Nintendo Wii U

Tecmo Koei et Aonuma racontent les origines d'Hyrule Warriors

Par Shadowdeath - Le 22/05/2014 à 12:37

Au regard de l'engouement engendré par la publication de screenshoots et de quelques détails du gameplay du titre sur le célèbre magazine Famitsu, Hyrule Warriors est un titre pour qui semble susciter de plus en plus d'espérance. Projet de Tecmo Koei, en conception sous les yeux attentifs de Eiji Aonuma, responsable de la licence d'origine The Legend of Zelda, Hyrule Warriors serait le fruit d'une communauté de fans de Zelda interne à Tecmo Koei qui auraient captivés enthousiasme et le consentement d'Eiji Aonuma lors d'une démonstration de leurs prouesses.

C'est du moins ce que tendent à expliquer les principaux concernés. En effet, quelques années auparavant, Aonuma fut admiratif d'une présentation de One Piece : Pirate Warriors par Tecmo Koei.

En jouant à One Piece : Pirate Warriors , j'ai senti que Tecmo Koei avaient réussi un bon travail de mise en œuvre des systèmes. Ainsi, cette expérience ayant suscité mon intérêt, je me suis demandé ce qu'une collaboration avec eux pouvait donner. Un peu plus tard, Shigeru Miyamoto m'a indiqué que Tecmo Koei évoquaient l'idée d'un Zelda « Musou » et m'a demandé si j'étais intéressé. Je lui ai répondu « Certainement ».

De l'autre côté, les responsables de l'équipe de développement de chez Tecmo Koei avouent leur « fanboyisme » à l'égard des travaux d'Aonuma sur la série The Legend of Zelda et confirment que cette admiration est l'ultime raison d'un tel projet.

Nous avons beaucoup de fan de Zelda dans notre société, c'est donc la raison ultime pour laquelle nous nous sommes impliqués dans Hyrule Warriors. Les combats de base au sein de la licence « The Legend of Zelda » implique des duels, des affrontements « un contre un », c'est pourquoi nous avons discutés en interne en nous demandant si combattre cent ennemis en même temps, à la manière d'un « Musou » n'était pas davantage intéressant.

Des images supplémentaires ont été ajoutés à lot déjà existant, tandis qu'un site officiel japonais vient de voir le jour.