[Test] Secret Story

[Test] Secret Story




Editeur: Codemasters
Développeur : Anuman Interactive
Type: Simulation de vie
Plateforme: DS
Date de sortie: 17 Septembre en France
Testeur: Lloydz/Linkot


Ici La Voix. A tous les lecteurs, La Voix a une annonce de la plus haute importance à vous faire. Ce vendredi 17 septembre est sorti le jeu officiel de l’émission la plus populaire de l’été, Secret Story. Comme toutes adaptations d’émission à succès, La Voix pense que Secret Story ne pouvait pas échapper à ce sort et c’est pour cette raison que vous aurez la possibilité d’incarner un candidat dans Secret Story DS et pourrez peut-être gagner 150 000euros (virtuels, il ne faut pas pousser non plus). La Voix vous laisse maintenant en compagnie de Lloydz pour un test haletant, tout comme notre émission fétiche (ou pas..) et le moins que l’on puisse dire, c’est que l’ambiance sera survoltée. C’est tout, pour le moment …

Une petite page de pub avant le test.




Le contrat achat tranquille.





Saurez-vous retrouver tous les secrets de la maison avec Manix ?





Qui aaaa les plus grosseeeess maracaaaas chikichikitaaaah ?! Retrouvez Secret Story avec Axe.






Fiouuu, ça commence.






AhaHAHhaHh *foule en délire*

OhOhAHahHH CiNDémijoNabRinAaa On t’love3x3x3x333 *foule en délire*




Bonsoir à tous et bienvenue dans Secret Story DS, un jeu édité par Codemasters qui va rafler toutes les ventes (bah oui, y’a quand même Secret Story dans le nom). Après avoir suivi les aventures des Triplées, de Mathias et d’Emilie, êtes-vous prêt à devenir VOUS le candidat ? Votre rêve sera réalisé avec Secret Story DS. Pour ceux qui ne connaissent pas le concept de l’émission, 16 candidats (12 dans le jeu) vivent en colocation dans une maison avec un secret personnel qu’il vous faudra cacher durant toute la période de jeu. Vous commencez avec 10 000euros, si vous pensez avoir trouvé le Secret d’un candidat vous pourrez aller buzzer en engageant 5000euros de votre cagnotte personnelle, si vous trouvez : Jackpot vous remportez toute l’argent de votre adversaire et pourrez l’aguicher autant que vous voudrez jusqu’à que vous finissiez par l’énerver auquel cas votre aventure deviendra un enfer et fera la joie de la production. Jeter de torchons, règlements de compte et manipulations sont au programme (sans oublier les histoires de cœur si traditionnelles à l’émission, viens que je te prenne, que je te jette et que finalement j’ai besoin de toi car sans toi je gagne pas). Au bout de cette formidable aventure, 150 000euros pour le gagnant, pour les autres, rien (sauf pour les 4 finalistes qui remportent leur cagnotte).
Quoi qu’on en dise, Secret Story fait raffoler les jeunes et on en parle partout, même vous qui n’avez pas suivi l’émission en avez sûrement entendu parlé. Continuons, tous les candidats seront soumis aux missions secrètes de La Voix (avec une majuscule s’il-vous-plaît) qui tentera par tous les moyens de casser la merveilleuse ambiance de la maison grâce à ses terribles missions (« Va faire croire à truc que t’es son ami si il te croit tu gagneras 1000euros, après la mission n’oublie pas d’aller lui dire que c’était pas vrai. C’est tout, pour le moment… »). Oui, La Voix aime jouer avec les sentiments des candidats jusqu’à même briser des couples pour en former de nouveaux. Merci Secret Story, aussi passionnant que l’épisode 386 des Feux de l’amour, oui oui celui où Mathilda découvre que Bryan l’a trompée avec Angela, sa bestààààh. Toi lecteur, je vois que tu suis et je vois aussi que tu seras en extase devant les rebondissements du petit jeu de Jonathan.
On m’informe que nous venons d’avoir la première image officielle de la maison des secrets.



Bah ouais. C’est moche, mais écoute on ne peut pas tout faire. On est sur DS, on sait qu’on va vendre notre jeu et peu importe ce qu’on pondera tous les pigeons achèteront.
Autant vous dire que les graphismes sont plus beaux « in real life » comme disent tous les tru3 gamerz’ que sur cette console a deux écrans. Quoi de plus sympathique que de voir ton personnage coupé en deux parce qu’il y a deux écrans. On peut dire que Secret Story est aussi un jeu défouloir en fait, je crois. Car oui, les bagarres seront… ah désolé, on me dit à l’antenne qu’en fait Secret Story DS est un jeu casual et qu’il n’y aura pas de sang. Sh*t alors. Rappelle-toi de la confrontation « musclée » de Léo et FX, l’androgyne dit aussi mère à phrodite. Tu ne seras comblé que par tes souvenirs en fait, jeune lecteur car Secret Story DS ne possède aucune vraie « embrouille » et les seuls moments où tu taperas quelqu’un seront pendant les épreuves où tu pourras jeter tes camarades dans la piscine de la maison. C’est beau, la vie (et la maison aussi). Car en plus de ça, nos habitants sont riches, certains entrent anorexiques (FX) et reviennent gros comme des boudins. Pas tous, heureusement, mais presque. FX par exemple arrive maigre comme une feuille oxford et sort de la maison telle … une feuille oxford. Car oui, FX doit garder le style et ne doit pas se mélanger au peuple. Tu constateras, lecteur ébahit de ces stupidités, que les candidats doivent obligatoirement être superficiels avant d’entrer dans la maison. C’est le code de fabrication de l’émission, en fait.

Attention on me prévient que le premier candidat du jeu arrive, et il s’agirait de Zac Efron qui aurait rejoint la maison des secrets ! Quel coquin, celui-là. Il pourra donner une leçon de chant à toutes les casseroles de cette maison. Enfin, j’espère.



Moi, présentateur digne du plus grand animateur de l’histoire doit aussi t’avouer que je n’apparait pas dans le jeu, ni moi, ni Castaldi qui a prit sa retraite jusqu’ici. Faut dire que ses blagues étaient de plus en plus creuses, rendant l’émission encore plus stupide qu’elle ne l’était déjà, mais passons. Dans le jeu Secret Story, en plus d’avoir aucune embrouille (ce qui fait la richesse de l’émission), tu n’auras pas les primes, ni le SAS hormis l’entrée du jeu. Et lorsqu’un candidat sera éliminé, surprise ! Il disparaîtra de la maison tel Casper qui se fond dans le décor. Comme c’est magique, Secret Story, mais attention, c’est un secret !! Parlons maintenant des secrets. Aussi banals qu’un produit laitier dans un supermarché (« Bidule est né un 29 février ») et aussi compliqués et surréalistes qu’un éléphant volant (« Chose a eu 10000 conquêtes »), Secret Story DS vous réserve des surprises. Encore heureux.
Il faut aussi dire qu’une côte de popularité est collée à chacun des candidats du jeu et que, toi, lecteur aura toujours 100% de popularité. Car oui, toi, lecteur est un être extraordinaire et que rien n’échappera à ton œil de lynx. Oui, tu arriveras même à démasquer les galipettes de Vanessa et Jin dans le lit, à n’importe quelle heure, n’importe quand. En collaboration avec notre partenaire plaisir : Manix.

A vous de reproduire la fameuse scène de Jean-Edouard et Loana dans la piscine avec au choix, un homme, une femme ou bien un chien (quoique…).



Sur ces quelques paroles, il est temps de nous quitter. Ne pleurez pas nous revenons demain et ce pendant encore trois mois à vos côtés. Et comme dirait l’autre, c’est tout, pour le moment …



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Graphismes : Secret Story est très beau in real life. Jamais vous ne verrez de candidats aussi hots de votre vie, profitez-en !
18/20
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Bande-son : I wanna see you on my screen boy, show me your body oh yeah oh yeah chikita baby…
19/20
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Jouabilité : Il faut buzzer, buzzer et buzzer et y’a 150 000euros à gagner, ne perdez pas de temps !
20/20
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Durée de vie : 14 semaines, soit trois mois en compagnie de plein de candidats. Vous serez prévenu.
19/20
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Scénario : Les amours de Jonathan.. La sincérité de FX.. Angie et ses chihuahuas et les scandales de Cindy…
20/20
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Conclusion : Je ne mets aucune note de conclusion sous risque d’en faire évanouir plus d’un.

[Test] Tales of Phantasia

Voici donc le premier test de mon blog (on commence par du lourd) réalisé ça fait 5 mois, donc en avril il me semble, la période durant j'ai fais de nombreux efforts sur l'écriture et la rédaction. Les critiques sont bonnes à prendre. Enjoy.


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[Test] Tales of Phantasia






Editeur: Namco
Développeur: Tales Studio
Type: RPG
Plateforme: SNES, PSX, GBA et PSP
Version testée: SNES
Date de sortie: 15 décembre 1995 au Japon (aucune sortie aux Etats-Unis et en Europe)
Testeur: Lloydz/Linkot


Premier opus de la série phare de Namco, Tales of Phantasia est un des plus grands RPG ayant vu le jour. Lors de sa sortie, le jeu avait adopté un tout nouveau style de combat, le A-RPG. Celui-ci se jouant en temps réel est une véritable réussite et sera repris dans tous les futurs épisodes de la série. Mais ce n’est pas le seul point qui fait que Tales of Phantasia est un jeu intemporel et dont même aujourd’hui, est encore souvent joué par les RPGistes. Adapté dans une version clairement inférieure en Europe, découvrons le jeu qui a su changer la face des RPG : Tales of Phantasia.






Le jeu démarre sur une cinématique opposant 4 aventuriers contre un sorcier; après l’avoir vaincu, ces mystérieux combattants enfermèrent le sorcier dans un puissant pouvoir magique. Le sorcier sera ensuite piégé dans ce sceau scellé de longues années durant. La première scène se termine sur cet affrontement, dont personne ne peut vraiment comprendre l’intérêt. Mais là n’est pas l’intrigue principale du scénario, loin de là. Après ce combat, nous nous retrouvons chez Cless dans le petit village de Toldus, ce jeune épéiste et son ami de longue date, Chester, vont partir chasser du sanglier dans une forêt. Entendant la cloche d’alarme de Toldus, les deux personnages se précipiteront jusqu’à ce qu’était précédemment, leur village. Malheureusement, à leur arrivée, ils seront témoins d’une macabre découverte de leur village, où tout sera détruit. Mais cet acte barbare ne s’arrête pas là et ils retrouveront tous leur proches, parents, frères, sœurs, inanimés dans un bain de sang diabolique où une guerre sanglante entre le bien et le mal ne fait que commencer. Avides de vengeance, les deux amis décideront de partir à la recherche du cruel assassin de Toldus. C’est ainsi qu’un voyage épique démarra pour Cless et Chester, à travers l’onirisme et l’enchantement d’une quête pour sauver le monde d’un sorcier aux pouvoirs immensément destructeurs : Dhaos.

A travers cette longue histoire, vous ferez la rencontre de plusieurs personnages clés ainsi que de personnages mythologiques qui vous aideront précieusement à vaincre Dhaos en utilisant leurs pouvoirs mystiques et phénoménaux. C’est ainsi que se termine le résumé complet d’un scénario, qui, à n’en pas douter fera planer de mystérieux doutes sur l’esprit des joueurs tant par sa réalisation globale que par son mysticisme assuré. Comparable à un film Walt Disney, l’histoire n’épargnera pas, elle, les scènes funèbres et douloureuses. Les révélations concernant la quête générale seront bien retranscrites dans l’histoire et c’est finalement un scénario riche en rebondissements qui sera proposé aux joueurs. Cette quête qui au départ était de venger le village de Toldus se transformera en une course contre la montre où l’équipe de Cless sera constamment en danger face à une épée de Damoclès suspendue au dessus d'eux capable de frapper à n’importe quel moment jusqu’au grand final où la fin justifie les moyens. Épique, sans aucun doute.





Tales of Phantasia ne serait rien sans son système de combat entièrement innovant pour l’époque car en effet, le système de RPG en temps réel était quasiment jamais vu auparavant. Le jeu étant banal à première vue, n’est que le début d’un genre ingénieusement trouvé, recopié mais jamais égalé. Dynamique comme tout, les combats ne se feront pas au tour par tour comme nous l’a prouvé un certain Final Fantasy, mais en temps réel. Les combats contre les monstres seront plus vivants que jamais et le level-up qui dans les jeux de rôle habituels était une vraie corvée, ne sera qu’un prétexte addictif pour monter de niveau, apprendre de nouvelles combinaisons à son personnage et surtout, y prendre du plaisir. Avant ça, Namco ne savait pas que le LMBS (Linear Motion Battle System) serait employé à toutes les sauces dans les jeux qui succéderont Tales of Phantasia tant ce nouveau système était bien trouvé. Il s’agit d’un combat où le joueur se déplace de gauche à droite tout en pouvant utiliser les traditionnelles magies d’un RPG, de fuir ou tout simplement d’attaquer normalement.

Mais là n’est pas la seule innovation majeure qu’a apporté Tales of Phantasia aux RPG, il y a également la combinaison d’attaques et le système d’acquisition. Ce dernier est très utile à maîtriser, il s’agit en fait de réaliser de nombreuses fois une technique apprise pour qu’elle atteigne le 100% d’acquisition. A partir de ce moment, la technique sera apprise, et grâce à la combinaison d’attaques, si plusieurs techniques sont acquises par le joueur, elles pourront peut-être se fusionner pour créer une toute nouvelle attaque bien plus puissante. Là est l’intérêt de faire combattre vos personnages régulièrement si vous voulez qu’ils soient utiles et bons lors des combats. La cuisine est également présente dans le jeu et sera reprise dans tous les futurs Tales of à venir. Et comme dans tout bon RPG qui se respecte, l’équipement de votre personnage sera personnalisable à souhait pour qu’il devienne plus fort. Et une fois de plus, une nouveauté : Les armes que vous utilisez seront visibles au combat, par exemple si votre arme est longue et rouge, vous la verrez ainsi en combat. Si elle a un long motif bleu et est une hache, vous la verrez ainsi.

On peut donc dire que Tales of Phantasia a été une véritable révolution dans le RPG, non pas par son scénario mais par son gameplay innovant.





Que serait Tales of Phantasia sans ses musiques envoûtantes ? A répondre, il ne serait rien. Celles-ci contribuent à renforcer l’aspect magique du titre tout en gardant les mélodies qui font de ce jeu une véritable odyssée à travers le temps et l’espace. Une fois de plus, Tales of Phantasia a apporté quelque chose de majeur dans l’univers du jeu-vidéo. C’est le premier jeu de l’histoire à inclure des voix synthétisées dans le jeu, c’est ainsi qu’à la fin d’un combat vous entendrez les héros pousser un cri de victoire ou bien l’introduction (qui je rappelle n’est animée que dans les rééditions PSX et PSP de Tales of Phantasia) chantée par Yukari Yoshida et dont le thème principal est très agréable à l’écoute (Yume wa owaranai). Une musique qui fait également parler d’elle dans les Tales of est aussi présente dans Phantasia, c’est le majestueux Fighting of the Spirit (repris plus tard dans Tales of Symphonia). Les musiques sont donc superbes et indispensables pour apprécier le jeu à son paroxysme.

La durée de vie du titre se situe entre 20 et 40h de jeu, tout dépend de vous, si vous voulez level-upper, ou encore faire des quêtes annexes… Mais pour un joueur normal, le jeu serait d’environ 30h se qui est déjà dans la normalité d’un RPG d’antan. Et heureusement, la difficulté globale est très corsée et seuls les plus courageux arriveront au bout de cette aventure exceptionnelle, le level-up est donc un passage quasi obligé pour tous. Certains boss auront malheureusement une difficulté démesurée par rapport au stade du jeu (un boss qui enchaine un combo de 3 coups de 500 pv alors que vous en avez 1800…) mais ne vous arrêtez pas à cette effroyable expérience et entrainez-vous afin de gagner, peut-être un jour pour continuer le jeu. Beaucoup de joueurs s’arrêteront au début de par la difficulté osée d’un certain boss dont je ne donnerai pas le nom pour éviter de spoilier. Les quêtes annexes quant à elle sont assez élevées pour vous maintenir quelques heures de plus devant Tales of Phantasia, et je ne doute pas qu’après cette grande épopée, vous ne recommencez pas une fois de plus l’aventure.





Pour clôturer ce test, les graphismes sont somptueux. Les personnages seront sublimement réalisés et les sprites en combat seront exceptionnels. Le niveau était haut depuis Secret of Mana et Chrono Trigger, mais Tales of Phantasia le surmonte malgré tout sans problème. Vous traverserez de nombreux paysages à travers votre quête, variant de la haute montagne au château obscur. La carte du monde elle est mieux réalisée que tous les autres volets de la série et passe bien mieux sur Tales of Phantasia que sur n’importe quel autre jeu. Seulement, elle n’est une fois de plus pas à la hauteur de nos attentes et on aurait apprécié une minime amélioration, mais ne boudons pas, rien de grave. L’introduction du jeu ne sera malheureusement pas animée dans cette version, faute de plate-forme.








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Graphismes: Tales of Phantasia est un régal pour les yeux, les paysages sont nombreux et les sprites magnifiques en tout point. Le jeu aurait pû avoir un 19 si cette carte du monde était légèrement améliorée.

18/20
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Bande-son: L’ambiance sonore du titre est telle qu’il est indispensable de ne pas s’en priver. Elle renforce l’odyssée des personnages et les combats se font plus rythmés grâce à la musique. A noter les voix qui font de Tales of Phantasia le premier jeu à intégrer des voix synthétisées de l’histoire.

17/20
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Jouabilité: Pourquoi un 20 ? Tout simplement car il traduit le caractère intemporel du gameplay de Tales of Phantasia, car il est avant tout l’ambassadeur d’un nouveau système de jeu, du début d’un nouveau genre et d’une prise de risque fatidique au titre. De plus, les combats sont si réussis qu’il est impossible de ne pas tomber sous le charme du jeu. Dynamiques, vaillants et vivants, une telle force ne peut être évaluée que par la note ultime.

20/20
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Durée de vie: A compter entre 20h et 40h de pur bonheur, mais ne vous laissez pas méprendre par l’aspect enfantin du titre car les boss sont de véritables enfers vidéo-ludiques et le nombre d’essai que vous ferez pour les battre vous présagera la crise de nerf assurée.

17/20
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Scénario: Réunissant tous les clichés connus du RPG d’aujourd’hui, il n’en est pas moins captivant et vous motivera à finir le jeu. Les personnages ont également une psychologie suffisamment évoluée pour que vous vous reconnaissiez à travers l’un d’entre eux et suivez son parcours à travers le passé, le présent et le futur dans un monde englouti par le chaos infernal.

16/20
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Conclusion: Tales of Phantasia est une œuvre intemporelle entrainant le joueur dans une aventure onirique et enchanteresse 40h durant. Le tout est allié à des musiques grandioses et à un gameplay irréprochable, sans oublier une difficulté qui en rebutera plus d’un. Scénario qui s’apparente à un vrai conte de fée, mais qui n’épargne pas les moments tragiques et douloureux, cette vaste quête qu’est de sauver le monde sera de plus en plus difficile à surmonter. Chef d’œuvre incontesté, certains jeux ont sû marquer leur temps, Tales of Phantasia ne déroge pas à la règle et impose sa suprématie dans le domaine du RPG nippon et ne pas y avoir joué serait un vrai crime tant l’aventure est majestueusement illustrée. Quoi qu’il en soit, si vous êtes fans de RPG et que vous aimez les histoires féeriques, tentez l’expérience. Vous ne pourrez en sortir qu’acclamant cette œuvre magistrale.


18/20



A noter que les versions SNES, PSX et PSP sont sorties seulement en japonais, la GBA quant à elle a été traduite mais est clairement inférieure aux autres.