Les écrans autostéréoscopiques actuellement commercialisés sedéclinent en deux grandes familles technologiques : la première bâtie sur la barrière de parallaxe, l'autre sur le filtrage optique. A partir de deux vues gauche et droite d'une même scène, leur objectif est identique. L'observateur doit voir avec son oeil gauche uniquement les pixels de l'écran sur lesquels est affichée l'image de gauche de la scène à observer. Et inversement avec l'oeil droit. Ce résultat s'obtient en acceptant l'hypothèse d'une distance idéale entre les spectateurs et l'écran. La différence d'angle sous laquelle chaque pixel individuel est vu par les deux yeux des spectateurs est alors connue. Toute l'astuce consiste à bien contrôler, pour chaque pixel, l'angle sous lequel il est visible, et celui sous lequel il n'est pas visible. L'image affichée, fixe ou animée, apparaît alors en relief comme par magie.
La technologie à barrière deparallaxe fonctionne avec un deuxième écran LCD ajouté entre le rétroéclairage et l'écran d'affichage. Un clic permet de passer d'un mode d'affichage avec relief à un mode sans. Ce type de produit est adapté aux postes de travail, mais aussi aux appareils nomades tels les téléphones mobiles.
La technologie à prisme optique, comprenant le lenticulaire et l'holographie, consiste à poser sur la surface de l'écran une plaque supportant une grille ou une matrice de filtres optiques de la dimension d'un pixel ou d'un sous-pixel. Les écrans présentés à Laval Virtual relevaient exclusivement de ce principe fonctionnant sur les écrans de grandes dimensions, y compris les plasmas.
Avec barrière de parallaxe
Affichage à cristaux liquides.
Un deuxième écran LCD est placé entre le rétroéclairage et l'écran d'affichage, dont une colonne sur deux de pixels est opaque, et une sur deux transparente.
Perte de luminosité à l'affichage ; commutation possible entre les visions avec et sans relief.
Le 15 pouces LCD à partir de 1000 €.
Sharp, DTI (Dimension Technologies Inc.).
Avec prisme optique
Affichage LCD ou plasma.
Sur la surface de l'écran est placée une plaque de filtres optiques, fonctionnant par colonnes de pixels (réseau lenticulaire) ou par sub-pixels (prismes holographiques).
Pas de perte de luminosité ; l'écran peut être de grande taille,mais toujours en relief.
Le 19 pouces LCD à partir de 2 000 €. Le 50 pouces plasma à partir de 7 750 €.
Lenticulaire : StereoGraphics et Alioscopy, de Philips.
Holographie : Newsight, de Philips.
NEC-Mitsubishi Electronics Display étend sa gamme de moniteurs 40 pouces avec un système d’affichage 3D.
Les deux écrans NEC-Mitsubishi NEC LCD4000 et NEC MultiSync® LCD4010 et la technologie 3D de X3D Technologies représentent des images stéréoscopiques. Les deux moniteurs basés sur la technologie X3D Technologies sont en mesure de produire des images parfaites en trois dimensions et sans accessoires supplémentaires. Les objets semblent sortir de l’affichage et évoluer dans l’espace jusqu’à un mètre de l’écran.
En 1968, le physicien Gabriele Veneziano a ébauché une théorie, dite théorie " des cordes ", afin de décrire les interactions entre les constituants du noyau atomique. Plus tard, dans les années 80, cette théorie des cordes a été reprise pour être adaptée à l'unification de la théorie de la relativité générale et de la théorie quantique. L'idée centrale de cette nouvelle théorie consiste à décrire n'importe quelle particule à partir des modes de vibration d'une corde minuscule : la manière de vibrer de la corde, sa fréquence et son amplitude fixent ses caractéristiques physiques, c'est-à-dire sa masse, son moment cinétique intrinsèque (spin), etc. c'est-à-dire qu'elles déterminent la nature de la particule. Un de ces modes particuliers de vibration a révélé l'existence d'une particule responsable de la gravitation : cette particule incroyablement ténue (on ne l'a jamais détectée) s'appelle le graviton. On dit que cette particule véhicule l'interaction gravitationnelle. Par exemple, deux électrons vont se repousser parce qu'ils vont s'envoyer des photons : c'est l'interaction électromagnétique, le photon est donc le véhicule de cette interaction. De la même manière, deux particules massives vont s'attirer parce qu'elles vont s'échanger des gravitons.
Les cordes engendrent de manière générale des champs dont les valeurs évoluent au cours du temps. L'un de ces champs, appelé " dilaton ", est fondamental car il détermine l'intensité de toutes les interactions : gravitationnelles, électromagnétiques, etc. Les cordes permettent donc de décrire la manière dont la matière interagit et ce, en intégrant naturellement la physique quantique et la relativité générale.
A partir de ce modèle de cordes, des physiciens ont élaboré deux modèles d'univers et de Big Bang (le modèle pré-Big Bang et le modèle ekpyrotique) qui montrent, avec surprise, que le temps n'a pas été créé au niveau du Big Bang mais que le temps et l'univers existaient avant cette explosion. Les descriptions physiques des phénomènes ayant eu lieu dans l'univers diffèrent selon le modèle considéré. Il nous paraît également intéressant de discuter des conséquences métaphysiques nouvelles et de les comparer aux révélations du monde spirituel.
La technologie à barrière deparallaxe fonctionne avec un deuxième écran LCD ajouté entre le rétroéclairage et l'écran d'affichage. Un clic permet de passer d'un mode d'affichage avec relief à un mode sans. Ce type de produit est adapté aux postes de travail, mais aussi aux appareils nomades tels les téléphones mobiles.
La technologie à prisme optique, comprenant le lenticulaire et l'holographie, consiste à poser sur la surface de l'écran une plaque supportant une grille ou une matrice de filtres optiques de la dimension d'un pixel ou d'un sous-pixel. Les écrans présentés à Laval Virtual relevaient exclusivement de ce principe fonctionnant sur les écrans de grandes dimensions, y compris les plasmas.
Avec barrière de parallaxe
Affichage à cristaux liquides.
Un deuxième écran LCD est placé entre le rétroéclairage et l'écran d'affichage, dont une colonne sur deux de pixels est opaque, et une sur deux transparente.
Perte de luminosité à l'affichage ; commutation possible entre les visions avec et sans relief.
Le 15 pouces LCD à partir de 1000 €.
Sharp, DTI (Dimension Technologies Inc.).
Avec prisme optique
Affichage LCD ou plasma.
Sur la surface de l'écran est placée une plaque de filtres optiques, fonctionnant par colonnes de pixels (réseau lenticulaire) ou par sub-pixels (prismes holographiques).
Pas de perte de luminosité ; l'écran peut être de grande taille,mais toujours en relief.
Le 19 pouces LCD à partir de 2 000 €. Le 50 pouces plasma à partir de 7 750 €.
Lenticulaire : StereoGraphics et Alioscopy, de Philips.
Holographie : Newsight, de Philips.
NEC-Mitsubishi Electronics Display étend sa gamme de moniteurs 40 pouces avec un système d’affichage 3D.
Les deux écrans NEC-Mitsubishi NEC LCD4000 et NEC MultiSync® LCD4010 et la technologie 3D de X3D Technologies représentent des images stéréoscopiques. Les deux moniteurs basés sur la technologie X3D Technologies sont en mesure de produire des images parfaites en trois dimensions et sans accessoires supplémentaires. Les objets semblent sortir de l’affichage et évoluer dans l’espace jusqu’à un mètre de l’écran.
En 1968, le physicien Gabriele Veneziano a ébauché une théorie, dite théorie " des cordes ", afin de décrire les interactions entre les constituants du noyau atomique. Plus tard, dans les années 80, cette théorie des cordes a été reprise pour être adaptée à l'unification de la théorie de la relativité générale et de la théorie quantique. L'idée centrale de cette nouvelle théorie consiste à décrire n'importe quelle particule à partir des modes de vibration d'une corde minuscule : la manière de vibrer de la corde, sa fréquence et son amplitude fixent ses caractéristiques physiques, c'est-à-dire sa masse, son moment cinétique intrinsèque (spin), etc. c'est-à-dire qu'elles déterminent la nature de la particule. Un de ces modes particuliers de vibration a révélé l'existence d'une particule responsable de la gravitation : cette particule incroyablement ténue (on ne l'a jamais détectée) s'appelle le graviton. On dit que cette particule véhicule l'interaction gravitationnelle. Par exemple, deux électrons vont se repousser parce qu'ils vont s'envoyer des photons : c'est l'interaction électromagnétique, le photon est donc le véhicule de cette interaction. De la même manière, deux particules massives vont s'attirer parce qu'elles vont s'échanger des gravitons.
Les cordes engendrent de manière générale des champs dont les valeurs évoluent au cours du temps. L'un de ces champs, appelé " dilaton ", est fondamental car il détermine l'intensité de toutes les interactions : gravitationnelles, électromagnétiques, etc. Les cordes permettent donc de décrire la manière dont la matière interagit et ce, en intégrant naturellement la physique quantique et la relativité générale.
A partir de ce modèle de cordes, des physiciens ont élaboré deux modèles d'univers et de Big Bang (le modèle pré-Big Bang et le modèle ekpyrotique) qui montrent, avec surprise, que le temps n'a pas été créé au niveau du Big Bang mais que le temps et l'univers existaient avant cette explosion. Les descriptions physiques des phénomènes ayant eu lieu dans l'univers diffèrent selon le modèle considéré. Il nous paraît également intéressant de discuter des conséquences métaphysiques nouvelles et de les comparer aux révélations du monde spirituel.