mr_bushido, Aloa taxi et G-Bagagaou alors qu'ils se mettaient en place...
La petite histoire de NM
Ils entrèrent alors dans la chambre de off et virent une grande plaine printanière.
Les fleurs venaient d'éclore et les petits papillons s'amusaient.
haitiano n'en fut même pas étonné, avança dans la plaine, regarda, puis s'arrêta puis regarda encore....
"Bah y'a pas de PC? Ô_ô"
L'un des membres de l'équipe revint à la porte (en oubliant pas de ramener haitiano) la ferma et rentra un autre code. "Winter182"
La porte s'ouvrit à nouveau et là, ce fut une plaine gelée avec un grand vent glacière qui s'offrit aux yeux ébahis de la troupe. Il neigait à torrent et manifestement, tout les codes de saisons en anglais pouvaient marché sur la porte à off... Mais toujours pas de PC.
Ils s'avancèrent tous pour voir si la neige était bien réelle et là, un courant d'air se leva et referma la porte qui disparut.
La troupe était coincé dans le piège de off...
Les fleurs venaient d'éclore et les petits papillons s'amusaient.
haitiano n'en fut même pas étonné, avança dans la plaine, regarda, puis s'arrêta puis regarda encore....
"Bah y'a pas de PC? Ô_ô"
L'un des membres de l'équipe revint à la porte (en oubliant pas de ramener haitiano) la ferma et rentra un autre code. "Winter182"
La porte s'ouvrit à nouveau et là, ce fut une plaine gelée avec un grand vent glacière qui s'offrit aux yeux ébahis de la troupe. Il neigait à torrent et manifestement, tout les codes de saisons en anglais pouvaient marché sur la porte à off... Mais toujours pas de PC.
Ils s'avancèrent tous pour voir si la neige était bien réelle et là, un courant d'air se leva et referma la porte qui disparut.
La troupe était coincé dans le piège de off...
Un grand écran apparu avec un message pour eux il était ecrit que une tempête des neiges allé avoir lieu dans 3jours ils devaient alors trouvé une solution au plus vite pour sortir d'ici puis tout le monde avait très froid,sauf bushido avec ses cheveux qui peu transformés en couverture, donc haitiano décida de coupé les cheveux de Busjido pour que tout le monde puisse en profiter mais Bushido prenait un bain que 1fois par semaine puis haitiano c'est rendu compte que quelque poux c'était faufilé dans les cheveux de bushido mais c'est poux était des gentils poux qui décidèrent d'aider haitiano et les autres pour sortir d'ici ses petits poux avais un plan du tonnere qui s'appellait...
[cou donc, ça parle juste de cons c't'affaire là xd]
mais grâce à leur plan qui se révéla con, il purent sortirent de la chambre d'off et découvrir le secret de cette chambre mystérieuse
mais grâce à leur plan qui se révéla con, il purent sortirent de la chambre d'off et découvrir le secret de cette chambre mystérieuse
Alors haitiano prit son inspiration.
"Con?
Ah ! Non ! C'est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire... oh ! Dieu ! ... bien des choses en somme...
En variant le ton, —par exemple, tenez :
Agressif : « moi, monsieur, si j'avais une telle connerie,
Il faudrait que je me pende mais alors sans sursis »
Amical : « mais elle doit vous attirer la honte? :
Pour parler, il vous faut qu'un autre conte! »
Descriptif : « c'est une drolerie ! ... c'est une idiotie... c'est une énormité !
Que dis-je, c'est un énormité ? ... c'est une grossierté ! »
Curieux : « mais à quoi sert ce que vous racontez ?
De meublage, monsieur, ou de message codé ? »
Gracieux : « aimez-vous à ce point les bébés
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De vous mettre à leur niveau? Quel intention délicate! »
Truculent : « ça, monsieur, lorsque vous vous promenez,
Pouvez vous donc vivre en paix
Sans qu'un voisin ne crie au taré ? »
Prévenant : « gardez-vous jamais de ne causer
Par cette connerie, vous pourriez, ces gens, tous les assommez ! »
Tendre : « cultivez-donc ce don secret!
De peur que vous ne deveniez vraiment intelligent, cela me turlupine »
Pédant : « l'animal seul, monsieur, que Darwin
Appelle Macaca fascicularis
Dut avoir sous la tête autant de connerie ! »
Cavalier : « quoi, l'ami, vous auriez gagné un premier prix ?
Du roi des andouille, je dis ou de celui des abrutits ! »
Emphatique : « aucun vent ne peut, cette connerie monumentale,
La geler et l'appauvrir sur le champs, excepté le mistral ! »
Dramatique : « Quant il parle, le monde à peur ! »
Admiratif : « pour une enseigne de libraire, quelle horreur ! »
Lyrique : « est-ce une larve, que est votre vrai espèce ? »
Naïf : « Mais quel rôle jouez-vous? Dans quel pièce ? »
Respectueux : « souffrez, monsieur, qu'on vous salue,
C'est là ce qui s'appelle être complètement à la rue ! »
Campagnard : « hé, ardé ! C'est-y un cerveau ? Nanain !
C'est queuque pêche rose ou ben queuqu'melon nain ! »
Militaire : « parlez à l'esprit! Que le cerveau des ennemis trépasse ! »
Pratique : « voulez-vous vous mettre à l'établissement en face ?
Assurément, monsieur, personne ne la fréquentera de sitôt ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc cette connerie qui des traits de son maître
A détruit l'harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
—Voilà ce qu'à peu près, mon cher, vous m'auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d'esprit :
Mais d'esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n'en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n'avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d'ailleurs, l'invention qu'il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
Me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n'en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d'une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu'un autre me les serve."
"NdA : Le texte original : http://dardel.info/Textes/Cyrano.html"
"Con?
Ah ! Non ! C'est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire... oh ! Dieu ! ... bien des choses en somme...
En variant le ton, —par exemple, tenez :
Agressif : « moi, monsieur, si j'avais une telle connerie,
Il faudrait que je me pende mais alors sans sursis »
Amical : « mais elle doit vous attirer la honte? :
Pour parler, il vous faut qu'un autre conte! »
Descriptif : « c'est une drolerie ! ... c'est une idiotie... c'est une énormité !
Que dis-je, c'est un énormité ? ... c'est une grossierté ! »
Curieux : « mais à quoi sert ce que vous racontez ?
De meublage, monsieur, ou de message codé ? »
Gracieux : « aimez-vous à ce point les bébés
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De vous mettre à leur niveau? Quel intention délicate! »
Truculent : « ça, monsieur, lorsque vous vous promenez,
Pouvez vous donc vivre en paix
Sans qu'un voisin ne crie au taré ? »
Prévenant : « gardez-vous jamais de ne causer
Par cette connerie, vous pourriez, ces gens, tous les assommez ! »
Tendre : « cultivez-donc ce don secret!
De peur que vous ne deveniez vraiment intelligent, cela me turlupine »
Pédant : « l'animal seul, monsieur, que Darwin
Appelle Macaca fascicularis
Dut avoir sous la tête autant de connerie ! »
Cavalier : « quoi, l'ami, vous auriez gagné un premier prix ?
Du roi des andouille, je dis ou de celui des abrutits ! »
Emphatique : « aucun vent ne peut, cette connerie monumentale,
La geler et l'appauvrir sur le champs, excepté le mistral ! »
Dramatique : « Quant il parle, le monde à peur ! »
Admiratif : « pour une enseigne de libraire, quelle horreur ! »
Lyrique : « est-ce une larve, que est votre vrai espèce ? »
Naïf : « Mais quel rôle jouez-vous? Dans quel pièce ? »
Respectueux : « souffrez, monsieur, qu'on vous salue,
C'est là ce qui s'appelle être complètement à la rue ! »
Campagnard : « hé, ardé ! C'est-y un cerveau ? Nanain !
C'est queuque pêche rose ou ben queuqu'melon nain ! »
Militaire : « parlez à l'esprit! Que le cerveau des ennemis trépasse ! »
Pratique : « voulez-vous vous mettre à l'établissement en face ?
Assurément, monsieur, personne ne la fréquentera de sitôt ! »
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot :
« Le voilà donc cette connerie qui des traits de son maître
A détruit l'harmonie ! Il en rougit, le traître ! »
—Voilà ce qu'à peu près, mon cher, vous m'auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d'esprit :
Mais d'esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n'en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n'avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d'ailleurs, l'invention qu'il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
Me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n'en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d'une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu'un autre me les serve."
"NdA : Le texte original : http://dardel.info/Textes/Cyrano.html"
[HS] Edmond Rostand sors de ce corps[/HS]
Tout ça pour dire qu'ils était tellement cons, que leur imagination n'égalait que leur puerilité... Ils allaient même jusqu'à continuer de set raiter de cons, toujours et encore, sans s'en rendre compte, à croire qu'ils en étaient fiers...
Tout ça pour dire qu'ils était tellement cons, que leur imagination n'égalait que leur puerilité... Ils allaient même jusqu'à continuer de set raiter de cons, toujours et encore, sans s'en rendre compte, à croire qu'ils en étaient fiers...
Heuresement, Sayen le Tout-Puissant, Seigneur d'entre les Seigneurs, Souverain presque Suprême du Royaume de Géhaime, revint et narra à son tour...
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