Les fautes d'orthographe et de grammaire sont là mais le cœur y est et c'est l'essentiel.

Rangez vos égos surdimensionnés, ce top rejete toute bienpensance et n'a pas vocation à héberger des commentaires de Bisounours en manque de reconnaissance (faites vous plaisir). Il n'a pas vocation également à faire étalage de mon talent de rédacteur et de mon envie de briller dans ce domaine.

Après plus de 35 ans à martiriser de la manette, à faire tilter des dizaines de flippers et à donner du travail au réparateurs de bornes d'arcade.

Et après avoir retourner des dizaines de jeu solos, des milliers d'heures passées seul ou entre amis sur du multi et d'avoir transmis la passion du JV à mes enfants.

Et enfin, après avoir tâté, du commodore, de l’amstrad, Atari, nes, Megadrive, SNES, Saturne, pc engine, néo géo, game boy, vita et toutes les console sortie à ce jour (hormis ps4 pro et Xbox one x). Et comme mémoire vivante de la guéguerre Nintendo/Sega gagné de haute lutte par le clan pro Big N dont je faisais partie.

Il est temps pour moi de tirer un premier bilan de toute ces années.

Nous étions jeunes et pleins de vie et dans le quartier populaire ou j'ai grandis l'arrivée des premieres consoles fut une révolution. Entre partie de foot et autres virées à vélo ou en rollers ce nouveau média allait bouleverser nos habitudes.

C'est ainsi que les terrains de jeux allaient faire place à nos petites chambres qui ce transformaient peut à peut en salle de jeux.

Dès lors ce formaient deux camps bien distincts, les pros N et les pros Sega. Cette rivalité reflétait ce qui existait déjà entre les fans de l'OM et du PSG. Je me souviens encore des bagarres à la recrée qui éclataient entre les pros Sonic et pros Mario. Et déjà, comme une évidence, les pros N écrasaient les Sega boys.

Malgré tous, je faisais parti d'un petit groupe de dissidents qui fricotait avec l'ennemi pour masser du sumo dans "black belt".

Bref, il était bon de rétablir un vérité que beaucoup non pas connue ou nie jusque là, mais passons au véritable sujet de ce blog.

Et je commencerai par Sonic, que dire de cette licence et bien pas grand chose. Il ne m'aura pas fallu longtemps après avoir tâter le premier opus pour le cataloguer dans les jeux à oublier. C'est mou, rapide et au final brouillon. D'un côté nous avions un Mario parfaitement équilibré et la c'était du grand n'importe quoi. Accélérer, freiner, revenir en arrière, re-accelerer pour mieux refréner, bref, une prise de tête de tous les instants. Je me souviens encore des pros Sega qui nous disaient "oui mais regarde tu peux faire un looping, c'est trop bien !!! " et bien non c'est naze, un jeu basé sur la seule impression de vitesse ne peut pas être un bon jeu et face à la concurrence d'un Mario c'était encore plus flagrant.

Alex kid, Wonder boy, alors je tiens tout d'abord à signaler que le jeux d'arcade qui m'a le plus marqué est Wonder boy 1 (avec le skate board) malheureusement son portage sur master système fut une déception. Pour le reste c'est la chienlit totale Alex kid, ce plagia de Mario fut une des plus grandes escroquerie de l'histoire des jeux vidéo, imaginez Mario sans la maestria de Shigeru Miyamoto, du vide, du non sens total. La saga Wonder boy s'annonçait comme un must have au vu de son premier opus qui lui conférait une véritable identité. Et bien non, fini le fun du skate board et ses courses dynamique. Du plat, aucune profondeur de jeu, linéaire au sens le plus fidèle du terme. Encore une fois la chienlit, chienlit qui annonçaient des heures sombres pour Sega.

Vous remarquerez que j'insiste sur une certaine catégorie de jeux, car ce sont bien les têtes de gondole que Sega mettait en avant pour rivaliser avec son concurrent direct. Toutefois on pouvait jouer à d'excellents jeux, par exemple, golden Axe, altered beast et l'excellent black belt cité ci-avant.

Néanmoins, cela faisait très peu pour rivaliser avec, kid icarus, Zelda, Mario, castelvania, punch out, Metroid, duck unt, exitbike, ghost's n goblins, fzero etc etc....

Cela n'allait pas s'arrêter là, les générations 32 et 64 bits allaient confirmer la règle et Sega mourrait petit à petit dans le cœur du grand public et ce malgré une excellente Dreamcast. Malheureusement cette dernière était bien trop chère et très pauvre en jeux. Le marché des consoles portable à montré de manière encore plus spectaculaire le fossé qui séparait Nintendo de Sega.

Je pense qu'on peut ce réjouir de ces faits historiques quand on voit le succès du JV et la qualité des jeux proposés aujourd'hui.

Et puis est venu le temps où Sony ce lança dans le grand cirque du JV. On peut dire qu'ils ont pris le meilleur de chacun pour ce placer sur un segment très commercial. Des jeux solos graphiquement aboutis avec un game design et un gameplay souvent limités mais offrant une alchimie frisant la perfection. Du sport en veux tu en voilà et de qualité qui plus est. Bref ce fût une telle bouffée d'air frais, qui balayât les derniers espoirs d'un Sega à l'agonie.

De cette époque je retiens également la venue désastreuse du TRPG et autres RPG au tour par tour. J'ai vu de mes yeux des amis sombrer dans cette mode venu du monde du jeux de rôles par des joueurs enfermés dans leurs délires gothiques et fantasy. Quel ne fut pas ma surprise en découvrant mon meilleur ami ce couper du monde qui l'entourai pour s'adonner à balader une bande de personnages pixelisés au possible et affronter des monstres en mode spectateurs et non plus à coup de pouces endiablés. Et que c'était lonnnnnnng et ennuyeux à regarder. Fini nos mercredi après midi batailler pour faire le meilleur tour sur fzero, nos bagarres sur Mario kart. Il était comme hypnotisé par ces jeux sans âmes et sans saveurs. Ce fut le début des joueurs en couche culotte qui finissait enfermés par la suite sur des mmo.

Heureusement pour la majorité des gens, ce style reste un genre de niche et c'est très bien comme ça.

Néanmoins il faut rester vigilant car le simple fait de débloquer un pokémon, de jeunes joueurs s'adonnent à cette pratique qui veut que la réussite ne s'acquiert plus à coup de skill ni de hautes luttes, mais par une réflexion limitée et par le bon vouloir du jeu en lui même.

Alors ils essaient de nous leurrer avec du Monster hunter ou du xenoblade. Des monstres imposants qu'il faut combattre pour certains plus de 30 minutes, mais d'un côté de petites créatures toutes mignonnes à qui une cinquantaine de coup d'épée survitaminée sont nécessaires pour en venir à bout. Des quêtes annexes en veux tu en voilà et des aller et retour incessant pour garder les joueurs éveillés.

Alors je vous met en garde, une frange de l'industrie essaie de généraliser et d'imposer cette façon de jouer dans le but de nous alimenter en jeux facile à reproduire aux coûts maîtrisés et ne demandant plus de créativité en terme de level design et de gameplay.

Enfin je remercie Sony et Nintendo pour leurs vision du JV en mettant toujours plus l'accent sur des jeux solos enivrant qui nous font voyager et vivre de belles aventures pleines de rebondissements et d'actions. Pour leurs jeux multijoueurs qui nous rapprochent et stimulent nos réflexes. Ainsi que tous les tiers qui nous innondent de triples A pour des expériences uniques et intances. Mais aussi les indés qui nous permettent de picorer des petits jeux bourrés d'ingéniosité pour de courtes sessions mais riches en émotions.

Tous ça pour dire que j'étais dans le vrai dès le début. Alors oui tous le monde ne sera pas d'accord avec moi (oh non) et pourrons toujours me sortir des exceptions qui ne ferons qu'inoxerablement confirmer la régle.

Plumber.

Plumber et les jeux vidéo.

Rangez vos égos surdimensionnés, ce top rejete toute bienpensance et n'a pas vocation à héberger des commentaires de Bisounours en manque de reconnaissance. Il n'a pas vocation également à faire étalage de mon talent de rédacteur et de mon envie de briller dans ce domaine.

Après plus de 35 ans à martiriser de la manette, à faire tilter des dizaines de flippers et à donner du travail au réparateurs de bornes d'arcade.

Et après avoir retourner des dizaines de jeu solos, des milliers d'heures passées seul ou entre amis sur du multi et d'avoir transmis la passion du JV à mes enfants.

Et enfin, après avoir tâté, du commodore, de l’amstrad, Atari, nes, Megadrive, SNES, Saturne, pc engine, néo géo, game boy, vita et toutes les console sortie à ce jour (hormis ps4 pro et Xbox one x). Et comme mémoire vivante de la guéguerre Nintendo/Sega gagné de haute lutte par le clan pro Big N dont je faisais partie.

Il est temps pour moi de tirer un premier bilan de toute ces années vidéo-ludique.

Nous étions jeunes et pleins de vie et dans le quartier populaire ou j'ai grandis l'arrivée des premieres consoles fut une révolution. Entre partie de foot et autres virées à vélo ou en rollers ce nouveau média allait bouleverser nos habitudes.

C'est ainsi que les terrains de jeux allaient faire place à nos petites chambres qui ce transformaient peut à peut en salle de jeux.

Dès lors ce formaient deux camps bien distincts, les pros N et les pros Sega. Cette rivalité reflétait ce qui existait déjà entre les fans de l'OM et du PSG. Je me souviens encore des bagarres à la recrée qui éclataient entre les pros Sonic et pros Mario. Et déjà, comme une évidence, les pros N écrasaient les Sega boys.

Malgré tous, je faisais parti d'un petit groupe de dissidents qui fricotait avec l'ennemi pour masser du sumo dans "black belt".

Bref, il était bon de rétablir un vérité que beaucoup non pas connue ou nie jusque là, mais passons au véritable sujet de ce blog.

Et je commencerai par Sonic, que dire de cette licence et bien pas grand chose. Il ne m'aura pas fallu longtemps après avoir tâter le premier opus pour le cataloguer dans les jeux à oublier. C'est mou, rapide et au final brouillon. D'un côté nous avions un Mario parfaitement équilibré et la c'était du grand n'importe quoi. Accélérer, freiner, revenir en arrière, re-accelerer pour mieux refréner, bref, une prise de tête de tous les instants. Je me souviens encore des pros Sega qui nous disaient "oui mais regarde tu peux faire un looping, c'est trop bien !!! " et bien non c'est naze, un jeu basé sur la seule impression de vitesse ne peut pas être un bon jeu et face à la concurrence d'un Mario c'était encore plus flagrant.

Alex kid, Wonder boy, alors je tiens tout d'abord à signaler que le jeux d'arcade qui m'a le plus marqué est Wonder boy 1 (avec le skate board) malheureusement son portage sur master système fut une déception. Pour le reste c'est la chienlit totale Alex kid, ce plagia de Mario fut une des plus grandes escroquerie de l'histoire des jeux vidéo, imaginez Mario sans la maestria de Shigeru Miyamoto, du vide, du non sens total. La saga Wonder boy s'annonçait comme un must have au vu de son premier opus qui lui conférait une véritable identité. Et bien non, fini le fun du skate board et ses courses dynamique. Du plat, aucune profondeur de jeu, linéaire au sens le plus fidèle du terme. Encore une fois la chienlit, chienlit qui annonçaient des heures sombres pour Sega.

Vous remarquerez que j'insiste sur une certaine catégorie de jeux, car ce sont bien les têtes de gondole que Sega mettait en avant pour rivaliser avec son concurrent direct. Toutefois on pouvait jouer à d'excellents jeux, par exemple, golden Axe, altered beast et l'excellent black belt cité ci-avant.

Néanmoins, cela faisait très peu pour rivaliser avec, kid icarus, Zelda, Mario, castelvania, punch out, Metroid, duck unt, exitbike, ghost's n goblins, fzero etc etc....

Cela n'allait pas s'arrêter là, les générations 32 et 64 bits allaient confirmer la règle et Sega mourrait petit à petit dans le cœur du grand public et ce malgré une excellente Dreamcast. Malheureusement cette dernière était bien trop chère et très pauvre en jeux. Le marché des consoles portable à montré de manière encore plus spectaculaire le fossé qui séparait Nintendo de Sega.

Je pense qu'on peut ce réjouir de ces faits historiques quand on voit le succès du JV et la qualité des jeux proposés aujourd'hui.

Et puis est venu le temps où Sony ce lança dans le grand cirque du JV. On peut dire qu'ils ont pris le meilleur de chacun pour ce placer sur un segment très commercial. Des jeux solos graphiquement aboutis avec un game design et un gameplay souvent limités mais offrant une alchimie frisant la perfection. Du sport en veux tu en voilà et de qualité qui plus est. Bref ce fût une telle bouffée d'air frais, qui balayât les derniers espoirs d'un Sega à l'agonie.

De cette époque je retiens également la venue désastreuse du TRPG et autres RPG au tour par tour. J'ai vu de mes yeux des amis sombrer dans cette mode venu du monde du jeux de rôles par des joueurs enfermés dans leurs délires gothiques et fantasy. Quel ne fut pas ma surprise en découvrant mon meilleur ami ce couper du monde qui l'entourai pour s'adonner à balader une bande de personnages pixelisés au possible et affronter des monstres en mode spectateurs et non plus à coup de pouces endiablés. Et que c'était lonnnnnnng et ennuyeux à regarder. Fini nos mercredi après midi batailler pour faire le meilleur tour sur fzero, nos bagarres sur Mario kart. Il était comme hypnotisé par ces jeux sans âmes et sans saveurs. Ce fut le début des joueurs en couche culotte qui finissait enfermés par la suite sur des mmo.

Heureusement pour la majorité des gens, ce style reste un genre de niche et c'est très bien comme ça.

Néanmoins il faut rester vigilant car le simple fait de débloquer un pokémon, de jeunes joueurs s'adonnent à cette pratique qui veut que la réussite ne s'acquiert plus à coup de skill ni de hautes luttes, mais par une réflexion limitée et par le bon vouloir du jeu en lui même.

Alors ils essaient de nous leurrer avec du Monster hunter ou du xenoblade. Des monstres imposants qu'il faut combattre pour certains plus de 30 minutes, mais d'un côté de petites créatures toutes mignonnes à qui une cinquantaine de coup d'épée survitaminée sont nécessaires pour en venir à bout. Des quêtes annexes en veux tu en voilà et des aller et retour incessant pour garder les joueurs éveillés.

Alors je vous met en garde, une frange de l'industrie essaie de généraliser et d'imposer cette façon de jouer dans le but de nous alimenter en jeux facile à reproduire aux coûts maîtrisés et ne demandant plus de créativité en terme de level design et de gameplay.

Enfin je remercie Sony et Nintendo pour leurs vision du JV en mettant toujours plus l'accent sur des jeux solos enivrant qui nous font voyager et vivre de belles aventures pleines de rebondissements et d'actions. Pour leurs jeux multijoueurs qui nous rapprochent et stimulent nos réflexes. Ainsi que tous les tiers qui nous innondent de triples A pour des expériences uniques et intances. Mais aussi les indés qui nous permettent de picorer des petits jeux bourrés d'ingéniosité pour de courtes sessions mais riches en émotions.

Tous ça pour dire que j'étais dans le vrai dès le début. Alors oui tous le monde ne sera pas d'accord avec moi (oh non) et pourrons toujours me sortir des exceptions qui ne ferons qu'inoxerablement confirmer la régle.

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