Apres les cartes et le majhong, la saga des Pretty Girls s’attaque à un autre genre : le casse-briques. Le concept est simple, on part de la base Arkanoïd, on peaufine le gameplay pour apporter sa propre touche, et on ajoute des filles aux courbes généreuses comme plus-value. Paris gagnant ?
On se focus sur les boules
Le casse-brique est un genre presque aussi vieux que le jeu-vidéo lui-même. Une raquette, une boule, et des tuiles qui disparaissent une fois celles-ci sont entrées en contact avec votre boule. Et bien sûr l’étape la plus importante : rattraper la boule avec votre raquette sous peine de perdre une vie. Pretty Girls Breakers! PLUS ne révolutionne en rien la formule, mais se permet d’y apporter sa petite touche personnelle.
Les tuiles lâchent de temps à autres des bonus comme un multiplicateur de boule, un champs de force anti-chute, ou encore un grossisseur de balle pour ne citer qu’eux. On reste pour l’instant sur du très classique. A la place d’une raquette, bous contrôlons une femme en vu de dessus ayant une raquette à dégainer de la main droite ou de la main gauche. Il faut alors penser à appuyer au bon moment pour renvoyer la boule effectuer son travail de nettoyage. A l'inverse de la classique raquette unique, ce choix est assez déroutant, et on perd nos habitudes en ce qui concerne les angles de renvoi des boules.
Et à cela s’ajoute une autre particularité, la présence d’ennemis. Il peut s’agir de tourelles immortelles ou encore de véhicules hostiles se déplaçant, et tirant des lasers de manière périodique. Si ces lasers n’impacteront en rien votre boule, elles peuvent vous faire perdre une vie si ils entrent en contact avec la rattrapeuse de balle. Vous avez ainsi le choix entre esquiver les tirs, ou encore les renvoyer avec vos raquettes, pouvant occasionner des dégâts additionnels aux ennemis, ou détruire des tuiles supplémentaires.
Un contenu correct, sans plus
Côté contenu on reste sur quelque chose de relativement classique. Chacune des 8 filles propose un total de 5 stages, soit un total de 35 stages à réussir pour finir le mode principal. Chaque fin de stage vous permet de débloquer des points qui sont à utiliser dans le mode Dressing Room pour débloquer des costumes pour les différentes dames ainsi que quelques arrière-plans pour le mode Diorama. les costumes sont utilisables uniquement à cet endroit, ce qui est dommage quand on sait que les différentes filles apparaissent à l’écran de leurs stages respectifs.
En plus des 35 stages du mode principal, il reste le mode Eternal Challenge. Dans ce dernier, vous aurez 3 types de stages. Dans ces derniers, les briques tombent au fur et à mesure depuis le haut de l’écran, et il faut les détruire avant qu’elles atteignent le bas de l’écran. En cas de perte de votre balle, la chute des tuiles s’accélère. Outre le contenu léger à débloquer, il y a également un mode online pour savoir qui aura le plus gros score au compteur sur les différents stages.