuHjAk[/flash]
Durée de vie :
Composer de 7 stages assez long et diversifier que ce soit niveau gameplay (SPOILE : il y a des phases de Shoot à l’horizontale et un combat de robots FIN DU SPOILE) ou des décors avec difficulté ajustable dans les options, Rocket Knight Adventures est jouable par tous mais seul les pros pourrons voire la vrai fin du jeu car pour la connaitre faut le finir avec la difficulté la plus haute. Ayant réussi à le finir en mode Normale, je peu déjà vous dire que en Normale c’est déjà bien costaud ou bien c’est peut être moi qui est nul.
Conclusion :
Pour ceux qu’ils ont connu le jeu, je vous conseille d’y rejouer sa fait du bien.
Pour ceux qu’ils ne l’ont pas connu, allez le tester c’est une valeur sur pour ceux qui cherche un jeu d’action 2D sympathique.
A la prochaine et n’hésitez pas à allez voir les blogs partenaires sa leur feras plaisirs et bien sur n’oubliez pas de laissez un commentaire sur ce présent article fait avec beaucoup de plaisir :D.
