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Les Koopalings : l'origine de leurs noms révélée

Par rifraff - Le 30/12/2015 à 20:03

Au lendemain de la mort, suite à un cancer de Lemmy Kilmister fondateur du groupe Motörhead, que le site Kotaku s'est décidé à vérifier une vieille rumeur selon laquelle tous les Koopalings des jeux Mario tenaient leur nom d'une personnalité et notamment, Lemmy... Le site a donc retrouvé Davvy Brooks, celui qui en est à l'origine et son histoire n'est pas banale. 

Au milieu des années 80, Davvy Brooks est un simple fanboy dont la vie va changer après avoir répondu à une petite annonce promettant de "jouer aux jeux vidéo" tout en se faisant de l'argent... Le job est sympa puisqu'il s'agit d'aider et de répondre par téléphone aux questions des joueurs bloqués dans les jeux Nintendo.  Excellant dans le domaine, il gravit ensuite les échelons, en s'occupant d'abord de la gestion des conseillers téléphone Nintendo puis en profitant d'une ouverture dans le département R&D... L'un de ses premiers jobs consiste alors à reprendre différents textes japonais mal traduits pour faire en sorte qu'ils sonnent bien- sachant qu'à l'époque il n'y avait pas encore de département "localisation". C'est ainsi que Davvy Brooks en arrive à travailler sur Super Mario Bros. 3 et les Koopalings. Aimant la musique (ayant été DJ et étant collectionneur de disques), Davvy Brooks confirme que Ludwig Von Koopa tient son nom, mais on s'en doutait quand même un peu, de Ludwig van Beethoven, Roy Koopa est un hommage à Roy Orbison (l'interprète de Pretty Woman) à cause de ses lunettes noires,  Wendy O. renvoie à la chanteuse américaine Wendy O. Williams, Iggy Koopa à (évidemment) Iggy Pop et Morton Koopa Jr est quant à lui une référence à un animateur de Talk-show "grande gueule. Quant à Larry... C'est juste un... Larry. Pour finir, Davvy Brooks confirme que Lemmy est bien un nom donné en hommage à Lemmy Kilmister fondateur du groupe Motörhead. Pour terminer cette histoire en beauté , Nintendo sera tellement content de ces noms qu'ils seront validés officiellement. Pour lire l'intégralité de l'article de Kotaku, c'est par ici que ça se passe.