#11th edition RPG Battle theme

Dans la neuvième édition j'évoquais un hiatus d'un peu plus d'un an, une paille comparativement au temps qui sépare la 10è de cette présente 11è édition, pas loin de deux ans et demi, deux ans et demi passés à faire pas mal de trucs mais sans doute pas assez de rpg à mon sens.
Cela n'enlève toutefois rien à mon goût prononcé pour les OST du genre, que j'écoute en plus grand nombre que je ne joue aux jeux à proprement parler, c'est triste d'une certaine manière mais cela reste une façon enrichissante de découvrir l'univers musical d'un titre faute de pouvoir y jouer, par manque de temps mais aussi par manque d'envie.

Manque de temps et manque d'envie, voici ce qui caractérise respectivement mes sentiments vis à vis des jeux dont sont issues les deux thèmes à venir.

 

Toki to Towa - Towa Battle theme

 

http://www.youtube.com/watch?v=rJFgwU8b3_A

Date de sortie Japon : 11 Octobre 2012

Date de sortie Amérique : Confirmée mais...

Développeur : Imageepoch

Éditeur : Bandai-Namco

Compositeur : Yuzo Koshiro

Imageepoch n'est clairement pas un développeur que je porte dans mon coeur, ils font beaucoup beaucoup de jeux alternant entre le médiocre, l'opportuniste voire même le racoleur, tout ça en arborant une arrogance déplacée alors qu'ils n'ont rien prouvé si ce n'est qu'ils sont incapables de pondre tout simplement de bons jeux.
Cette tirade contre le développeur que j'honnis le plus dans le secteur (avec Level 5 pas loin derrière) étant fini, parlons donc de hum Toki to Towa, un jeu où l'on incarne une princesse schyzophrène qui n'a jamais embrassé de garçon et qui a vu son futur mari se faire stab par un mec venu de nulle part le jour de la cérémonie, hé pas de chance !
Derrière ce setting qui vend du rêve se trouve le premier projet PS3 d'Imageepoch financé et édité par Bandai-Namco pour l'occasion, et se vendant comme le premier "HD Animaton RPG" (prononcer "hache di animéchieun ar pi gi"), un créneau il est vrai déserté par les développeurs habituels 2D sur console next-gen (Gust, Tales Studio, Vanillaware, Flight Plan, Idea Factory...). Il y avait donc une place à prendre, l'intitulé laissait entrevoir un certain potentiel et puis finalement on a eu ça.
De la j-pop à se jeter par la fenêtre, des personnages tous plus stupide d'apparence les uns que les autres (pourtant c'était Vofan, des -monogatari, au chara-design), une niaiserie à vouloir se crever les yeux comme Oedipe, et plus que tout une animation 2D déplorable à un rythme de 3 frames per second quand le jeu tourne à fond.
Bien entendu le jeu a fait un four, mérité, en se vendant à moins de 30 000 exemplaires, et il a même eu le privilège d'être élu kusoge of the year (littéralement "jeu pourri de l'année") par de nombreux grands bloggeurs japonais. À côté de ça Bandai-Namco avait confirmé peu de temps avant sa sortie japonaise que le titre était prévu pour les US, mais si ils ont annulé cette localisation depuis et laissent maintenant tomber le titre dans l'oubli, pour une fois on leur en voudra pas, et cela évitera des situations embarassantes comme celle de Last Rebellion (tiens Kusoge de 2010, un corps deux esprits, ça me rappele un autre jeu).
Brefouille, je ne sais pas trop comment mais Yuzo Koshiro a trouvé le moyen de venir s'engluer dans cet étron de bas étage, c'est d'autant plus curieux que, la licence Etrian Odyssey mis à part, il se fait rare depuis quelques années, difficile d'expliquer comment et pourquoi mais toujours est-il que l'on est mis devant le fait accompli, il a composé pour un jeu de merde et même si il aurait pu se laisser prendre par la facilité et accorder son niveau à l'ensemble du titre, force est de constater que son travail reste... décent. Bon il est en petite forme et il a du voir le loup sans doute, mais même peu inspiré ça reste écoutable, sympa, et le seul truc qu'il y a sauvé de cet énième naufrage Imageepoch.
Puis je suis faible dès qu'il y a un violon/alto/violoncelle mais ça c'est moi.

 

Tales of Xillia 2 - If It's For You ~Song 4 U~ (Final Boss theme)


Date de sortie Japon :1er Novembre 2012

Date de sortie Occident : TBC

Développeur : Namco Tales Studio

Éditeur : Bandai-Namco

Compositeur : Motooi Sakuraba

J'étais moi-même au Tales of Festival le jour de l'annonce, et même si on le pressentait on ne voulait pas vraiment y croire, après tout jamais il n'y avait eu de suite opportuniste en si peu de temps dans la série jusque là (Destiny 2 étant un vrai épisode complet et extrêmement dense, et Symphonia DotNW même pas une suite canon et considéré comme un spin-off), mais ils l'ont fait, donner une suite au mothership le plus baclé de l'histoire de la série, autant dire que ça n'envoie pas du rêve et que le soir j'ai un peu chié de travers.
C'est donc avec une certaine tristesse que Tales of Xillia 2 constitua le premier épisode principal depuis 5 ans que je ne me procure pas à sa sortie japonaise, Tales of Xillia ayant été une déception telle que je n'ai même pas fini le jeu, alors pourquoi me plonger dans une séquelle d'un titre baclé et qui sort en plus seulement un an après le dit titre baclé (!) ?
Seulement l'avenir m'a donné tort, par je ne sais quel tour de magie Tales of Xillia 2 est un très bon jeu, il a su capitaliser sur les quelques points fort de son prédecesseur (notamment le dual range en combat) et se doter d'un réel contenu et d'une densite qui avait tellement manquée aux aventures de Jude et Milla. Alors quand en plus le battle system est de nouveau fun, que l'hi-ougi exhibition pète le feu et marque le retour des dual hi-ougi (www.youtube.com/watch?v=blivZFAI--k grmbl), que le scénario est le meilleur et le plus sombre de la série (premier titre de la série a être estampillé Cero C, soit 16+) qu'il y a de VRAIES multiples fins assurant une replay value du tonnerre de dieu, autant dire que tout ça me fait me sentir con d'avoir pour une fois loupé le grand retour de la série sur le terrain de l'excellence.
Bon l'OST reste quelconque, Sakuraba oblige, mais ce theme du boss final me rend faible parce c'est un remix de l'opening (http://www.youtube.com/watch?v=MB4bvAK__Ks rmnhhh), et ça c'est mon talon d'achille, les remix d'opening en guise de boss de fin c'est toujours cool, c'est scientifiquement prouvé et je ne comprends pas pourquoi plus de jeux n'exploitent pas ce filon.

 

#10th edition RPG Battle theme

Rentrée universitaire faisant le temps libre se fait rare et donc, fort logiquement, les occasions d'écrire aussi. En attendant mon improbable come-back rédactionnel sur le site (si si, c'est dans les cartons, après savoir si ça concrétisera ou non c'est une autre histoire) voici toujours deux nouvelles pistes issus de RPG DS n'ayant pas eu la chance de quitter le Japon.
Les deux jeux sont pourtant de qualité et ont été pris en charge par des éditeurs de renom. Si pour Sigma Harmonics le côté trop typé "textuel" peut justifier une absence de localisation outre Pacifique (l'Europe ne rêvons pas trop), pour Soma Bringer on cherche toujours les raisons, en attendant les joueurs pourront toujours profiter du patch traduisant le jeu en anglais à 99,57% (ne me demandez pas ce que sont les 0,43% restant, je ne sais pas).

Soma Bringer - Aletheia


Date de sortie Japon : 28 Fevrier 2008
Développeur : Monolith Software
Éditeur : Nintendo

Soma Bringer apparaît à mes yeux comme un mix improbable entre les Seiken Desentsu, Final Fantasy XII et Diablo. Pour le premier la raison est simple et se retrouve dans le gameplay, un action RPG "2D" vue de haut et autorisant un multiplayer en local jusqu'à 3 (il était même prévu que ce soit en online, mais pour des raisons techniques le projet a été abandonné, merci la CWF). Pour Final Fantasy XII il s'agit purement d'une question de feeling, les musiques et les grandes map extérieures à zigouiller du mob ainsi que le A-RPG pas totalement en temps réel (on ne peut pas enchaîner les attaques à sa guise) sont autant de point qui m'ont rappelé Ivalice. Pour Diablo le parallèle vient quand à lui de Neogaf où la communauté voit en lui son successeur spirituel, craft drop farming vue isométrique (?) et "je tape/ je cogne/ je tape / je cogne / je heal / je tape / je cogne / ..." rappeleront indéniablement les Andarielle Duriel Baal Mephisot et cie.
L'équipe de développement de Soma Bringer est également (majoritairement) celle que l'on retrouve derrière un certain... Xenoblade, il ne reste plus à souhaiter à ce dernier qu'il ne connaisse pas le même funeste destin mondial que son aîné.
Coté soundtrack c'est Procyon, le studio de Yasunori Mitsuda, qui s'est occupé de l'OST : le résultats s'avère fort satisfaisant et guilleret et comporte quelques éclairs de Génie comme cet Aletheia qui constitue le final boss battle theme "we're fighting 'till the end" comme on dit dans le jargon.



Sigma Harmonics - Dance of the Dog's Howl


Date de sortie Japon : 21 Août 2008
Développeur : Think Garage
Éditeur : Square-Enix

Poursuivant les jeux expérimentals sur la DS après l'excellent Subarashiki Kono Sekai chapeauté par le studio Jupiter, Square-Enix eut la bonne idée de donner un peu plus de lattitude au studio Think Garage récent géniteur de Dirge of Cerberus.
Le jeu conte donc l'histoire du jeune Sigma Kurogami, jeune héritier de la famille Kurogami, et de ses péripéties pour redonner au présent son cours normal après qu'un sinistre individu soit intervenu dans le passé pour foutre le bordel (encore une de ces histoire de time paradox foireux, oui). Dieu soit loué Sigma possède également le pouvoir d'influer sur le passé en faisant mumuser avec une baguette et un piano (d'ou le "Harmonics" du jeu). Seulement on ne visite pas le passé sans heurts, et ce sera donc courageusement qu'il... encouragera de loin sa jeune camarade Neon Tsukiyomi pendant qu'elle mettra des dérouillées aux mobs dans un battle system original mais un poil répétitif.
Mélant combat, exploration et enquête le jeu a été codé de manière à ce que toute traduction amateur soit rendue quasi impossible, aucune FAQ complète n'étant à déplorer de par le NET ce titre restera donc éternellement une curiosité réservée aux japonophone.
Coté soundtrack Square-Enix eut la délicieuse idée de confier l'OST du titre à Masashi Hamauzu en guise d'échauffement avant le bulldozer Final Fantasy XIII, grand bien lui en a pris puisqu'en privilégiant la qualité à la quantité (le jeu ne comporte même pas 20 pistes) le compositeur signe là un travail bien plus homogène et exempte de déchets à l'inverse des errements des Fal'cie sur Cocoon et Pulse.

#9th edition RPG Battle theme

Après un hiatus d'un peu plus d'un an (sans raison valable bien entendu) voici donc la 9è itération de ces petits articles amenant de façon totalement aléatoires, ou non, deux battle themes issus de RPG plus ou moins fameux.

Cette renaissance se fera donc sous le thème "shitty rpg" avec des pistes issus de jeux quasi unaninement reconnus comme étant foireux, leurs musiques le sont-elles pour autant ? À vous de juger.


Tales of the Tempest - Confrontation



Aussi curieux que cela puisse paraître je garde un souvenir ému de Tales of the Tempest, sans doute le fait qu'à l'époque j'avais dl un trailer du jeu avec ma connection 56k avant de regarder le dit trailer en saccadé total sur un PC avec 256Mo de Ram en bout de vie. Une vingtaine d'heures de jeu à pas comprendre grand chose plus tard l'ending scroll était sur la DS, je n'avais rien compris au boss final (et bien après j'ai appris que toute façon il n'y avait rien à comprendre) et je venais de finir ce qui constitue à ce jour ma dernière grosse tache vidéoludique sur mon listing Legendra. L'affront fait à la série a été tel que le jeu a été "déclasséé de la série principale pour être considéré comme un escort tittle (le seul à ce jour), quelques années plus tard Dawn of the New World a repris le flambeau avec un poil plus de réussite.


Holy Magic Century - Battle theme



Certains disent qu'il a partiellement plagié
son homologue de Final Fantasy VII et la ressemblance au niveau de l'intro est effectivement assez troublante pour juger cette hypothèse comme crédible. Toujours est-il qu'au contraire de l'Amérique ou le jeu a été marketé par des incompétents, l'Europe a eu le droit à une box bien plus sémillante et attractive ainsi qu'une campagne de pub adaptée en conséquence et adéquate pour appater les bambins naïfs en soif de rpg sur la console.
Naturellement je me trouvais dans cette catégorie et c'est grace au fruit d'une persévérance inouïe que je suis venu à bout de cette "aventure". Encore une fois je n'ai rien compris au boss final et je n'ai même plus l'excuse de la barrière de la langue puisque le jeu était intégralement en français, à croire que les RPG pourris se reconnaissent par leurs boss de fins totalement random et incompréhensibles.

#8th edition RPG Battle themes

Après avoir essentiellement abordé des jeux récents la rubrique RPG Battle theme repart 15ans vers le passé pour cette 8ème édition, l'époque bénie des 16bits et de Square et Enix (et non pas Square-Enix).

Secret of Mana - Meridian Dance]



My first RPG evar et celui qui m'a amené l'amour du genre et du jeu vidéo dans une plus large mesure.
On skippera la dégradation évidente que subit la série ces derniers temps (Seiken 4 n'existe pas) pour se concentrer sur cet épisode qui, encore aujourd'hui, fait pas battre le c?ur de milliers de fans à travers le monde.
Le point le plus important était que le titre était intégralement jouable en coopération et ce jusqu'à 3 joueurs grace à l'adaptateur multi prise de la console, du jamais vu jusque la et... toujours du jamais vu jusqu'à aujourd'hui.
Il y a bien eu de vagues tentatives pour reproposer des a-rpg en full coop mais celles ci se sont avérés bien moins convaincantes que leur ainé et prédécesseur, FFCC s'est empêtré dans une utilisation de la connexion GC/GBA totalement inutile et n'offrait un scénario que peu satisfaisant tandis que Zelda Four Swords usait du même procédé en annihilant totalement toute idée de scénario et d'émotions véhiculés par celui-ci.
Parce que Secret of Mana est un RPG long, épique, à l'ost mémorable, au gameplay qui rosque sa maman et que même tu peux y jouer à 3 et chialer à 3 devant la quantité de scène mémorables que celui-ci contient.
Ce jeu est également un bon moyen de se rendre compte que la création vidéoludique n'a que très peu évolué, pire même elle régresse et s'empêtre dans des poncifs qui, sans être désagréable, ne nous apporte rien humainement.
Dans ma vie de joueur il y a clairement eu 2 impacts majeurs, Secret of Mana et Persona 3

Ah accessoirement pour la musique il s'agit du final Battle theme, le Demo Mana, un méchant qui n'en n'est pas un et qui souhait simplement détruire le Fort Mana, fruit de l'orgueil des hommes et création contre-nature.
La ressemblance du boss avec Flammy est troublante et joue avec les émotions du joueur, en être réduit à tuer un animal innocent qui ne fait que lutter pour sa survie et celle du monde.

Illusion of Time/Gaia : Clash of Light and Shadow




Si je ne devais retenir que deux jeux Snes ce serait ces deux la (et éventuellement A link to the Past), RPG également Illusion of Time n'en est pas moins très différent de Seiken 2.
L'accent est ici avant tout mis sur la narration, des scènes fortes et la visite des ruines des anciennes civilsations (Chinoises, Maya, Egyptienne) dans un pot-pourri extrêmement plaisant et aux références mythologiques savamment placés.
Si la traduction Fr peut aujourd'hui amuser il n'en reste pas moins que ce titre demeure un chef d'?uvre de mise en scène et de narration servi pas une 2D impeccable.
L'OST est globalement bonne mais ce sont principalement les pistes "émouvantes" que l'on retiendra.
L'histoire est à ce propos une magnifique allégorie sur l'évolution inhérente à toute espèce vivante, la mort n'est jamais que l'aube d'un nouveau commencement et l'acceptation de cette réalité est essentiel à notre épanouissement sur Terre, pour aujourd'hui et pour demain.
Ici également il s'agit du boss final au design assez racé, il s'agit de l'incarnation d'une comète synonyme de destruction (et donc de création) et qui se manifeste une fois par millénaire. Le combat est évidemment épique puisque Paul et Flora fusionnent pour former la Likefia parfaite, l'ultime forme de vie dont les coups salvateurs garantiront la pérennité de l'humanité pour 1000ans encore...



Average E3 is average

#7th edition RPG Battle Theme

Une dizaine de jours depuis la précédente édition, on pourrait presque croire que je suis devenu régulier.
Pour cette fois vous aurez donc le droit à un des RPG au rang de best game evar par pas mal de joueurs, les rumeurs sur son éventuel suite ne cessent de fleurir depuis quelques mois mais rien d'officiel à constater.
Pour l'autre il s'agit d'un jeu déjà cité dans l'édition précédente, son OST ne comporte pas moins de 15 Battle theme et tous sont d'une qualité irréprochable, à choisir j'ai pris celui dont le début m'inspirait le plus.

Skies of Arcadia - Battle Theme 1



La première piste accompagnant les combats du titre et sans doute la meilleure, au début l'équipe se limitait à Vyse Aika et Fina et le battle system se montrait déjà relativement innovant et plaisant, notamment grâce à l'utilisation d'une jauge de MP commune (principe repompé dans Arc Rise Fantasia au passage) se rechargeant à chaque tour.
Je n'ai plus de souvenirs très précis de ce jeu, je me souviens juste que la mise en scène était excellente les graphismes un poil dépassés, la faute aux grands espaces ouverts façon FFXII, mais surtout j'ai eu la flemme de le finir, j'avais défoncé Alfonso et le donjon menant à Ramirez était particulièrement casse couille ce qui m'a fait lâcher prise

Super Robot Taisen OG Saga : Endless Frontier - The Dark Knight



Non ce n'est pas Batman. (mettez en HQ pour une meilleure qualité sonore)
Ce Battle theme illustre les combats contre le ArcGain, un des 4 Robot du jeu et le seul que l'on ne récupèrera pas en tant que back attacker. J'ai particulièrement aimé ce theme parce que l'artwork du ArcGain avant son Ougi a particulièrement de la gueule, je vous laisse apprécier le tout sur la vidéo de KKKaze (à 4:30 pour les impatients)

Pour l'Epitafail c'est par la-bas.

#6th edition RPG Battle theme

Long time no see comme dirait le vieux bucheron canadien.

Super Robot Taisen OG Saga Endless Frontier - Where Endless "Time" Crosses



La musique du fucking boss de fin de ce fucking jeu que je viens tout juste de finir.
Que dire, c'est épique c'est le genre de musique à poussée d'adrénaline " Putain de bordel c'est la fin du jeu je vais te casser la gueule sale boss de fin rahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh".
Plus sérieusement il s'agit du Einst, une bestiole à mi-chemin entre le mécha et l'humain qui s'est apparemment paumé et retrouve plus le chemin de son monde d'origine. Seulement comme il est très dépressif il a séparé le monde en de multiples entités provoquer des guerres créer des portes dimensionnels, un mec vraiment égoïste quoi.
Un petit bémol pour la mise en scène finale qui aurait pu être amélioré, mais très honnêtement ce n'est rien comparé à ce jeu qui est franchement EPIC et dont vous réentendrez vite parler sur NM.

Valkyrie Profile : Covenant of the Plume



Le battle theme de Valkyrie Profile Covenant of the Plume, directement tiré des épisodes précédents qui sont considéré comme les meilleurs travaux de Motooi Sakuraba. Hum que dire, dans ce contexte précisément il s'agit des joutes mené par Wylfred et la troupe qu'il aura recruté jusque là.
Ce brave garçon a trouvé la mort au début du titre mais s'est vu ressusciter par Hel qui, en échange d'une plume aux pouvoirs surnaturels, l'a ordonné de lui ramener l'âme des plus vaillants guerriers. Manque de pôt Wylfred a la mauvaise idée de tester la plume sur son meilleur ami, mal lui en pris celui-ci vit sa force décupler terrassa tous les monstres aux alentours et trouva la mort après le combat.
Tel est d'ailleurs le thème central de Covenant of the Plume, doté d'une difficulté titanesque aurez-vous le courage de faire face à l'adversité ou serez-vous contraint de sacrifier un de vos camarades en échange de la victoire? Cette décision lourde de conséquence décidera de quelle fin vous serez gratifié à la fin du jeu....


Pour plus de Random Stuff c'est ICI

#5th edition RPG Battle themes

Maintenant que mon test P4 est enfin terminé (avec du retard bien entendu, et pas aussi perfectionné que je le voulais à la base) je peux sereinement commencer à jouer à d'autres titres et tourner la page, fin bon it's time to RPG Battle theme baby.


Mode Megami Tensei oblige je rebalance encore des pistes issus de la série et donc, fort logiquement, composé par Shoji Meguro qui m'inspire définitivement plus de sympathie qu'une Sakuraba, Uematsu, Sakimoto ou encore Mitsuda (enfin lui à par Chrono Trigger il a rien fait dans sa vie).

Devil Summoner : Raidou Kuzunoha - Random Battle Theme




Hum et la c'est le moment ou je suis censé écrire sur cette chanson en racontant dans quelle contexte elle est utilisé et ce qu'elle illustre. Seulement j'en sais fichtre rien uhuh je n'ai pas fait le jeu et je ne compte pas le faire par simple flemme.
Par contre Devil Summoner 2 qui sortira en mai 2009 aux US sera mien, rien que pour le bonus de précommande ->

Persona 4 - The Almighty




La musique du "final boss" de Persona 4, enfin le final boss de la normal end, pour la good end un combat supplémentaire est à signaler, une sorte de pale réplique de celui de Persona 3 avec une musique pas épique.
Bref ici Ameno- Sagiri un espèce de gros oeil divin qui manipulait Adachi qui lui même manipulait Namatame (en sachant que dans la true end on apprend qu'ameno-sagiri est lui aussi manipulé...).
Un joli foutoir pour un combat que j'ai trouvé honteusement court et facile, pour une entité divine être le plus simple des boss du jeu cela fait tout de même un peu tache. Enfin la musique demeure sympa, c'est ce qui compte.


Je finirais sur le second opening de Trinity Soul, aucun rapport mais il était tout de même vachement sympa cet opening!

#4th edition RPG Battle Themes

Une petite pirouette pour cette 4è édition avec une musique provenant d'un jeu qui n'est pas réellement un RPG, encore qu'on pourrait bien le définir comme un A-RPG en scrolling horizontal après tout, le héros montant graduellement en puissance au fil de l'aventure, aventure conduit par un scénario (minimaliste je le concède)
Bref my bad il est la, la musique rosque alors ça suffit.
Pour la deuxième c'est du lourd, Shoji Meguro best composer ever.

Viewtiful Joe 2 - True Heroes


La musique du final boss battle de Viewtiful Joe 2 comme vous l'auriez deviné, l'empereur des Gedow Black dans sa forme ultime après avoir absorbé les 7 oscars contenant le pouvoir du happy ending.
Révélation assez inattendue, mais coutumière de la série, l'empereur Black se révèle être Jet le père de Joe (dans le premier Viewtiful Joe le grand méchant était Captain Blue le père de Sylvia, dans l'épisode DS c'était la mère de Joe sic*).
Apparemment il souhaitait devenir un vrai héros pour épater son fils, seulement son esprit fut corrompu par le "black film" dont l'origine restera à jamais inconnue tout comme celle de la V-Watch de Jet (ces réponses auraient du être apporté par le dernier épisode la trilogie VJ mais cela n'arrivera jamais, hélas)

Persona 4 - I'll Face myself


Cette musique illustre les combats de l'équiper contre les "Shadows" de leur propre personnalité.
Pour faire clair chaque individu possède une personnalité caché ayant ses vices et ses vertus, leur manifestation n'est effective que dans "l'autre monde" ou chaque protagoniste devra être capable d'assumer ses cotés cachés avant de maitriser cet "autre moi" pour qu'il devienne leur Persona fidèle et dévoué. (d'ou le titre du I'll Face myself)
On entendra donc cette musique à 7 reprises dans le jeu contre des boss au design tous plus démesurés les uns que les autres.
Comme ici la ou encore la (inutile de préciser que c'est du major spoiler je pense)

#3rd edition RPG Battle Themes

Zoupla 3è édition déjà avec des jeux populistes et populaire.
Une dualité claire entre deux épisodes d'une même série, l'un possède une réputation surestimé chez un très grand nombre de possesseurs GC, l'autre, qui est son successeur spirituel, est objectivement meilleur mais connu seulement de quelques possesseurs PS2 férus d'import. Il reste tout de même dans le top 20 des best games ever élus par les lecteurs de Dengeki.

Tales of Symphonia - The End of a Thought



Forcément le plus populaire des deux, il s'agit de la piste illustrant le duel entre Kratos et Lloyd, entre un père et son fils le passage du jeu en mode 16/9è renforçant grandement l'immersion.
L'enjeu est somme toute plus symbolique qu'autre chose, l'équipe doit conclure un pacte avec Origin afin que Lloyd puisse manier l'Eternal Sword lui permettant de réunir les deux mondes, seulement dans ce but l'énergie de Kratos est nécessaire puisqu'il avait contribué a forgé l'ancien pacte de l'esprit avec Mithos. Le combat se révèle toutefois un peu brouillon, la faute au système de combat du jeu qui intrinsèquement limitait les déplacements d'autant plus que le nombre d'adversaires étaient réduits.
L'issue est évidemment scriptée et Lloyd emporte le combat, théoriquement Kratos doit mourir après avoir offert son énergie à forger le nouveau pacte d'Origin mais J-RPG faisant il est écrit que quand un personnage DOIT mourir alors il ne meure pas.

A noter que selon un certain choix effectué plus tôt dans l'aventure, Kratos rejoindra votre équipe, ou pas, peu après le duel.

Tales of the Abyss - Meaning of Birth



Déjà évoqué à plusieurs reprises dans ce blog, cette musique illustre le duel entre Luke et Asch dans la lignée directe de Kratos VS Lloyd en version épique surboosté.
L'enjeu est ici bien plus symbolique et important puisque les deux jeunes hommes ne sont ni plus ni moins que la même personne.
En effet le héros présenté comme étant Luke fon Fabre dans l'introduction s'avère n'être finalement qu'un replica, un clone du réel Luke qui avait été kidnappé et rééduqué par Van qui se trouve être également le maître d'armes du clone de Luke fon Fabre.
Tout cela est bien compliqué mais on retiendra que Asch est un personnage ruiné dont la vie a été brisé et qui a été remplacé par un vulgaire clone, clone qui se sent coupable de cette situation et cherche systématiquement à venir en aide à son original pour lequel il éprouve énormément de compassion.
Les tenants et aboutissant de ce duel sont tout aussi dramatiques, la coexistence du clone et de l'original étant contre-nature un des deux doit mourir, ce n'est pas l'enjeu effectif mais c'est ce qu'il se produira pour Asch défait par Luke qui,renforcé par l'énergie spirituel de son original mourant , ira mettre un terme au plan de Vandelsca de créer un monde de clones pour garantir la paix.

#2nd edition RPG Battle Themes

La première itération ayant apparemment plu à certains je reprends donc du service pour un second volet.
Je n'avais originellement pas prévu de mettre en face à face les musiques, mais les réactions dans ce sens s'étant faite spontanément dans ce sens alors pourquoi pas?

Du lourd (même si l'on descend d'un cran à priori) encore et toujours pour cette seconde édition) avec une dualité très tranchée entre les deux musiques en question cette fois ci.

Fire Emblem Path of Radiance - Against Black Night



La musique qui naturellement s'orchestrera lors du duel entre le Chevalier Noir et Ike. Celui-ci dont l'identité restera inconnue même à la fin du jeu (et ne sera connue que dans Radiant Dawn) avait tué Greil le père de Ike au début du jeu. Contrairement aux héros shonen classique Ike restera un garçon raisonné même après cela et ne vouera pas sa vie à une vaine quête de revanche.

Le duel entre les deux hommes aura toutefois lieu mais sans conséquences aucune sur le scénario, si il reste possible de défaire le Chevalier Noir (mais cela reste tout de même très très ardu) la scène qui s'en suivra sera similaire, le batiment dans lequel vous vous trouviez s'effondrera laissant penser que le Chevalier Noir est mort sous les décombres...

The World Ends With You - Twister




Cette musique composée par Takeharu Ishimoto fait à la fois office d'opening mais également de premier thème du final boss battle contre la version Noise de Megumi Kitanji alias le Conducteur. Les moment forts du combat résident dans l'aide que vous fourniront les 3 partenaires que vous aurez eu dans le jeu des Reaper jusqu'à ce moment la.
Plus qu'un combat pour la vie, c'est un combat pour la résurrection le droit à une seconde chance principalement pour Neku dont la mort se réalisa dans des conditions assez illégales, tué par le Composer lui même qui souhaitait en faire son proxy afin de reconstruire Shibuya.
Si tout cela vous semble flou c'est normal, The World Ends With You jouit tout de même d'un background inouï qui s'étoffe même après la fin et lors de l'ultime combat au sommet de Pork City.
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