I.Scénario.
En fait, il n’y en a pas. Même pas un truc du genre «Wario a convié tous ses amis à une fête complètement loufoque », non, là, faut le deviner.
II.Graphismes.
Bin généralement, ce sont les graphismes de la GBA puisque la grosse majorité des minis-jeux en sont issus. Pour le reste, ça reste tout coloré tout beau tout rigolo. Donc c’est pas que c’est moche, mais c’est pas très beau. Oh, et pis après tout c’est fait pour, j’ai dit !!!
III. Maniabilité.
La plupart du temps appuyer sur (A) ou bouger le stick directionnel d’une certaine manière suffit amplement. Le reste du temps, c’est pareil, en fait… Les commandes réagissent assez souvent avec un temps de retard, mais là c’est à cheval sur la difficulté…
IV. Difficulté.
Bon nombre de minis-jeux sont bidons car soit il suffit de bourriner de bouton (A), soit d’appuyer dessus au bon moment, soit de faire preuve de dextérité avec le stick directionnel. Les jeux plus difficiles sont ceux où il faut faire preuve de dextérité, certes, mais avec (A) (appuyer un certain nombre de fois…). Globalement c’est dur au début, et une fois que vous aurez fait chaque mini-jeu ne serait-ce que deux fois, vous ne referez plus d’erreurs.
V. Originalité.
Le principe d’enchaîner les petits jeux est déjà connu, reconnu, surconnu (euh non ça, ça existe pas) mais là, la vraie originalité vient de la vitesse à laquelle il faut les enchaîner, et surtout leur contenu : mettre un doigt dans un nez, piloter la moto de Wario, renifler de la morve, éviter les tirs d’O.V.N.I.s… Du pur délire, comme y disent.
Les différents modes de jeu sont tous plus cool les uns que les autres (à part « 9-volts : E-cards », plutôt pas marrant et…difficile à capter).
VI. Bande-son.
Les musiques sont tout simplement excellentes et super entraînantes (je pense à celle qui accompagne le mode « folie du sport »…), et de petits morceaux délirants accompagnent certaines épreuves. Les voix sont trop fun (je pense à celle de Jimmy…).
VIII. Durée de jeu.
Si vous vous basez sur le Un-joueur, en environ une heure vous en aurez fait le tour (non pas que vous aurez tout fini mais c’est vite chiant all alone). Alors que le mode multi déchire sa race : une dizaine de modes de jeu dont certains vraiment axés sur l’éclate (« visite médicale » par exemple, où le joueur accompli en mini-jeu en respectant un gage style : « En imitant un mouton », avant d’être applaudi par les autres joueurs selon ses résultats).
