Nintendo Wii
[Japan Expo] Arc Rise Fantasia
Par fisico -
Le 05/07/2009 à 00:50
Développé par Imageepoch (Luminous Arc, World Destruction...) et édité par Marvelous au Japon, Arc Rise Fantasia avait su se faire remarquer dans l'avalanche de titres Wii à venir grace à son appartenance à un genre encore trop rare sur la dame blanche: le RPG.
Doté d'un moteur graphique en apparence correcte et de décors résolumment flashy en accord avec le character design de Ken'ichi Yoshida (Eureka 7) le titre semblait prometteur sur le papier. Puis vint le moment de prendre le jeu en main; un héros avec une grosse épée (L'Arc), une héroïne potiche un peu paumée aux pouvoirs étranges (Ryfia) et bien d'autres choses encore que l'on aurait préféré ne jamais savoir.
Déjà surnommé Tales of Arc Rise Fantasia par les japonais ayant acquis la bête, le jeu pompe en effet allègrement sur cette série en terme d'ambiance de donjons et de level-design. Si en soit ce n'est pas un mal (voire même un point positif?), le titre souffre de la présence de textures grossière et d'un aliasing outrancier à la limite de l'obscène.
De plus la synchronisation labiale est au ras des paquerettes et le système de combat, sorte de mélange entre Chrono Trigger et Skies of Arcadia, ne convainc pas du tout la faute à une répétitivité exagérée et le manque flagrant de dynamisme lors des joutes.
Notre essai du titre ne se limitait pas à la vidéo ci-dessus (désolé pour les commentaires, j'ignorais que la prise de son serait aussi efficace, à mon grand dam) et a duré près d'une heure durant laquelle nous avons arpentés un donjon banal, vu des cut-scenes à l'animation minimaliste et enchainés des combats sans grandes saveurs.
Si l'on accepte de lui accorder encore le bénéfice du doute, le temps que le jeu sorte dans une version plus accessible, et que sa piètre qualité graphique pouvait être lié au fait qu'il tournait sur une TV HD, Arc Rise Fantasia se présente clairement comme LA plus grosse déception du line-up de jeux présents sur le stand Nintendo en attendant un essai plus "approfondi" l'hiver prochain.
Doté d'un moteur graphique en apparence correcte et de décors résolumment flashy en accord avec le character design de Ken'ichi Yoshida (Eureka 7) le titre semblait prometteur sur le papier. Puis vint le moment de prendre le jeu en main; un héros avec une grosse épée (L'Arc), une héroïne potiche un peu paumée aux pouvoirs étranges (Ryfia) et bien d'autres choses encore que l'on aurait préféré ne jamais savoir.
Déjà surnommé Tales of Arc Rise Fantasia par les japonais ayant acquis la bête, le jeu pompe en effet allègrement sur cette série en terme d'ambiance de donjons et de level-design. Si en soit ce n'est pas un mal (voire même un point positif?), le titre souffre de la présence de textures grossière et d'un aliasing outrancier à la limite de l'obscène.
De plus la synchronisation labiale est au ras des paquerettes et le système de combat, sorte de mélange entre Chrono Trigger et Skies of Arcadia, ne convainc pas du tout la faute à une répétitivité exagérée et le manque flagrant de dynamisme lors des joutes.
Notre essai du titre ne se limitait pas à la vidéo ci-dessus (désolé pour les commentaires, j'ignorais que la prise de son serait aussi efficace, à mon grand dam) et a duré près d'une heure durant laquelle nous avons arpentés un donjon banal, vu des cut-scenes à l'animation minimaliste et enchainés des combats sans grandes saveurs.
Si l'on accepte de lui accorder encore le bénéfice du doute, le temps que le jeu sorte dans une version plus accessible, et que sa piètre qualité graphique pouvait être lié au fait qu'il tournait sur une TV HD, Arc Rise Fantasia se présente clairement comme LA plus grosse déception du line-up de jeux présents sur le stand Nintendo en attendant un essai plus "approfondi" l'hiver prochain.
