Nintendo Wii

Page 2 : De B à C, Boule/Bille/Poing/Roue, les 4 voies dans cette page de bon aloi!

Dur dur d'être présentateur VC dans ces cas.
Ce jeu est un jeu de billard... Ce qui est pas loin d'être l'un de ces genre de jeu auquel je suis le plus indifférent dans le monde vidéoludique.
Mais trêve d'apitoiement, Ô toi, lecteur internaute sympathique qui n'a pas sauté cette présentation pour passer au suivant, Ô toi personne vaguement intéressé ou nostalgique qui jouait au jeu quant il avait 6 mois, nous allons ensemble voir si, plus qu'un jeu de bilard, Break In est un BON jeu de billard ou non! (Dans la mesure de mon possible... )
Le billard? C'est quoi?
N'étant pas particulièrement spécialiste du genre, je me rends d'abord compte que le jeu possède 3 genres de jeu. Seul soucis, après moult recherches je n'arrive pas à saisir la différence prodonde qu'il y'a entre les deux premiers modes à savoir Simulation et Action. Surement que l'un est un entrainement et pas l'autre mais bon, dans les deux cas on fait une partie et on bénéficie des mêmes options... Donc bon, petit haussement de sourcil là dessus.
Cependant le jeu pas moins de 6 genres de billard! Le passionné saura sans doute ce que signifient les noms sur l'image juste en dessous. Personnellement, à part le 8 ball pool, je connais rien... >>
Un défaut de la version VC sera donc de se dégotter un moyen de trouver les règles. Sûr que dans le jeu original, elles devaient être indiqués sur le livret mais là, va falloir faire avec Wikipedia!
Il y'a des genres de jeu où chacun doit rentrer la boule du voisin. D'autres où il faut faire rentrer les boules dans l'ordre et je m'arrêterait là pour éviter de dire des sottises.
6 règles donc, ce n'est pas trop mal.
Selon les règles choisis, on peut avoir le droit à un mode challenge qui propose des matchs selon un scénario certes pas folichon... Pourquoi pas.
Une autre option permet de jouer avec un « coach », ce dernier est très utile pour les joueurs débutant puisqu'il indique, si on le consulte, quel serait le meilleur endroit où placer votre boule.
Et à tout cela, on ajoute avec cela un mode « Technique » qui permet de voir des gens manifestement plus expérimenté que vous rentrer des boules avec une facilité déconcertante avant de vous passer la canne en vous sommant d'essayer.
Sympathique, il s'agit d'une forme de tutorial assez amusante en somme.
Comme vous pouvez le voir, les modes de jeu sont relativement nombreux.
Le gameplay, avalanche de paramètre!
Bon... Il m'a fallu un certain temps avant de pleinement piger comment se jouait le jeu... >>
Bah oui, « virtualiser » tout les paramètres d'un vrai jeu de billard n'était pas tout simple non plus.
Donc en premier lieu, placez la boule blanche (celle que vous avez le droit de taper, parce qu'on a le droit de taper qu'une certaine boule au billard, sinon c'est trop simple... ) dans les endroits autorisé par les règles. (Cherchez pas à gruger, ça marchera pas) ensuite, vous allez devoir placer une espèce de « loupe grise » sur l'endroit où vous voulez envoyer la bouboule. Après cela, vous avez la possibilité de faire un « Adjute ». Cela se présente comme une espèce d'écran d'oscilloscope avec des ponts de temps à autre où vous pouvez placer une croix... Dommage que je n'ai pas la moindre idée de l'utilité de ce paramètre... Passons. Vous aurez ensuite à régler l'emplacement où vous allez taper la boule... Cela pouvant servir à créer divers effets et après, vous appuierez au bon moment pour donner plus ou moins de force à votre coup. Ouf! Rien que ça!
Le gameplay est donc suffisamment riche et surtout précis pour tenir en haleine les hypothétiques fans de ce genre vidéoludique.
Les graphismes, un rectangle et des cercles.
Les graphismes n'ont bien sûr absolument rien d'exceptionnels l'action est lisible, c'est le principal.
Lorsque l'on tape dans la boule, on a une sympathique vu « 3D » assez fidèle à ce qu'on peut lire sur la carte et qui nous permet de mieux appréhender les éventuels effets que l'on veut mettre sur la table. De toute manière, le jeu ne veut absolument pas se jouer « esbroufe graphique » ce qui n'est pas plus mal d'ailleurs...
700 Wii points? Les boules!
Faisant partie de ces jeux n'étant jamais sortis chez nous, Break In est donc un peu plus cher que ses compatriotes sur PC Engine. (1€ de plus quoi... )
Peu de joueurs seront, je pense, intéressé par le genre. Mais pour les éventuels fans, il s'agit d'un jeu qui a manifestement pas été fait à la va-vite.
Confortable et technique, Break In ne convertira personne au billard mais conforteront ce qui aime... C'est toujours ça de pris!
Dans l'immense famille des « beat-em all sur NeoGeo » je voudrais Burning Fight!
Qu'est-ce que Burning Fight? Ni plus ni moins qu'un beat-em all plus bon que mauvais. Plus à prendre qu'à laisser mais sans déplacer foule... Explication :
La flamme de la baston ne s'éteindra jamais
Supposant qu'il y'a quelques donzelles à aller secourir, je me lance dans un jeu qui consiste à démonter des ennemis venant de droite, de gauche, voir même du haut. On appelle ça un beat-em all, si si!
Le tout est dans le coup de main (ou de poing) on tapote sur A et on enchaine... Magique... Enfin ça, ça marche dans les premiers niveaux, il vous faudra ramasser quantité d'armes au sol, en balancer quantité sur les hordes d'ennemis, en esquiver pas mal avec votre jeu de jambes magnifique dans le plus beau style de Street of Rage et faire votre super attaque A+B sur ceux qui restent, charmant programme!
Donc au final, qu'est-ce que propose le jeu?
Un bouton pour les coups de poings (rapide), un autre pour les coups pied (lent mais puissant) et enfin un autre pour le saut.
En appuyant simultanément sur le bouton « coup de poing » et « coup de pied » le personnage se mettra à faire une attaque qui fait très mal mais qui lui détruit un peu de vie en contrepartie.
Le jeu a donc un gameplay simple et très efficace, le fait d'avoir deux touches d'attaque permet de varier d'un ennemis à l'autre ce qui permet de rompre avec une certaine monotonie. (Enfin, ça reste limité, mais pour le genre de jeu, c'est bien) Le mieux étant bien sûr, les différentes armes que l'on ramasse, les armes de jet se lance avec le bouton kick et s'utilise « en main » avec le bouton poing et les armes blanche s'utilise avec ce même bouton poing, le bouton kick ayant recouvré sa fonction de « donner des coups de savates ».
Le soft s'arrange toujours pour éviter les bugs de collision qui sont souvent légion dans ce genre de jeu et cela se voit!
Quand baston rime avec destruction.
L'un des aspects les plus amusant du jeu est le fait qu'il y'ait énormément de chose cassable sur le chemin du héros. Avant de se faire détruire, les objets subissent différentes déformations ma foi fort bien représenté et bien dessiné. Les décors euh, sont plutôt efficace et de bonnes qualité. (Bon, ça casse pas des briques non plus)
A propos de destruction, il est souvent possible au cours du jeu de rentrer dans certaines maisons... Tout cela pour s'essayer à un mini-jeu rigolo comme tout qui consiste à tout péter! Le joueur lâché tel un gorille dans cette arène pourra donc s'en donner à cœur joie!
Le jeu se passe dans une ambiance majoritairement urbaine dans les années 80... Autant dire que les décors sont vu, revu et rerevu. Un peu dommage tant un peu d'originalité aurait pas fait de mal au soft. De plus, certains lieux ont tendance à se répéter, ajoutant à la redondance général. Haga dit bouh!
Une Intelligence Artificielle pas Superficielle
Ajoutons à cela une Intelligence Artificielle pour le moins bien foutu. Si les obstacles qui vous barreront la route ne vous surprendront que rarement les ennemis ont suffisamment de répondant pour que vous ne vous ennuyez pas de trop. Donnant des coups de pattes sur les tonneaux, ramassant les armes par terre ou débarquant en moto, ils sont petits mais teigneux!
Les boss ne sont pas en reste avec des moments idéaux pour frapper et d'autre dans lequel il vaudrait mieux attendre un tantinet pour éviter de recevoir le très fameux « contre qui fait bobo »
Le jeu a donc une plutôt belle part de difficulté
Mes Wii Points brûlent!
Très bon beat-em all dans l'absolu, Burning Fight pêche par un manque flagrant d'originalité voire de personnalité à mon goût. Un petit brin de « folie » aurait pas fait de mal à ce titre qui essaye par tout les moyens d'être aussi bon que Street of Rage en grugeant ses idées. La qualité est là mais le tout est toujours un peu répétitif et redondant... Dommage. N'oublions pas tout de même que le beat-em all est fait pour se jouer à deux...
Un bon jeu dans l'absolu, en vente pour 900 Points Wii.
Après un Star Parodier mitigé, je ne m'attendais pas à trouver un jeu du genre de si tôt... Raté
Cho Aniki rentre dans la catégorie des shmups complètement barré de part leur ambiance.
Cependant, si parodie il y'a dans ce jeu, ce n'est pas de la parodie de jeu. L'ambiance barré de ce jeu provient d'une tendance « gay »... Non non, j'ai bien écrit, ceci est un jeu, de l'aveu même de l'auteur, pour « gay », le seul jeu de l'histoire dont la sexualité de la cible est explicite!
Une ambiance gay ou gai?
Bon, mis à part ce jeu de mot facile, nul, pourrave, ridicule, trouvezletesteurqu'onlepende (rayez la mention inutile) il doit être tout de suite précisé que rien en ce jeu ne saura faire de mal à vos grands yeux innocent. Cho Aniki reste un jeu tout public et ne porte rien selon la PEGI. (Quoique... Étant donné leurs critères... >> ) C'est juste un peu provocateur, voilà tout.
On y voit surtout de beau mâle avec des muscles seyants s'adonner à des exercices mettant en valeur leur corps... Ça reste assez dérangeant car inhabituel à voir pour n'importe quel joueur gay ou non pour donner une ambiance « folle » sans le moindre sens au soft! (Enfin, plus que gay, c'est avant tout du bodybuild que vous verrez... Mais regardez les images, ça vaut mieux que tout les textes du monde... >> )
Rajoutez à cela des boss totalement étrange et des musiques complètement mais alors COMPLETEMENT barré (mais pas mauvaise du tout!) pour obtenir l'un des jeux les plus bizarre qu'il m'est été donné de voir!
L'ambiance de ce soft est vraiment quelque chose à voir une fois dans sa vie de gamer et vraiment LE truc qui distingue le jeu de ses concurrents. (Allez plus loin que Sexy Parodius, fallait être bon... Mais alors là, on y arrive les doigts dans le c... euh, le nez!)
Le scénario? Ah oui! Mon dieu...
Euh alors il était une fois, l'empereur de la planête Musclor (Botei-biru, jeu de mot avec « Bodybuild » en japonais). Il a gagné 10 fois consécutivement the Grat Galaxy Bodybuilding Contest (ne m'obligez pas à traduire... >> ). Seulement, sa plenête à un besoin énorme de protéine et il y'en a plus. Damn! Alors, il décide d'envahir les planêtes environnantes pour obtenir ce qui lui manque. Alors, envoyé par le paradis (Ô_ô? ), Idaten et Benten deux frères (frères = Aniki en Japonais) apparaisse pour détruire la « Builders Army » et vaincre l'empereur...
Non non, c'est pas une blague...
Un gaymeplay qui prend au contre pied
Les héros donc, archi-féminisé seront vos vaisseaux, vos Superman, vos personnages pour se faire le jeu! Vous avez le choix entre deux androgyne dont les différences sont de prime abord, absolument pas repérable.
Le gameplay est assez... Inhabituel. On tire avec un bouton un tir relativement concentré et lorsqu'on lâche le bouton de tir, on envoie une sorte de « contre-tir »... Et c'est même plutôt puissant.
C'est cela qui diffère les deux personnages, l'un est un puissant laser concentré, l'autre éparpille de petites balles très puissantes.
Ce « contre-tir » dure un certain temps, proportionnel au temps de tir. (Sachant que ce n'est pas infini non plus et que des fois, allez savoir pourquoi, le contre tir ne se déclenche pas après une trop longue poussée de bouton... Bah oui quoi, faut pas pousser...)
Savoir jongler entre les deux est la clé de voute du jeu.
Comme dans beaucoup de shmup, le joueur dispose également d'une joli smart bomb (identique pour les deux personnages), petit détail il est impossible de la lancer pendant que l'on tire.
Assez agaçant pour les vieux habitués du shmup ça...
Enfin, à la manière d'un Thunderforce, vous pourrez augmentez la vitesse de votre personnage en appuyant sur espace.
Cependant, contrairement à ce dernier il est impossible de le faire durant la pause.
C'est donc sur le vif qu'il va falloir corriger votre vitesse.
C'est déjà loin d'être aisé pour le premier personnage qui 4 vitesse, c'est carrément chiant pour celui qui en a 8! En effet, comme vos montres digitales, si vous voulez réduire votre vitesse, il va falloir appuyer pour accélérer pour ensuite revenir à la vitesse à la vitesse minimum et choisir la vitesse que vous voulez... Carrément contraignant! Finalement, ne touchez pas à la vitesse, ça vaut mieux!
Quand l'ambiance prend le pas sur le coeur du jeu.
On aurait pu dire que mis à part son gameplay aux subtilités un peu particulière ainsi que son ambiance totalement à l'Ouest (c'est pas très gentil pour nos compères américain mais bon... >> ) Cho Aniki est un shmup tout ce qu'il y'a de plus banal.
Alors oui et non.
Oui, il y'a des ennemis qui vienne de la droite (parfois à gauche, faut se méfier) et il faut leur tirer dessus. Les bases sont posés.
Maintenant, les ennemis arrivent par salves et ont des différences de dureté qui permettent de vraiment prendre le parti du gameplay du « contre-tir ».
Chaque niveau peut se découper de la manière suivante : niveau;mini-boss;(niveau;mini-boss;)fois X;niveau; boss
(remplacez X par un certain nombre, ça dépend des niveaux)
Bref, énormément de mini-boss tous plus barré et sans la moindre logique dans leur design et leur apparition. Par contre, la stratégie des boss est, elle plutôt bonne. Encore une fois, la technique du « contre coup » sera a utiliser et les paterns des attaques sont originals... Tout ce qu'il faut quoi.
Le plus étonnant, souligné un peu comme un défaut ici parce qu'il faut pas pousser (deux fois, je sais... -_-' ) c'est qu'une même partie de niveau peut se répéter deux, trois, quatre fois pendant le niveau (Tout les parties de niveaux étant, je le rappelle, séparé par un mini-boss) ... Un peu comme une boucle.
D'un point de vue ambiance, c'est réussi, on a rarement vu ça et c'est n'importe quoi.
Maintenant, d'un point de vue ludique, dégommer pour la troisième fois la même chose, c'est un peu frustrant...
Rien de grave dans l'absolue, toutes les autres qualités rattrapent cela mais si l'ambiance n'avait pas été là, j'aurais été plus sévère sur cet aspect!
C'est pas si chaud Aniki! (Mouarf ouarf ouarf!)
Bien qu'ayant sa petite difficulté, Cho Aniki se trouve être ralativement aisé.
Oh! Vous allez sans doute en baver à quelque passage, mais cela reste somme tout assez tranquille pour un mode normal. (Je parle même pas du mode easy!)
Le monde hard vous permettra de ronger votre manette un peu plus.
Finalement, le seul « défaut » que l'on pourrait retenir, c'est qu'il n'y a pas de mode deux joueurs... Enfin bon, faut dire que le jeu ne s'y prête pas vraiment.
Montre moi tes Wii Points mon chou...
Il est là, encore plus barré que je le pensais et c'est vraiment quelque chose à tenter! 9€ à la tentation, ça reste un minimum exagéré pour un vieux jeux (toujours le même soucis) mais honnêtement, son ambiance est vraiment terrible! Il paraît même que c'est le moins délirant de la série. Je demande à voir le 2, sur la même console! (Déjà sortie sur la VC Japonaise pourtant)
Les jeux de bagnoles d'avant la 2D, c'était quand même quelque chose! Entre les vus de derrière que tout le monde trouve injouable de nos jours les vus du dessus ultra arcade on peut se demander jusqu'où on va aller! Bah, la vue de coté!
Vroom Vroom!
Le principe est assez particulier, la route est composé d'étage (et ouais) qui sont eux même composés de case. Le but étant d'être passer sur toutes ces cases, pour cela vous pouvez notamment sauter et balancer des bidons d'essence sur les policiers et autre usagers de la route! (Quel délinquant vous faites! )
Les commandes sont assez amusantes à prendre en main, on retiendra surtout que l'on peut se retourner en sautant, la trajectoire est assez marrante. Il y'a deux sortes de saut à ce propos, le petit saut (on appuis sur saut) et le saut haut qui permet de passer à un étage au dessus (pour cela, appuyé sur haut pour soulever la voiture. Lorsque la voiture est soulevé, appuyer sur saut)
Cependant la touche saut ne répond pas toujours a l'appel, ça reste assez dommageable. Enfin, les directions elles marchent parfaitement bien. (Directions assistés j'imagine... )
Malgré ce défaut, City Connexion n'en reste pas moins assez accrocheur.
Tiiiiiit!
Admirons un instant les graphismes. Le jeu propose de se balader sous divers environnements représentant les plus célèbres villes du monde. (Voir autre chose mais je ne vous gache pas la surprise)
Niveau graphique donc, c'est tout de même assez moyen, le tout est bien animé mais on pourrait regretter que le scrolling soit aussi saccadé, on a l'impression que la voiture avance « case par case », ça manque un peu de fluidité. Dommage parce que la voiture en elle même est parfaitement fluide.
Un autre truc dommageable est le clignotement des sprites, à croire que chaque pavé de la route est un sprite et que tout affiché demande un gros effort à la NES. Résultat, on a toujours cette désagréable impression d'avoir des voitures en face « transparentes »
Boum!
Les pièges qui seront là pour vous arrêter sont nombreux, bien sûr, les voitures de polices sont là mais sont facilement arrêtable a grand coup de bidon d'essence. (que vous ramassez par terre)
Les plus casse-pied sont certainement les racines qui pousse soudainement du sol lorsque l'on reste trop longtemps à l'étage le plus en dessous. Quasiment impossible à éviter à moins d'avoir des réflexes de Cavistes avertis, il vaut mieux ne pas trainer trop longtemps au sol si on veut survivre longtemps dans le jeu.
Dernier obstacle rencontré. Les chats... Tellement agaçant à apparaître au dernier moment que j'en ai ressentit un sentiment meurtrier que je pensais atteint depuis le chien de Duck Hunt sur NES (Vous n'avez jamais eu envie de tirer sur ce foutu chien qui se fiche de vous quand vous ratez les canards?) Mais non, il ne faut pas les percuter, sinon, c'est une vie en moins. (Dommage parce que c'est drôle... >> )
Squwwwwwiiiiiii... *Point*
City Connexion, c'est sympa à jouer. Un bon petit jeu, sans doute que les gens qui y ont passés leur enfance y pense encore avec des larmes de nostalgie. Les autres n'y verront qu'un jeu sympathique parmi tant d'autre. Pourquoi pas mais pour 500 Wii Points, je préfère prendre autre chose personnellement.