Lisez ceci est mon blog, trollez ceci est l'espace à comm.

Graces F en Amérique c'est officiel.

Obvious teasing is obvious




Et pendant ce temps sur la page facebook...

Divagations sur twitter...



Et ouais. J'en suis.

Trauma Center en une minute



So true.

The Garden of Sinners

Type-Moon est un studio de développement spécialisé dans les Visual Novel actuellement extrêmement populaire au Japon et dont la notoriété a aujourd'hui dépassé les frontières nippones grâce à leur dernière licence majeure : Fate/Stay Night.


Principalement popularisée en occident via son adaptation animé (le jour où des visual novel sortiront en Europe les poules auront des dents) jugée foireuse, à tort ou à raison, par les fans l'univers Fate, elle connait actuellement de nombreuses extensions comme le dernier jeu PSP Fate/Extra développé par imageepoch, ou encore l'animé à venir Fate/Zero.


Mais Type-Moon ce n'est pas que la série Fate, c'était aussi Tsukihime leur premier Visual Novel sorti en l'an 2000, année de création du studio qui a également connu un énorme succès et s'est décliné sur différents types de media : animé, manga... le dernier étant toujours en cours de publication en France.


On peut également citer au rang de leurs créations la série "Melty Blood" (en collaboration avec French Bread) une des références du jeu de baston en 2D qui mêle l'ensemble des personnages provenant des univers créés par Kinoko Nasu, scénariste et fondateur de Type-Moon, y compris une certaine Ryougi Shiki en provenance de Kara no Kyoukai...



Car Kara no Kyoukai, ou The Garden of Sinners de son titre officiel occidental, est la première oeuvre de Kinoko Nasu, une série de light novel écrite et publiée avant même la création de Type-Moon et qui pourtant contient déjà tout le savoir du bonhomme qu'il ne se gênera pas pour recycler dans ses travaux qui suivront et principalement dans Tsukihime, on pensera aux personnage principaux de Tsukihime et Kara no Kyoukai, et au pouvoir du protagoniste totalement identique dans les deux séries, on notera également la présence d'un autre individu qui rappellera quelqu'un aux fans de Fate/stay Night...
Les similarités sont ainsi très nombreuses, c'est d'ailleurs une des marques de fabrique de Kinoko Nasu de créer ainsi différents univers interconnectés, on parle même de "Nasuverse" (contraction de Nasu et... je vous laisse deviner) pour tenter d'expliquer ces cameo incessants qui vont bien au-delà du simple clin d'oeil.
Cet aparté s'achevant Kara no Kyoukai n'a pas eu la chance de recevoir une adaptation en Visual Novel et ce malgré son immense popularité au Japon, devant ce fait accompli Type-Moon a donc décidé de faire produire un animé basé sur la série. Refroidie par les studios JC Staff et Deen (Tsukihime et Fate respectivement) n'ayant pas produit un résultat estimé satisfaisant, Type-Moon est allé voir du coté d'un autre studio à l'époque (2006) pratiquement inconnu : Ufotable
Venant de décrocher coup sur coup les contrats pour l'adaptation de Tales of Symphonia en OVA et des light novel Kara no Kyoukai, Ufotable était un studio en plein essor et qui ne risquait pas de chomer dans les années à venir, et ce d'autant plus que l'adaptation du dernier nommé allait se faire en 7 films durant entre 48 et 121 minutes.
Étalé de fin 2007 à 2009 les sorties des films Kara no Kyoukai ont connu un énorme succès tant public (un OVA épilogue étant prévu pour la semaine prochaine) que critique.
Sur ce dernier point il suffit de voir l'actuel Top Myanimelist ou deux des 7 films squattent le top 20 depuis leur sortie, ou de constater l'actuel réputation d'Ufotable auprès de ses derniers clients : Bandai-Namco ayant évincé Production IG à leur profit pour les cinématiques du prochain Tales of Xillia et Type-Moon ayant commandé Fate/Zero chez eux.

Mais le succès de Kara no Kyoukai en films, en plus de ne pas être anodin et d'être en partie du au talent d'Ufotable en terme d'animation n'est pas non plus étranger à tout son aspect sonore notamment son cast de seiyuu : l'archi populaire doyen Jouji Nakata à la très en vogue Maaya Sakamoto en passant par le cameo Kenichi Suzumara à la valeur montante du moment (pas autant que Kana Hanazawa mais bon) Ayumi Fujiura c'est un casting très restreint mais d'une qualité d'interprétation indéniable qui jalonne l'ensemble des films, nous épargnant des voix aigus insupportables et autres japoniaiseries sonores en vogue dans les animés du moment.
Mais ce qui flatte surtout l'oreille tout au long des épisodes, c'est l'ensemble des pistes composés par Yuki Kajiura, la compositrice la plus convoitée dans l'univers de la japanimation (et se faisant très discrète ces derniers temps, à l'exception de Puella Magica Madoka)



Yuki Kajiura s'est non seulement occupée de l'OST de l'ensemble des films, mais elle s'est impliquée dans le projet Kara no Kyoukai au point de créer exprès pour l'occasion Kalafina un groupe japonais composé de Yuki Kajiura elle-même et de deux chanteuses choisies par cette dernière lors d'un casting réunissant pas moins de 30 000 candidates. Kalafina donc s'est occupé d'interpréter une theme song pour chacun des 7 film, le résultat est assez détonnant et fait toujours son effet lorsque survient l'ending (ci-dessous Oblivious pour le premier film Fuukan Fuukei). La popularité du groupe était tel qu'il a finalement continuer d'exister et a interprété, entre autre, des themes pour Kuroshitsuji (Black Butler), Sora no Woto et Puella Magica Madoka.



Les films sont actuellement publiés en France par Kaze qui les édite individuellement avec pour chaque film son OST qui l'accompagne. Au Japon est prévue la Kara no Kyoukai box qui comprendra multiples bonus et l'intégrale des films pour la première fois en blu-ray sous-titrés anglais avec l'OVA épilogue en exclusivité, le tout pour la coquette somme de 620$. La rupture de stock est d'ors et déjà prévue vu le nombre de précommandes et la release simultanée aux Etats-Unis.

PS : Et je n'ai même pas parlé du scénario, classe.

Tales of Graces localisé, c'est en bonne voie

Mais là ou le bât blesse c'est que c'est de Tales of Graces F qu'il est question, le portage HD de la version wii ne rajoutant que quelques hi-ougi et une extension du scénario plus que dispensable.
En tout cas quid de cette "rumeur" qui n'en est pas vraiment une ?

Tout est parti d'un message de Bandai Namco USA sur des réseaux sociaux, une simple image présage d'une localisation d'un jeu en Amérique



Amusez vous bien pour décrypter le bazar. Trouvant donc le délire un poil exagéré, Richard Bantegui, community manager de Namco, a donné comme indice un "F" formé de Pac-Man en indiquant que le symbole en 7è position correspondait à cette lettre.
Après deux trois suppositions et décryptages certains fans en sont arrivé à recomposer une adresse ataleoftworichards.com un nom spoilant au passage un aspect important de Tales of Graces (voilà, ça c'est fait) et qui possède en page d'accueil un logo pour le moins étrange.



Ça a une gueule de Tales of ce logo non ?

Et si on inversait les couleurs pour voir ?



Ce ne serait pas exactement le logo de Tales of Graces F par hasard ?

En bref :

- Un twit/post facebook qui hint une release de Bamco USA
- Un officiel Namco qui aide à décrypter cet indice
- Un décodage qui mène vers une adresse étrange comprenant un logo
- Logo qui, couleurs inversées donne exactement celui de Tales of Graces F

En cas de sortie américaine on peut en tout cas supputer sans problème d'une localisation européenne, la récente branche de distribution de Bamco en Europe éditant un peu tout et n'importe quoi ces derniers temps.

Et pendant ce temps Xenoblade...

Alors que la mode est à chouiner sur l'absence de communication autour d'une localisation d'un certain jeu alors que celle-ci reste dans le domaine du probable (on nous avait déjà - fait - le coup il n'y a même pas deux ans), ayons une pensée émue pour le pauvre Xenoblade, un peu oublié, et qui aura pourtant marqué cette génération au point que les amateurs ne l''auront pas oublié d'ici quelques années, pourra-t-on en dire autant de Last Story ? Rien n'est moins sur.



Centré sur le combat éternel opposant les dieux Kishin et Kyojin, l'intrigue de Xenoblade se concentre principalement sur la guerre opposant les humains vivant sur Kyojin aux machines résidant sur Kishin et sur la clef pouvant mettre fin à cet interminable conflit : l'épée Monado.
Seule arme capable de percer la coque des machins de KIshin cette dernière est présentée comme étant maniée par Dunban en premier lieu, mais lui demandant trop de ressource vitale il se retrouve incapable de la manier après une énième bataille et revient blessé et terriblement affaibli auprès de sa soeur cadette Fiorun, laissant Monado sans utilisateur et l'humanité en proie à un danger imminent.
C'est lors de l'attaque de la sixième colonie humaine où réside ces derniers que Monado, après un énième essai de Dunban pour la ressaisir, trouvera son porteur et révèlera tout son potentiel en la personne de Shulk, un jeune homme ami de Fiorun qui armé de l'épée divine mettra les troupes des machines en fuite grace à la puissance incommensurable de Monado et de son don de prescience fraichement acquis.



S'en suivra donc l'habituel voyage initiatique qu'entamera notre jeune compagnon en compagnie de Fiorun de son ami Rein du vétéran Dunban et d'autres compagnons rencontré lors de son périple vers Kishin



Et périple il y aura vraiment tant le monde de Xenoblade est immense, se déroulant sur la surface du corps des deux dieux, les zones visitées rappelleront Final Fantasy XII, les temps de chargement et l'aliasing outrancier en moins. Rempli de monstres que vous pourrez confronter en temps réel sans transition, ces zones sont en outre bourrés de checkpoint sur lesquels vous pourrez vous téléporter à n'importe quel instant du jeu, coupant donc court à toute augmentation virtuelle de la durée de vie par de vides promenades. Mais de vides promenades il n'y aura pas tant se promener sera une découverte de chaque instant, entre les centaines de quêtes que vous confieront les PNJ, la gratification en points d'expérience (tout, ou presque, rapporte de l'expérience dans le jeu !) et l'absence total de murs invisibles : vous êtes en haut d'une falaise et une centaine de mètres en contrebas il y a la mer ? Pas de problème, sautez !



À mi-chemin entre White Knight Chronicles et Final Fantasy XII (en beaucoup mieux), le battle system ne vous permettra de ne controler (directement) que Shulk en switchant entre les 8 skills différents que propose le jeu. Pas mal d'autres features sympa viennent agrémenter l'ensemble, comme le fameux donc de prescience de Shulk applicable en combat et le remplissage d'une jauge bleue commune permettant d'utiliser des attaques bonus assez jouasses.



Mais là où Xenoblade vient faire fort, c'est qu'au milieu d'une génération phagocytée par des compositeurs vieillissants (Sakuraba, Uematsu pour ne pas les citer) et après le foirage d'Hamauzu, Monolith a eu le bon goût de faire appel à Yoko Shimomura, entre deux copier/coller d'OST pour KH Birth by Dream Sleep Memories Never Awake from Distance after a rencoding 365 days, et des compositeurs inconnus du grand public, le groupe Ace+ et Manami Kiyota. Le résultat est bluffant et s'impose facilement comme la meilleure OST de cette génération avec Nier (composé par des gens pas connus aussi, comme par hasard).




Vous l'aurez compris, entre fapper sur un jeu dont le highlight est un directeur qui a déjà foiré deux fois son retour sur cette gen et un titre offrant d'ors et déjà de solides garanties et ayant été développé par une équipe responsable d'un de mes BGE (salut BKO, tiens t'es pas sorti en Europe au passage) le choix est vite fait.
Pour avoir la conscience tranquille je finirais Last Story, mais dieu sait que j'en attends rien.



Et pendant ce temps sur Blazblue

Test Spectral Force Genesis

En fouillant dans les archives de mon PC, je suis retombé par hasard sur des travaux préliminaires réalisés pour le test de Spectral Force : Genesis (oui j'ai énormément de travaux préliminaires par rapport au nombre de tests publiés) il y a bientôt un an et demi.
Trouvant cela cocasse je me suis dit que ce serait amusant de les partager avec vous.












Voilà, vous ne connaîtrez jamais la suite et moi non plus. Bien entendu il est hors de question que j'utilise à nouveau un format pareil pour les tests (encore que condensé en un gif ça pourrait être drole).

Tales of Xillia J-1

C'est demain à 17h que sera dévoilé officiellement le prochain Tales of qui sera très vraisemblablement nommé Tales of Xillia (en rapport avec le nom de domaine "tox" ayant été déposé par Namco), à cette occasion le Tales Studio tiendra également une conférence de plusieurs jours où il sera question de ce Next Tales of mais aussi de Tales of Graces F, pour raquetter les joueurs avec encore plus de Donne Le Cash, et de Tales of the World Radiant Mythology 3 avec probablement un nouveau trailer.

Naturellement on se moque éperdumment des informations complémentaires sur ces deux titres et l'on attend avec impatience un premier trailer de l'épisode marquant réellement les 15 ans de la série (le premier épisode étant sorti un certain 15 Décembre 1995 au Japon) et dont le chara-designer comme le compositeur n'ont pas encore été officialisé, chose étonnante étant donné que l'équipe de développement à la barre est celle s'étant occupé des épisodes Symphonia, Abyss et Vesperia et que cette dernière a toujours été accompagné par Kosuke Fujishima et Motooi Sakuraba.
Prétendumment plus réaliste, il serait salutaire que cet épisode s'affranchise de l'égide des deux dernières personnes nommées, le premier, au style répétitif, n'apparaissant pas apte à se réinventer, et le second totalement surchargé de travail n'arrivant plus à créer de réelle identité à ces travaux. (on dilue facilement le Tales of dans le Golden Sun le Star Ocean l'Infinite Undiscovery le Valkyrie Profile du Baten Kaitos ou encore du Eternal Sonata)



Voilà, je suis hypé en gros, et vive Shigenoru Soejima et Go Shiina !

Tales of Graces F : Hi-ougi exhibition



Oh sh*t

EDIT : Pendant ce temps chez Namco-Bandai USA

The Legend of the Legendary Heroes




The Legend of the Legendary Heroes (Densetsu no Yuusha no Densetsu) est à l'origine une série de 11 Light Novel publiés au Japon entre 2002 et 2006 par FujimiShobo et vendu à plus de 3,7 millions d'exemplaires, la série a par la suite été adaptée successivement en manga (3 volumes, publication en cours), en drama CD, en jeu vidéo sur Playsation Portable et, depuis l'été dernier, en animé sous la houlette du studio ZEXCS.
Pour cette adaptation programmée en 26 épisodes, on retrouve Itsuro Kawasaki (Chrome Shelled Regios,Sengoku Basara) à la direction, Noriko Shimazawa (Da Capo II, Otome wa boku ni Koi Shiteru) au character-design et Yoshimura Kiyoko (Kurogane no Linebarrels, Dogs: Bullets & Carnage) à la composition, le premier opening LAMENT ~Yagate Yorokobi wo~ est quand à lui interprété par la chanteuse Aira Yuuki quand au second Last Inferno c'est à Ceui qu'il nous est du (cette dernière s'étant également occupée du premier ending).

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Synopsis

- Il y a plusieurs millénaires : Le continent est ravagé par des monstres mettant en péril le genre humain, mais des guerriers à la puissance inconmensurable apparaissent et terrassent l'ensemble de ces monstres, mettant un terme au danger permanent qui menaçait chaque être vivant.



- Il y a deux ans : Ryner Lute (Fukuyama Jun) est un étudiant fainéant de l'Académie Royale des Magiciens tronant à Rolland, partisan du moindre effort et élève médiocre il n'entretient qu'une vague amitié avec sa camarade Kiefer Knolles (Ooura Fuyuka) qui cherche désespérément à le motiver. Un jour, un jeune noble également étudiant de l'académie, Sion Astal (Ono Daisuke) intrigué par le personnage suspecte que derrière son apparence nonchalante, Ryner dissimule quelque chose. Au cours d'une séance d'entrainement, il remarque que ce dernier feignant d'encaisser les sorts les détournent en réalité à une vitesse quasi-imperceptible pour l'oeil humain. Intéressé par ce génie se faisant passer pour le dernier des cancres il lui expose sa vision du monde et ses ambitions : devenir roi de Rolland pour mettre un terme aux inégalités et aux guerres futiles qui empoisonnent les différents royaumes. Ryner sentant Sion s'aventurer sur une voie bien trop aventureuse et compliquée, refuse son invitation à le rejoindre dans cette quête. C'est peu de temps après qu'une guerre éclate entre Rolland et un pays voisin ravagé par les innondations cherchant à s'accaparer les richesses de Rolland. Biaisé par une fausse information leur ayant été transmis par des nobles souhaitant se débarasser de Sion, le détachement d'une dizaine de soldats-étudiants mené par ce dernier se fait décimer par une cinquantaine de soldats-magiciens du royaume ennemi. Voyant la vie de Kieffer être menacé Ryner rentre dans une rage folle et éveille complètement, pour la deuxième fois, ses Alpha Stigma une capacité oculaire lui permettant d'analyser de copier et de contrer tous types de magies. Massacrant dans une violence inouïe les soldats ennemis, Ryner n'est stopé qu'in-extremis dans sa rage destructrice par Sion qui lui ferme les paupières, ce dernier sachant déjà que Ryner était un porteur de l'Alpha Stigma.



- Quelques semaines plus tard : Sion est rentré au pays acclamé en héros, Ryner est lui condamné à mort et enfermé dans un cachot en attendant que l'on exécute la sentence. Kiefer rongé par les remords salue une dernière fois l'homme qu'elle a aimé avant de quitter définitivement Rolland. Quelques jours plus tard Sion propose d'aider Ryner à s'enfuir, ce dernier refuse arguant qu'il pourra faire autant de siestes qu'il veut dans ce cachot. Il entame donc ainsi sa longue période de solitude vaguement egayé par la présence de son geolier avec qui il finit par se lier d'amitié. Pour ne pas s'ennuyer il entame l'écriture d'un livre expliquant point par point comment mettre en place un royaume où tout le monde pourrait faire des siestes quand il le souhaite.



- Aujourd'hui : Ryner est libéré de sa cellule et emmené par la jeune Ferris (Takagaki Ayahi), héritière du clan Erris chargé de protéger le roi de Rolland, auprès de ce dernier qui n'est nul autre que ... Sion. Celui-ci a réussi à se procurer les écrits de Ryner et sur les propres recommandations de son livre ordonne à Ferris et Ryner de partir en quêtes des reliques des "Héros Légendaires" qui avaient terrassé les démons ancestraux. Les deux individus rebutés par l'idée de collaborer, et même de partir pour cette quête sont finalement convaincu par la simple présence de Lucille Eris (Sugita Tomokazu), frère ainé de Ferris et grand artisan de la montée sur le trône de Sion. C'est donc ainsi que démarre la quête de Ryner et Ferris à la recherche des artefacts des temps anciens, pendant qu'en parallèle le nouveau roi progressiste Sion tentera de faire devenir réalité ses idéaux avec l'aide de ses différents adjoints tels que Claugh Klom (Atsushi Imaruoka) et le très DARK Miran Froaude (Junichi Suwabe)


La série est diffusée en simulcast en Amérique chez FUNimation, aucun éditeur français ne s'est pour le moment manifesté pour acquérir la licence


Impressions préliminaires après (6/26) épisodes :
ZEXCS est vraisemblablement parti pour couvrir l'intégralité des Light Novel en 26 épisodes, les épisodes 2,3,4 correspondent au Tome 1 et les 5 et 6 au Tome 2. Quid de l'épisode 1 ? Et bien c'est un épisode assez spécial se déroulant dans le présent et compilant des scènes de façon assez aléatoire et bordélique, c'est apparemment un procédé dont le directeur Itsuro Kawasaki est coutumier et je ne saurais que trop vous recommander de ne pas vous faire une impression de la série sur cet épisode ni même sur les deux premiers puisque ceux-ci se succèdent absolument sans transition rendant la compréhension du schmilblick complètement hasardeuse et pouvant sérieusement rebuter. C'est donc à partir de l'épisode 3 que les choses sérieuses commencent et que l'on entraperçoit le fil conducteur de l'histoire, MyAnimeList ne s'y est pas trompé puisque la note moyenne de l'animé à bondi de 0,5pts passant de 7,1 à 7,6 (on croirait lire un commentaire sur la bourse) et ~7,9 actuellement. Le background medieval-fantastique qui commence à se mettre progressivement en place est relativement charmeur, tout comme le sont les intrigues politiques qui se trament dans les différents royaumes de l'histoire (même si c'est parfois rushé par rapport au Light Novel), le concept même de Miran Froaude est également intéressant et éveille une dualité évidente dans le caractère de Sion qui commence à avoir des ambitions jusque là inconcevables. (le PV 2 est d'ailleurs très, trop, explicite la-dessus) Le détail cocasse avec le duo de protagonistes masculins est que l'on fait rapidement un parallèle (foireux ou non) avec... Lelouch, Ryner possède le même Seiyuu et dispose d'un pouvoir qui réside... dans ses yeux, ça ne vous dit rien ?
Quand à Sion il prend très jeune la tête d'une organisation massive (oui un Royaume on peut considérer ça comme une organisation massive =p) et pour lui la fin justifie les moyens et, au fur et à mesure que ses ambitions grandissent, son caractère qui paraît radicalement s'opposer à celui de Ryner semble condamner les deux jeunes gens à s'opposer dans un avenir plus ou moins proche alors que leur finalité est la même. Il n'aurait plus manquer que Takahiro Sakurai pour doubler Sion et cela aurait été le ponpon.
Néanmoins le parallèle s'arrête là puisque l'histoire de Legend of the Legendary Heroes a été écrite bien avant Code Geass (ou tout du moins bien avant la release de ce dernier) et ceci tient donc avant tout de l'anecdote cocasse.



Impressions au stade de la diffusion actuelle (20/26) :
La comparaison foireuse avec Code Geass se poursuit plus que jamais avec l'apparition d'un nouveau personnage dans le deuxième arc n'étant pas sans rappeller le character design de Lelouch, ZEXCS n'ayant évidemment rien trouvé de mieux que de confier le doublage de ce Tiir Rumiblue à... Takahiro Sakurai notamment connu pour le role de Suzaku dans Code Geass.
Ceci mis à part l'intrigue nous dévoile les premiers antagonistes à l'orée de l'épisode 7 avant de nous gratifier d'une scène mémorable avec ces derniers dans l'épisode 9 se poursuivant dans le 10, la narration alterne alors entre le Sion et le Ryner's Side consacrant de façon aléatoire le temps aux deux équipées. De l'épisode 12 au 15 la série connaît son plus gros creux où rien ne se passe du coté de Sion et l'intensité se réduit de façon drastique du coté de Ryner, néanmoins la narration vire tripartite puisque l'histoire nous est présenté sous un nouvel angle pour le moins innatendu et qui commence en fanfare. Après un 15.5 (épisode résumé ) terriblement ennuyeux la série redémarre à l'épisode 16, avec des rencontres riches en renseignements, avant de purement décoller de façon définitive(?) à l'épisode 17 sur une dynamique que la série suit toujours au jour d'aujourd'hui.



Difficile en effet d'évoquer le déroulement de l'intrigue sans spoiler de façon outrageuse, sachez néanmoins que malgré une animation inégale la série sait nous gratifier de combats plus sérieux aux effets de lumière sympathique. Mais là où réside clairement la force de l'animé est dans sa capacité à alterner le comique, l'obscène, le sérieux voire même le gore (les effusions d' hémoglobine sont légions), un mélange périlleux qui ne s'est pas fait sans quelques erreurs mais qui aboutit à un coktail détonnant apte à séduire le plus grand monde, chacun pouvant y trouver son compte.









Les nobles random approuvent cet article - Ryner n'est pas au bout de ses surprises




Opening - Opening theme full - Opening 2 - Opening 2 theme full




Ending full - Ending 2




PV - Trailer





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