Voici la V2 de mon blog.
Histoire I) et II). Nouvelles d'aujourd'hui. EDIT
Re.Voici les 2 premières nouvelles. Merci de me donner votre avis sur les 2 nouvelles.
[EDIT] Bug résolu
Je n'en croyais pas mes yeux. Je voyais le professeur, plus précisément le corps du professeur, qui gisait à terre. Je me sentis défaillir. J'étais comme... comme soudé au sol. Les larmes commençaient à me venir aux yeux. Je me décidais alors à examiner le corps. Une grande peur m'ait venu, dès que j'ai pu constater que sa peau était à moitié arrachée. Son visage, horrifié, voulait tout dire. Quelque chose d'anormal avait eu lieu ! Puis j'entendis dans le couloir principal du château, une sorte de bruit lourd. J'allais voir. Je revins près du professeur à peine deux secondes plus tard. Je venais de voir un gros, un énorme monstre vert. Il était muni d'une hache, et avait également dans ses bras une grande quantité de corps. Et c'est alors, effrayé par ce colosse, que je m'évanouit, et que je ne m réveillais pas...
Je me réveillais, alors que La Mort m'avait pratiquement transporté hors de ce monde. Je me trouvais sur un lit d'hôpital, et je voyais une infirmière qui, toute folle, s'en allait annoncer au médecin que je venais de reprendre conscience, que je venais de me réveiller d'un long coma. Long coma, qui m'avait tenu endormi pendant presque trente ans. Je n'avais jamais eu de problème de santé. Le coma était sûrement dû à un accident, dont je ne me rappelé de rien. Le médecin vint alors me voir, afin de me dire que je pourrais probablement remarcher, et sortir de l'hôpital, d'ici une semaine. Le temps de réveiller mon corps entier, m'a-t-il dit.
Les sept jours passèrent, et je sortais en ville. Tout avait changé. Je voyais les rues, les avenues, qui s'étaient métamorphosées. Rien de semblable à ce que je voyais quotidiennement avant, n'était visible. « Où suis-je ? », commençais-je à me demander. Ma question trouva vite sa réponse, dès que je pus voir le panneau de la ville. « Paris ». J'avais raison, toutes les rues s'étaient bel et bien métamorphosées. J'étais vraiment à Paris. Je ne reconnaissais plus cette ville, qui était le berceau de mon enfance. Je demandais alors à un passant, la route pour aller au salon de coiffure de mon meilleur ami. Celui-ci me répondit que La Mort l'avait emporté. Je partais donc sur la route du cimetière, avec une rose fraîche dans les mains. J'ai faillis m'écrouler quand je suis passé devant la tombe de mon fils. Je me mis à pleurer. Mais ma peine s'agrandit quand je tournais la tête. Trois autres tombes portées mon nom de famille. Ma femme, ma fille, et ma mère reposaient aux cotés de mon fils. Je voyais aussi un trou. Une plaque de marbre indiquait encore mon nom de famille, mais pas de prénom. Je rentrais alors à l'hôpital. Puis un vent glaciale me transperça. Je voyais, devant moi, un cercueil, marqué non seulement mon nom, mais également mon prénom. Je compris alors que jamais, je n'aurais dû me réveiller, et que cet imprévu avait modifié mon destin. J'ouvris alors le cercueil, pour me placer dedans, afin de me laisser mourir de faim ou de soif, ou même d'étouffement, enseveli sous la terre, près de mes proches. Et même en raisonnant, je me dis que rien ne me conviendrais dans ce monde changeant...
Voilà, @+ !
olimar